COLLECTION SOUMISE. Il est difficile d’échapper à son destin. Début de la saison I (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-10-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISE. Il est difficile d’échapper à son destin. Début de la saison I (1/3)
Lorsque j’ai contacté Chris pour lui raconter ma vie, pour lui expliquer ce qu’elle avait été, je savais par l’amie qui m’avait conseillé à lui, que le plus dur ce serait la collection ou classer mon histoire.
Ce fut le cas.
Collection Cocu, il y en a eu un ça, c’est sûr, Loïc mon mari qui d’un coup a porté des cornes dignes du plus grand cerf de la forêt de Fontainebleau tout près de chez nous.
Je vais éviter de faire le tour des autres collections, nous avons même un moment envisagé la création d’une nouvelle.
Finalement, c’est dans la « collection soumise » que d’un commun accord, nous la plaçons dans cette collection.
Soumise à un homme, quelle incongruité.
Soumise à une femme, encore moins, toute ma vie, j’ai dominée les uns ou les autres.
Soumise à un Maître, pouah, plutôt couper les couilles de celui qui voudrait faire de moi son esclave.
Soumise à une Maîtresse, pas celle de ma maternelle ou de mon école primaire, non, celle avec des cuissardes, des tenues noires avec des cravaches, encore plus improbables.
Non, j’ai un Maître, je suis obligée de l’avouer, depuis ma puberté, mon sexe, c’est à lui que je suis soumise.
Dès que je suis arrivée à comprendre qu’en posant un doigt en haut de ma petite minette, comme l’appelait, maman, j’avais des sensations dans tout le bas de mon corps.
Ça faisait quelques jours que j’avais découvert ces sensations quand il a commencé à se recouvrir de poils.
Dans ces mêmes jours, maman m’avait mis une claque lorsqu’en pleure, je suis venue lui faire voir que du sang coulait.
J’étais inculte, mais maman m’a expliqué les menstruations.
La claque s’était une tradition pour les premières règles des filles dans notre famille.
Cette période, c’est celle où je suis rentrée au collège un peu moins de douze ans et comme je m’éloignais de mes parents, ils m’ont acheté un portable.
Lorsque nous sommes allées chez l’opérateur, le jeune vendeur a proposé à mes parents de le protéger d’un code parental pour éviter que je puisse me connecter à des sites interdits aux enfants.
J’étais déjà espiègle et j’ai vite compris que je devrais découvrir pourquoi, lorsque je me caressais, mon corps s’enflammait.
C’est là que j’ai fait la connaissance de Christian dont on reparlera plus tard, qui est devenu mon copain.
Il avait lui-même un frère et un mercredi où j’étais allée pour un devoir, il a fait le nécessaire pour que ce blocage disparaisse.
Le soir même dans mon lit, je regardais mon premier porno.
Plus tard, j’ai appris que j’étais dans la moyenne des jeunes de notre époque.
Un petit film m’a intéressé, ça parlait du dépucelage d’une jeune fille.
Ce soir-là, j’ai vu du sang lorsque le garçon a sorti sa bite alors que la donzelle avait crié à son introduction.
J’ai cherché pourquoi et j’ai appris que les filles avaient un hymen genre de membranes qui se déchirait à l’introduction de la bite masculine.
J’ai été folle, le soir même elle sautait lorsque je me suis introduit une carotte rapportée du marché par maman.
Certes, j’ai eu mal, mais s’était fait, je pouvais faire ce que je voulais avec ma chatte et surtout découvrir, l’orgasme.
L’orgasme souvent entendu dans les pornos par les cris poussés par les filles.
J’avais passé mes 14 ans quand je suis allée une nouvelle fois chez Christian.
Je savais qu’il était puceau, étant son amie, il avait demandé à Joseline ma copine de faire l’amour avec elle.
Dans ma tête, je voulais que ce soit moi qui le dépucelle.
Le travail m’a été facilité, car il était en survêtement, il venait de rentrer de son entraînement de foot.
Nous étions assis côte à côte, il regardait mes seins qui étaient déjà bien développés.
J’en étais fière, car les hommes commençaient à les regarder de plus en plus.
Je sais, j’étais jeune même encore très jeune, mais l’appel du sexe de ce garçon de mon âge me permettait d’avoir toutes les audaces.
J’avais déjà refusé les avances de deux garçons majeurs qui auraient pu avoir des ennuis du côté de la loi.
J’ai glissé ma main dans son pantalon.
J’oubliais, grâce à Joseline, je me suis fait livrer un gode acheté sur Internet et payé avec un chèque volé à ma mère.
J’avais pris le dernier, ma mère étant carte bleue, j’avais peu de chances d’être découverte.
Mon père gagne bien sa vie et sans vivre dans l’opulence, ma mère ignore ce que contrôle de la banque veut dire.
