COLLECTION SOUMIS - SOUMISE. Ave Maria (6/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2396 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 994 391 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2023 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 2 403 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION SOUMIS - SOUMISE. Ave Maria (6/7)
Nous venons de rentrer à Paris, pour la nouvelle année, on a l’habitude de faire un vœu.
Le mien va à l’encontre de mes envies.
Ce qui s’est passé entre Ludivine et Hugo lorsque je l’ai protégé pour éviter que son père se rende compte qu’elle est aussi pute que moi, est difficile à encaisser.
J’étais amoureuse de ce garçon, fils de bonne famille de notre ville.
Autant j’ignore le nombre de bites qui m’ont défoncé par mes nombreux amants, depuis le début de mon année de fac.
Certes, je connais celle de Charles, le père de Ludivine qui m’a baisé avant que Ginette mette au monde ma rivale et non moins amie.
Mais Hugo premier garçon à faire battre mon cœur très peu pour moi, ça me fait mal au premier degré.
Si Ludivine décide, un jour de l’épouser, je ferai même l’effort d’être son témoin si elle me le demande.
Nos cours reprennent, mais de façon chaotique, car nous avons repris le rythme de nos sorties.
Rapidement dès la fin janvier, le pognon vient à manquer.
Je pourrais appeler Charles à Blois et lui soutirer quelques billets en prétextant un achat inattendu, mais contrairement à mes autres amants, j’ai du sentiment pour lui et je veux éviter de devenir sa pute.
Nos rapports se sont faits de manière inattendue, mais c’est le premier homme à faire battre mon cœur, malgré notre différence d’âge, sans oublier pour autant Hugo, mais qui semble préférer Ludivine.
• Ludivine, peux-tu me laisser notre chambre ce soir jusqu’à 22 heures, j’ai eu Louis, tu sais le vieux du jardin du Luxembourg, il est prêt à me redonner 1 000 €.
• Tu l’as revu !
• Non, mais il m’avait laissé sa carte, je l’ai appelé, son fils est chez lui alors j’ai accepté de le recevoir chez nous.
• Ma salope, tu es cachotière, si tu as gardé sa carte, c’est que tu as apprécié de gagner de l’argent occasionnellement avec tes miches, je suis fière de toi.
Soit sans crainte, je vais appeler Ludo, tu sais le beau black avec qui j’ai baisé pendant que tu te faisais sauter par ton premier black.
Lui aussi m’a donné son numéro et je vais aller passer la nuit avec lui.
Louis, je devais le revoir deux fois avant la fin de cette première année scolaire.
Ludivine de son côté savait, elle aussi, trouver du fric, comme moi, elle sait se prostituer afin de finir le mois.
C’est devenu chose facile pour chacune de nous.
• Marie, c’est Charles, je suis venu pour un colloque de médecins à Paris, je suis descendu à l’hôtel Mercure de la gare de Lyon si tu as les moyens de dégager du temps rejoint moi à 18 heures.
Dormir à côté de toi, j’en rêve depuis que tu m’as rejoint dans ma voiture la semaine de Noël.
Du temps j’en ai ça fait deux jours que j’ai perdu le chemin de la salle de cours de médecine.
J’ai conscience que l’année va être dure à rentrer dans les quotas d’admis en deuxième année.
Mais je suis tellement devenue accro au sexe, que de retrouver celle de mon amant me fais entièrement mouiller.
• Marie, tu es la plus belle chose qu’il me soit arrivé depuis que j’ai découvert ma sexualité.
Je serais à deux doigts de divorcer pour t’épouser malgré le scandale que cela ferait à Blois.
Mais surtout avec Hubert qui est tellement rigoriste dans sa façon d’être qu’il serait dans l’impossibilité de comprendre que Cupidon nous a frappés de sa flèche.
De plus Ginette a un cancer et en tant que médecin, je serai vache de la larguer dans ces moments difficiles.
Du fond du lit, ou nous avons passé les deux nuits où il a été là, j’avais envie de lui dire de se contenter du temps présent comme moi j’ai appris à le faire grâce à sa fille, la divine Ludivine.
Et viens le temps des classements, je suis dans les dernières, obligé de me retaper une nouvelle fois ma première année.
Dans deux jours, nous rentrons à Blois pour les vacances, je sais que je vais avoir la soupe à la grimace pour faire admettre à mon père cet échec fracassant.
Je compte sur Ludivine pour l’amadouer surtout qu’elle a été à deux places de réussir son année.
