COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Mon homme (5/13)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Mon homme (5/13)
Ce texte est écrit avec Anne, une amie, ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.
Je viens d’accumuler les gaffes.
À l’ordre que viens de me donner Albert, j’ai coupé les tiges et fleurs de pissenlit au lieu de la plante entière.
J’ai fait une deuxième erreur en laissant échapper un petit lapinou qui est venu se réfugier sous la cage.
C’est à quatre pattes, le cul en l’air à la merci de la bite de mon amant qu’il me donne l’ordre d’aller couper une branche de noisetier dans le buisson à deux pas de nous.
• Celle-là, te va-t-elle ?
• Je pense qu’elle fera l’affaire, donne-moi la branche et le couteau.
Il enlève les petites branches, dégageant une baguette d'au moins 2 mètres de long. J’ai coupé un rejet de l’année, bien droit sans savoir à quoi cela va servir.
La baguette prête, il la fait fouetter l’air.
• Parfait, elle est assez souple et le diamètre fait qu’elle va très bien résister. Appuie tes mains sur la cage.
• Que vas-tu me faire ?
• Avec moi, toute erreur se paye cache, fait ressortir ton cul.
J’écarte un peu mes jambes, je me recule légèrement, cela creuse mes reins.
Je suis penchée, je vois mes gros seins en forme de poire 95 C pour mes bonnets de soutient avant qu’Albert m’oblige à me promener nue, ils pendent devant moi.
• Aie.
Albert vient de me fouetter avec la badine, un coup si fort que les larmes me viennent aux yeux.
• Aie.
Une nouvelle fois, la badine s’abat sur mon fessier.
Pour mon âge elles sont encore très fermes, pas trop grosses, mais rondes.
Je ressens une vive douleur, je dois être marquée, j’aurais mieux fait d’avoir de la cellulite, elle aurait amorti les coups.
• Sais-tu pourquoi je te fouette ?
• Oui Albert, j’ai fait des bêtises et j’ai mérité ma punition.
• Tu vois, ce lapin, cette nuit, il va sortir et sera bouffé par un prédateur.
La vie est dure dans notre montagne et le moindre euro est primordial pour ma survie.
Un nouveau coup, j’ai mal, mais je comprends que je ne dois plus émettre un son. Qu’Albert me fouette autant qu’il le veut, à moi d’apprendre à être sa parfaite soumise.
• C’est bien, tu fermes ta gueule.
Merde, la baguette a cassé, tu as de la chance, je t’en aurais bien mis un ou deux coups de plus.
Entre dans ta cage, on verra si tu as le droit de manger tout à l’heure.
Pour me parler, il me prend par les cheveux, il me tire la tête en arrière, j’ai envie de hurler, je suis sûr qu’il doit lui en rester des mèches dans la main.
Je me redresse, il me tire jusqu’à la cage, ouvre la porte et me balance littéralement à l’intérieur.
• Médite sur ton comportement, ici la vie est dure surtout l’hiver, par ta négligence, je vais être obligé de donner des granulés aux lapins, alors que le champ regorge de nourriture qu’ils adorent.
• J’ai compris Albert, punie-moi si tu veux, mais garde-moi au moins jusqu’au retour de Pierre, après si tu le désires, nous quitterons ta ferme et plus jamais tu n’entendras parler de nous.
Je suis affalée dans la cage, je veux m’asseoir, mon cul me fait horriblement mal.
Je vois Albert, la casquette toujours vissée sur sa tête, fermer la porte sans un regard pour moi.
Combien de temps suis-je dans cette position comme un œuf, impossible de le dire. J’ai faim, j’ai soif, lorsque je passe le doigt sur mes fesses, des zébrures boursoufflées sont toujours là.
Un endroit semble "entamé", quand je regarde mon doigt, il y a des traces de sang, je pleure, mais silencieusement, s’il revient, je veux qu’il trouve sa petite chienne contente de sa situation.
Un seul point noir dans ma cage, les heures succèdent aux heures et la lumière reste allumée, je la regardais quand j’ai envie de faire un petit besoin naturel.