Grâce au modèle tournant et vibrant, je m’envoyais en l’air devenant de plus en plus accro au sexe.
Un gode, c’est drôle au début, mais la chaleur et surtout l’étonnement de Christian a été complet.
J’en ai profité pour la sortir, l’admirer, c’était la première que je voyais en vrai.
Je savais comment faire, je suçais mon gode pour m’entraîner en vue de ce jour qui était enfin arrivé.
Ce que j’ignorais à ce jour, c’était de doser la masturbation et le pompage de cette verge.
● France arrête, je vais, je vais...
D’un coup ça a giclé dans ma bouche, première, mais loin d’être la dernière.
Au moment où j’explique ma vie même encore très jeune à Chris, combien de litres en ai-je bus.
Il était à la limite de pleurer, mais nous étions jeunes et le devoir terminé, j’ai baissé son pantalon écarté ma culotte et je me suis empalée, il bandait dès que je l’ai touché.
● Oh ! France, j’hésitais à te le demander, je veux que nous restions amies.
Parole du même genre que ceux que tiennent des ivrognes promettant d’arrêter de boire de sa part.
Un mois plus tard il faisait sa valise, plutôt son sac de sport et intégrait, le centre de formation du barça en Espagne.
Je suis restée en contact avec la famille, mère et fils le plus grand, celui qui savait débloquer les portables et à ce jour Christian a épousé une très belle Espagnole et ils ont trois enfants.
Plusieurs fois, j’ai failli aller le voir jouer, il joue avec le grand Messi et Neymar, mais j’avais peur de foutre le bordel dans son couple en recouchant avec lui.
Cette première fois pour nous deux, il aurait certainement voulu remettre le couvert, bien que mes amants avec eux, presque jamais deux fois.
Il était parti et je suis revenu à mon gode, jusqu’à mes dix-sept ans, là ont commencé mes sorties en boîte avec Joceline et mes premiers amants véritables.
D’un soir bien sûr.
Mon endroit privilégié, c’était les chiottes de ces établissements.
Combien de beaux mecs m’ont pris cloué à la porte de ces waters ?
Je l’ignore, ce que je sais c’était la boulimie de sexe que je voulais en moi.
Les chambres d’hôtel, aussi, quand je rencontrais dans des bars des hommes mariés en séminaire honteux de tromper leurs femmes.
Les chambres d’hôtel par la suite quand je tchatais avec eux avant qu’ils quittent leur dulcinée et viennent se vider les couilles dans la chatte de la salope que j’étais.
À cette époque, j’ai eu la chance que mon père et ma mère assument mes débordements, car les études pâtissaient de mes besoins de sexe presque journaliers.
Ils m’auraient virée, c’est pute que je serais facilement devenue.
Baiser par soumission à mon sexe ou pour gagner ma vie, ça aurait été facile.
Un jour, je venais d’avoir dix-huit ans, je passais devant chez Christian et j’ai voulu avoir de ses nouvelles.
Sa mère Alicia était là et ce fut ma première expérience saphique.
Comment en est-on arrivé à nous bouffer la chatte dans son lit, je l’ignore.
Certainement un regard un geste, ce que je sais c’est que mon sexe avait sa dose de plaisir et moi, j’en étais de plus en plus soumise.
J’étais certainement faite pour baiser avec les mères de mes amis.
Un jour où je me suis rendue Joceline récupérer un nouveau gode que j’avais commandé, c’est Patricia, sa mère qui m’a reçu.
Patricia était mariée mais malheureuse en ménage, car son mari était porté sur les hommes et elle sur les femmes.
Elle avait aussi des godes, principalement un gode tenu par des sangles.
J’étais en levrette, j’ai senti qu’elle caressait mon anus avec le gland noir et c’est elle qui m’a dépucelé le cul.
La sodomie, une nouvelle étape dans ma jeune vie de débauche.
La sodomie bien-aimée par mon anus, qui la pratiquait chaque fois qu’un homme me sollicitait.
Comment me définir, une chienne, qui pouvait baiser qui voulait d’elle ?
J’en étais même, certains soirs, quand l’appel de la nuit arrivait et qu’aucune bite portée par un bel homme était présente pour me satisfaire de suivre des hommes vieux, même plus que très vieux.
Souvent sous leurs coups de bite, mon sexe trouvait sa dose de plaisir et savait me dire au moment de mon orgasme que j’étais à son service.
Il choisissait, je me soumettais à tous ses désirs.
D’un coup, le jour de mes 25 ans, j’ai essayé de compter combien d’hommes m’avaient baisé faisant de moi une addict du sexe ?
C’était impossible, j’ai ri quand j’ai repensé à Joseph le frère de Christian.
Un jour que je venais pour me gouiner avec sa mère, c’est lui qui m’a baisé sur la table de leur cuisine.