Louis est dans notre chambre depuis une demi-heure, il passait près de chez moi et connaissant l’adresse il m’a téléphoné, car il avait une petite envie d’un moment de détente.
Il m’a appelé et je l’ai fait monter, je l’ai sucé et il a bandé magnifiquement.
Bien callé dans mes oreillers, j’ai écarté mes cuisses pour qu’il me prenne afin qu’il en ait pour l’argent posé sur ma table de nuit.
Il m’a fait un cunnilingus, il est très fort dans cet exercice avant de me pénétrer lorsque la porte de la chambre a claqué.
• Marie, que fais-tu et avec un vieux pourri, tu es une pute, l’argent sur ta table de nuit le prouve.
Vous vieux saligaud, reprenez votre fric et tirez-vous, c’est ma fille qui se prostitue.
Par-dessus, mon client, je vois mon père avec derrière elle Ludivine qui semble mal à l’aise appuyée au chambranle de la porte.
Monsieur Louis récupère son fric et ses fringues et la queue basse, on aurait débandé à moins, quitte l’appartement.
• Ludivine, pourquoi as-tu mis autant de temps à me dire ce que faisait ma fille dans cet appartement.
Vu les résultats que nous avons reçus, je suppose que ses turpitudes durent depuis des mois.
Mon dieu, pourquoi me faite vous vivre cette épreuve.
• Hubert, je t’aurais bien prévenu plus tôt dès qu’elle s’est mise à sortir et à ramener ses clients ici.
Souvient toi de ce que je t’ai dit, elle sait pour nous et menaçait de prévenir ta femme que nous sommes amants.
• Ma fille, ou as-tu pu connaitre tous ces vices.
Le diable doit t’avoir frappé pour me punir de t’avoir mis dans mon lit Ludivine.
Faites vos valises, nous retournons à Blois ou ma fille tu vas connaitre celui qui va devenir ton mari et tu me connais, chez moi c’est moi qui décide.
Un mois, le temps de publier les bans et de préparer mes noces.
• Marie, veux-tu prendre pour époux, Jules S. ici présent.
• Oui, elle est belle !
• Jules attend que Marie ait répondu avant de toi aussi dire oui.
• Oui, monsieur le curé, j’accepte de prendre Jules pour époux.
• Et toi...
• Oui, elle est belle.
• Attends que je finisse Jules, c’est vrai qu’elle est belle.
• Et toi, Jules accepte-tu prendre Marie pour légitime épouse, la chérir et la protéger tout au long de ta vie ?
• Oui, elle est belle.
• Par ces « ouis », je vous déclare mari et femme, allez en paix dans la foi du seigneur.
Je sais, certains diront que lorsque mon père est venu voir Jeanne, la mère de Jules avec moi et a fait la proposition d’un mariage entre nous, étant majeur, j’aurais pu reprendre ma valise et me sauver.
J’ai accepté par calcul, Jules a bientôt trente ans.
J’ai appris que le handicap survenu après sa naissance va faire que sa vie va être très courte.
Étant le seul héritier du notaire, c’est moi qui hériterais de tous leurs biens, immeubles, commerces et autres argents placés, dans Blois.
Mon futur beau-père étant le roi du viager, de tout temps son surnom, c’est Crésus.
De plus, j’ai assez prouvé que j’étais une femme soumise dès que l’on m’imposait des choses dans ma vie, surtout mon père.
De plus, si j’avais refusé, mon père m’aurait coupé les vivres et j’aurais été obligé de continuer à me prostituer pour vivre.
• Marie, il est temps d’emmener Jules vers les toilettes et de faire ce que je t’ai fait voir hier que tu devras répéter toutes les deux heures afin qu’il reste calme.
• Oui, elle est jolie.
Aux toilettes de la salle des fêtes ou ma noce se déroule, j’emmène mon mari dans celle des handicapés.
J’ôte le plaide qui cache sa verge monstrueuse, je le masturbe jusqu’à ce que ses couilles, hors du commun, genre ballon de hand crachent son sperme dans la serviette que j’ai récupérée sous le fauteuil.
Dans les premiers jours de mon mariage dans la petite maison au fond de l’étude de son père, j’ai du mal à prendre le rythme des masturbations toutes les deux heures afin de lui vider les couilles et qu’il reste calme.
Ses mains l’empêchent de se masturber tellement elles sont déformées.
Dire que sa mère lui a fait ça pendant des années sans que personne soit au courant depuis que la puberté l’a frappée, quelle abnégation.
De retour dans la salle, mon mari ayant expurgé son trop-plein s’est endormi.
