COLLECTION SOUMIS – SOUMISE. Ave Maria (3/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2023 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION SOUMIS – SOUMISE. Ave Maria (3/7)
Marie, je m’appelle Marie, je suis issue d’une famille catho à la limite de l’intégrisme habitant à Blois dans le département du Loire et Cher.
J’étais, je devrais dire, ce matin vers 10 heures j’étais en phase jusqu’à ce que je quitte les chambres que Boby, John et Édouard avaient louées et où ils nous ont entraînés sous couvert de boire un dernier verre.
J’étais d’une famille catho, j’étais une enfant de Marie qui est venue à Paris pour faire ses études.
Ma bouche, ma chatte et même mon anus, les deux derniers me faisant mal ont été visités par les bites de Boby et John alors que Ludivine s’envoyait en l’air avec Édouard dans la chambre voisine.
Terminé les rêves de vivre une nuit de noces dès ce premier soir, le jour ou diplôme en poche, j’épouserais l’homme de ma vie.
Bon ça encore on assumera, on est au 21ème siècle et je pourrais expliquer à celui qui m’aura épousé qu’à Paris les tentations étaient grandes et que j’ai été faible.
Devant une grande tasse de café et deux croissants, ce que j’apprends est bien plus surprenant que les pertes de mes illusions de mariage en robe vraiment blanche.
Dans mon brouillard alcoolique, j’ai très nettement vu la queue d’Édouard qui avait déjà fouillé le vagin de Ludivine lorsqu’ils sont venus dans la chambre où nous étions.
Pas la moindre trace de sang contrairement à celle de Boby le faisant hurler lorsqu’il s’est aperçu que j’étais vierge.
Devant ce café et ces croissants, Ludivine m’avoue avoir un amant depuis plusieurs mois.
Elle m’avoue que cet amant est le dernier des hommes à qui j’aurais pensé si elle avait continué de se taire, mais elle parle.
L’homme, c’est Hubert, mon père.
Mon père cet homme rigoriste nous emmenant à la messe, même moi qui suis majeure tous les dimanches.
J’avais le droit de sortir certains soirs depuis ma majorité, mais avec malgré cela une contrainte d’heure.
En juin, j’ai dérogé et le dimanche j’aurais voulu rester à dormir, je me suis trouvée virée de mon lit comme une enfant du diable et contrainte de les suivre à la messe.
À l’église, Ludivine qui était avec moi brillait par son absence.
D’ailleurs si j’avais dérogé à l’heure où je devais rentrer, c’est parce qu’elle avait refusé de partir plus tôt.
On a compris que Ludivine me soumettait à ses quatre volontés et j’étais restée pour éviter de la contrarier.
J’évite toujours de la contrarier, mais je veux savoir comment une jeune fille de dix-huit presque dix-neuf ans peut être la maitresse d’un homme de plus de quarante-cinq ans, qui plus est mon père.
Elle me donne des explications semblant être contentes de s’épancher en parlant de son amant.
• Je me suis donc rendu à leurs cabinets un jour ou sur son agenda, j’avais vu que mon père était en séminaire et après avoir vu partir leur secrétaire.
Je suis entrée lorsque j’ai vu l’avant-dernier client sortir.
La salle d’attente était vide et j’ai entendu ton père reconduire le dernier client.
Il pensait en avoir fini, alors j’ai frappé et je suis entrée dans son bureau.
Il a été surpris de me voir, mais m’a fait entrer.
Je lui ai expliqué le but de ma visite, je voulais qu’il me prescrive la pilule.
J’ai bien vu qu’il était choqué, il m’a même demandé si toi aussi tu la prenais.
Je l’ai détrompé lui disant que les garçons tu t’en désintéressais et que seules tes études t’importaient.
Je l’ai vue se redresser, j’ai pensé qu’il était fier de la manière qu’il t’avait éduquée.
• Je te remercie de m’avoir évité les foudres paternels, mais alors que s’est-il passé.
