COLLECTION SOUMIS - SOUMISE. Ave Maria (5/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION SOUMIS - SOUMISE. Ave Maria (5/7)
Ma vie que je pensais toute tracée en venant faire mes études à Paris avec ma copine Ludivine, s’avère bien différente de ce que j’en avais pensé depuis que j’ai emménagé avec ma copine.
Dès le premier soir, elle monte un plan entraînant la perte de ma virginité.
Je devrais dire de mes virginités lorsque je suce John un des trois Anglais de passage à Paris et que je finis à faire le sandwich entre lui et Boby son copain.
Sodomie, fellation ainsi que pénétration vaginale, moi l’enfant de Marie, comme aime à le répéter Hubert, mon père, catho jusqu’au bout des ongles, c’est ce que Ludivine me fait subir.
Bref la totale sexuellement pour une jeune pucelle.
Ludivine a pris de l’influence sur moi et jusqu’à ces fêtes de Noël elle fait de moi tous ce qu’elle veut.
Salope et indirectement pute lorsqu’elle m’explique comment appâter des hommes d’âge mûr dans les jardins du Luxembourg.
Est-ce pour se dédouaner qu’elle a révélé à Charles son père la salope qu’elle a faite de moi pour mon plus grand plaisir, je dois le reconnaitre.
Le faite de lui dire que j’ai perdu ma virginité doit échauffer les sens de cet homme lui aussi d’âge presque mûr comme mon père.
Car après avoir acheté des vêtements avec maman, passant devant le cabinet médical qu’il tient avec mon père, il m’attire dans son bureau.
Il me parle de ma transformation de jeune fille de bonne famille et femme presque fatale.
Dans ses confidences Ludivine m’a dit avoir perdu sa virginité avec mon père dans le cabinet de consultation voisin et moi loin de perdre ma virginité, je me trouve enlacée par cet homme séduisant.
Séduisant, mais que j’ai toujours connu, c’est même mon parrain.
Il m’a porté, bébé, sur les fonts baptismaux de notre église de notre quartier.
Mais sa langue qui trouve la mienne me fait craquer, surtout après avoir croisé avec sa mère Jules le fils du notaire cloué depuis tout temps dans un fauteuil roulant.
Comment notre monde de plus en plus sophistiqué peut-il laisser vivre des êtres avec de tel handicape ?
Alors lorsque Charles me pousse les fesses sur son bureau je suis bien aise de me donner à lui.
Sa main monte dans ma fourche et trouve la source des plaisirs défendus surtout par mon paternel son meilleur copain.
• Tu mouilles ma belle salope, alors c’est vrai ce que m’a dit ma fille, je peux y aller sans être le premier !
• Baise-moi salopard, bien sûr que tes doigts me font mouiller, tous les doigts des hommes me font mouiller.
• Parce qu’il y en a eu d’autres que ce garçon dont Ludivine m’a parlé, fais-moi voir tes seins.
J’avais des scrupules, tu viens de me les enlever.
C’est ainsi que j’ai sorti un à un mes seins qu’il s’est empressé de caresser faisant bander les pointes.
Sa bite qu’il frotte contre moi, bande aussi et c’est dans un tourbillon de plaisir que rapidement il m’entraîne.
Il sort sa bite, je la prends en main sans la voir, un beau morceau à ce que je palpe.
Je suis à deux doigts de lui avouer que j’ai une grande envie de la sucer, mais il se recule me faisant écarter les jambes.
Je pense qu’il veut me brouter, mais c’est un tiroir qu’il ouvre en sortant un étui de capote qu’il déchire avec ses dents.
Papa a fait de même avec Ludivine, je découvre que ces deux hommes de bonne réputation sont des sérials niqueurs au détriment de leurs femmes, nos mères.
La dextérité avec laquelle il se couvre montre une certaine pratique et c’est rapidement que je sens son gland venir caresser ma chatte en feu, écartant simplement ma petite culotte.
Je suis à lui, je suis la femelle de mon parrain.
