COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. À plusieurs (3/10)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. À plusieurs (3/10)
Ce texte est écrit avec Anne, une amie, ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.
C’est la tête pleine de doute sur mon couple avec Pierre que j’accepte de partir dans un gîte au dessus d’Aix les Bains, point de départ de nombreuses courses en montagne.
Le chalet que nous louons est propre et fonctionnel, c’est loin d’être le cas d’Albert le proprio avec sa casquette crade visée sur sa tête.
Sous la douche, je me blesse à une cheville, lorsqu’il vient nous dire que le mitigeur est inversé, bleu sur chaud, rouge sur froid, c’est malin de le dire si tard, car en plus de ma cheville, je suis à la limite de me brûler au deuxième degré.
Soyons folle, troisième degré, mais plus réellement, sûrement à peine la peau rosie.
Albert me remet ma cheville en place et me la bande dans un premier temps, m’empêchant de partir faire une marche en montagne avec mon homme Pierre.
Ça m’arrange bien car les kilomètres chaque jour, nous couchant à la dure, très peu pour moi.
Pierre part seul, je suis tranquille dans un transat quand Albert vient regarder ma cheville avant de me proposer de venir voir des poussins et des petits lapins nés dans la nuit.
Ils sont bien là, mais la verge de notre voisin aussi.
Il me prend par surprise sans pour autant que je ne me rebelle, le morceau qu’il m’introduit, me faisant jouir dès la première pénétration.
• Viens voir mon Spa, tu vas pouvoir te remettre en forme.
Pour la première fois, j’entre dans sa demeure, je suis étonnée du modernisme quand je vois l’homme devenu mon amant.
Son don de guérisseur doit lui rapporter énormément d’argent ou sont-ce les produits qu’il vend au marché ?
Il démarre le bain bouillonnant, je suis venue de la grange nue, sans aucune pudeur, j’entre, l’eau est à bonne température, je pourrais presque nager, je roule sur moi-même comme pourraient le faire des dauphins.
Quand je refais surface, je manque d’éclater de rire, Albert est nu, c'est la première fois que je vois son corps, on dirait un ours !
Je sais que les hommes que j’ai vu nus sont rares, mais les poils qui recouvrent son corps sont si nombreux que si on les coupait, on pourrait en faire un pull-over, c'est impressionnant et signe, pour moi, d'une grande virilité, cela change de la poitrine couverte de poils blancs de Pierre.
Il en a jusqu’au-dessus de ses épaules, mais le plus drôle, outre son sexe que je vois mieux que dans la grange, il a gardé sa casquette.
Quand je disais qu’elle était vissée sur sa tête !
Il s’approche, je sens qu’il veut me brouter la chatte, je m’accroche au rebord et fait un semblant de planche, mes jambes remontent, il les écarte et met son nez sur mon clitoris, il le fait bouger, je démarre une nouvelle fois.
Je suis très sensible de mon petit bouton et sa langue fait des merveilles, je jouis en gémissant.
Je dois m’accrocher fortement surtout quand, se redressant, il m’empale littéralement. Contrairement à la première fois près des cages à lapinous où il était derrière moi, je vois entrer son sexe lentement, lentement, lentement, mes lèvres s'écartent comme jamais, je sens qu’il touche le fond, malgré ça, il reste encore dix centimètres hors de moi, j’ai vraiment trouvé l’étalon unique.
Dire qu’il faut que j’atteigne 58 ans, à quelques encablures de ma retraite, pour ressentir la plénitude de mon corps, pour la première fois, je me sens femme à part entière.
Je me sers de mes bras pour me propulser sur cette bite exceptionnelle que je viens de découvrir.
Dans ce Spa, c’est mon intimité qui est comprimée par la bite que je reçois de cet homme, il est loin d’être aussi beau que mon homme, mais tellement plus efficace avec son sexe.
De nouveau, combien de fois, je jouis, combien d’orgasmes me dévastent, combien de fois je hurle au risque de déranger les clients dans le chalet voisin...
Je ne compte pas, je délire, les voisins c’est nous, les voisins c’est moi, mon voisin me baise comme jamais.
Albert s’accroche à la paroi à l’opposé du Spa, le courant lui pousse les fesses, sa verge sort de l’eau comme un sémaphore, je m’approche, je croyais avoir reçu une balle de golf, quand il me prenait par derrière, c’est plus prêt d’une balle de tennis, quand on y regarde bien.
Et là je le vois devant moi, dressé long et épais.
• Lèche là, en aucun cas, tu pourras l’avaler, elle te défoncerait la mâchoire.
