COLLECTION SOUMIS - SOUMISE. Ave Maria (2/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION SOUMIS - SOUMISE. Ave Maria (2/7)
Marie, je m’appelle Marie, je suis issue d’une famille catho à la limite de l’intégrisme.
Malgré que je sois majeure, mon père médecin m’emmène avec maman à la messe tous les dimanches.
J’ai ma copine d’enfance Ludivine fille de l’autre médecin travaillant avec mon père dans le cabinet qu’ils ont ouvert à Blois et aussi intégriste que mon père.
Ludivine est une jeune fille bachelière comme moi avec mention très bien et qui a comme particularité de toujours me faire faire ses quatre volontés.
Nos pères veulent avoir des filles médecins pour leur succéder et c’est ainsi que je me retrouve en colocation avec elle à Paris près de la Sorbonne.
Nous allons y faire nos études.
Dès que nous sommes chez nous, dès les premières heures et même le premier soir après avoir sorti de dessous mon lit une valise, elle m’entraîne, à ce qu’elle me présente comme la visite de la capitale.
À Blois, j’aurais eu honte de sortir dans la tenue qu’elle m’a sortie de cette valise.
Sans m’habiller comme une mémère, nous portons plutôt des vêtements bon chic bon genre comme en mettent des filles de bonne famille.
Si mon père l’avait su et vu, ça m’aurait valu ses foudres, des vêtements que Ludivine y avait mis.
C’est dans un resto qu’elle fait la connaissance de trois anglais, Édouard, Boby et John.
Ils nous offrent le resto et nous entraînent dans une boîte avant leur hôtel pour ce qu’ils appellent prendre un dernier verre.
Trois chambres, trois frigos et trois demi-bouteilles de champagne, sans être saoule, je suis pompette et lorsque Ludivine entraîne Édouard dans la chambre voisine, elle me laisse seule avec les deux autres garçons.
Ils me font danser et rapidement je me trouve avec des mains baladeuses et leurs bouches se relayant pour m’embrasser.
• Non, je suis...
Impossible de finir ma phrase la bouche devant moi est remplacée par celle de derrière.
Celle de derrière justement, la bouche de John et la bite de John, il bande sur mes fesses.
• John, c’est ta chambre, tu as des capotes.
• Tu rigoles, j’en ai pris une boîte entière, mon frère Philippe a fait ses études ici pendant un an pour approfondir son anglais et m’a dit que ces petites Françaises étaient de vraies petites salopes.
Je voudrais me défendre, mais je fonds littéralement sous les mains sur mes seins et le doigt qui caresse mon clitoris.
Mon clitoris, je l’ai découvert vers seize ans lorsque j’ai pris un bain et que pour me rincer, je me suis passé le jet d’eau puissant dessus.
J’ai cru défaillir et depuis je me caresse régulièrement arrivant même à deux doigts de hurler quand le plaisir me foudroie.
Mes parents couchant non loin de ma chambre, à ce jour, j’ai réussi à éviter de leur faire voir que je me masturbais.
Comment auraient-ils réagi s’ils m’avaient entendu ?
Comment je peux me retrouver nue devant ces deux hommes et comment je me retrouve les jambes en l’air, ma chatte à leur merci sans que je réagisse ?
Je crois secrètement que j’espérais ce moment et qu’une nouvelle fois Ludivine a devancé mes envies.
• Veux-tu la prendre en premier John ?
• Non, tient met cette capote, elle va me faire une fellation.
Incroyable, quelques secondes et je sens Boby placer sa verge au bord de ma chatte et la bite de John se présenter à ma bouche.
J’ai souvent pensé à ce moment important de la vie d’une jeune fille devenant femme.
C’était toujours le soir où j’avais dit « oui » à un garçon comme Hugo, le fils d’un courtier de notre ville, bien qu’il s’intéresse peu à moi, je dois reconnaitre qu’il semble préférer Ludivine.
Ces trop tard, il est en moi, mon hymen a cédé d’un coup, c’est trop tard pour me poser des questions.
La résistance a dû interpeller Édouard qui sort sa queue et qui se met à hurler.
• Ludivine vient ici, tu aurais pu me prévenir.
Ma copine sort de la chambre voisine entièrement nue elle aussi.