Pour me prescrire la pilule, il m’a demandé si j’avais eu des contrôles de mon état de santé.
Il m’a fait dévêtir pendant qu’il plaçait les repose-pieds sur sa table de consultation.
Il m’a aidé à monter et m’a installé.
Il avait des gants de chirurgien et a commencé à me palper les seins sous couvert de vérifier si une tumeur avait pu m’atteindre.
J’ai eu un instant peur qu’il ait trouvé une grosseur malsaine, car ça durait.
Il tournait à droite et à gauche de la table et recommençait à me palper.
Je dois reconnaitre que je commençais à avoir mon entrejambe qui s’échauffait.
Il a quitté mes seins pour s’occuper de ma chatte, il a introduit un doigt dans mon vagin et m’a fait la réflexion que ma première pénétration se ferait sans aucun problème, car je mouillais abondamment.
J’ai compris qu’il souhaitait plus qu’une palpation vaginale.
Me faire dépuceler par un homme de son âge et qui plus est un médecin, j’ai trouvé ça jouissif, même si c’était ton père.
Je l’ai attiré à moi et je l’ai embrassé, il m’a rendu mon baiser.
Tu vois, je te dis tout, seulement maintenant, s’était impossible avant la nuit dernière.
J’ai sorti sa bite de son pantalon et je lui fais une fellation.
• Comme celle que j’ai faite à John la nuit dernière !
• Exact, je te passe la grosseur de la bite de ton géniteur.
Bandant comme un âne, il est venu entre mes jambes et m’a sucé la chatte, il a baissé la table pour être à bonne hauteur.
Sais-tu ce qu’il a fait, c’était étonnant pour le mari qu’il voulait être devant le curé tous les dimanches ?
• Qu’a-t-il fait ?
• Il est allé dans le tiroir de son bureau et en a sorti une capote qu’il a placée avec dextérité, ton père doit se faire certaines de ses clientes et a ce qu’il faut pour se protéger.
Il est venu placer son gland sur ma vulve et c’est moi qui d’un grand coup de mes reins me suis empalée sur ce morceau de roi.
Je voyais précisément la scène, à quelque chose prêt identique, à ce que j’avais fait hier avec Boby.
Le plus impressionnant c’était que c’était mon père cet homme qui se disait droit envers maman qui avait pénétré Ludivine.
• Est-ce que ça dure, depuis cette première fois !
• Oui, dès la deuxième il m’a pris alors qu’il était assis dans son fauteuil et il m’a enculé.
Il m’a dit que c’était naturel même si ta mère refusait qu’il le fasse.
• Hier lorsque tu as dit aux garçons de me prendre à deux, tu voulais te venger de t’être fait sodomiser par mon père !
• Non, je prends un grand plaisir à le faire et comme tu avais la chance d’avoir deux belles bites à ta disposition, je voulais que tu découvres ce plaisir.
• Et maintenant j’ai mal au cul !
• Ça va passer et si nous allions nous coucher.
Nous sommes rentrés à pied, nous avons pris un bain.
J’en avais pris un à l’hôtel, mais la savonnette adoucissant la douleur de la première et dernière pénétration, car j’étais persuadé que ce serait la première et dernière fois avant que je trouve chaussure à mon pied.
• Marie, prépare-toi, j’ai envie de sortir.
• Tu es folle et notre budget.
• Notre budget, hier, plutôt ce matin deux cafés et quatre croissants, le resto, ce sont les Anglais qui ont payé, tu considères que c’est beaucoup pour notre budget.
Une nouvelle fois je cède, pourtant dans deux jours, c’est la rentrée.
Mac Do, de jeunes puceaux, nous payons notre repas.
• Et si nous allions en boîte, j’ai regardé sur Internet, il y en a une, non loin d’ici, « le macouba ».
Des coussins rouges et une piste de danse, à 21 heures, la boîte est vide.
Ma douleur à l’anus s’est apaisée.
Ce soir, je suis tranquille, un homme nous invite à danser, alors que deux trois couples sont entrés.
