COLLECTION SOUMISE. Il est difficile d’échapper à son destin. Saison II (5/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2397 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 997 537 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 1 726 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION SOUMISE. Il est difficile d’échapper à son destin. Saison II (5/6)
Merde, pardon mince, c’est déjà le chapitre cinq de mes aventures.
Pourtant, Chris avait accepté d’écrire mon histoire me demandant d’éviter de dépasser trois chapitres.
Les histoires trop longues doivent lasser ses lecteurs car au-delà de trois, leur nombre diminue et ça lui fait de la peine.
Chaque fois qu’il écrit une nouvelle aventure de ses héros et héroïnes, il est enthousiaste de leur avoir trouvé de nouvelles situations.
Surtout lorsqu’elles sont scabreuses comme la jeune femme que j’étais lors de ma vie de jeune fille.
Certains diront peut-être, lors de leur commentaire, quand craquerais-je et recommencerais-je à être soumise à ma chatte ?
Quand redeviendrais-je la femme se servant de son sexe autrement que pour faire des enfants et son devoir conjugal motif de ses frustrations ?
J’ai été tellement enthousiaste à raconter mon histoire que Chris en a faite deux saisons.
Voici le chapitre V suivi du VI, le dernier je vous le promets.
Je suis fière d’avoir craqué à la fin du quatrième chapitre même si ça dépasse les souhaits de Chris.
Je vous en supplie pour lui, restez parmi nous, j’ai craqué et je souhaite aller au bout de mes envies.
Celle d’une salope, mot que j’aime à répéter quand je quitte Alex, ma chatte bien défoncée.
La chance, je me la donne, impossible que je sois de nouveau la femme rongeant son envie de baiser jusqu’à la fin de sa vie.
Deux femmes en moi, celle qui le soir même se donne à son mari dans la position du missionnaire recevant sa semence pour son entière satisfaction et la seconde par commencer chez mes parents.
Ça va paraître bizarre de parler de baise et de mes parents.
Lors d’un repas de famille chez nous pour l’anniversaire de Jules, maman se plaint qu’ils se sentent privés de leurs petits-enfants.
C’est Loïc qui m’envoie à l’abattoir si abattoir il y a.
• Le dernier week-end de chaque mois, sauf celui d’août où la boîte est fermée, je suis pris par les bilans du mois et je suis peu à la maison.
France, tu veux venir chez tes parents avec les enfants le samedi et le dimanche, j’accepterais que tu ailles chez eux.
• Je vous adore Loïc, vous êtes un mari rare pour votre femme.
Un instant, j’ai peur que maman parle trop et surtout sur mes turpitudes de jeunesse.
Il faut se souvenir que j’ai vendu à celui qui devait devenir mon mari une petite défloraison par Christian sans bien m’en souvenir.
Comment réagirait Loïc s’il savait que je me faisais défoncer comme une malade par les premières bites venues jusqu’à notre rencontre lors de mes 25 ans ?
Par chance, maman se souvient par où je les ai fait passer et arrête de parler.
Une nouvelle fois, j’ai failli dire, « arrête de fermer sa gueule. »C’est même elle qui ouvre la porte à plus de liberté pour moi.
• Les enfants finissant à 16 heures, France pourrait les récupérer à la sortie et venir directement ici, nous en profiterions une soirée de plus.
Deux heures de route, j’aurais eu le temps de préparer le repas et de faire leurs lits.
Trois semaines plus tard, c’est le bilan comptable de la chaudronnerie, je récupère les enfants à la sortie de l’école et j’arrive chez mes parents.
Ce soir, j’ai envie de retrouver certains endroits que j’ai bien connus.
Depuis ce repas m’ouvrant des portes vers une certaine liberté, j’ai deux fois fait mon devoir de façon habituelle, ma chatte réclame sa part de sexe comme Alex a su m’en donner.
J’ai principalement envie de retrouver un bar où je rencontrais souvent des hommes finissant par être mes amants.
• Maman, j’ai échangé avec Joséphine ma copine depuis mon mariage.
Je lui ai dit que je viendrais tous les mois pour que vous soyez avec les enfants et elle souhaite que nous allions boire un verre ce soir.
Pouvez-vous papa et toi garder les enfants ?
Est-ce ma tenue de bourge qui la rassure, elle sert très bien quand je veux passer pour une femme honorable, la réponse de maman me satisfait.
• France va rejoindre ta copine.
Lorsque tu as dit oui à Loïc, ton père et moi avons été soulagés de te voir rentrer dans le droit chemin et d’arrêter de nous faire honte par moments par tes tenues et ton comportement.