• Tu aurais pu me dire que ta copine était vierge, j’ai trouvé bizarre que ça résiste à ma pénétration.
Ça a lâché d’un coup et ma queue sort couverte de sang.
• Du calme Boby, l’aurais-tu baisé si nous t’avions avoué sa virginité ?
Aujourd’hui, nous arrivons à Paris et si tu savais comment est son père envers elle, j’étais persuadé qu’elle mettrait des mois avant de franchir le pas.
C’est fait, nous allons pouvoir passer de bons moments pendant notre première année de fac.
Soit sans crainte, tu peux rentrer en Angleterre sans soucis.
Une nouvelle fois, Ludovine prend les décisions à ma place, là où elle a raison.
Même si j’ai subi quelques peut ce qu’y est arrivé, je suis restée stoïque à ce que l’on m’a fait.
Au fond de moi, j’avais envie d’envoyer promener tous ces carcans que nos familles s’imposaient et nous imposaient.
• Boby, vous êtes deux, je retourne m’occuper et finir Édouard, ce pauvre ange a été stoppé dans ses élans lorsque tu as hurlé quand tu as découvert que Marie était vierge.
Le pauvre chéri va nous péter une durite, si je laisse sa verge bandée trop longtemps.
Si l’un de vous est volontaire pour défroncer l’anus de cette future salope, vous verrez que, rapidement elle en redemandera.
J’ai envie de leur dire stop, mais John m’a fourré sa bite dans la bouche alors je balbutie des sons incertains que les garçons doivent prendre pour une acceptation.
Boby me reprend par la chatte, il plonge en moi me faisant encore un peu mal, mais m’entrainant avec lui me faisant passer au-dessus de lui.
John a sauté derrière moi, là encore je veux me défendre, mais je sens son gland sur ma rosette et d’une seule poussée entre au plus profond de moi.
En quelques minutes, je hurle de douleur, mais aussi de plaisir d’avoir les deux bites des garçons me déchirant des deux côtés.
• Putain Boby si l’on m’avait dit que j’enculerais une Française en double pénétration ici à Paris avec toi, je serais venu bien plus rapidement
Cette phrase dite à son pote en anglais, étant parfaitement bilingue ayant toujours aimé la langue de ma grand-mère maternelle, qui venait d’Angleterre.
J’ignore ce qui s’est passé après que les deux garçons aient pris leur pied en moi, j’ai senti que je m’enfonçais dans un puits sans fond de dépravation et de luxure.
• Marie, réveille-toi, il faut quitter les chambres, les femmes de ménage sont là.
Les garçons sont partis en train par le tunnel sous la manche afin de rentrer chez eux.
J’émerge, rapidement je veux me lever, mais j’ai mal de partout, ma chatte et mon anus me brûlent, Ludivine m’entraine jusqu’à la salle de bain.
Elle a dû faire couler l’eau avant de me réveiller, car je me trempe dans un bain réparateur.
Je suis prête, nous quittons l’hôtel.
À la réception, c’est l’effervescence des matins dans les hôtels et nous le quittons sans que personne s’inquiète de ce que nous y avons fait.
Nous passons devant un café ouvert, ma copine pousse la porte, il est 10 heures, elle a faim, j’ai faim.
• Deux grands cafés et quatre croissants s’il vous plait.
Sur les quelques mètres que nous avons parcouru, je prends conscience qu’en une nuit, j’ai balancé tous les tabous de ma famille et les miens par la même occasion.
En une soirée, tous les trous que mon corps peut offrir ont été visités et je peux même le dire défoncé.
Sauf ma bouche, dans laquelle j’enfourne un grand morceau de croissant ayant envie de dévorer le monde.
C’est la bouche pleine et ayant retrouvé mes esprits faussés par ce que j’ai bu comme champagne que je pose une question à Ludivine.
• Dis-moi, comme j’avais bu, tu m’as fait faire des choses impensables pour moi jusqu’à ce jour.
Lorsque Boby a crié lorsqu’il a vu que j’étais vierge, tu es venue dans notre chambre avec Édouard.
Dans le brouillard où j’étais, j’ai vu la capote que ton anglais avait enfilée sur sa verge, elle était sans la moindre trace de sang.
Pourtant, je t’avais très nettement entendu dire, « baise-moi ».
Depuis toute petite, nous nous étions promis de tout nous dire lorsque quelque chose nous arrivait.
