COLLECTION SOUMISE. Il est difficile d’échapper à son destin. Début de la saison II (4/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2397 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 997 601 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 2 832 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION SOUMISE. Il est difficile d’échapper à son destin. Début de la saison II (4/6)
Je vous ai quitté alors que je venais de renouer avec mon passé par l’intermédiaire d’Alex dans cette discothèque où j’avais rencontré Loïc mon mari.
Pourquoi ai-je récupéré la carte de visite d’Alex déchirée, je l’ignore moi-même.
06 00.
Ce sont les quatre premiers chiffres du numéro de téléphone que je relie pour la énième fois depuis le jour où je l’ai ramenée discrètement de la discothèque où Loïc mon mari m’avait emmené pour me rappeler notre rencontre.
Une nouvelle fois, c’est après avoir fait ce que l’on appelle mon devoir conjugal que m’étant lavée, je la sors du fond de ma boîte à bijoux alors que Loïc s’est déjà endormi persuadé d’avoir été un mari à la hauteur.
Est-ce de ma faute, si depuis mon éveil à ma sexualité, j’ai toujours été l’otage de ma chatte ayant fait de moi une fieffée salope.
Ce qui me rassure, c’est que chaque fois que je lis ce numéro, je le replace dans sa cachette et je repousse toute idée de l’appeler.
Je suis sûr qu’Alex pense qu’il a mis le ver dans le fruit en me donnant son numéro et surtout lorsqu’il m’a dit qu’une salope restait une salope.
Ce matin, je conduis mes enfants à la maternelle.
Les portes sont encore fermées, je discute avec deux autres mamans.
Je les connais, je les avais vus à la réunion d’entrée scolaire.
L’une s’appelle Francine et l’autre Alice, l’une brune et l’autre blonde, l’une mariée avec un mari informaticien et l’autre Alice son mari étant directeur d’école.
• France, nous allons prendre un café sur la place après avoir déposé nos enfants, tu nous accompagnes !
Le climat passe bien entre ces femmes et moi, comme j’ai du temps, je devais aller faire des courses dans le centre-ville pour acheter des chaussons pour Jade, c’est fou comme elle grandit.
• Francine où en es-tu avec ton mari.
Je m’excuse France, ça fait plusieurs jours que nous buvons notre café ensemble avec Alice et nous nous sommes faits des confidences.
Je peux mettre France au courant Alice !
• Tu peux, son expérience pourra peut-être m’être utile.
• Depuis leur liaison avec Frank, son mari, ils étaient fusionnels.
Partout et à tout moment il cherchait à la baiser.
Excuse ces mots grivois, entre nous on est toujours entière dans nos propos.
J’ai envie de leur expliquer que pour moi lorsque j’étais une chienne, les mots étaient un support à ma jouissance.
• Depuis la naissance de son fils Aldo, on dirait qu’il a perdu l’envie d’elle.
Un de ses voisins lui fait des propositions disons malhonnêtes, mais elle hésite à le tromper.
• Je suis une mauvaise conseillère, malgré nos deux enfants nous sommes fusionnelles.
Je me mets à bâiller.
• Si vous saviez la nuit qu’il m’a fait passer, dès que je serais de retour chez nous, je dirai à ma bonne d’aller rechercher les enfants.
• Tu as une bonne et ton mari semble être une bête de sexe, je comprends que tu veuilles garder pour toi ce que doit faire notre amie.
Voilà comment on entre dans une série de mensonge se répercutant chaque fois que je fais l’amour.
L’amour, depuis le début de mes confidences à Chris, vous savez la vérité, mais je veux éviter de dire à tout instant mon devoir conjugal.
Le plus important c’est que cela se répète chaque matin devant notre café.
Ces deux femmes comme d’autres je le pense, car devant l’école, d’autres groupes de femmes se sont constitués.
Toutes ou du moins la plupart passent les quelques minutes ensemble à parler de cul.