Mais faire le compte, c'était impossible.
J’ai pris peur.
J’ai pris une grande bouffée d’air et pris la résolution de ma vie, je devais échapper à la soumission de mon sexe...
Ce fut le cas.
Collection Cocu, il y en a eu un ça, c’est sûr, Loïc mon mari qui d’un coup a porté des cornes dignes du plus grand cerf de la forêt de Fontainebleau tout près de chez nous.
Je vais éviter de faire le tour des autres collections, nous avons même un moment envisagé la création d’une nouvelle.
Finalement, c’est dans la « collection soumise » que d’un commun accord, nous la plaçons dans cette collection.
Soumise à un homme, quelle incongruité.
Soumise à une femme, encore moins, toute ma vie, j’ai dominée les uns ou les autres.
Soumise à un Maître, pouah, plutôt couper les couilles de celui qui voudrait faire de moi son esclave.
Soumise à une Maîtresse, pas celle de ma maternelle ou de mon école primaire, non, celle avec des cuissardes, des tenues noires avec des cravaches, encore plus improbables.
Non, j’ai un Maître, je suis obligée de l’avouer, depuis ma puberté, mon sexe, c’est à lui que je suis soumise.
Dès que je suis arrivée à comprendre qu’en posant un doigt en haut de ma petite minette, comme l’appelait, maman, j’avais des sensations dans tout le bas de mon corps.
Ça faisait quelques jours que j’avais découvert ces sensations quand il a commencé à se recouvrir de poils.
Dans ces mêmes jours, maman m’avait mis une claque lorsqu’en pleure, je suis venue lui faire voir que du sang coulait.
J’étais inculte, mais maman m’a expliqué les menstruations.
La claque s’était une tradition pour les premières règles des filles dans notre famille.
Cette période, c’est celle où je suis rentrée au collège un peu moins de douze ans et comme je m’éloignais de mes parents, ils m’ont acheté un portable.
Lorsque nous sommes allées chez l’opérateur, le jeune vendeur a proposé à mes parents de le protéger d’un code parental pour éviter que je puisse me connecter à des sites interdits aux enfants.
J’étais déjà espiègle et j’ai vite compris que je devrais découvrir pourquoi, lorsque je me caressais, mon corps s’enflammait.
C’est là que j’ai fait la connaissance de Christian dont on reparlera plus tard, qui est devenu mon copain.
Il avait lui-même un frère et un mercredi où j’étais allée pour un devoir, il a fait le nécessaire pour que ce blocage disparaisse.
Le soir même dans mon lit, je regardais mon premier porno.
Plus tard, j’ai appris que j’étais dans la moyenne des jeunes de notre époque.
Un petit film m’a intéressé, ça parlait du dépucelage d’une jeune fille.
Ce soir-là, j’ai vu du sang lorsque le garçon a sorti sa bite alors que la donzelle avait crié à son introduction.
J’ai cherché pourquoi et j’ai appris que les filles avaient un hymen genre de membranes qui se déchirait à l’introduction de la bite masculine.
J’ai été folle, le soir même elle sautait lorsque je me suis introduit une carotte rapportée du marché par maman.
Certes, j’ai eu mal, mais s’était fait, je pouvais faire ce que je voulais avec ma chatte et surtout découvrir, l’orgasme.
L’orgasme souvent entendu dans les pornos par les cris poussés par les filles.
J’avais passé mes 14 ans quand je suis allée une nouvelle fois chez Christian.
Je savais qu’il était puceau, étant son amie, il avait demandé à Joseline ma copine de faire l’amour avec elle.
Dans ma tête, je voulais que ce soit moi qui le dépucelle.
Le travail m’a été facilité, car il était en survêtement, il venait de rentrer de son entraînement de foot.
Nous étions assis côte à côte, il regardait mes seins qui étaient déjà bien développés.
J’en étais fière, car les hommes commençaient à les regarder de plus en plus.
Je sais, j’étais jeune même encore très jeune, mais l’appel du sexe de ce garçon de mon âge me permettait d’avoir toutes les audaces.
J’avais déjà refusé les avances de deux garçons majeurs qui auraient pu avoir des ennuis du côté de la loi.
J’ai glissé ma main dans son pantalon.
J’oubliais, grâce à Joseline, je me suis fait livrer un gode acheté sur Internet et payé avec un chèque volé à ma mère.
J’avais pris le dernier, ma mère étant carte bleue, j’avais peu de chances d’être découverte.
Mon père gagne bien sa vie et sans vivre dans l’opulence, ma mère ignore ce que contrôle de la banque veut dire.
Grâce au modèle tournant et vibrant, je m’envoyais en l’air devenant de plus en plus accro au sexe.
Un gode, c’est drôle au début, mais la chaleur et surtout l’étonnement de Christian a été complet.
