COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Mon Maître (6/13)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-10-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Mon Maître (6/13)
Ce texte est écrit avec Anne, une amie, ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.
Je voulais attraper le petit lapinou fuyard, pour ce faire, je me place au sol pour voir sous la cage, il est là, je lui tends un pissenlit, il avance, je l’attrape.
C’est à ce moment qu’Albert me prend la chatte, profitant de ma position cul relevé.
J’en relâche le lapinou qui en profite pour se sauver une nouvelle fois.
• Albert, tu me prends comme un dieu, comment fais-tu pour avoir autant de réserve, j’ai loupé mon lapinou, mais j’y ai gagné au change.
Les coups de bite redoublent, il est toujours prêt et il bande comme jamais aucun homme ne l’a fait pour moi. Ne parlons pas de Pierre, mon homme, qui comme un con, court en montagne sur sa corniche en direction de Chambéry.
Sa queue redouble, une nouvelle fois, je vais monter au septième ciel, pourquoi septième, vingtième, millième ?
Il me remplit, ses flèches frappant mon utérus à jets continus.
Ce sont loin d’être des cris qui sortent de ma gorge, ce sont carrément des hurlements de louve en chaleur.
• Va bosser, cet après-midi, je t’emmène à Chambéry chez une amie.
Je mets encore quelques secondes à me remettre sur mes jambes, mes parties intimes sont légèrement enflammées, il faut supporter le sexe d’Albert, je pense qu’il a dû avoir d'autres maîtresses, ont-elles accepté ce qui ressemble à un obsédé sexuel, mais que c’est bon ?
Les lapinous sont soignés avec l’aval de mon voisin celui qui à partir de maintenant je considère comme mon Maître.
C'est drôle les mots que l’on peut employer « aval », si j’en prends plein la chatte et l’anus, ma bouche attend toujours qu’il m’offre son sperme.
À ce jour, c’est toujours lui qui a pris l’initiative, normal pour une soumise, à quoi je dois m’attendre si c’est moi qui lui saute au paf.
Même si j’accepte les sévices qu’il me donne quand je suis une méchante fille, même si je suis une femme dans toutes ses contradictions.
Je me dirige vers le poulailler, le coq est toujours d’aussi mauvaise composition, je le vois mal m’attaquer, je vois les ergots à l’arrière de ses pattes.
J’ai vu à la télé des combats de coqs, c’était sanglant, ça pourrait être sanglant.
C’est drôle, les poules ont pondu dans des zones sombres. Les œufs sont regroupés en trois secteurs, je les amène sur la table faisant très attention de ne pas en casser.
Devant moi, c’est sympa, six œufs bruns, les autres légèrement foncés et le reste blanc.
Les six œufs bruns sont plus sales que les autres, il y a une sorte de grand lavabo à droite de la grange, je les lave, ils sont tout propres, je les place dans une seule boîte, Albert pourra les vendre plus cher, ils sont plus gros, 4 boîtes de foncés et 2 de blancs.
Il me reste quatre œufs, pas assez pour faire une boîte, je les laisse sur un plateau à œufs.
J’ignore tous les combien de temps il les ramasse, il y a déjà 12 boîtes d’œufs pleines sur la table, je range les miennes avec.
• Je vois que tu as fini, viens manger, mais avant, direction le spa, tu commences à sentir la femelle qui se néglige, bien que je sois sensible aux bonnes odeurs de salopes.
Quel homme est capable de soumettre une femme, pour mieux lui faire voir tout l’amour qu’il a pour elle ?
Je déchante, le spa est froid, pourtant quand Fred est venu, Alfred l’avait fait chauffer, je m’essuie avec une serviette présente à côté du lavabo et je le rejoins.
• Tiens, ta soupe est là, elle est aux légumes du jardin, demain ce sera toi qui la prépareras, tu serviras au moins à quelque chose.
Merci pour les compliments !
À ses pieds, je me retrouve à ses pieds, il prend soin de sa soumise.
Sur mon assiette est posée une petite cuillère, je manque de lui demander de m’en fournir une plus grande, mes fesses sont loin de pouvoir subir une nouvelle volée de bois vert.
Je mange ma soupe, il mange du jambon cru, il mange sans me regarder.
J’ai presque fini ma soupe, dédaigneusement, il prend un morceau de jambon et le présente à ma bouche.