J’aime les défis. Comme le ferait un boa, j’essaye d’entourer ce gland pour le faire entrer en moi, dans ma bouche, inutile, je recommencerai plus tard.
Je fini par le lécher, je pars du bout de ce gland monstrueux et je descends tout le long, je m’arrête à peu de chemin de son anus, j’ai horreur de la dépravation.
Bien que lorsque je vois dans la glace qui est contre le mur ce que je fais, je me rends compte que je suis une dépravée.
Je me suis laissé baiser en l’absence de mon homme, dès que j’ai vu la bosse sur le pantalon d’Albert, j’ai rapidement craqué.
Dans la grange, près des lapinous, j’aurais très bien pu m’échapper, j'aurais pu refuser d'entrer dans le spa, j'aurais pu m'enfuir et m'enfermer dans le chalet, je ne l'ai pas fait et en suis contente.
Comment s’appelle une femme qui se laisse prendre en levrette sur le sol en terre de la grange, comment s'appelle une femme qui aime avoir sa moule écartelée par un épais chibre sinon une salope, une dépravée.
• Albert, es-tu là ?
• Entre, Fred, mon cher plombier, je finis avec madame et je te fais voir le travail qu’il y a à faire dans le chalet.
• Je sais qu’il faut que j’inverse les tuyaux, je suis daltonien, j’ignore la différence entre les couleurs, j’avais une chance sur deux, loupé.
• Il fait chaud, un petit jacuzzi, me ferait le plus grand bien.
Je le vois enlever ses habits, sans gêne et s’avancer nu, contrairement à Albert, il en a une longue et fine, elle est encore au repos, sans se poser de question, il s’installe dans le spa.
• Tu vois Albert, quand je t’ai conseillé ce modèle, il était un peu cher et difficile à amener ici, mais grâce à Georges et son hélicoptère ça a été un jeu d’enfant, au lieu de faire du secours en montagne, il a secouru ton Spa.
Tu me prêtes ta gonzesse, elle a une bouche à faire des pipes !
À ces propos je rougis gênée et honteuse, incroyable le sans gène de ce garçon d’une trentaine d’années, où suis-je tombée, au secours Pierre.
• Tu sais que tout ce qui est à moi est à toi, Simone masturbe Fred, lui, tu vas pouvoir l’avaler.
Une nouvelle fois, depuis que nous sommes arrivés avec Pierre, mon destin va prendre un virage à 180°.
Qui m’aurait dit que je rencontrerais de tels mecs sans pudeur et sans considération pour la femme que je suis.
Il est vrai qu’avant nos vacances, je souhaitais tester l’amour de mon homme avant ma retraite, cette nouvelle expérience m’apportera peut-être une réponse à mes nombreuses questions.
J’ouvre la bouche quand il se lève et approche sa bite qui entre dégoulinante d’eau dans ma bouche, il est bien dur, moins impressionnant que le vit d'Albert mais je suis néanmoins à deux doigts de m’étouffer.
Je me reprends vite, ils veulent une salope, ils vont l’avoir.
Il bande bien, Albert profite que je suce son ami, vient derrière moi et me triture les seins.
Que c'est bon, moi qui aime que mes mamelles soient malaxées, j’adore, deux hommes à ma disposition, si je fouille au plus profond de ma mémoire, une telle situation, même dans mes rêves les plus lointains, je n’osais l’imaginer.
Albert se fait masturber avec l’aide de ma main disponible, il est toujours aussi tendu, il est loin d’être beau surtout avec sa masse de poils mouillés qui pendent sur ses épaules et sur son torse, sans compter sa casquette toujours sur sa tête, mais comment repousser sa verge.
Dommage qu’il y ait Pierre, je me verrais bien ici à l’année, ayant démissionné de mon boulot, même si les camions qui entrent et qui sortent de notre entreprise me manqueraient.
Il faut que je regarde l’évidence, dans quelques mois, ayant travaillée jeune, je serais dans l’obligation de tout quitter, étant mise au rebu comme tous ces retraités.
Alors une nouvelle vie ici, qui sait, l'avenir nous le dira ?
Fred se tend en arrière, je sens qu'il se retient, boire du sperme, ce serait la première fois, je l'ai toujours refusé à Pierre qui ne pouvait qu’éjaculer sur moi, mais là je me sens prête, Albert veut que je sois une roulure, j’allais dire pute, il va en avoir une, surtout que sans que l’on me touche mais avec la présence de l’eau bouillonnante, ma chatte est en feu.
• Bon, ta bouche est accueillante, mais je suis là pour un boulot. Simone emmène moi chez-toi dans le chalet, j’ai horreur d’être seul chez des gens, ils pourraient penser que je veux les voler.