Ludivine danse avec, je la vois partir vers les toilettes avec l’homme, passé la tête et me faire signe de venir.
• Il veut être sucé, je lui ai dit que tu étais meilleur que moi, fais-lui plaisir.
Quand je dis qu’elle me fait faire ce qu’elle veut j’ai de plus en plus l’impression qu’elle me soumet à ses quatre volontés.
Elle coince la porte, il sort sa verge, je la prends dans ma bouche, je finis par aimer sucer ce garçon jusqu’à ce qu’il éjacule.
• Avale, je suis sûr que te voir ingurgiter son sperme fera énormément plaisir à notre ami.
Dans les jours qui suivent, elle a des rapports et me fait avoir des rapports avec de nombreux hommes.
Papa, me téléphone, mais je sais que Ludivine discute aussi avec lui.
Lorsque son portable sonne, elle va s’idoler dans la salle de bains.
Nous avons commencé nos cours, mais certains matins je les loupe récupérant des bites qui m’ont perforée de tous les côtés la soirée précédente.
Le serment d’une seule sodomie a eu vite fait d’être oublié.
Papa semble ignorer tout ça, il le saurait même si j’ai un moyen de pression avec sa relation avec Ludivine, je déclencherais ses foudres et je me verrais contrainte de revenir à la maison.
• Ludivine, je t’avais dit que nous aurions du mal à la fin du mois, on y est, nous sommes en solde négatif et il reste huit jours avant l’approvisionnement de nos comptes !
• Je t’ai dit que j’avais les moyens de nous faire finir le mois avant que l’argent nous arrive, combien nous faut-il, 500 € ?
• Si nous faisons attention, ça pourra suffire, mais il nous faudra deux pigeons qui nous payent à manger pour assurer le coup.
• Attends, je reviens, j’ai un livret de caisse d’épargne ou ma grand-mère m’a mis de l’argent avant de mourir, je vais aller sortir 500 €.
• Je viens avec toi, on sait jamais, nous pourrions rencontrer un homme nous payant à manger.
• Ma chérie, je vois que tu es comme moi, tu es accro au sexe, j’ai bien fait de te faire perdre ton pucelage.
Hier, le beau Martiniquais avec qui tu as fini la nuit ici alors que j’étais avec un autre black chez lui, je penserais que tu as apprécié !
• Veux-tu que je te dise, c’était la plus belle verge que j’ai connu depuis que tu m’as fait franchir le pas de ma sexualité ?
• Je sais, c’est un cadeau que je t’ai fait, tu te souviens nous avions échangé nos partenaires sur la piste de danse, j’ai senti l’engin qu’il avait à te proposer, je te l’ai laissé.
• Tu te rends compte, le chemin que tu m’as fait franchir, il m’a enculé et ce matin, aucune douleur à mon anus après mon bain.
Elle part, revient et me met des billets de 100 sous le nez.
• Tient, j’ai tiré 600, je pense que cela va suffire.
J’ai récupéré les billets sans me poser plus de questions, ais ce que j’aurais dû, l’avenir nous le dira certainement !....
Fin de la saison I, dans quelques jours, la saison II.
J’étais, je devrais dire, ce matin vers 10 heures j’étais en phase jusqu’à ce que je quitte les chambres que Boby, John et Édouard avaient louées et où ils nous ont entraînés sous couvert de boire un dernier verre.
J’étais d’une famille catho, j’étais une enfant de Marie qui est venue à Paris pour faire ses études.
Ma bouche, ma chatte et même mon anus, les deux derniers me faisant mal ont été visités par les bites de Boby et John alors que Ludivine s’envoyait en l’air avec Édouard dans la chambre voisine.
Terminé les rêves de vivre une nuit de noces dès ce premier soir, le jour ou diplôme en poche, j’épouserais l’homme de ma vie.
Bon ça encore on assumera, on est au 21ème siècle et je pourrais expliquer à celui qui m’aura épousé qu’à Paris les tentations étaient grandes et que j’ai été faible.