Contrairement aux hommes qui savent mettre leur bite en avant avec des mots crus, elles le font avec des mots plus feutrés qui à la longue excitent mon entrejambe.
Comment le processus se met en marche à la longue, peut-être lorsque Francine passe le pas avec son viril voisin ?
Chaque matin elle nous explique, sans rentrer dans les détails comme le ferait un homme, comment l’on fait pour tromper son mari sans qu’il s’en aperçoive ?
De votre côté tout va bien, aucune ombre au tableau, votre mari s’évertue à vous combler de bonheur, de cadeaux et d’amour sexuel alors que vous êtes une femme frustrée.
• Je vous quitte, Arsène m’attend, nous avons peu de temps, mon mari rentre manger ce midi et il faut qu’il me baise avant, j’ai le repas à préparer.
Moi, aucun de ces problèmes, Jules et Jade mangent à la cantine et Loïc se fait servir par Uber depuis que cela existe.
Alors dès que je suis dans ma voiture, je sors mon Iphone et je compose.
06 00 ça vous connaissez déjà, mais j’ajoute les quatre derniers chiffres.
Par chance ou par malchance, là ou mon cerveau arrive difficilement mon propre numéro, j’ai tellement regardé celui d’Alex que ces quatre chiffres se tapent presque seul sur le clavier.
Je vais pour raccrocher, un moment de lucidité de dernière minute plus tôt même seconde me fait penser que je vais tous perdre.
Hélas, trois fois hélas, mille fois, hélas, alors que je vais appuyer sur la position pause, ça décroche.
• Alex à votre service, que puis-je pour vous.
Eh non !
La chance d’avoir un mari qui me comble, cet Iphone, c’est lui hier qui me l’a offert sans le moindre calcul bien que j’espérerais qu’il me calcule plus.
Mais je comme dans le film vu au cinéma ou l’ange noir arrive à faire faire au personnage ce que l’ange blanc refuse de faire, je refais le numéro.
• C’est toi France, j’attendais ton coup de fil.
Je t’avais bien dit qu’une salope reste toujours une salope même si elle se drape dans des habits de bourge.
À la discothèque dès que j’ai vu ton mari, charmant, je dois le dire et que je t’ai reconnue j’ai su que tu freinais ton corps alors qu’avant chez toi il était épanoui.
• Arrête de parler, ton adresse.
• Tu as de la chance, j’allais partir.
22, impasse Jacquard presque à l’opposé de la discothèque.
À l’opposé, mais non loin de notre maison que nous habitons avec Loïc.
Je roule dépassant les limites autorisées, j’ai le temps de voir un radar, mais par chance c’est chez moi que je vais recevoir ma prune.
J’aurais été arrêté, je me serais peut-être reprise, mais là je veux du sexe.
Peu importe, j’arrive à destination, Alex à peine m’a-t-il ouvert me prend dans ses bras et me soulève me plaquant contre.
Il est si puissant que ma chatte est à hauteur de ses lèvres et qu’il commence à me la bouffer.
• Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhahhhhhhhhhhhhhhhhohhhhhhhhhhh
C’est tout ce qui arrive à sortir de ma bouche.
Il lui faut respirer, il me plaque d’une seule de ses mains.
Je sens son autre main chercher mon entrer et la trouver sans mal, il m’enfonce ses doigts puis son poing dans la chatte.
Les ah ! et les Oh ! sont plus modulés tellement je suis cloué au pilori.
La jouissance suivie d’un orgasme dévastateur qui me traverse est nettement plus puissant que la dernière fois où j’ai vécu en mode pute où salope au choix de chacun.
Être fistée grâce aux nombreuses bites reçues depuis mes années de débauche et en plus par là ou mes enfants sont sorti m’élargissant encore mieux, c’est époustouflant.
Même ma robe de bourge participe à ma fête en se tirebouchonnant autour de ma taille.
Comme je l’ai dit dans leur coupe, j’ai gardé une part de féminité et mes seins libres sortent dès qu’il me repose au sol et qu’en voulant encore je me mets à quatre pattes, suis-je une chienne ou non ?