C’est fait, je suis équivalente à une chienne qu’on nourrit.
J’ai eu un loulou dans ma jeunesse, mon père refusait que je lui donne à manger pendant les repas, je lui donnais de petits bouts, dès qu’il avait la tête tournée.
Un jour, il m’a vu, il a pris le chien par la peau du dos et l'a mis dehors.
Quand je l’ai récupéré, j’ai bien vu qu’il était tout chamboulé, il était loin d’avoir compris.
Ma tête est à quelques centimètres de sa jambe, j’avance ma main, aucune réaction antipathique, aucune menace.
Je vais plus loin, je caresse sa queue par-dessus le tissu, il bande encore, incroyable. Quel homme normalement constitué est capable de bander plusieurs fois de suite dans la même journée ?
• Je te vois faire, mais tu es insatiable, tu en veux encore, dommage, ta bouche est trop petite, j’aimerais une bonne fellation.
Est-ce une demande ?
Aucune baffe ou autre punition, je défais son pantalon, sa verge se tend vers le ciel, je la prends en main, j’en fais juste le tour, je me mets à quatre pattes, je commence à avoir l’habitude, j’ouvre ma bouche au maximum.
Un centimètre, deux, le gland passe, ma langue entre en mouvement, il faut que je respire calmement, sinon, asphyxie assurée.
Avec ma main, je le branle, je fais ressortir le morceau, pour mieux le reprendre, je gagne un centimètre quand l’idée me vient, j’aspire un grand coup, je le vois se redresser.
• Salope, que me fais-tu, tu me pompes, continue, aucune femme ne m’a fait ça.
Ça marche, je recommence, mais là sans le faire sortir, masturbation plus pompage, rapidement, je le vois se tendre encore plus et quand il me prend par la tête, je reçois une giclée de sperme, manquant de m’étouffer.
Je me recule, deux, trois, quatre giclées partent sur ma figure.
Je prends mon doigt et je récupère tout ce que je peux, c’est la première fois que je bois le divin sperme du Maître.
• Va te laver, voilà la clef du placard.
Si dans une demi-heure, quand j’amènerai le tube, tu es là, c’est que tu auras définitivement accepté d’être ma soumise.
Ce choix sera irréversible tout au long de ta vie.
Le tube, j’ignore ce que c’est, je verrai bien, je me lave la figure pour être présentable, gardant dans ma bouche la semence d’Albert mon Maître reçue avec délice, même si je regrette qu’il ne m’ait pas fait la moindre félicitation pour ma fellation.
Je comprends qu’avec lui, les sévices oui, les félicitations se cantonneront à un morceau de jambon cru lorsque ce sera son bon désir.
Dans l’armoire, je récupère mon sac à dos, à l’intérieur, j’ai quelques effets que j’ai amenés espérant faire une soirée restaurant avec Pierre : robe courte en cuir, chemisier en coton blanc, chaussures à talons.
J’oublie volontairement le soutient gorge 95 C ainsi que ma petite culotte, nul doute qu’Albert sera sensible à avoir pensé à ce détail.
Bien sûr je n’oublie pas mes bas auto fixant évitant le porte jarretelle, ces bas sur leur partie haute sont en dentelles, je sais que lorsque je m’assoie près de Pierre, il aime voir à la lisière ma peau.
Je me regarde dans la psyché l’effet que cet ensemble va faire sur Albert, je suis satisfaite, ma mini en cuir, souligne mon cul bien rebondi et ferme, mes bas gainant parfaitement mes mollets bien galbés.
Satisfaite, je sors attendant mon Maître, c’est là que je vois arriver la camionnette de Louis la Brocante, du moins sa sœur jumelle.
• Monte, quand il a démarré inutile de chercher des soucis, roulons, je t’emmène à Chambéry, merde, tu es bandante, fais voir, très bien ta poitrine est libre, tes gros seins bien gonflés me font envie. Salope, tu descends en ville, le cul nu, merde, tu m’as fait caler, descend.
Je m’attends à ce qu’il veuille que je pousse son engin certainement centenaire, mais c’est tout autre chose qu’il désire, il ouvre le ventail et la porte arrière, il y a des cagots.
• Monte, va sur l’avant, il y a un matelas, soulève simplement ta jupe et écarte tes cuisses.