Tu as été défloré sans jamais m’en parler, tu as trahi notre amitié et notre parole.
• Je l’admets, mais il m’était impossible de te dire ou ainsi que quand cela c’est passé avant ce matin.
Je pensais que tu serais dans l’impossibilité de me comprendre !
• C’est si affreux que ça, ça a été glauque et ça a été un massacre !
• Non, ça a été divin, comme toi je l’espère ça l’a été cette nuit.
• Tu rigoles, j’ai trahi mes parents et surtout j’ai mal à mon vagin et mon anus.
Certes, sentir ces deux gars en moi j’en ai tiré un certain plaisir à la fin quand je me suis écroulée sur le lit.
• Tu crois que tu as trahi tes parents, écoute, je vais te dire, celui qui trahit ce qu’il prône, c’est ton père, c’est lui qui m’a dépucelé il y a neuf mois.
• Quoi, tu as baisé avec mon père, tu es folle d’essayer de l’entraîner dans tes dépravations, c’est un homme droit envers maman depuis qu’il l’a épousé.
• Ton père un homme droit, un homme qui va a la messe et qui dépucelle des jeunes filles dans son cabinet.
• Cette nuit, j’étais une autre après avoir bu, mais j’assume tout ce que tu m’as fait faire alors que je pourrais penser m’être faite violer.
Alors, fait en de même, dit moi toute la vérité aussi dur qu’elle soit.
• Tu as raison, je te dis tout.
Depuis ma plus tendre enfance, c’est mon père qui m’auscultait et qui me soignait lorsque j’avais un problème de santé.
J’avais dans l’idée de prendre la pilule et d’avoir un rapport avec un garçon qui me tournait autour.
• Qui ?
• Ça va te déplaire, c’est Hugo, le fils de l’avocat de notre ville.
Je prends un direct dans la figure, il semble que nous soyons amoureux du même garçon.
• Tu comprends qu’il m’était impossible de demander à mon père de me faire une ordonnance.
J’aurais pu aller voir le docteur du planning familial, mais mon père est copain avec Jeanine qui s’en occupe et j’avais peur qu’elle lui en parle.
C’est à ce moment que j’ai pensé à ton père.
Lors de ta fête d’anniversaire, il m’avait fait comprendre que j’étais loin de lui être indifférente...
Malgré que je sois majeure, mon père médecin m’emmène avec maman à la messe tous les dimanches.
J’ai ma copine d’enfance Ludivine fille de l’autre médecin travaillant avec mon père dans le cabinet qu’ils ont ouvert à Blois et aussi intégriste que mon père.
Ludivine est une jeune fille bachelière comme moi avec mention très bien et qui a comme particularité de toujours me faire faire ses quatre volontés.
Nos pères veulent avoir des filles médecins pour leur succéder et c’est ainsi que je me retrouve en colocation avec elle à Paris près de la Sorbonne.
Nous allons y faire nos études.
Dès que nous sommes chez nous, dès les premières heures et même le premier soir après avoir sorti de dessous mon lit une valise, elle m’entraîne, à ce qu’elle me présente comme la visite de la capitale.
À Blois, j’aurais eu honte de sortir dans la tenue qu’elle m’a sortie de cette valise.
Sans m’habiller comme une mémère, nous portons plutôt des vêtements bon chic bon genre comme en mettent des filles de bonne famille.
Si mon père l’avait su et vu, ça m’aurait valu ses foudres, des vêtements que Ludivine y avait mis.
C’est dans un resto qu’elle fait la connaissance de trois anglais, Édouard, Boby et John.
Ils nous offrent le resto et nous entraînent dans une boîte avant leur hôtel pour ce qu’ils appellent prendre un dernier verre.
Trois chambres, trois frigos et trois demi-bouteilles de champagne, sans être saoule, je suis pompette et lorsque Ludivine entraîne Édouard dans la chambre voisine, elle me laisse seule avec les deux autres garçons.
Ils me font danser et rapidement je me trouve avec des mains baladeuses et leurs bouches se relayant pour m’embrasser.
• Non, je suis...
Impossible de finir ma phrase la bouche devant moi est remplacée par celle de derrière.
Celle de derrière justement, la bouche de John et la bite de John, il bande sur mes fesses.