• La mariée accepterait-elle cette valse ?
• Je veux bien mon mari dort et est dans l’impossibilité de te donner son accord...
Le mien va à l’encontre de mes envies.
Ce qui s’est passé entre Ludivine et Hugo lorsque je l’ai protégé pour éviter que son père se rende compte qu’elle est aussi pute que moi, est difficile à encaisser.
J’étais amoureuse de ce garçon, fils de bonne famille de notre ville.
Autant j’ignore le nombre de bites qui m’ont défoncé par mes nombreux amants, depuis le début de mon année de fac.
Certes, je connais celle de Charles, le père de Ludivine qui m’a baisé avant que Ginette mette au monde ma rivale et non moins amie.
Mais Hugo premier garçon à faire battre mon cœur très peu pour moi, ça me fait mal au premier degré.
Si Ludivine décide, un jour de l’épouser, je ferai même l’effort d’être son témoin si elle me le demande.
Nos cours reprennent, mais de façon chaotique, car nous avons repris le rythme de nos sorties.
Rapidement dès la fin janvier, le pognon vient à manquer.
Je pourrais appeler Charles à Blois et lui soutirer quelques billets en prétextant un achat inattendu, mais contrairement à mes autres amants, j’ai du sentiment pour lui et je veux éviter de devenir sa pute.
Nos rapports se sont faits de manière inattendue, mais c’est le premier homme à faire battre mon cœur, malgré notre différence d’âge, sans oublier pour autant Hugo, mais qui semble préférer Ludivine.
• Ludivine, peux-tu me laisser notre chambre ce soir jusqu’à 22 heures, j’ai eu Louis, tu sais le vieux du jardin du Luxembourg, il est prêt à me redonner 1 000 €.
• Tu l’as revu !
• Non, mais il m’avait laissé sa carte, je l’ai appelé, son fils est chez lui alors j’ai accepté de le recevoir chez nous.
• Ma salope, tu es cachotière, si tu as gardé sa carte, c’est que tu as apprécié de gagner de l’argent occasionnellement avec tes miches, je suis fière de toi.
Soit sans crainte, je vais appeler Ludo, tu sais le beau black avec qui j’ai baisé pendant que tu te faisais sauter par ton premier black.
Lui aussi m’a donné son numéro et je vais aller passer la nuit avec lui.
Louis, je devais le revoir deux fois avant la fin de cette première année scolaire.
Ludivine de son côté savait, elle aussi, trouver du fric, comme moi, elle sait se prostituer afin de finir le mois.
C’est devenu chose facile pour chacune de nous.
• Marie, c’est Charles, je suis venu pour un colloque de médecins à Paris, je suis descendu à l’hôtel Mercure de la gare de Lyon si tu as les moyens de dégager du temps rejoint moi à 18 heures.
Dormir à côté de toi, j’en rêve depuis que tu m’as rejoint dans ma voiture la semaine de Noël.
Du temps j’en ai ça fait deux jours que j’ai perdu le chemin de la salle de cours de médecine.
J’ai conscience que l’année va être dure à rentrer dans les quotas d’admis en deuxième année.
Mais je suis tellement devenue accro au sexe, que de retrouver celle de mon amant me fais entièrement mouiller.
• Marie, tu es la plus belle chose qu’il me soit arrivé depuis que j’ai découvert ma sexualité.
Je serais à deux doigts de divorcer pour t’épouser malgré le scandale que cela ferait à Blois.
Mais surtout avec Hubert qui est tellement rigoriste dans sa façon d’être qu’il serait dans l’impossibilité de comprendre que Cupidon nous a frappés de sa flèche.
De plus Ginette a un cancer et en tant que médecin, je serai vache de la larguer dans ces moments difficiles.
Du fond du lit, ou nous avons passé les deux nuits où il a été là, j’avais envie de lui dire de se contenter du temps présent comme moi j’ai appris à le faire grâce à sa fille, la divine Ludivine.
Et viens le temps des classements, je suis dans les dernières, obligé de me retaper une nouvelle fois ma première année.
Dans deux jours, nous rentrons à Blois pour les vacances, je sais que je vais avoir la soupe à la grimace pour faire admettre à mon père cet échec fracassant.
Je compte sur Ludivine pour l’amadouer surtout qu’elle a été à deux places de réussir son année.
Louis est dans notre chambre depuis une demi-heure, il passait près de chez moi et connaissant l’adresse il m’a téléphoné, car il avait une petite envie d’un moment de détente.