Tu es assez raisonnable pour voir le chemin que tu as parcouru et la chance que tu aies eu de tomber sur notre gendre qui t’a donné deux beaux enfants.
• Je sais tout ça maman et je vous remercie d’avoir tu à mon mari que j’ai eu une jeunesse un peu tumultueuse.
Si vous saviez comme mon mari me comble depuis que je l’ai rencontré.
Plus faux cul que moi tu meures.
Maman en gardant mes enfants me permet de sortir.
J’emporte dans mon sac à main, l’une des tenues que j’avais laissées derrière moi lorsque j’avais quitté ma chambre pour rejoindre l’étude de maître Benoit.
Short ras le fruit de mon tourment, réveillé dans les bras d’Alex là-bas où mon mari doit suer sang et eau pour gagner de beaux billets me donnant une vie d’oisiveté.
Débardeur du même style laissant déborder mes seins qui se sont développés après l’allaitement de Jules et Jade.
Ajoutez à ça les cuissardes à hauts talons placés dans mon coffre sans que ma famille me remarque à un moment ou maman joue dans le jardin avec mes enfants.
Dans un chemin creux, je quitte mes fringues bcbg pour ma peau de chasseresse.
Je me rends bien dans ce bar, mais sans avoir rendez-vous avec Joceline.
Par chance lorsque je rentre, aucun client de connaissance, mais de belles bites sur pied qui vont facilement combler mon addiction au sexe que j’ai trop voulu refréner.
• France, ça alors, si je m’attendais à te trouver ici !
J’étais en train de parler avec un bel homme qui s’était empressé de m’offrir un verre.
Je venais d’apprendre que c’était un homme d’affaires jeune qui se retrouvait bloqué après une après-midi de travail son prochain train partant seulement demain matin.
Une nuit d’hôtel, seul alors il était venu boire un verre avant d’aller dîner.
Exactement le genre de proie que j’aimais trouver du temps de ma splendeur.
Un homme, un soir, un hôtel, un coup.
• Patricia, ça alors, si je m’attendais te rencontrer en ce début de soirée ici.
Pour ceux qui veulent éviter de relire tous les chapitres, Patricia est la mère de Joseph et Christian qui a été la première avec laquelle je me suis gouinée et qui m’a sodomisé avec un gode.
Christian vous savez tous que c’est lui qui m’a dépucelé autant que je le dépucelais et Joseph, son frère ayant été, lui aussi mon amant.
J’ai fait le tour de la famille prenant conscience que c’est en partie par leur rencontre que j’ai été la soumise de mon sexe.
J’avais fui pour éviter de continuer dans cette débauche, la présence de Patricia faisant la boucle de celle que je souhaite redevenir dans de courtes soirées comme celle de ce soir.
• Mesdames, permettez-moi, de vous inviter au restaurant de mon hôtel, j’ai une table de retenue.
C’est après nous avoir offerts deux cocktails sans alcool, je dois conduire pour retourner chez mes parents, mes enfants et ma tenue de bourge retrouvée que bras dessus bras dessous nous partons vers ce restaurant avec à la clef une chambre nous attendant.
Combien de fois, ai-je dîné avec des hommes et finit dans les étages ?
C’est un peu pour cet ensemble de choses que je chassais dans ce bar.
Je suis assise à côté de Sylvain, le mâle rencontré par hasard dans ce même bar.
Patricia est en face de moi et son pied nu vient caresser mon short me faisant mouiller.
• France, sais-tu que Christian est de retour en France, il a quitté le FC Barcelone pour venir jouer en France dans un club parisien.
Il m’a demandé pas plus tard que samedi dernier si j’avais de tes nouvelles.
Tiens voici son numéro, tu peux l’appeler.
• Son Espagnole l’a suivie !
• Non , elle est restée avec leur fils là-bas, ils ont divorcé.
C’est le moment où Sylvain profite de notre conversation, sortant un stylo de sa poche pour que Patricia ayant découpé un coin de nappe en papier pour me noter le numéro que je sente sa main glisser dans mon entrecuisse.
• Mesdames après ce bon repas, je me demandais comment inviter l’une ou l’autre à monter dans ma chambre.
À ce que je viens de sentir, Patricia ton pied caressant la chatte de France, c’est à vous deux que j’offre ma chambre.
• À une condition Sylvain que tu nous accompagnes, lorsqu’il y en a pour deux, il y en a pour trois...
Mince, Chris vient de mettre les trois petits points, il souhaite vous faire languir, il est assez sadique pour ça.