Par chance, il a des goûts classiques, aucune velléité de remplir sa capote en me prenant le petit.
J’échappe à ces interrogations sur ma pratique de la sodomie, à moins qu’il en ait envie sans pour autant demander à sa filleule de se faire enculer.
Même si le temps lui manque, son ou sa prochaine cliente étant peut-être déjà dans la salle d’attente, c’est sa bouche sur ma bouche qui reçoit mon cri de jouissance lorsqu’un orgasme me traverse.
Il jouit simultanément, ce qui prolonge les vagues de plaisirs me traversant.
Toute bonne chose ayant une fin, nous nous rajustons, un dernier baiser et je quitte le cabinet ma chatte pour un temps rassasié.
En venant en vacances, j’étais loin de penser que je deviendrais la maîtresse de mon parrain.
Le lendemain, il est l’heure de faire ce que nous faisons depuis que mes souvenirs de petite fille sont plus précis.
La messe de minuit, moment important pour mes parents et surtout mon père, du moins maman, est bien loin de l’intégrisme de mon père.
C’est une salope qui franchit le seuil de notre petite église.
J’ai toujours connu notre curé, c’est pour cela que malgré son âge, nous avons une messe de minuit à minuit.
Bien des petites églises comme la nôtre ont été fermées au profit de la cathédrale, mais l’évêque le laissant vivre dans le presbytère à côté de notre église permet qu’il fasse cette messe de fête.
Il nous reçoit d’est le seuil franchi.
• Entrez mes enfants, je sais l’effort financier que vous faites pour notre église, hélas, la vieille chaudière a rendu l’âme hier et il fait un froid de canard sur nos bancs.
Je crois que cette messe sera la dernière que nous ferons tous ensemble.
Je suis allé voir le gardien du pensionnat à côté et j’ai pu récupérer des couvertures.
Mettez les sur vos genoux et restez assis tout le long de la messe, inutile que vous attrapiez la mort.
C’est ainsi que Ludivine se trouve à ma droite et Charles son père et amant à ma gauche.
Nous avons étalé les couvertures sur nous et notre curé a commencé sa messe de façon chevrotante.
Le chauffage a rendu l’âme comme notre curé qui nous a baptisé Ludivine et moi, est tout près de rejoindre celui qu’il a servi toute sa vie.
Un temps et je sens la jambe de Charles se coller à la mienne commençant à faire mouiller ma chatte.
Je dois être réaliste, j’ai faim comme j’ai toujours eu faim pendant ces messes interminables avant d’aller réveillonner.
La messe de Pâques et celle de la naissance du petit jésus sans oublier le 15 août jour de la célébration de celle que m’a value mon nom ayant eu la malchance de naître ce jour précis sont d’une longueur incroyable.
Pour une fois, la main cachée par la couverture qui vient se poser sur ma jambe me fait un bien fou.
Charles vient de passer à l’attaque, j’écarte quelque peu ma jambe qui vient toucher celle de Ludivine.
Elle me regarde, je m’empresse de la presser, elle a fait de moi une salope, mais les femmes très peu pour moi.
Surtout que la main de Charles vient d’écarter mon manteau pour me caresser par-dessus ma jupe.
L’an dernier alors que je bayais d’ennui, aurais-je pensé que ma chatte s’échaufferait malgré le manque de chauffage.
Mais c’est à ce moment que mes sens étant exacerbés, je vois la couverture bouger du côté de mon père et de Ludivine.
Lorsque Charles, sa femme et sa fille sont arrivées chez nous où le réveillons va avoir lieu, cette année, elle était en minirobe sous son manteau.
Connaissant la salope qu’elle est et ce qu’elle a fait avec mon père, nul doute que l’un ou l’autre est en train de se caresser.
Impossible d’aller plus loin pour Charles, ma jupe est trop longue et la relevée pourrait mettre la puce à l’oreille de sa femme.
C’est moi qui passe ma main et qui fait sauter un à un les boutons de sa braguette.