J’ai le temps de voir ma gourmandise, putain, il va encore me prendre, j’ai bien fait de laisser partir Pierre seul.
Si Albert est toujours crade, surtout sa casquette qui depuis que je le connais est visée sur sa tête, que dire de ce matelas qui a dû être mis à l’intérieur quand la camionnette était neuve et est toujours là.
La verge entre dans mon vagin, je m’accroche à ses reins, voulant le sentir le plus loin en moi, je pense qu’il est au plus loin qu’il n’ait été, ma chatte semble s’adapter à son gros gourdin, mes cris de plaisirs résonnent, faisant vibrer les tôles.
Il doit être impossible que ses couilles, même si elles sont énormes, crachent autant de sperme, pourtant je dégouline après qu’il ait déchargé.
• Dépêche, on est en retard, je connais mon tube, il ne redémarrera pas, on va se servir de la pente, pousse, quand je te le dirai, tu sauteras sur le siège à mon côté.
C’est à ce moment, que je vois une cravache pendue sur un crochet sur la tôle de ce qu’il appelle son tube, à quoi peut-elle servir, je suis dehors, je pousse, je perds une chaussure, la camionnette prends la pente. C’est à ce moment que je vois sortir de dessous la porte de la grange mon petit lapinou fuyard. Vient-il me narguer ?
• Monte.
À une seconde près, je loupais le départ à cause du lapinou.
Nous dévalons la côte montée le premier jour de mes vacances, mais qui me paraît si loin.
Que de choses me sont arrivées !
• Parfait, tu acceptes ta condition, tu apprends vite, pas de sous-vêtement, c'est bien.
D’ailleurs ouvre presque complètement ton corsage, déboutonne-le, en ville j’aime que mes soumises soient exhibitionnistes.
• Tes soumises, en as-tu plusieurs ?
• Aucune question, tu verras tout à l’heure, une chose à la fois, j’ai assez de travail à conduire ce tas de ferraille.
La route sinueuse descend vers Chambéry, j’ai perdu une chaussure et mes bas sont filés, à la lisière de mon bas droit, du sperme coule.
Nous arrivons dans le centre de la ville, il gare son tube en face d’une boutique de lingerie et de vêtement féminin, que va-t-il encore m’arriver…
Je voulais attraper le petit lapinou fuyard, pour ce faire, je me place au sol pour voir sous la cage, il est là, je lui tends un pissenlit, il avance, je l’attrape.
C’est à ce moment qu’Albert me prend la chatte, profitant de ma position cul relevé.
J’en relâche le lapinou qui en profite pour se sauver une nouvelle fois.
• Albert, tu me prends comme un dieu, comment fais-tu pour avoir autant de réserve, j’ai loupé mon lapinou, mais j’y ai gagné au change.
Les coups de bite redoublent, il est toujours prêt et il bande comme jamais aucun homme ne l’a fait pour moi. Ne parlons pas de Pierre, mon homme, qui comme un con, court en montagne sur sa corniche en direction de Chambéry.
Sa queue redouble, une nouvelle fois, je vais monter au septième ciel, pourquoi septième, vingtième, millième ?
Il me remplit, ses flèches frappant mon utérus à jets continus.
Ce sont loin d’être des cris qui sortent de ma gorge, ce sont carrément des hurlements de louve en chaleur.
• Va bosser, cet après-midi, je t’emmène à Chambéry chez une amie.
Je mets encore quelques secondes à me remettre sur mes jambes, mes parties intimes sont légèrement enflammées, il faut supporter le sexe d’Albert, je pense qu’il a dû avoir d'autres maîtresses, ont-elles accepté ce qui ressemble à un obsédé sexuel, mais que c’est bon ?
Les lapinous sont soignés avec l’aval de mon voisin celui qui à partir de maintenant je considère comme mon Maître.
C'est drôle les mots que l’on peut employer « aval », si j’en prends plein la chatte et l’anus, ma bouche attend toujours qu’il m’offre son sperme.
À ce jour, c’est toujours lui qui a pris l’initiative, normal pour une soumise, à quoi je dois m’attendre si c’est moi qui lui saute au paf.
Même si j’accepte les sévices qu’il me donne quand je suis une méchante fille, même si je suis une femme dans toutes ses contradictions.