C’est ma bouche en premier qu’il enfile, je retrouve le plaisir d’une gorge profonde.
• Baise-moi, baise-moi salopard.
Oui je suis une truie, une pute, une salope, une vide couille.
J’ai recraché sa bite droite comme un I, je la veux en moi.
• Suis-moi, je vais te baiser comme dans le bon vieux temps.
C’est par les cheveux qu’il me tire vers son lit, ma robe glisse sur moi voulant entériner elle-même la roulure retrouvée.
Et ça recommence, il me prend sans aucun ménagement pour la femme que je suis et j’avoue que j’aime, que j’adore ça et même que j’en redemande.
Hélas, tout à une fin, c’est l’heure de devenir le deuxième personnage que je suis.
Dans la salle de bain où je vais pour revenir la bourge avant d’aller retrouver mes enfants, je me fais peur, mon maquillage a coulé et je suis couverte de sperme.
J’en ai encore au coin de mes lèvres, comme la salope redevenue, je veux tout garder alors avec mon doigt, je le récupère et je l’avale avec délice.
Alex est vautré sur son lit, il récupère après les exploits qu’il a faits jusqu’à 15 heures avant que je retourne à l’école.
J’aurais su que je serais redevenue la pute d’avant, j’en aurais bien remis un petit coup.
Mais c’est parti remis, la prochaine fois que ma chatte me soumettra à sa soumission, avant j’appellerai Pauline pour qu’elle assume la sortie des enfants.
• Que t’arrive-t-il France, tu as une tête différente de celle de ce matin où tu es partie presque en courant, on ignore pourquoi.
• Vous m’excusez, j’ai reçu un message de mon mari me disant qu’il m’attendait à la maison.
Il s’est absenté de sa société pour que nous soyons seuls chez nous sans les enfants.
Me permettez-vous de garder pour moi ce que nous avons fait, grâce à leurs absences, j’ai pu hurler tout le plaisir qu’il me donnait.
• Quelle chanceuse tu es ?
Au plus loin que je me souvienne, hurler de plaisir, j’aurais aimé que cela m’arrive...
Pourquoi ai-je récupéré la carte de visite d’Alex déchirée, je l’ignore moi-même.
06 00.
Ce sont les quatre premiers chiffres du numéro de téléphone que je relie pour la énième fois depuis le jour où je l’ai ramenée discrètement de la discothèque où Loïc mon mari m’avait emmené pour me rappeler notre rencontre.
Une nouvelle fois, c’est après avoir fait ce que l’on appelle mon devoir conjugal que m’étant lavée, je la sors du fond de ma boîte à bijoux alors que Loïc s’est déjà endormi persuadé d’avoir été un mari à la hauteur.
Est-ce de ma faute, si depuis mon éveil à ma sexualité, j’ai toujours été l’otage de ma chatte ayant fait de moi une fieffée salope.
Ce qui me rassure, c’est que chaque fois que je lis ce numéro, je le replace dans sa cachette et je repousse toute idée de l’appeler.
Je suis sûr qu’Alex pense qu’il a mis le ver dans le fruit en me donnant son numéro et surtout lorsqu’il m’a dit qu’une salope restait une salope.
Ce matin, je conduis mes enfants à la maternelle.
Les portes sont encore fermées, je discute avec deux autres mamans.
Je les connais, je les avais vus à la réunion d’entrée scolaire.
L’une s’appelle Francine et l’autre Alice, l’une brune et l’autre blonde, l’une mariée avec un mari informaticien et l’autre Alice son mari étant directeur d’école.
• France, nous allons prendre un café sur la place après avoir déposé nos enfants, tu nous accompagnes !
Le climat passe bien entre ces femmes et moi, comme j’ai du temps, je devais aller faire des courses dans le centre-ville pour acheter des chaussons pour Jade, c’est fou comme elle grandit.
• Francine où en es-tu avec ton mari.