• John, c’est ta chambre, tu as des capotes.
• Tu rigoles, j’en ai pris une boîte entière, mon frère Philippe a fait ses études ici pendant un an pour approfondir son anglais et m’a dit que ces petites Françaises étaient de vraies petites salopes.
Je voudrais me défendre, mais je fonds littéralement sous les mains sur mes seins et le doigt qui caresse mon clitoris.
Mon clitoris, je l’ai découvert vers seize ans lorsque j’ai pris un bain et que pour me rincer, je me suis passé le jet d’eau puissant dessus.
J’ai cru défaillir et depuis je me caresse régulièrement arrivant même à deux doigts de hurler quand le plaisir me foudroie.
Mes parents couchant non loin de ma chambre, à ce jour, j’ai réussi à éviter de leur faire voir que je me masturbais.
Comment auraient-ils réagi s’ils m’avaient entendu ?
Comment je peux me retrouver nue devant ces deux hommes et comment je me retrouve les jambes en l’air, ma chatte à leur merci sans que je réagisse ?
Je crois secrètement que j’espérais ce moment et qu’une nouvelle fois Ludivine a devancé mes envies.
• Veux-tu la prendre en premier John ?
• Non, tient met cette capote, elle va me faire une fellation.
Incroyable, quelques secondes et je sens Boby placer sa verge au bord de ma chatte et la bite de John se présenter à ma bouche.
J’ai souvent pensé à ce moment important de la vie d’une jeune fille devenant femme.
C’était toujours le soir où j’avais dit « oui » à un garçon comme Hugo, le fils d’un courtier de notre ville, bien qu’il s’intéresse peu à moi, je dois reconnaitre qu’il semble préférer Ludivine.
Ces trop tard, il est en moi, mon hymen a cédé d’un coup, c’est trop tard pour me poser des questions.
La résistance a dû interpeller Édouard qui sort sa queue et qui se met à hurler.
• Ludivine vient ici, tu aurais pu me prévenir.
Ma copine sort de la chambre voisine entièrement nue elle aussi.
• Tu aurais pu me dire que ta copine était vierge, j’ai trouvé bizarre que ça résiste à ma pénétration.
Ça a lâché d’un coup et ma queue sort couverte de sang.
• Du calme Boby, l’aurais-tu baisé si nous t’avions avoué sa virginité ?
Aujourd’hui, nous arrivons à Paris et si tu savais comment est son père envers elle, j’étais persuadé qu’elle mettrait des mois avant de franchir le pas.
C’est fait, nous allons pouvoir passer de bons moments pendant notre première année de fac.
Soit sans crainte, tu peux rentrer en Angleterre sans soucis.
Une nouvelle fois, Ludovine prend les décisions à ma place, là où elle a raison.
Même si j’ai subi quelques peut ce qu’y est arrivé, je suis restée stoïque à ce que l’on m’a fait.
Au fond de moi, j’avais envie d’envoyer promener tous ces carcans que nos familles s’imposaient et nous imposaient.
• Boby, vous êtes deux, je retourne m’occuper et finir Édouard, ce pauvre ange a été stoppé dans ses élans lorsque tu as hurlé quand tu as découvert que Marie était vierge.
Le pauvre chéri va nous péter une durite, si je laisse sa verge bandée trop longtemps.
Si l’un de vous est volontaire pour défroncer l’anus de cette future salope, vous verrez que, rapidement elle en redemandera.
J’ai envie de leur dire stop, mais John m’a fourré sa bite dans la bouche alors je balbutie des sons incertains que les garçons doivent prendre pour une acceptation.
Boby me reprend par la chatte, il plonge en moi me faisant encore un peu mal, mais m’entrainant avec lui me faisant passer au-dessus de lui.
John a sauté derrière moi, là encore je veux me défendre, mais je sens son gland sur ma rosette et d’une seule poussée entre au plus profond de moi.
En quelques minutes, je hurle de douleur, mais aussi de plaisir d’avoir les deux bites des garçons me déchirant des deux côtés.
• Putain Boby si l’on m’avait dit que j’enculerais une Française en double pénétration ici à Paris avec toi, je serais venu bien plus rapidement
Cette phrase dite à son pote en anglais, étant parfaitement bilingue ayant toujours aimé la langue de ma grand-mère maternelle, qui venait d’Angleterre.