Je me dirige vers le poulailler, le coq est toujours d’aussi mauvaise composition, je le vois mal m’attaquer, je vois les ergots à l’arrière de ses pattes.
J’ai vu à la télé des combats de coqs, c’était sanglant, ça pourrait être sanglant.
C’est drôle, les poules ont pondu dans des zones sombres. Les œufs sont regroupés en trois secteurs, je les amène sur la table faisant très attention de ne pas en casser.
Devant moi, c’est sympa, six œufs bruns, les autres légèrement foncés et le reste blanc.
Les six œufs bruns sont plus sales que les autres, il y a une sorte de grand lavabo à droite de la grange, je les lave, ils sont tout propres, je les place dans une seule boîte, Albert pourra les vendre plus cher, ils sont plus gros, 4 boîtes de foncés et 2 de blancs.
Il me reste quatre œufs, pas assez pour faire une boîte, je les laisse sur un plateau à œufs.
J’ignore tous les combien de temps il les ramasse, il y a déjà 12 boîtes d’œufs pleines sur la table, je range les miennes avec.
• Je vois que tu as fini, viens manger, mais avant, direction le spa, tu commences à sentir la femelle qui se néglige, bien que je sois sensible aux bonnes odeurs de salopes.
Quel homme est capable de soumettre une femme, pour mieux lui faire voir tout l’amour qu’il a pour elle ?
Je déchante, le spa est froid, pourtant quand Fred est venu, Alfred l’avait fait chauffer, je m’essuie avec une serviette présente à côté du lavabo et je le rejoins.
• Tiens, ta soupe est là, elle est aux légumes du jardin, demain ce sera toi qui la prépareras, tu serviras au moins à quelque chose.
Merci pour les compliments !
À ses pieds, je me retrouve à ses pieds, il prend soin de sa soumise.
Sur mon assiette est posée une petite cuillère, je manque de lui demander de m’en fournir une plus grande, mes fesses sont loin de pouvoir subir une nouvelle volée de bois vert.
Je mange ma soupe, il mange du jambon cru, il mange sans me regarder.
J’ai presque fini ma soupe, dédaigneusement, il prend un morceau de jambon et le présente à ma bouche.
C’est fait, je suis équivalente à une chienne qu’on nourrit.
J’ai eu un loulou dans ma jeunesse, mon père refusait que je lui donne à manger pendant les repas, je lui donnais de petits bouts, dès qu’il avait la tête tournée.
Un jour, il m’a vu, il a pris le chien par la peau du dos et l'a mis dehors.
Quand je l’ai récupéré, j’ai bien vu qu’il était tout chamboulé, il était loin d’avoir compris.
Ma tête est à quelques centimètres de sa jambe, j’avance ma main, aucune réaction antipathique, aucune menace.
Je vais plus loin, je caresse sa queue par-dessus le tissu, il bande encore, incroyable. Quel homme normalement constitué est capable de bander plusieurs fois de suite dans la même journée ?
• Je te vois faire, mais tu es insatiable, tu en veux encore, dommage, ta bouche est trop petite, j’aimerais une bonne fellation.
Est-ce une demande ?
Aucune baffe ou autre punition, je défais son pantalon, sa verge se tend vers le ciel, je la prends en main, j’en fais juste le tour, je me mets à quatre pattes, je commence à avoir l’habitude, j’ouvre ma bouche au maximum.
Un centimètre, deux, le gland passe, ma langue entre en mouvement, il faut que je respire calmement, sinon, asphyxie assurée.
Avec ma main, je le branle, je fais ressortir le morceau, pour mieux le reprendre, je gagne un centimètre quand l’idée me vient, j’aspire un grand coup, je le vois se redresser.
• Salope, que me fais-tu, tu me pompes, continue, aucune femme ne m’a fait ça.
Ça marche, je recommence, mais là sans le faire sortir, masturbation plus pompage, rapidement, je le vois se tendre encore plus et quand il me prend par la tête, je reçois une giclée de sperme, manquant de m’étouffer.
Je me recule, deux, trois, quatre giclées partent sur ma figure.
Je prends mon doigt et je récupère tout ce que je peux, c’est la première fois que je bois le divin sperme du Maître.
• Va te laver, voilà la clef du placard.
Si dans une demi-heure, quand j’amènerai le tube, tu es là, c’est que tu auras définitivement accepté d’être ma soumise.