Un coup d’œil la couverture fait toile de tente, heureusement à l’hôtel notre curé nous demande de nous aimer les uns les autres, Ginette la mère de Ludivine bois ses paroles.
Je saisis Charles et plis sa verge sauvant la situation, du moins un temps je le crois, car je sens que ça s’accélère à mon toucher et je sens qu’il éjacule dans la couverture et sur ma main.
J’arrête le massacre, je range sa verge pour un temps et surtout parce que c’est l’heure de la communion et que nous laissons tomber nos couvertures pour aller communier.
Il va de soi que lorsqu’il se lève à son tour, il m’a été impossible de lui remettre ses boutons.
Je vois sa femme le regarder, lui donner un coup de coude semblant courroucé.
À mon tour je jette un coup d’œil, un morceau de sa chemise sort par l’ouverture que moi-même pratiqué.
Ils sont devant moi dans la file d’attente, au mouvement que Charles fait discrètement il remet sa tenue en place avant de prendre l’hostie dans ses mains et de la porter à sa bouche.
De retour à notre place, quelques chants et notre brave curé nous laisse aller dans la paix vers les agapes de notre réveillon.
Ce réveillon s’est bien passé, j’ai évité de trop regardé Charles ayant peur qu’il donne des signes à d’autres et surtout Ludivine que je suis devenue sa maîtresse.
Seule une fois dans la nuit, me rendant aux toilettes, j’en sors, il est là, il me plaque le long de la porte et m’embrasse à bouche déployée.
Un appel de la salle à manger, c’est Ginette qui me sauve, elle appelle son mari pour découper le rosbif.
J’en profite pour m’échapper, j’ai pris assez de risque avec papa si près de moi.
Repas de Noël dans la ferveur de la naissance divine, mais sans piste de danse car pour ces cathos cette nuit est solennel.
Et nous arrivons huit jours plus tard au moment du réveillon du 1er de l’an.
Nous sortons avec Ludivine, nous rejoignons le club « Tom Pouce » où les jeunes branchés de la ville se retrouvent.
Une nouvelle fois c’est ma copine, qui a souhaité sortir m’entraînant dans cette soirée.
Depuis que nous sommes arrivées, je me rends compte qu’elle m’a un peu ignoré.
Je comprends pourquoi très vite lorsque je la vois rejoindre Hugo et l’embrasser avant qu’il la prend par la main pour l’entraîner dans un rock endiablé.
Je me sens cocu qu’en plus de mon père elle se fasse le seul garçon qui m’intéressait.
Je suis assise devant un rhum coca refusant toutes les invitations lorsque mon portable sonne.
• Marie, c’est Charles, je sais que vous êtes là, Ludivine m’a dit que vous viendriez dans ce club, je t’attends sur le parking.
Je sors, un appel de phare tout au bout dans un coin calme et plus sombre que devant le club avec l’enseigne au néon.
Il est là dans sa Toyota hybride, je monte, il me reçoit dans ses bras.
• J’ai prétexté un appel urgent médical pour m’échapper de la fête du troisième âge que tu connais depuis que nous fêtons ensemble le premier de l’an.
Tu es belle ma chérie, vite, enlève ta culotte, je veux me sentir au plus profond de toi.
Il sort sa verge, je me penche et c’est dans ma bouche qu’il se retrouve comme il vient de le dire au plus profond de moi pour commencer.
Profitant du coin sombre je passe ma jambe par-dessus le levier de vitesses après avoir exécuté l’ordre d’enlever ma culotte.
Pendant que je m’exécute, il sort de nouveau une capote pour se protéger.
• Je vois que tu as confiance en moi !
• Non, tu te trompes, pour les MST, je te fais confiance, mais tu me vois faire un demi-frère à Ludivine avec sa meilleure amie.
J’ignore si tu as un moyen de contraception !
Dans le mouvement pour m’empaler, je vois Ludivine sortir avec Hugo et monter dans une voiture à deux pas de la nôtre.