• Je vais aller chercher et remettre mon peignoir, si Pierre revient, il pourrait trouver drôle que je me promène nue.
En attendant, nous sortons à poils du Spa, Fred remet son jean, seul vêtement qu’il avait sur lui en entrant.
Albert reste nu.
• Reste à poil, rien à craindre pour ton homme, regarde ce boitier avec des lampes vertes allumées, il y a des bornes de captage sur tous les lieux d’accès, si une personne passe devant, ça sonne ici et derrière la grange.
J’avais des renards qui venaient voler mes poules, Fred m’a installé ce système, je l’ai rentabilisé en quelques semaines, ils savent qu’ils prennent des risques, ils sont malins, plus d’intrusions.
Suis-moi je vais te montrer où tu peux te cacher si des intrus arrivent.
Je suis Albert, Fred le plombier attend que je revienne.
Une nouvelle fois, il m’entraîne vers la grange, à côté des lapinous, toujours nue mais ayant récupéré mon peignoir, j’entre par une porte dans une sorte de cage assez grande pour me recevoir.
• C’est quoi cette cage.
• Heu, un endroit que je te ferais connaître très rapidement, aujourd’hui, je voulais simplement te la montrer, je dois aller au jardin, j’ai des fraises à nettoyer et des patates à butter, il faut bien vivre, même si la location du chalet me rapporte un petit pécule.
Je marche vers le chalet, le regard de Fred, qui m'accompagne, est posé sur mes rondeurs, malgré mes deux enfants issus de mon mariage, volant de leurs propres ailes maintenant, elles sont encore assez fermes pour lui faire de l’effet.
Nous passons à côté de sa camionnette.
• Attend, je prends mes outils.
Nous entrons et allons dans la salle de bain, il manipule des robinets, ouvre, ferme avec des clés, tourne des boutons.
• Voilà, c’est fait, essaye pour voir.
• Il y a une chose qui m’interpelle, quand tu as branché, l’eau était coupée ?
• Bien sûr, je vois à quoi tu penses, il me suffisait d’ouvrir pour vérifier.
Je l’ai fait, droite gauche tous fonctionnait, seulement le chauffe eau solaire était encore chez le marchant.
Tu as été la première à le tester et te brûler le dos.
J’entre sous la douche, j’ouvre le mitigeur, tout est parfait, quand Fred vient me plaquer à la paroi.
• Dis-moi, Albert t’a déjà sodomisé ?...
C’est la tête pleine de doute sur mon couple avec Pierre que j’accepte de partir dans un gîte au dessus d’Aix les Bains, point de départ de nombreuses courses en montagne.
Le chalet que nous louons est propre et fonctionnel, c’est loin d’être le cas d’Albert le proprio avec sa casquette crade visée sur sa tête.
Sous la douche, je me blesse à une cheville, lorsqu’il vient nous dire que le mitigeur est inversé, bleu sur chaud, rouge sur froid, c’est malin de le dire si tard, car en plus de ma cheville, je suis à la limite de me brûler au deuxième degré.
Soyons folle, troisième degré, mais plus réellement, sûrement à peine la peau rosie.
Albert me remet ma cheville en place et me la bande dans un premier temps, m’empêchant de partir faire une marche en montagne avec mon homme Pierre.
Ça m’arrange bien car les kilomètres chaque jour, nous couchant à la dure, très peu pour moi.
Pierre part seul, je suis tranquille dans un transat quand Albert vient regarder ma cheville avant de me proposer de venir voir des poussins et des petits lapins nés dans la nuit.
Ils sont bien là, mais la verge de notre voisin aussi.
Il me prend par surprise sans pour autant que je ne me rebelle, le morceau qu’il m’introduit, me faisant jouir dès la première pénétration.
• Viens voir mon Spa, tu vas pouvoir te remettre en forme.
Pour la première fois, j’entre dans sa demeure, je suis étonnée du modernisme quand je vois l’homme devenu mon amant.
Son don de guérisseur doit lui rapporter énormément d’argent ou sont-ce les produits qu’il vend au marché ?
Il démarre le bain bouillonnant, je suis venue de la grange nue, sans aucune pudeur, j’entre, l’eau est à bonne température, je pourrais presque nager, je roule sur moi-même comme pourraient le faire des dauphins.
Quand je refais surface, je manque d’éclater de rire, Albert est nu, c'est la première fois que je vois son corps, on dirait un ours !
Je sais que les hommes que j’ai vu nus sont rares, mais les poils qui recouvrent son corps sont si nombreux que si on les coupait, on pourrait en faire un pull-over, c'est impressionnant et signe, pour moi, d'une grande virilité, cela change de la poitrine couverte de poils blancs de Pierre.