Devant une grande tasse de café et deux croissants, ce que j’apprends est bien plus surprenant que les pertes de mes illusions de mariage en robe vraiment blanche.
Dans mon brouillard alcoolique, j’ai très nettement vu la queue d’Édouard qui avait déjà fouillé le vagin de Ludivine lorsqu’ils sont venus dans la chambre où nous étions.
Pas la moindre trace de sang contrairement à celle de Boby le faisant hurler lorsqu’il s’est aperçu que j’étais vierge.
Devant ce café et ces croissants, Ludivine m’avoue avoir un amant depuis plusieurs mois.
Elle m’avoue que cet amant est le dernier des hommes à qui j’aurais pensé si elle avait continué de se taire, mais elle parle.
L’homme, c’est Hubert, mon père.
Mon père cet homme rigoriste nous emmenant à la messe, même moi qui suis majeure tous les dimanches.
J’avais le droit de sortir certains soirs depuis ma majorité, mais avec malgré cela une contrainte d’heure.
En juin, j’ai dérogé et le dimanche j’aurais voulu rester à dormir, je me suis trouvée virée de mon lit comme une enfant du diable et contrainte de les suivre à la messe.
À l’église, Ludivine qui était avec moi brillait par son absence.
D’ailleurs si j’avais dérogé à l’heure où je devais rentrer, c’est parce qu’elle avait refusé de partir plus tôt.
On a compris que Ludivine me soumettait à ses quatre volontés et j’étais restée pour éviter de la contrarier.
J’évite toujours de la contrarier, mais je veux savoir comment une jeune fille de dix-huit presque dix-neuf ans peut être la maitresse d’un homme de plus de quarante-cinq ans, qui plus est mon père.
Elle me donne des explications semblant être contentes de s’épancher en parlant de son amant.
• Je me suis donc rendu à leurs cabinets un jour ou sur son agenda, j’avais vu que mon père était en séminaire et après avoir vu partir leur secrétaire.
Je suis entrée lorsque j’ai vu l’avant-dernier client sortir.
La salle d’attente était vide et j’ai entendu ton père reconduire le dernier client.
Il pensait en avoir fini, alors j’ai frappé et je suis entrée dans son bureau.
Il a été surpris de me voir, mais m’a fait entrer.
Je lui ai expliqué le but de ma visite, je voulais qu’il me prescrive la pilule.
J’ai bien vu qu’il était choqué, il m’a même demandé si toi aussi tu la prenais.
Je l’ai détrompé lui disant que les garçons tu t’en désintéressais et que seules tes études t’importaient.
Je l’ai vue se redresser, j’ai pensé qu’il était fier de la manière qu’il t’avait éduquée.
• Je te remercie de m’avoir évité les foudres paternels, mais alors que s’est-il passé.
Pour me prescrire la pilule, il m’a demandé si j’avais eu des contrôles de mon état de santé.
Il m’a fait dévêtir pendant qu’il plaçait les repose-pieds sur sa table de consultation.
Il m’a aidé à monter et m’a installé.
Il avait des gants de chirurgien et a commencé à me palper les seins sous couvert de vérifier si une tumeur avait pu m’atteindre.
J’ai eu un instant peur qu’il ait trouvé une grosseur malsaine, car ça durait.
Il tournait à droite et à gauche de la table et recommençait à me palper.
Je dois reconnaitre que je commençais à avoir mon entrejambe qui s’échauffait.
Il a quitté mes seins pour s’occuper de ma chatte, il a introduit un doigt dans mon vagin et m’a fait la réflexion que ma première pénétration se ferait sans aucun problème, car je mouillais abondamment.
J’ai compris qu’il souhaitait plus qu’une palpation vaginale.
Me faire dépuceler par un homme de son âge et qui plus est un médecin, j’ai trouvé ça jouissif, même si c’était ton père.
Je l’ai attiré à moi et je l’ai embrassé, il m’a rendu mon baiser.