Je m’excuse France, ça fait plusieurs jours que nous buvons notre café ensemble avec Alice et nous nous sommes faits des confidences.
Je peux mettre France au courant Alice !
• Tu peux, son expérience pourra peut-être m’être utile.
• Depuis leur liaison avec Frank, son mari, ils étaient fusionnels.
Partout et à tout moment il cherchait à la baiser.
Excuse ces mots grivois, entre nous on est toujours entière dans nos propos.
J’ai envie de leur expliquer que pour moi lorsque j’étais une chienne, les mots étaient un support à ma jouissance.
• Depuis la naissance de son fils Aldo, on dirait qu’il a perdu l’envie d’elle.
Un de ses voisins lui fait des propositions disons malhonnêtes, mais elle hésite à le tromper.
• Je suis une mauvaise conseillère, malgré nos deux enfants nous sommes fusionnelles.
Je me mets à bâiller.
• Si vous saviez la nuit qu’il m’a fait passer, dès que je serais de retour chez nous, je dirai à ma bonne d’aller rechercher les enfants.
• Tu as une bonne et ton mari semble être une bête de sexe, je comprends que tu veuilles garder pour toi ce que doit faire notre amie.
Voilà comment on entre dans une série de mensonge se répercutant chaque fois que je fais l’amour.
L’amour, depuis le début de mes confidences à Chris, vous savez la vérité, mais je veux éviter de dire à tout instant mon devoir conjugal.
Le plus important c’est que cela se répète chaque matin devant notre café.
Ces deux femmes comme d’autres je le pense, car devant l’école, d’autres groupes de femmes se sont constitués.
Toutes ou du moins la plupart passent les quelques minutes ensemble à parler de cul.
Contrairement aux hommes qui savent mettre leur bite en avant avec des mots crus, elles le font avec des mots plus feutrés qui à la longue excitent mon entrejambe.
Comment le processus se met en marche à la longue, peut-être lorsque Francine passe le pas avec son viril voisin ?
Chaque matin elle nous explique, sans rentrer dans les détails comme le ferait un homme, comment l’on fait pour tromper son mari sans qu’il s’en aperçoive ?
De votre côté tout va bien, aucune ombre au tableau, votre mari s’évertue à vous combler de bonheur, de cadeaux et d’amour sexuel alors que vous êtes une femme frustrée.
• Je vous quitte, Arsène m’attend, nous avons peu de temps, mon mari rentre manger ce midi et il faut qu’il me baise avant, j’ai le repas à préparer.
Moi, aucun de ces problèmes, Jules et Jade mangent à la cantine et Loïc se fait servir par Uber depuis que cela existe.
Alors dès que je suis dans ma voiture, je sors mon Iphone et je compose.
06 00 ça vous connaissez déjà, mais j’ajoute les quatre derniers chiffres.
Par chance ou par malchance, là ou mon cerveau arrive difficilement mon propre numéro, j’ai tellement regardé celui d’Alex que ces quatre chiffres se tapent presque seul sur le clavier.
Je vais pour raccrocher, un moment de lucidité de dernière minute plus tôt même seconde me fait penser que je vais tous perdre.
Hélas, trois fois hélas, mille fois, hélas, alors que je vais appuyer sur la position pause, ça décroche.
• Alex à votre service, que puis-je pour vous.
Eh non !
La chance d’avoir un mari qui me comble, cet Iphone, c’est lui hier qui me l’a offert sans le moindre calcul bien que j’espérerais qu’il me calcule plus.
Mais je comme dans le film vu au cinéma ou l’ange noir arrive à faire faire au personnage ce que l’ange blanc refuse de faire, je refais le numéro.
• C’est toi France, j’attendais ton coup de fil.
Je t’avais bien dit qu’une salope reste toujours une salope même si elle se drape dans des habits de bourge.
À la discothèque dès que j’ai vu ton mari, charmant, je dois le dire et que je t’ai reconnue j’ai su que tu freinais ton corps alors qu’avant chez toi il était épanoui.