J’ignore ce qui s’est passé après que les deux garçons aient pris leur pied en moi, j’ai senti que je m’enfonçais dans un puits sans fond de dépravation et de luxure.
• Marie, réveille-toi, il faut quitter les chambres, les femmes de ménage sont là.
Les garçons sont partis en train par le tunnel sous la manche afin de rentrer chez eux.
J’émerge, rapidement je veux me lever, mais j’ai mal de partout, ma chatte et mon anus me brûlent, Ludivine m’entraine jusqu’à la salle de bain.
Elle a dû faire couler l’eau avant de me réveiller, car je me trempe dans un bain réparateur.
Je suis prête, nous quittons l’hôtel.
À la réception, c’est l’effervescence des matins dans les hôtels et nous le quittons sans que personne s’inquiète de ce que nous y avons fait.
Nous passons devant un café ouvert, ma copine pousse la porte, il est 10 heures, elle a faim, j’ai faim.
• Deux grands cafés et quatre croissants s’il vous plait.
Sur les quelques mètres que nous avons parcouru, je prends conscience qu’en une nuit, j’ai balancé tous les tabous de ma famille et les miens par la même occasion.
En une soirée, tous les trous que mon corps peut offrir ont été visités et je peux même le dire défoncé.
Sauf ma bouche, dans laquelle j’enfourne un grand morceau de croissant ayant envie de dévorer le monde.
C’est la bouche pleine et ayant retrouvé mes esprits faussés par ce que j’ai bu comme champagne que je pose une question à Ludivine.
• Dis-moi, comme j’avais bu, tu m’as fait faire des choses impensables pour moi jusqu’à ce jour.
Lorsque Boby a crié lorsqu’il a vu que j’étais vierge, tu es venue dans notre chambre avec Édouard.
Dans le brouillard où j’étais, j’ai vu la capote que ton anglais avait enfilée sur sa verge, elle était sans la moindre trace de sang.
Pourtant, je t’avais très nettement entendu dire, « baise-moi ».
Depuis toute petite, nous nous étions promis de tout nous dire lorsque quelque chose nous arrivait.
Tu as été défloré sans jamais m’en parler, tu as trahi notre amitié et notre parole.
• Je l’admets, mais il m’était impossible de te dire ou ainsi que quand cela c’est passé avant ce matin.
Je pensais que tu serais dans l’impossibilité de me comprendre !
• C’est si affreux que ça, ça a été glauque et ça a été un massacre !
• Non, ça a été divin, comme toi je l’espère ça l’a été cette nuit.
• Tu rigoles, j’ai trahi mes parents et surtout j’ai mal à mon vagin et mon anus.
Certes, sentir ces deux gars en moi j’en ai tiré un certain plaisir à la fin quand je me suis écroulée sur le lit.
• Tu crois que tu as trahi tes parents, écoute, je vais te dire, celui qui trahit ce qu’il prône, c’est ton père, c’est lui qui m’a dépucelé il y a neuf mois.
• Quoi, tu as baisé avec mon père, tu es folle d’essayer de l’entraîner dans tes dépravations, c’est un homme droit envers maman depuis qu’il l’a épousé.
• Ton père un homme droit, un homme qui va a la messe et qui dépucelle des jeunes filles dans son cabinet.
• Cette nuit, j’étais une autre après avoir bu, mais j’assume tout ce que tu m’as fait faire alors que je pourrais penser m’être faite violer.
Alors, fait en de même, dit moi toute la vérité aussi dur qu’elle soit.
• Tu as raison, je te dis tout.
Depuis ma plus tendre enfance, c’est mon père qui m’auscultait et qui me soignait lorsque j’avais un problème de santé.
J’avais dans l’idée de prendre la pilule et d’avoir un rapport avec un garçon qui me tournait autour.
• Qui ?
• Ça va te déplaire, c’est Hugo, le fils de l’avocat de notre ville.
Je prends un direct dans la figure, il semble que nous soyons amoureux du même garçon.
• Tu comprends qu’il m’était impossible de demander à mon père de me faire une ordonnance.
J’aurais pu aller voir le docteur du planning familial, mais mon père est copain avec Jeanine qui s’en occupe et j’avais peur qu’elle lui en parle.
C’est à ce moment que j’ai pensé à ton père.
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