Tu vois, je te dis tout, seulement maintenant, s’était impossible avant la nuit dernière.
J’ai sorti sa bite de son pantalon et je lui fais une fellation.
• Comme celle que j’ai faite à John la nuit dernière !
• Exact, je te passe la grosseur de la bite de ton géniteur.
Bandant comme un âne, il est venu entre mes jambes et m’a sucé la chatte, il a baissé la table pour être à bonne hauteur.
Sais-tu ce qu’il a fait, c’était étonnant pour le mari qu’il voulait être devant le curé tous les dimanches ?
• Qu’a-t-il fait ?
• Il est allé dans le tiroir de son bureau et en a sorti une capote qu’il a placée avec dextérité, ton père doit se faire certaines de ses clientes et a ce qu’il faut pour se protéger.
Il est venu placer son gland sur ma vulve et c’est moi qui d’un grand coup de mes reins me suis empalée sur ce morceau de roi.
Je voyais précisément la scène, à quelque chose prêt identique, à ce que j’avais fait hier avec Boby.
Le plus impressionnant c’était que c’était mon père cet homme qui se disait droit envers maman qui avait pénétré Ludivine.
• Est-ce que ça dure, depuis cette première fois !
• Oui, dès la deuxième il m’a pris alors qu’il était assis dans son fauteuil et il m’a enculé.
Il m’a dit que c’était naturel même si ta mère refusait qu’il le fasse.
• Hier lorsque tu as dit aux garçons de me prendre à deux, tu voulais te venger de t’être fait sodomiser par mon père !
• Non, je prends un grand plaisir à le faire et comme tu avais la chance d’avoir deux belles bites à ta disposition, je voulais que tu découvres ce plaisir.
• Et maintenant j’ai mal au cul !
• Ça va passer et si nous allions nous coucher.
Nous sommes rentrés à pied, nous avons pris un bain.
J’en avais pris un à l’hôtel, mais la savonnette adoucissant la douleur de la première et dernière pénétration, car j’étais persuadé que ce serait la première et dernière fois avant que je trouve chaussure à mon pied.
• Marie, prépare-toi, j’ai envie de sortir.
• Tu es folle et notre budget.
• Notre budget, hier, plutôt ce matin deux cafés et quatre croissants, le resto, ce sont les Anglais qui ont payé, tu considères que c’est beaucoup pour notre budget.
Une nouvelle fois je cède, pourtant dans deux jours, c’est la rentrée.
Mac Do, de jeunes puceaux, nous payons notre repas.
• Et si nous allions en boîte, j’ai regardé sur Internet, il y en a une, non loin d’ici, « le macouba ».
Des coussins rouges et une piste de danse, à 21 heures, la boîte est vide.
Ma douleur à l’anus s’est apaisée.
Ce soir, je suis tranquille, un homme nous invite à danser, alors que deux trois couples sont entrés.
Ludivine danse avec, je la vois partir vers les toilettes avec l’homme, passé la tête et me faire signe de venir.
• Il veut être sucé, je lui ai dit que tu étais meilleur que moi, fais-lui plaisir.
Quand je dis qu’elle me fait faire ce qu’elle veut j’ai de plus en plus l’impression qu’elle me soumet à ses quatre volontés.
Elle coince la porte, il sort sa verge, je la prends dans ma bouche, je finis par aimer sucer ce garçon jusqu’à ce qu’il éjacule.
• Avale, je suis sûr que te voir ingurgiter son sperme fera énormément plaisir à notre ami.
Dans les jours qui suivent, elle a des rapports et me fait avoir des rapports avec de nombreux hommes.
Papa, me téléphone, mais je sais que Ludivine discute aussi avec lui.
Lorsque son portable sonne, elle va s’idoler dans la salle de bains.
Nous avons commencé nos cours, mais certains matins je les loupe récupérant des bites qui m’ont perforée de tous les côtés la soirée précédente.
Le serment d’une seule sodomie a eu vite fait d’être oublié.