C’est à ce moment que la porte s’ouvre, Albert est là.
• Tiens voilà à boire et à manger.
Voici aussi le pot de chambre de ma grand-mère, ici, rien ne se perd, il faut que ton nouveau domaine reste propre.
Mets-toi à quatre pattes que je regarde tes fesses.
Je me place en levrette, il passe sa main sur ce qui reste des boursoufflures.
• Voyons si Fred a bien fait son travail.
Je tourne ma tête, le sexe, engin de mon plaisir, est dans sa main toujours aussi majestueux, il bande, il pli les genoux, c’est marrant, je l’ai toujours vu le pantalon au bas des jambes.
Il s’avance vers mon anus, ma chatte est en feu.
À part sa grande et grosse queue, qu’est-ce que cet homme a de particulier pour m’avoir séduite ?
C’est vrai, c'est son regard, je tourne les yeux, quand il me regarde comme il le fait en ce moment, il me fait craquer.
• Attention, je t’encule, mes couilles sont pleines.
Il entre, son gland passe, il pousse un grand coup, ma bouche est trop petite pour qu’elle entre, son sexe est bien au fond de moi.
Mais une grande longueur est dans l’impossibilité d’aller plus loin, sauf à me perforer les intestins.
• Albert fait de moi ce que tu veux, j’aime que tu m’encules.
Je suis devenue folle, je suis en train de me faire enculer dans une cage, même capitonnée, alors qu’à quelques mètres, Pierre a loué le chalet ne servant à rien.
Lui me courant après en montagne et moi couchée en chien de fusil, position que je reprends quand il décharge dans mon cul.
Il me quitte, je suis à la limite entre deux sentiments, moi la femme de 58 ans, bientôt retraité, j’accepte toutes ses soumissions sans me rebeller, suis-je programmée tout au long de ma vie pour finir dans cette cage même si les couleurs sont roses ?
J’ai deux priorités, soit manger soit pisser.
Je commence par la deuxième envie, sinon ma cage va finir par devenir invivable si je fais sur le tapis molletonné.
Souffrir, c’est une chose, pisser dans un pot est un délice quand mon urine sort de ma chatte, Albert a encore à apprendre sur les femmes, il a oublié de me donner du papier hygiénique et moi j’ai pour habitude d’enlever les dernières gouttes en temps normal.
La porte s’ouvre, me montrant dans cette position obscène, accroupie sur mon pot de chambre.
• J’ai oublié le papier.
Il me jette le rouleau comme on jette un os à un chien, je devrais dire à une chienne.
Je m’assois, la douleur de mon fessier est remplacée par une douleur de mon anus. Sur le coup, il est entré comme dans du beurre, mais maintenant ma rosette, qui a dû se distendre, me fait un peu mal.
Je coupe une feuille, je me la passe là où ça fait mal.
Le papier est couvert du sperme de mon amant.
J’entre un doigt et me surprends à le sucer.
Qu’est-ce qu’Albert fait de moi ?
Une femme soumise prête à tout pour un moment de plaisir avec lui.
Manger, deuxième envie à satisfaire, je prends le croûton de pain, je le porte à ma bouche, il est dur, plus que dur.
Si je croque, je m’enlève une dent, moi qui à mon âge s’enorgueillit de les avoir toutes en parfait état !
Quand j’étais petite, un jour où j’avais été parfaitement horrible, papa m’avait mise au pain sec et à l’eau pendant deux jours.
Je sais maintenant que pour Albert, laisser échapper un lapinou, c’est très grave.
Je sais comment faire grâce à papa, je trempe le croûton dans l’eau le laisse imbiber et je mange en buvant.
Cette façon de faire me permet de boire sans avoir à laper mon eau.
Bien sûr, je pourrais prendre la gamelle dans ma main et boire, mais comme une grande, j’ai compris qu’une soumise, comme j’aspire à le devenir, doit se comporter comme une chienne si mon homme souhaite que j’en sois une.