Il m’a appelé et je l’ai fait monter, je l’ai sucé et il a bandé magnifiquement.
Bien callé dans mes oreillers, j’ai écarté mes cuisses pour qu’il me prenne afin qu’il en ait pour l’argent posé sur ma table de nuit.
Il m’a fait un cunnilingus, il est très fort dans cet exercice avant de me pénétrer lorsque la porte de la chambre a claqué.
• Marie, que fais-tu et avec un vieux pourri, tu es une pute, l’argent sur ta table de nuit le prouve.
Vous vieux saligaud, reprenez votre fric et tirez-vous, c’est ma fille qui se prostitue.
Par-dessus, mon client, je vois mon père avec derrière elle Ludivine qui semble mal à l’aise appuyée au chambranle de la porte.
Monsieur Louis récupère son fric et ses fringues et la queue basse, on aurait débandé à moins, quitte l’appartement.
• Ludivine, pourquoi as-tu mis autant de temps à me dire ce que faisait ma fille dans cet appartement.
Vu les résultats que nous avons reçus, je suppose que ses turpitudes durent depuis des mois.
Mon dieu, pourquoi me faite vous vivre cette épreuve.
• Hubert, je t’aurais bien prévenu plus tôt dès qu’elle s’est mise à sortir et à ramener ses clients ici.
Souvient toi de ce que je t’ai dit, elle sait pour nous et menaçait de prévenir ta femme que nous sommes amants.
• Ma fille, ou as-tu pu connaitre tous ces vices.
Le diable doit t’avoir frappé pour me punir de t’avoir mis dans mon lit Ludivine.
Faites vos valises, nous retournons à Blois ou ma fille tu vas connaitre celui qui va devenir ton mari et tu me connais, chez moi c’est moi qui décide.
Un mois, le temps de publier les bans et de préparer mes noces.
• Marie, veux-tu prendre pour époux, Jules S. ici présent.
• Oui, elle est belle !
• Jules attend que Marie ait répondu avant de toi aussi dire oui.
• Oui, monsieur le curé, j’accepte de prendre Jules pour époux.
• Et toi...
• Oui, elle est belle.
• Attends que je finisse Jules, c’est vrai qu’elle est belle.
• Et toi, Jules accepte-tu prendre Marie pour légitime épouse, la chérir et la protéger tout au long de ta vie ?
• Oui, elle est belle.
• Par ces « ouis », je vous déclare mari et femme, allez en paix dans la foi du seigneur.
Je sais, certains diront que lorsque mon père est venu voir Jeanne, la mère de Jules avec moi et a fait la proposition d’un mariage entre nous, étant majeur, j’aurais pu reprendre ma valise et me sauver.
J’ai accepté par calcul, Jules a bientôt trente ans.
J’ai appris que le handicap survenu après sa naissance va faire que sa vie va être très courte.
Étant le seul héritier du notaire, c’est moi qui hériterais de tous leurs biens, immeubles, commerces et autres argents placés, dans Blois.
Mon futur beau-père étant le roi du viager, de tout temps son surnom, c’est Crésus.
De plus, j’ai assez prouvé que j’étais une femme soumise dès que l’on m’imposait des choses dans ma vie, surtout mon père.
De plus, si j’avais refusé, mon père m’aurait coupé les vivres et j’aurais été obligé de continuer à me prostituer pour vivre.
• Marie, il est temps d’emmener Jules vers les toilettes et de faire ce que je t’ai fait voir hier que tu devras répéter toutes les deux heures afin qu’il reste calme.
• Oui, elle est jolie.
Aux toilettes de la salle des fêtes ou ma noce se déroule, j’emmène mon mari dans celle des handicapés.
J’ôte le plaide qui cache sa verge monstrueuse, je le masturbe jusqu’à ce que ses couilles, hors du commun, genre ballon de hand crachent son sperme dans la serviette que j’ai récupérée sous le fauteuil.
Dans les premiers jours de mon mariage dans la petite maison au fond de l’étude de son père, j’ai du mal à prendre le rythme des masturbations toutes les deux heures afin de lui vider les couilles et qu’il reste calme.
Ses mains l’empêchent de se masturber tellement elles sont déformées.
Dire que sa mère lui a fait ça pendant des années sans que personne soit au courant depuis que la puberté l’a frappée, quelle abnégation.
De retour dans la salle, mon mari ayant expurgé son trop-plein s’est endormi.
• La mariée accepterait-elle cette valse ?
• Je veux bien mon mari dort et est dans l’impossibilité de te donner son accord...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...