Je les protège en les cachant, même si je suis devenue une salope par sa faute, j’ai beaucoup de sentiment pour elle, chaque fois qu’une bite me déchire, je jouis de plus en plus intensément.
Surtout celle de son père, je dois le reconnaître...
Dès le premier soir, elle monte un plan entraînant la perte de ma virginité.
Je devrais dire de mes virginités lorsque je suce John un des trois Anglais de passage à Paris et que je finis à faire le sandwich entre lui et Boby son copain.
Sodomie, fellation ainsi que pénétration vaginale, moi l’enfant de Marie, comme aime à le répéter Hubert, mon père, catho jusqu’au bout des ongles, c’est ce que Ludivine me fait subir.
Bref la totale sexuellement pour une jeune pucelle.
Ludivine a pris de l’influence sur moi et jusqu’à ces fêtes de Noël elle fait de moi tous ce qu’elle veut.
Salope et indirectement pute lorsqu’elle m’explique comment appâter des hommes d’âge mûr dans les jardins du Luxembourg.
Est-ce pour se dédouaner qu’elle a révélé à Charles son père la salope qu’elle a faite de moi pour mon plus grand plaisir, je dois le reconnaitre.
Le faite de lui dire que j’ai perdu ma virginité doit échauffer les sens de cet homme lui aussi d’âge presque mûr comme mon père.
Car après avoir acheté des vêtements avec maman, passant devant le cabinet médical qu’il tient avec mon père, il m’attire dans son bureau.
Il me parle de ma transformation de jeune fille de bonne famille et femme presque fatale.
Dans ses confidences Ludivine m’a dit avoir perdu sa virginité avec mon père dans le cabinet de consultation voisin et moi loin de perdre ma virginité, je me trouve enlacée par cet homme séduisant.
Séduisant, mais que j’ai toujours connu, c’est même mon parrain.
Il m’a porté, bébé, sur les fonts baptismaux de notre église de notre quartier.
Mais sa langue qui trouve la mienne me fait craquer, surtout après avoir croisé avec sa mère Jules le fils du notaire cloué depuis tout temps dans un fauteuil roulant.
Comment notre monde de plus en plus sophistiqué peut-il laisser vivre des êtres avec de tel handicape ?
Alors lorsque Charles me pousse les fesses sur son bureau je suis bien aise de me donner à lui.
Sa main monte dans ma fourche et trouve la source des plaisirs défendus surtout par mon paternel son meilleur copain.
• Tu mouilles ma belle salope, alors c’est vrai ce que m’a dit ma fille, je peux y aller sans être le premier !
• Baise-moi salopard, bien sûr que tes doigts me font mouiller, tous les doigts des hommes me font mouiller.
• Parce qu’il y en a eu d’autres que ce garçon dont Ludivine m’a parlé, fais-moi voir tes seins.
J’avais des scrupules, tu viens de me les enlever.
C’est ainsi que j’ai sorti un à un mes seins qu’il s’est empressé de caresser faisant bander les pointes.
Sa bite qu’il frotte contre moi, bande aussi et c’est dans un tourbillon de plaisir que rapidement il m’entraîne.
Il sort sa bite, je la prends en main sans la voir, un beau morceau à ce que je palpe.
Je suis à deux doigts de lui avouer que j’ai une grande envie de la sucer, mais il se recule me faisant écarter les jambes.
Je pense qu’il veut me brouter, mais c’est un tiroir qu’il ouvre en sortant un étui de capote qu’il déchire avec ses dents.
Papa a fait de même avec Ludivine, je découvre que ces deux hommes de bonne réputation sont des sérials niqueurs au détriment de leurs femmes, nos mères.
La dextérité avec laquelle il se couvre montre une certaine pratique et c’est rapidement que je sens son gland venir caresser ma chatte en feu, écartant simplement ma petite culotte.
Je suis à lui, je suis la femelle de mon parrain.
Par chance, il a des goûts classiques, aucune velléité de remplir sa capote en me prenant le petit.
J’échappe à ces interrogations sur ma pratique de la sodomie, à moins qu’il en ait envie sans pour autant demander à sa filleule de se faire enculer.