Il en a jusqu’au-dessus de ses épaules, mais le plus drôle, outre son sexe que je vois mieux que dans la grange, il a gardé sa casquette.
Quand je disais qu’elle était vissée sur sa tête !
Il s’approche, je sens qu’il veut me brouter la chatte, je m’accroche au rebord et fait un semblant de planche, mes jambes remontent, il les écarte et met son nez sur mon clitoris, il le fait bouger, je démarre une nouvelle fois.
Je suis très sensible de mon petit bouton et sa langue fait des merveilles, je jouis en gémissant.
Je dois m’accrocher fortement surtout quand, se redressant, il m’empale littéralement. Contrairement à la première fois près des cages à lapinous où il était derrière moi, je vois entrer son sexe lentement, lentement, lentement, mes lèvres s'écartent comme jamais, je sens qu’il touche le fond, malgré ça, il reste encore dix centimètres hors de moi, j’ai vraiment trouvé l’étalon unique.
Dire qu’il faut que j’atteigne 58 ans, à quelques encablures de ma retraite, pour ressentir la plénitude de mon corps, pour la première fois, je me sens femme à part entière.
Je me sers de mes bras pour me propulser sur cette bite exceptionnelle que je viens de découvrir.
Dans ce Spa, c’est mon intimité qui est comprimée par la bite que je reçois de cet homme, il est loin d’être aussi beau que mon homme, mais tellement plus efficace avec son sexe.
De nouveau, combien de fois, je jouis, combien d’orgasmes me dévastent, combien de fois je hurle au risque de déranger les clients dans le chalet voisin...
Je ne compte pas, je délire, les voisins c’est nous, les voisins c’est moi, mon voisin me baise comme jamais.
Albert s’accroche à la paroi à l’opposé du Spa, le courant lui pousse les fesses, sa verge sort de l’eau comme un sémaphore, je m’approche, je croyais avoir reçu une balle de golf, quand il me prenait par derrière, c’est plus prêt d’une balle de tennis, quand on y regarde bien.
Et là je le vois devant moi, dressé long et épais.
• Lèche là, en aucun cas, tu pourras l’avaler, elle te défoncerait la mâchoire.
J’aime les défis. Comme le ferait un boa, j’essaye d’entourer ce gland pour le faire entrer en moi, dans ma bouche, inutile, je recommencerai plus tard.
Je fini par le lécher, je pars du bout de ce gland monstrueux et je descends tout le long, je m’arrête à peu de chemin de son anus, j’ai horreur de la dépravation.
Bien que lorsque je vois dans la glace qui est contre le mur ce que je fais, je me rends compte que je suis une dépravée.
Je me suis laissé baiser en l’absence de mon homme, dès que j’ai vu la bosse sur le pantalon d’Albert, j’ai rapidement craqué.
Dans la grange, près des lapinous, j’aurais très bien pu m’échapper, j'aurais pu refuser d'entrer dans le spa, j'aurais pu m'enfuir et m'enfermer dans le chalet, je ne l'ai pas fait et en suis contente.
Comment s’appelle une femme qui se laisse prendre en levrette sur le sol en terre de la grange, comment s'appelle une femme qui aime avoir sa moule écartelée par un épais chibre sinon une salope, une dépravée.
• Albert, es-tu là ?
• Entre, Fred, mon cher plombier, je finis avec madame et je te fais voir le travail qu’il y a à faire dans le chalet.
• Je sais qu’il faut que j’inverse les tuyaux, je suis daltonien, j’ignore la différence entre les couleurs, j’avais une chance sur deux, loupé.
• Il fait chaud, un petit jacuzzi, me ferait le plus grand bien.
Je le vois enlever ses habits, sans gêne et s’avancer nu, contrairement à Albert, il en a une longue et fine, elle est encore au repos, sans se poser de question, il s’installe dans le spa.
• Tu vois Albert, quand je t’ai conseillé ce modèle, il était un peu cher et difficile à amener ici, mais grâce à Georges et son hélicoptère ça a été un jeu d’enfant, au lieu de faire du secours en montagne, il a secouru ton Spa.
Tu me prêtes ta gonzesse, elle a une bouche à faire des pipes !
À ces propos je rougis gênée et honteuse, incroyable le sans gène de ce garçon d’une trentaine d’années, où suis-je tombée, au secours Pierre.
• Tu sais que tout ce qui est à moi est à toi, Simone masturbe Fred, lui, tu vas pouvoir l’avaler.
Une nouvelle fois, depuis que nous sommes arrivés avec Pierre, mon destin va prendre un virage à 180°.