Un moment, la vision de Pierre courant dans la montagne me traverse l’esprit, mais je crois que ma décision est prise, je vais le quitter, il faut être con de courir après quelqu’un, fut-ce moi, sans savoir où je suis partie !
Je dois de nouveau dormir, la porte s’ouvre me faisant sursauter, je suis cassée, moi qui ai toujours aimé les matelas bien moelleux.
Derrière le dos d’Albert, je vois qu’il fait jour, Pierre doit courir dans sa montagne depuis vingt-quatre heures.
• Je vois que tu as tout mangé, c’est bien il faut que tu prennes des forces.
Va nourrir les lapins et ramasse les œufs, mets-les en boîte de six, tu les trouveras sur la table près du poulailler, nous irons les vendre au marché d’Aix demain.
Je sors, j’emmène mon papier avec mon pot pour le vider, je dois m’isoler.
Je demanderais bien à Albert où sont les toilettes, mais j’ai très rapidement appris à fermer ma bouche, mon erreur est encore trop fraîche.
Il me fait de nouveau confiance, il m’a demandé de m’occuper des lapinous, je prends mon panier, mon couteau.
Lui, il travaille dans son jardin pendant que je fais ça, je suis contente.
Je coupe un panier de plantes et je vais ouvrir les cages faisant attention que tous restent sagement à l’intérieur.
Pour finir avec les lapinous, je profite de nourrir un gros mâle dans la cage du bas, ce doit être le papa des petits.
Tient, le petit est-il toujours sous la cage ?
Je m’agenouille et je plaque ma joue au sol, je suis loin de me rendre compte que mon cul est relevé.
• C’est bien Simone, tu apprends vite, tu me donnes envie.
J’ai gardé dans ma main un pissenlit, je l’avance vers mon fugitif, il doit être aussi affamé que moi, il avance, je l’attrape.
C’est à ce même moment qu’Albert me prend la chatte.
Quel homme, il y a peu, il m’enculait, maintenant il me prend sauvagement.
Je hurle, mais de plaisir, c'est une position obscène pour une grand-mère, mais c’est quand même un orgasme qui me traverse.
Je suis bien devenue une chienne, bonne à baiser…
Je viens d’accumuler les gaffes.
À l’ordre que viens de me donner Albert, j’ai coupé les tiges et fleurs de pissenlit au lieu de la plante entière.
J’ai fait une deuxième erreur en laissant échapper un petit lapinou qui est venu se réfugier sous la cage.
C’est à quatre pattes, le cul en l’air à la merci de la bite de mon amant qu’il me donne l’ordre d’aller couper une branche de noisetier dans le buisson à deux pas de nous.
• Celle-là, te va-t-elle ?
• Je pense qu’elle fera l’affaire, donne-moi la branche et le couteau.
Il enlève les petites branches, dégageant une baguette d'au moins 2 mètres de long. J’ai coupé un rejet de l’année, bien droit sans savoir à quoi cela va servir.
La baguette prête, il la fait fouetter l’air.
• Parfait, elle est assez souple et le diamètre fait qu’elle va très bien résister. Appuie tes mains sur la cage.
• Que vas-tu me faire ?
• Avec moi, toute erreur se paye cache, fait ressortir ton cul.
J’écarte un peu mes jambes, je me recule légèrement, cela creuse mes reins.
Je suis penchée, je vois mes gros seins en forme de poire 95 C pour mes bonnets de soutient avant qu’Albert m’oblige à me promener nue, ils pendent devant moi.
• Aie.
Albert vient de me fouetter avec la badine, un coup si fort que les larmes me viennent aux yeux.
• Aie.
Une nouvelle fois, la badine s’abat sur mon fessier.
Pour mon âge elles sont encore très fermes, pas trop grosses, mais rondes.
Je ressens une vive douleur, je dois être marquée, j’aurais mieux fait d’avoir de la cellulite, elle aurait amorti les coups.
• Sais-tu pourquoi je te fouette ?
• Oui Albert, j’ai fait des bêtises et j’ai mérité ma punition.
• Tu vois, ce lapin, cette nuit, il va sortir et sera bouffé par un prédateur.