• Arrête de parler, ton adresse.
• Tu as de la chance, j’allais partir.
22, impasse Jacquard presque à l’opposé de la discothèque.
À l’opposé, mais non loin de notre maison que nous habitons avec Loïc.
Je roule dépassant les limites autorisées, j’ai le temps de voir un radar, mais par chance c’est chez moi que je vais recevoir ma prune.
J’aurais été arrêté, je me serais peut-être reprise, mais là je veux du sexe.
Peu importe, j’arrive à destination, Alex à peine m’a-t-il ouvert me prend dans ses bras et me soulève me plaquant contre.
Il est si puissant que ma chatte est à hauteur de ses lèvres et qu’il commence à me la bouffer.
• Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhahhhhhhhhhhhhhhhhohhhhhhhhhhh
C’est tout ce qui arrive à sortir de ma bouche.
Il lui faut respirer, il me plaque d’une seule de ses mains.
Je sens son autre main chercher mon entrer et la trouver sans mal, il m’enfonce ses doigts puis son poing dans la chatte.
Les ah ! et les Oh ! sont plus modulés tellement je suis cloué au pilori.
La jouissance suivie d’un orgasme dévastateur qui me traverse est nettement plus puissant que la dernière fois où j’ai vécu en mode pute où salope au choix de chacun.
Être fistée grâce aux nombreuses bites reçues depuis mes années de débauche et en plus par là ou mes enfants sont sorti m’élargissant encore mieux, c’est époustouflant.
Même ma robe de bourge participe à ma fête en se tirebouchonnant autour de ma taille.
Comme je l’ai dit dans leur coupe, j’ai gardé une part de féminité et mes seins libres sortent dès qu’il me repose au sol et qu’en voulant encore je me mets à quatre pattes, suis-je une chienne ou non ?
C’est ma bouche en premier qu’il enfile, je retrouve le plaisir d’une gorge profonde.
• Baise-moi, baise-moi salopard.
Oui je suis une truie, une pute, une salope, une vide couille.
J’ai recraché sa bite droite comme un I, je la veux en moi.
• Suis-moi, je vais te baiser comme dans le bon vieux temps.
C’est par les cheveux qu’il me tire vers son lit, ma robe glisse sur moi voulant entériner elle-même la roulure retrouvée.
Et ça recommence, il me prend sans aucun ménagement pour la femme que je suis et j’avoue que j’aime, que j’adore ça et même que j’en redemande.
Hélas, tout à une fin, c’est l’heure de devenir le deuxième personnage que je suis.
Dans la salle de bain où je vais pour revenir la bourge avant d’aller retrouver mes enfants, je me fais peur, mon maquillage a coulé et je suis couverte de sperme.
J’en ai encore au coin de mes lèvres, comme la salope redevenue, je veux tout garder alors avec mon doigt, je le récupère et je l’avale avec délice.
Alex est vautré sur son lit, il récupère après les exploits qu’il a faits jusqu’à 15 heures avant que je retourne à l’école.
J’aurais su que je serais redevenue la pute d’avant, j’en aurais bien remis un petit coup.
Mais c’est parti remis, la prochaine fois que ma chatte me soumettra à sa soumission, avant j’appellerai Pauline pour qu’elle assume la sortie des enfants.
• Que t’arrive-t-il France, tu as une tête différente de celle de ce matin où tu es partie presque en courant, on ignore pourquoi.
• Vous m’excusez, j’ai reçu un message de mon mari me disant qu’il m’attendait à la maison.
Il s’est absenté de sa société pour que nous soyons seuls chez nous sans les enfants.
Me permettez-vous de garder pour moi ce que nous avons fait, grâce à leurs absences, j’ai pu hurler tout le plaisir qu’il me donnait.
• Quelle chanceuse tu es ?
Au plus loin que je me souvienne, hurler de plaisir, j’aurais aimé que cela m’arrive...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...