Rendez-vous chapitre VI pour qu’il vous raconte la suite de la salope que je suis redevenue.
Pourtant, Chris avait accepté d’écrire mon histoire me demandant d’éviter de dépasser trois chapitres.
Les histoires trop longues doivent lasser ses lecteurs car au-delà de trois, leur nombre diminue et ça lui fait de la peine.
Chaque fois qu’il écrit une nouvelle aventure de ses héros et héroïnes, il est enthousiaste de leur avoir trouvé de nouvelles situations.
Surtout lorsqu’elles sont scabreuses comme la jeune femme que j’étais lors de ma vie de jeune fille.
Certains diront peut-être, lors de leur commentaire, quand craquerais-je et recommencerais-je à être soumise à ma chatte ?
Quand redeviendrais-je la femme se servant de son sexe autrement que pour faire des enfants et son devoir conjugal motif de ses frustrations ?
J’ai été tellement enthousiaste à raconter mon histoire que Chris en a faite deux saisons.
Voici le chapitre V suivi du VI, le dernier je vous le promets.
Je suis fière d’avoir craqué à la fin du quatrième chapitre même si ça dépasse les souhaits de Chris.
Je vous en supplie pour lui, restez parmi nous, j’ai craqué et je souhaite aller au bout de mes envies.
Celle d’une salope, mot que j’aime à répéter quand je quitte Alex, ma chatte bien défoncée.
La chance, je me la donne, impossible que je sois de nouveau la femme rongeant son envie de baiser jusqu’à la fin de sa vie.
Deux femmes en moi, celle qui le soir même se donne à son mari dans la position du missionnaire recevant sa semence pour son entière satisfaction et la seconde par commencer chez mes parents.
Ça va paraître bizarre de parler de baise et de mes parents.
Lors d’un repas de famille chez nous pour l’anniversaire de Jules, maman se plaint qu’ils se sentent privés de leurs petits-enfants.
C’est Loïc qui m’envoie à l’abattoir si abattoir il y a.
• Le dernier week-end de chaque mois, sauf celui d’août où la boîte est fermée, je suis pris par les bilans du mois et je suis peu à la maison.
France, tu veux venir chez tes parents avec les enfants le samedi et le dimanche, j’accepterais que tu ailles chez eux.
• Je vous adore Loïc, vous êtes un mari rare pour votre femme.
Un instant, j’ai peur que maman parle trop et surtout sur mes turpitudes de jeunesse.
Il faut se souvenir que j’ai vendu à celui qui devait devenir mon mari une petite défloraison par Christian sans bien m’en souvenir.
Comment réagirait Loïc s’il savait que je me faisais défoncer comme une malade par les premières bites venues jusqu’à notre rencontre lors de mes 25 ans ?
Par chance, maman se souvient par où je les ai fait passer et arrête de parler.
Une nouvelle fois, j’ai failli dire, « arrête de fermer sa gueule. »C’est même elle qui ouvre la porte à plus de liberté pour moi.
• Les enfants finissant à 16 heures, France pourrait les récupérer à la sortie et venir directement ici, nous en profiterions une soirée de plus.
Deux heures de route, j’aurais eu le temps de préparer le repas et de faire leurs lits.
Trois semaines plus tard, c’est le bilan comptable de la chaudronnerie, je récupère les enfants à la sortie de l’école et j’arrive chez mes parents.
Ce soir, j’ai envie de retrouver certains endroits que j’ai bien connus.
Depuis ce repas m’ouvrant des portes vers une certaine liberté, j’ai deux fois fait mon devoir de façon habituelle, ma chatte réclame sa part de sexe comme Alex a su m’en donner.
J’ai principalement envie de retrouver un bar où je rencontrais souvent des hommes finissant par être mes amants.
• Maman, j’ai échangé avec Joséphine ma copine depuis mon mariage.
Je lui ai dit que je viendrais tous les mois pour que vous soyez avec les enfants et elle souhaite que nous allions boire un verre ce soir.
Pouvez-vous papa et toi garder les enfants ?
Est-ce ma tenue de bourge qui la rassure, elle sert très bien quand je veux passer pour une femme honorable, la réponse de maman me satisfait.
• France va rejoindre ta copine.
Lorsque tu as dit oui à Loïc, ton père et moi avons été soulagés de te voir rentrer dans le droit chemin et d’arrêter de nous faire honte par moments par tes tenues et ton comportement.
Tu es assez raisonnable pour voir le chemin que tu as parcouru et la chance que tu aies eu de tomber sur notre gendre qui t’a donné deux beaux enfants.