La vie est dure dans notre montagne et le moindre euro est primordial pour ma survie.
Un nouveau coup, j’ai mal, mais je comprends que je ne dois plus émettre un son. Qu’Albert me fouette autant qu’il le veut, à moi d’apprendre à être sa parfaite soumise.
• C’est bien, tu fermes ta gueule.
Merde, la baguette a cassé, tu as de la chance, je t’en aurais bien mis un ou deux coups de plus.
Entre dans ta cage, on verra si tu as le droit de manger tout à l’heure.
Pour me parler, il me prend par les cheveux, il me tire la tête en arrière, j’ai envie de hurler, je suis sûr qu’il doit lui en rester des mèches dans la main.
Je me redresse, il me tire jusqu’à la cage, ouvre la porte et me balance littéralement à l’intérieur.
• Médite sur ton comportement, ici la vie est dure surtout l’hiver, par ta négligence, je vais être obligé de donner des granulés aux lapins, alors que le champ regorge de nourriture qu’ils adorent.
• J’ai compris Albert, punie-moi si tu veux, mais garde-moi au moins jusqu’au retour de Pierre, après si tu le désires, nous quitterons ta ferme et plus jamais tu n’entendras parler de nous.
Je suis affalée dans la cage, je veux m’asseoir, mon cul me fait horriblement mal.
Je vois Albert, la casquette toujours vissée sur sa tête, fermer la porte sans un regard pour moi.
Combien de temps suis-je dans cette position comme un œuf, impossible de le dire. J’ai faim, j’ai soif, lorsque je passe le doigt sur mes fesses, des zébrures boursoufflées sont toujours là.
Un endroit semble "entamé", quand je regarde mon doigt, il y a des traces de sang, je pleure, mais silencieusement, s’il revient, je veux qu’il trouve sa petite chienne contente de sa situation.
Un seul point noir dans ma cage, les heures succèdent aux heures et la lumière reste allumée, je la regardais quand j’ai envie de faire un petit besoin naturel.
C’est à ce moment que la porte s’ouvre, Albert est là.
• Tiens voilà à boire et à manger.
Voici aussi le pot de chambre de ma grand-mère, ici, rien ne se perd, il faut que ton nouveau domaine reste propre.
Mets-toi à quatre pattes que je regarde tes fesses.
Je me place en levrette, il passe sa main sur ce qui reste des boursoufflures.
• Voyons si Fred a bien fait son travail.
Je tourne ma tête, le sexe, engin de mon plaisir, est dans sa main toujours aussi majestueux, il bande, il pli les genoux, c’est marrant, je l’ai toujours vu le pantalon au bas des jambes.
Il s’avance vers mon anus, ma chatte est en feu.
À part sa grande et grosse queue, qu’est-ce que cet homme a de particulier pour m’avoir séduite ?
C’est vrai, c'est son regard, je tourne les yeux, quand il me regarde comme il le fait en ce moment, il me fait craquer.
• Attention, je t’encule, mes couilles sont pleines.
Il entre, son gland passe, il pousse un grand coup, ma bouche est trop petite pour qu’elle entre, son sexe est bien au fond de moi.
Mais une grande longueur est dans l’impossibilité d’aller plus loin, sauf à me perforer les intestins.
• Albert fait de moi ce que tu veux, j’aime que tu m’encules.
Je suis devenue folle, je suis en train de me faire enculer dans une cage, même capitonnée, alors qu’à quelques mètres, Pierre a loué le chalet ne servant à rien.
Lui me courant après en montagne et moi couchée en chien de fusil, position que je reprends quand il décharge dans mon cul.
Il me quitte, je suis à la limite entre deux sentiments, moi la femme de 58 ans, bientôt retraité, j’accepte toutes ses soumissions sans me rebeller, suis-je programmée tout au long de ma vie pour finir dans cette cage même si les couleurs sont roses ?
J’ai deux priorités, soit manger soit pisser.
Je commence par la deuxième envie, sinon ma cage va finir par devenir invivable si je fais sur le tapis molletonné.