J’en ai profité pour la sortir, l’admirer, c’était la première que je voyais en vrai.
Je savais comment faire, je suçais mon gode pour m’entraîner en vue de ce jour qui était enfin arrivé.
Ce que j’ignorais à ce jour, c’était de doser la masturbation et le pompage de cette verge.
● France arrête, je vais, je vais...
D’un coup ça a giclé dans ma bouche, première, mais loin d’être la dernière.
Au moment où j’explique ma vie même encore très jeune à Chris, combien de litres en ai-je bus.
Il était à la limite de pleurer, mais nous étions jeunes et le devoir terminé, j’ai baissé son pantalon écarté ma culotte et je me suis empalée, il bandait dès que je l’ai touché.
● Oh ! France, j’hésitais à te le demander, je veux que nous restions amies.
Parole du même genre que ceux que tiennent des ivrognes promettant d’arrêter de boire de sa part.
Un mois plus tard il faisait sa valise, plutôt son sac de sport et intégrait, le centre de formation du barça en Espagne.
Je suis restée en contact avec la famille, mère et fils le plus grand, celui qui savait débloquer les portables et à ce jour Christian a épousé une très belle Espagnole et ils ont trois enfants.
Plusieurs fois, j’ai failli aller le voir jouer, il joue avec le grand Messi et Neymar, mais j’avais peur de foutre le bordel dans son couple en recouchant avec lui.
Cette première fois pour nous deux, il aurait certainement voulu remettre le couvert, bien que mes amants avec eux, presque jamais deux fois.
Il était parti et je suis revenu à mon gode, jusqu’à mes dix-sept ans, là ont commencé mes sorties en boîte avec Joceline et mes premiers amants véritables.
D’un soir bien sûr.
Mon endroit privilégié, c’était les chiottes de ces établissements.
Combien de beaux mecs m’ont pris cloué à la porte de ces waters ?
Je l’ignore, ce que je sais c’était la boulimie de sexe que je voulais en moi.
Les chambres d’hôtel, aussi, quand je rencontrais dans des bars des hommes mariés en séminaire honteux de tromper leurs femmes.
Les chambres d’hôtel par la suite quand je tchatais avec eux avant qu’ils quittent leur dulcinée et viennent se vider les couilles dans la chatte de la salope que j’étais.
À cette époque, j’ai eu la chance que mon père et ma mère assument mes débordements, car les études pâtissaient de mes besoins de sexe presque journaliers.
Ils m’auraient virée, c’est pute que je serais facilement devenue.
Baiser par soumission à mon sexe ou pour gagner ma vie, ça aurait été facile.
Un jour, je venais d’avoir dix-huit ans, je passais devant chez Christian et j’ai voulu avoir de ses nouvelles.
Sa mère Alicia était là et ce fut ma première expérience saphique.
Comment en est-on arrivé à nous bouffer la chatte dans son lit, je l’ignore.
Certainement un regard un geste, ce que je sais c’est que mon sexe avait sa dose de plaisir et moi, j’en étais de plus en plus soumise.
J’étais certainement faite pour baiser avec les mères de mes amis.
Un jour où je me suis rendue Joceline récupérer un nouveau gode que j’avais commandé, c’est Patricia, sa mère qui m’a reçu.
Patricia était mariée mais malheureuse en ménage, car son mari était porté sur les hommes et elle sur les femmes.
Elle avait aussi des godes, principalement un gode tenu par des sangles.
J’étais en levrette, j’ai senti qu’elle caressait mon anus avec le gland noir et c’est elle qui m’a dépucelé le cul.
La sodomie, une nouvelle étape dans ma jeune vie de débauche.
La sodomie bien-aimée par mon anus, qui la pratiquait chaque fois qu’un homme me sollicitait.
Comment me définir, une chienne, qui pouvait baiser qui voulait d’elle ?
J’en étais même, certains soirs, quand l’appel de la nuit arrivait et qu’aucune bite portée par un bel homme était présente pour me satisfaire de suivre des hommes vieux, même plus que très vieux.
Souvent sous leurs coups de bite, mon sexe trouvait sa dose de plaisir et savait me dire au moment de mon orgasme que j’étais à son service.
Il choisissait, je me soumettais à tous ses désirs.
D’un coup, le jour de mes 25 ans, j’ai essayé de compter combien d’hommes m’avaient baisé faisant de moi une addict du sexe ?
C’était impossible, j’ai ri quand j’ai repensé à Joseph le frère de Christian.
Un jour que je venais pour me gouiner avec sa mère, c’est lui qui m’a baisé sur la table de leur cuisine.
Mais faire le compte, c'était impossible.
J’ai pris peur.
J’ai pris une grande bouffée d’air et pris la résolution de ma vie, je devais échapper à la soumission de mon sexe...
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