• Je sais tout ça maman et je vous remercie d’avoir tu à mon mari que j’ai eu une jeunesse un peu tumultueuse.
Si vous saviez comme mon mari me comble depuis que je l’ai rencontré.
Plus faux cul que moi tu meures.
Maman en gardant mes enfants me permet de sortir.
J’emporte dans mon sac à main, l’une des tenues que j’avais laissées derrière moi lorsque j’avais quitté ma chambre pour rejoindre l’étude de maître Benoit.
Short ras le fruit de mon tourment, réveillé dans les bras d’Alex là-bas où mon mari doit suer sang et eau pour gagner de beaux billets me donnant une vie d’oisiveté.
Débardeur du même style laissant déborder mes seins qui se sont développés après l’allaitement de Jules et Jade.
Ajoutez à ça les cuissardes à hauts talons placés dans mon coffre sans que ma famille me remarque à un moment ou maman joue dans le jardin avec mes enfants.
Dans un chemin creux, je quitte mes fringues bcbg pour ma peau de chasseresse.
Je me rends bien dans ce bar, mais sans avoir rendez-vous avec Joceline.
Par chance lorsque je rentre, aucun client de connaissance, mais de belles bites sur pied qui vont facilement combler mon addiction au sexe que j’ai trop voulu refréner.
• France, ça alors, si je m’attendais à te trouver ici !
J’étais en train de parler avec un bel homme qui s’était empressé de m’offrir un verre.
Je venais d’apprendre que c’était un homme d’affaires jeune qui se retrouvait bloqué après une après-midi de travail son prochain train partant seulement demain matin.
Une nuit d’hôtel, seul alors il était venu boire un verre avant d’aller dîner.
Exactement le genre de proie que j’aimais trouver du temps de ma splendeur.
Un homme, un soir, un hôtel, un coup.
• Patricia, ça alors, si je m’attendais te rencontrer en ce début de soirée ici.
Pour ceux qui veulent éviter de relire tous les chapitres, Patricia est la mère de Joseph et Christian qui a été la première avec laquelle je me suis gouinée et qui m’a sodomisé avec un gode.
Christian vous savez tous que c’est lui qui m’a dépucelé autant que je le dépucelais et Joseph, son frère ayant été, lui aussi mon amant.
J’ai fait le tour de la famille prenant conscience que c’est en partie par leur rencontre que j’ai été la soumise de mon sexe.
J’avais fui pour éviter de continuer dans cette débauche, la présence de Patricia faisant la boucle de celle que je souhaite redevenir dans de courtes soirées comme celle de ce soir.
• Mesdames, permettez-moi, de vous inviter au restaurant de mon hôtel, j’ai une table de retenue.
C’est après nous avoir offerts deux cocktails sans alcool, je dois conduire pour retourner chez mes parents, mes enfants et ma tenue de bourge retrouvée que bras dessus bras dessous nous partons vers ce restaurant avec à la clef une chambre nous attendant.
Combien de fois, ai-je dîné avec des hommes et finit dans les étages ?
C’est un peu pour cet ensemble de choses que je chassais dans ce bar.
Je suis assise à côté de Sylvain, le mâle rencontré par hasard dans ce même bar.
Patricia est en face de moi et son pied nu vient caresser mon short me faisant mouiller.
• France, sais-tu que Christian est de retour en France, il a quitté le FC Barcelone pour venir jouer en France dans un club parisien.
Il m’a demandé pas plus tard que samedi dernier si j’avais de tes nouvelles.
Tiens voici son numéro, tu peux l’appeler.
• Son Espagnole l’a suivie !
• Non , elle est restée avec leur fils là-bas, ils ont divorcé.
C’est le moment où Sylvain profite de notre conversation, sortant un stylo de sa poche pour que Patricia ayant découpé un coin de nappe en papier pour me noter le numéro que je sente sa main glisser dans mon entrecuisse.
• Mesdames après ce bon repas, je me demandais comment inviter l’une ou l’autre à monter dans ma chambre.
À ce que je viens de sentir, Patricia ton pied caressant la chatte de France, c’est à vous deux que j’offre ma chambre.
• À une condition Sylvain que tu nous accompagnes, lorsqu’il y en a pour deux, il y en a pour trois...
Mince, Chris vient de mettre les trois petits points, il souhaite vous faire languir, il est assez sadique pour ça.
Rendez-vous chapitre VI pour qu’il vous raconte la suite de la salope que je suis redevenue.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...