Souffrir, c’est une chose, pisser dans un pot est un délice quand mon urine sort de ma chatte, Albert a encore à apprendre sur les femmes, il a oublié de me donner du papier hygiénique et moi j’ai pour habitude d’enlever les dernières gouttes en temps normal.
La porte s’ouvre, me montrant dans cette position obscène, accroupie sur mon pot de chambre.
• J’ai oublié le papier.
Il me jette le rouleau comme on jette un os à un chien, je devrais dire à une chienne.
Je m’assois, la douleur de mon fessier est remplacée par une douleur de mon anus. Sur le coup, il est entré comme dans du beurre, mais maintenant ma rosette, qui a dû se distendre, me fait un peu mal.
Je coupe une feuille, je me la passe là où ça fait mal.
Le papier est couvert du sperme de mon amant.
J’entre un doigt et me surprends à le sucer.
Qu’est-ce qu’Albert fait de moi ?
Une femme soumise prête à tout pour un moment de plaisir avec lui.
Manger, deuxième envie à satisfaire, je prends le croûton de pain, je le porte à ma bouche, il est dur, plus que dur.
Si je croque, je m’enlève une dent, moi qui à mon âge s’enorgueillit de les avoir toutes en parfait état !
Quand j’étais petite, un jour où j’avais été parfaitement horrible, papa m’avait mise au pain sec et à l’eau pendant deux jours.
Je sais maintenant que pour Albert, laisser échapper un lapinou, c’est très grave.
Je sais comment faire grâce à papa, je trempe le croûton dans l’eau le laisse imbiber et je mange en buvant.
Cette façon de faire me permet de boire sans avoir à laper mon eau.
Bien sûr, je pourrais prendre la gamelle dans ma main et boire, mais comme une grande, j’ai compris qu’une soumise, comme j’aspire à le devenir, doit se comporter comme une chienne si mon homme souhaite que j’en sois une.
Un moment, la vision de Pierre courant dans la montagne me traverse l’esprit, mais je crois que ma décision est prise, je vais le quitter, il faut être con de courir après quelqu’un, fut-ce moi, sans savoir où je suis partie !
Je dois de nouveau dormir, la porte s’ouvre me faisant sursauter, je suis cassée, moi qui ai toujours aimé les matelas bien moelleux.
Derrière le dos d’Albert, je vois qu’il fait jour, Pierre doit courir dans sa montagne depuis vingt-quatre heures.
• Je vois que tu as tout mangé, c’est bien il faut que tu prennes des forces.
Va nourrir les lapins et ramasse les œufs, mets-les en boîte de six, tu les trouveras sur la table près du poulailler, nous irons les vendre au marché d’Aix demain.
Je sors, j’emmène mon papier avec mon pot pour le vider, je dois m’isoler.
Je demanderais bien à Albert où sont les toilettes, mais j’ai très rapidement appris à fermer ma bouche, mon erreur est encore trop fraîche.
Il me fait de nouveau confiance, il m’a demandé de m’occuper des lapinous, je prends mon panier, mon couteau.
Lui, il travaille dans son jardin pendant que je fais ça, je suis contente.
Je coupe un panier de plantes et je vais ouvrir les cages faisant attention que tous restent sagement à l’intérieur.
Pour finir avec les lapinous, je profite de nourrir un gros mâle dans la cage du bas, ce doit être le papa des petits.
Tient, le petit est-il toujours sous la cage ?
Je m’agenouille et je plaque ma joue au sol, je suis loin de me rendre compte que mon cul est relevé.
• C’est bien Simone, tu apprends vite, tu me donnes envie.
J’ai gardé dans ma main un pissenlit, je l’avance vers mon fugitif, il doit être aussi affamé que moi, il avance, je l’attrape.
C’est à ce même moment qu’Albert me prend la chatte.
Quel homme, il y a peu, il m’enculait, maintenant il me prend sauvagement.
Je hurle, mais de plaisir, c'est une position obscène pour une grand-mère, mais c’est quand même un orgasme qui me traverse.
Je suis bien devenue une chienne, bonne à baiser…
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