Même si le temps lui manque, son ou sa prochaine cliente étant peut-être déjà dans la salle d’attente, c’est sa bouche sur ma bouche qui reçoit mon cri de jouissance lorsqu’un orgasme me traverse.
Il jouit simultanément, ce qui prolonge les vagues de plaisirs me traversant.
Toute bonne chose ayant une fin, nous nous rajustons, un dernier baiser et je quitte le cabinet ma chatte pour un temps rassasié.
En venant en vacances, j’étais loin de penser que je deviendrais la maîtresse de mon parrain.
Le lendemain, il est l’heure de faire ce que nous faisons depuis que mes souvenirs de petite fille sont plus précis.
La messe de minuit, moment important pour mes parents et surtout mon père, du moins maman, est bien loin de l’intégrisme de mon père.
C’est une salope qui franchit le seuil de notre petite église.
J’ai toujours connu notre curé, c’est pour cela que malgré son âge, nous avons une messe de minuit à minuit.
Bien des petites églises comme la nôtre ont été fermées au profit de la cathédrale, mais l’évêque le laissant vivre dans le presbytère à côté de notre église permet qu’il fasse cette messe de fête.
Il nous reçoit d’est le seuil franchi.
• Entrez mes enfants, je sais l’effort financier que vous faites pour notre église, hélas, la vieille chaudière a rendu l’âme hier et il fait un froid de canard sur nos bancs.
Je crois que cette messe sera la dernière que nous ferons tous ensemble.
Je suis allé voir le gardien du pensionnat à côté et j’ai pu récupérer des couvertures.
Mettez les sur vos genoux et restez assis tout le long de la messe, inutile que vous attrapiez la mort.
C’est ainsi que Ludivine se trouve à ma droite et Charles son père et amant à ma gauche.
Nous avons étalé les couvertures sur nous et notre curé a commencé sa messe de façon chevrotante.
Le chauffage a rendu l’âme comme notre curé qui nous a baptisé Ludivine et moi, est tout près de rejoindre celui qu’il a servi toute sa vie.
Un temps et je sens la jambe de Charles se coller à la mienne commençant à faire mouiller ma chatte.
Je dois être réaliste, j’ai faim comme j’ai toujours eu faim pendant ces messes interminables avant d’aller réveillonner.
La messe de Pâques et celle de la naissance du petit jésus sans oublier le 15 août jour de la célébration de celle que m’a value mon nom ayant eu la malchance de naître ce jour précis sont d’une longueur incroyable.
Pour une fois, la main cachée par la couverture qui vient se poser sur ma jambe me fait un bien fou.
Charles vient de passer à l’attaque, j’écarte quelque peu ma jambe qui vient toucher celle de Ludivine.
Elle me regarde, je m’empresse de la presser, elle a fait de moi une salope, mais les femmes très peu pour moi.
Surtout que la main de Charles vient d’écarter mon manteau pour me caresser par-dessus ma jupe.
L’an dernier alors que je bayais d’ennui, aurais-je pensé que ma chatte s’échaufferait malgré le manque de chauffage.
Mais c’est à ce moment que mes sens étant exacerbés, je vois la couverture bouger du côté de mon père et de Ludivine.
Lorsque Charles, sa femme et sa fille sont arrivées chez nous où le réveillons va avoir lieu, cette année, elle était en minirobe sous son manteau.
Connaissant la salope qu’elle est et ce qu’elle a fait avec mon père, nul doute que l’un ou l’autre est en train de se caresser.
Impossible d’aller plus loin pour Charles, ma jupe est trop longue et la relevée pourrait mettre la puce à l’oreille de sa femme.
C’est moi qui passe ma main et qui fait sauter un à un les boutons de sa braguette.
Un coup d’œil la couverture fait toile de tente, heureusement à l’hôtel notre curé nous demande de nous aimer les uns les autres, Ginette la mère de Ludivine bois ses paroles.