Qui m’aurait dit que je rencontrerais de tels mecs sans pudeur et sans considération pour la femme que je suis.
Il est vrai qu’avant nos vacances, je souhaitais tester l’amour de mon homme avant ma retraite, cette nouvelle expérience m’apportera peut-être une réponse à mes nombreuses questions.
J’ouvre la bouche quand il se lève et approche sa bite qui entre dégoulinante d’eau dans ma bouche, il est bien dur, moins impressionnant que le vit d'Albert mais je suis néanmoins à deux doigts de m’étouffer.
Je me reprends vite, ils veulent une salope, ils vont l’avoir.
Il bande bien, Albert profite que je suce son ami, vient derrière moi et me triture les seins.
Que c'est bon, moi qui aime que mes mamelles soient malaxées, j’adore, deux hommes à ma disposition, si je fouille au plus profond de ma mémoire, une telle situation, même dans mes rêves les plus lointains, je n’osais l’imaginer.
Albert se fait masturber avec l’aide de ma main disponible, il est toujours aussi tendu, il est loin d’être beau surtout avec sa masse de poils mouillés qui pendent sur ses épaules et sur son torse, sans compter sa casquette toujours sur sa tête, mais comment repousser sa verge.
Dommage qu’il y ait Pierre, je me verrais bien ici à l’année, ayant démissionné de mon boulot, même si les camions qui entrent et qui sortent de notre entreprise me manqueraient.
Il faut que je regarde l’évidence, dans quelques mois, ayant travaillée jeune, je serais dans l’obligation de tout quitter, étant mise au rebu comme tous ces retraités.
Alors une nouvelle vie ici, qui sait, l'avenir nous le dira ?
Fred se tend en arrière, je sens qu'il se retient, boire du sperme, ce serait la première fois, je l'ai toujours refusé à Pierre qui ne pouvait qu’éjaculer sur moi, mais là je me sens prête, Albert veut que je sois une roulure, j’allais dire pute, il va en avoir une, surtout que sans que l’on me touche mais avec la présence de l’eau bouillonnante, ma chatte est en feu.
• Bon, ta bouche est accueillante, mais je suis là pour un boulot. Simone emmène moi chez-toi dans le chalet, j’ai horreur d’être seul chez des gens, ils pourraient penser que je veux les voler.
• Je vais aller chercher et remettre mon peignoir, si Pierre revient, il pourrait trouver drôle que je me promène nue.
En attendant, nous sortons à poils du Spa, Fred remet son jean, seul vêtement qu’il avait sur lui en entrant.
Albert reste nu.
• Reste à poil, rien à craindre pour ton homme, regarde ce boitier avec des lampes vertes allumées, il y a des bornes de captage sur tous les lieux d’accès, si une personne passe devant, ça sonne ici et derrière la grange.
J’avais des renards qui venaient voler mes poules, Fred m’a installé ce système, je l’ai rentabilisé en quelques semaines, ils savent qu’ils prennent des risques, ils sont malins, plus d’intrusions.
Suis-moi je vais te montrer où tu peux te cacher si des intrus arrivent.
Je suis Albert, Fred le plombier attend que je revienne.
Une nouvelle fois, il m’entraîne vers la grange, à côté des lapinous, toujours nue mais ayant récupéré mon peignoir, j’entre par une porte dans une sorte de cage assez grande pour me recevoir.
• C’est quoi cette cage.
• Heu, un endroit que je te ferais connaître très rapidement, aujourd’hui, je voulais simplement te la montrer, je dois aller au jardin, j’ai des fraises à nettoyer et des patates à butter, il faut bien vivre, même si la location du chalet me rapporte un petit pécule.
Je marche vers le chalet, le regard de Fred, qui m'accompagne, est posé sur mes rondeurs, malgré mes deux enfants issus de mon mariage, volant de leurs propres ailes maintenant, elles sont encore assez fermes pour lui faire de l’effet.
Nous passons à côté de sa camionnette.
• Attend, je prends mes outils.
Nous entrons et allons dans la salle de bain, il manipule des robinets, ouvre, ferme avec des clés, tourne des boutons.
• Voilà, c’est fait, essaye pour voir.
• Il y a une chose qui m’interpelle, quand tu as branché, l’eau était coupée ?
• Bien sûr, je vois à quoi tu penses, il me suffisait d’ouvrir pour vérifier.
Je l’ai fait, droite gauche tous fonctionnait, seulement le chauffe eau solaire était encore chez le marchant.
Tu as été la première à le tester et te brûler le dos.
J’entre sous la douche, j’ouvre le mitigeur, tout est parfait, quand Fred vient me plaquer à la paroi.
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