Papa semble ignorer tout ça, il le saurait même si j’ai un moyen de pression avec sa relation avec Ludivine, je déclencherais ses foudres et je me verrais contrainte de revenir à la maison.
• Ludivine, je t’avais dit que nous aurions du mal à la fin du mois, on y est, nous sommes en solde négatif et il reste huit jours avant l’approvisionnement de nos comptes !
• Je t’ai dit que j’avais les moyens de nous faire finir le mois avant que l’argent nous arrive, combien nous faut-il, 500 € ?
• Si nous faisons attention, ça pourra suffire, mais il nous faudra deux pigeons qui nous payent à manger pour assurer le coup.
• Attends, je reviens, j’ai un livret de caisse d’épargne ou ma grand-mère m’a mis de l’argent avant de mourir, je vais aller sortir 500 €.
• Je viens avec toi, on sait jamais, nous pourrions rencontrer un homme nous payant à manger.
• Ma chérie, je vois que tu es comme moi, tu es accro au sexe, j’ai bien fait de te faire perdre ton pucelage.
Hier, le beau Martiniquais avec qui tu as fini la nuit ici alors que j’étais avec un autre black chez lui, je penserais que tu as apprécié !
• Veux-tu que je te dise, c’était la plus belle verge que j’ai connu depuis que tu m’as fait franchir le pas de ma sexualité ?
• Je sais, c’est un cadeau que je t’ai fait, tu te souviens nous avions échangé nos partenaires sur la piste de danse, j’ai senti l’engin qu’il avait à te proposer, je te l’ai laissé.
• Tu te rends compte, le chemin que tu m’as fait franchir, il m’a enculé et ce matin, aucune douleur à mon anus après mon bain.
Elle part, revient et me met des billets de 100 sous le nez.
• Tient, j’ai tiré 600, je pense que cela va suffire.
J’ai récupéré les billets sans me poser plus de questions, ais ce que j’aurais dû, l’avenir nous le dira certainement !....
Fin de la saison I, dans quelques jours, la saison II.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
des livres j'en ai fait chez éditelivre mais j'en ai peu vendu
Bonjour Chris, ravi de te lire. Toujours de très beaux récits.
Je me suis lancé cette semaine dans l'écriture, mais mon texte n'est pas publié. Il y'a toujours une délai quand c'est la première publication ou il y'a peut-être toujours un délai entre la soumission du texte et la publication ?
En tout cas continue comme ça, c'est super de te lire, déjà des millions de lectures, j'espère que tu penses à rédiger des livres haha
Je me suis lancé cette semaine dans l'écriture, mais mon texte n'est pas publié. Il y'a toujours une délai quand c'est la première publication ou il y'a peut-être toujours un délai entre la soumission du texte et la publication ?
En tout cas continue comme ça, c'est super de te lire, déjà des millions de lectures, j'espère que tu penses à rédiger des livres haha
Je t'aime bien cher lecteur, je voudrais essayé d'éviter de te vexer.
Avec beaucoup d'humour j'ai troujours appris que l'orthographe était la science des ânes.
Je me regarde dans une glace, j'ai bien une queue, mais pas de grandes oreilles...
Je te dis bien "humour"...
Avec beaucoup d'humour j'ai troujours appris que l'orthographe était la science des ânes.
Je me regarde dans une glace, j'ai bien une queue, mais pas de grandes oreilles...
Je te dis bien "humour"...
Alors CHRIS71, tu n'as toujours pas fait de progrès dans ton orthographe, et là, tu nous situes Blois, et ses Béruyers/Béruriers, dans le département de LOIRE & CHER. Moi si j'avais été une de ces personnes, sûr j'aurais bondis, mais vu que je suis sur les bords de la Grande Bleue, juste je te dis que le département est : Le LOIR & CHER, n° 41,le Loir, pas la Loire.
Aller, à la prochaine remontrance.
Un lecteur assidu.
Aller, à la prochaine remontrance.
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