Je saisis Charles et plis sa verge sauvant la situation, du moins un temps je le crois, car je sens que ça s’accélère à mon toucher et je sens qu’il éjacule dans la couverture et sur ma main.
J’arrête le massacre, je range sa verge pour un temps et surtout parce que c’est l’heure de la communion et que nous laissons tomber nos couvertures pour aller communier.
Il va de soi que lorsqu’il se lève à son tour, il m’a été impossible de lui remettre ses boutons.
Je vois sa femme le regarder, lui donner un coup de coude semblant courroucé.
À mon tour je jette un coup d’œil, un morceau de sa chemise sort par l’ouverture que moi-même pratiqué.
Ils sont devant moi dans la file d’attente, au mouvement que Charles fait discrètement il remet sa tenue en place avant de prendre l’hostie dans ses mains et de la porter à sa bouche.
De retour à notre place, quelques chants et notre brave curé nous laisse aller dans la paix vers les agapes de notre réveillon.
Ce réveillon s’est bien passé, j’ai évité de trop regardé Charles ayant peur qu’il donne des signes à d’autres et surtout Ludivine que je suis devenue sa maîtresse.
Seule une fois dans la nuit, me rendant aux toilettes, j’en sors, il est là, il me plaque le long de la porte et m’embrasse à bouche déployée.
Un appel de la salle à manger, c’est Ginette qui me sauve, elle appelle son mari pour découper le rosbif.
J’en profite pour m’échapper, j’ai pris assez de risque avec papa si près de moi.
Repas de Noël dans la ferveur de la naissance divine, mais sans piste de danse car pour ces cathos cette nuit est solennel.
Et nous arrivons huit jours plus tard au moment du réveillon du 1er de l’an.
Nous sortons avec Ludivine, nous rejoignons le club « Tom Pouce » où les jeunes branchés de la ville se retrouvent.
Une nouvelle fois c’est ma copine, qui a souhaité sortir m’entraînant dans cette soirée.
Depuis que nous sommes arrivées, je me rends compte qu’elle m’a un peu ignoré.
Je comprends pourquoi très vite lorsque je la vois rejoindre Hugo et l’embrasser avant qu’il la prend par la main pour l’entraîner dans un rock endiablé.
Je me sens cocu qu’en plus de mon père elle se fasse le seul garçon qui m’intéressait.
Je suis assise devant un rhum coca refusant toutes les invitations lorsque mon portable sonne.
• Marie, c’est Charles, je sais que vous êtes là, Ludivine m’a dit que vous viendriez dans ce club, je t’attends sur le parking.
Je sors, un appel de phare tout au bout dans un coin calme et plus sombre que devant le club avec l’enseigne au néon.
Il est là dans sa Toyota hybride, je monte, il me reçoit dans ses bras.
• J’ai prétexté un appel urgent médical pour m’échapper de la fête du troisième âge que tu connais depuis que nous fêtons ensemble le premier de l’an.
Tu es belle ma chérie, vite, enlève ta culotte, je veux me sentir au plus profond de toi.
Il sort sa verge, je me penche et c’est dans ma bouche qu’il se retrouve comme il vient de le dire au plus profond de moi pour commencer.
Profitant du coin sombre je passe ma jambe par-dessus le levier de vitesses après avoir exécuté l’ordre d’enlever ma culotte.
Pendant que je m’exécute, il sort de nouveau une capote pour se protéger.
• Je vois que tu as confiance en moi !
• Non, tu te trompes, pour les MST, je te fais confiance, mais tu me vois faire un demi-frère à Ludivine avec sa meilleure amie.
J’ignore si tu as un moyen de contraception !
Dans le mouvement pour m’empaler, je vois Ludivine sortir avec Hugo et monter dans une voiture à deux pas de la nôtre.
Je les protège en les cachant, même si je suis devenue une salope par sa faute, j’ai beaucoup de sentiment pour elle, chaque fois qu’une bite me déchire, je jouis de plus en plus intensément.
Surtout celle de son père, je dois le reconnaître...
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