Ce choix sera irréversible tout au long de ta vie.
Le tube, j’ignore ce que c’est, je verrai bien, je me lave la figure pour être présentable, gardant dans ma bouche la semence d’Albert mon Maître reçue avec délice, même si je regrette qu’il ne m’ait pas fait la moindre félicitation pour ma fellation.
Je comprends qu’avec lui, les sévices oui, les félicitations se cantonneront à un morceau de jambon cru lorsque ce sera son bon désir.
Dans l’armoire, je récupère mon sac à dos, à l’intérieur, j’ai quelques effets que j’ai amenés espérant faire une soirée restaurant avec Pierre : robe courte en cuir, chemisier en coton blanc, chaussures à talons.
J’oublie volontairement le soutient gorge 95 C ainsi que ma petite culotte, nul doute qu’Albert sera sensible à avoir pensé à ce détail.
Bien sûr je n’oublie pas mes bas auto fixant évitant le porte jarretelle, ces bas sur leur partie haute sont en dentelles, je sais que lorsque je m’assoie près de Pierre, il aime voir à la lisière ma peau.
Je me regarde dans la psyché l’effet que cet ensemble va faire sur Albert, je suis satisfaite, ma mini en cuir, souligne mon cul bien rebondi et ferme, mes bas gainant parfaitement mes mollets bien galbés.
Satisfaite, je sors attendant mon Maître, c’est là que je vois arriver la camionnette de Louis la Brocante, du moins sa sœur jumelle.
• Monte, quand il a démarré inutile de chercher des soucis, roulons, je t’emmène à Chambéry, merde, tu es bandante, fais voir, très bien ta poitrine est libre, tes gros seins bien gonflés me font envie. Salope, tu descends en ville, le cul nu, merde, tu m’as fait caler, descend.
Je m’attends à ce qu’il veuille que je pousse son engin certainement centenaire, mais c’est tout autre chose qu’il désire, il ouvre le ventail et la porte arrière, il y a des cagots.
• Monte, va sur l’avant, il y a un matelas, soulève simplement ta jupe et écarte tes cuisses.
J’ai le temps de voir ma gourmandise, putain, il va encore me prendre, j’ai bien fait de laisser partir Pierre seul.
Si Albert est toujours crade, surtout sa casquette qui depuis que je le connais est visée sur sa tête, que dire de ce matelas qui a dû être mis à l’intérieur quand la camionnette était neuve et est toujours là.
La verge entre dans mon vagin, je m’accroche à ses reins, voulant le sentir le plus loin en moi, je pense qu’il est au plus loin qu’il n’ait été, ma chatte semble s’adapter à son gros gourdin, mes cris de plaisirs résonnent, faisant vibrer les tôles.
Il doit être impossible que ses couilles, même si elles sont énormes, crachent autant de sperme, pourtant je dégouline après qu’il ait déchargé.
• Dépêche, on est en retard, je connais mon tube, il ne redémarrera pas, on va se servir de la pente, pousse, quand je te le dirai, tu sauteras sur le siège à mon côté.
C’est à ce moment, que je vois une cravache pendue sur un crochet sur la tôle de ce qu’il appelle son tube, à quoi peut-elle servir, je suis dehors, je pousse, je perds une chaussure, la camionnette prends la pente. C’est à ce moment que je vois sortir de dessous la porte de la grange mon petit lapinou fuyard. Vient-il me narguer ?
• Monte.
À une seconde près, je loupais le départ à cause du lapinou.
Nous dévalons la côte montée le premier jour de mes vacances, mais qui me paraît si loin.
Que de choses me sont arrivées !
• Parfait, tu acceptes ta condition, tu apprends vite, pas de sous-vêtement, c'est bien.
D’ailleurs ouvre presque complètement ton corsage, déboutonne-le, en ville j’aime que mes soumises soient exhibitionnistes.
• Tes soumises, en as-tu plusieurs ?
• Aucune question, tu verras tout à l’heure, une chose à la fois, j’ai assez de travail à conduire ce tas de ferraille.
La route sinueuse descend vers Chambéry, j’ai perdu une chaussure et mes bas sont filés, à la lisière de mon bas droit, du sperme coule.
Nous arrivons dans le centre de la ville, il gare son tube en face d’une boutique de lingerie et de vêtement féminin, que va-t-il encore m’arriver…
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