COLLECTION SOUMISE. Ma femme soumise à mon robot (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISE. Ma femme soumise à mon robot (1/2)
• Clarisse, je veux que nous divorcions, tu as trente ans, tu es mère, tu me dis que sexuellement c’est suffisant pour toi et que tu te satisfais pleinement que je te lèche la chatte jusqu’à te faire jouir.
Depuis mon accident, de ma faute ayant roulé bourré, tu te prends pour mère Thérésa alors que tu as toute ta vie devant toi.
Je sais que dans peu de temps, tes envies te feront prendre des amants et te voir partir le soir sous des motifs futiles me rendra plus malade que si tu me quittais pour refaire ta vie.
Je m’appelle Gaston, je haïs mon nom, mais la question est ailleurs.
Pourquoi ai-je voulu conduire après une soirée entre amis et que lorsque j’ai emplafonné ce camion, Clarisse ma femme et Jules mon fils était dans cette, voiture.
Clarisse voulait prendre le volant et ma mœlle épinière s’est trouvée brisée me propulsant dans une chaise à roulette.
Je me suis renseigné, je peux trouver un appartement pour handicapé ou je pourrais faire moi-même tout ce qu’un valide peut faire et toi je te saurai heureuse.
• Il est inutile d’attendre que je te quitte pour une simple question de cul.
C’est vrai que depuis que tu m’as dépucelée, j’aimais nos jeux érotiques et que tu as su satisfaire mon corps plus que de raisons.
Je saurai être patiente à la limite si tu penses que ta langue et que tes doigts sont insuffisants, je veux bien que nous commandions un gode que tu m’introduiras aux guises de mes envies.
Lorsque Clarisse parle de gode, ça me donne une idée.
Nous regardons dans Internet et nous choisissons ensemble l’olisbos qui va servir à ma femme la perte de ma queue.
Je suis ingénieur en robotique, je conçois des robots pour les entreprises afin de remplacer les tâches pénibles des employés et améliorer la rentabilité.
Je connais une société de mécanique de précision capable de me fabriquer des pièces à ma convenance.
Je les assemblerai, une à une, grâce à mon petit atelier au fond de notre jardin.
Certaines pièces, je pourrais les fabriquer moi-même avec mon imprimante 3D que Clarisse m’a offerte pour mon anniversaire.
À ce jour, avant notre accident, elle m’a permis de fabriquer un drone qui sert à Jules à jouer dans le jardin et à le faire voler.
Ceci aura plusieurs buts, servir à Clarisse pour que ce robot la satisfasse sexuellement et pour moi de me donner un but dans ma vie pour me sentir utile.
Nous avons les moyens, car en parallèle de cette fabrication, j’ai repris quelques heures de travail pour ma société.
Principalement pour des modifications des robots industriels que j’ai déjà créés.
Je mets moins de deux mois pour avoir un prototype.
Il en est d’un robot, même industriel, autrement qu’un robot susceptible d’être assez autonome pour répondre aux sollicitations que je maîtriserai grâce au pupitre de commande que j’ai élaboré.
Deux mois, mon premier proto est près, un problème se présente, les premiers essais.
Comme en médecine, impossible que ce soit Clarisse qui l’essaye en premier, il répond à mes ordres, mais quel comportement aura-t-il sur son corps ?
Je décide que les premiers essais ce serait sur moi que je les ferai.
Je fabrique un boîtier comme une télécommande reliée au pupitre me permettant de mettre en marche mon robot à distance.
L’habitude de ce genre de fabrication a fait que même sur ce prototype j’ai travaillé sur son poids et sa maniabilité !
22 kilos, je le positionne au pied du lit qui me sert lorsque je travaille et que je veux éviter de réveiller ma femme qui est couchée depuis longtemps.
J’ai développé mes pectoraux et je me sers de la poignée pour me placer face à mon robot, tiens comment vais-je l’appeler, c’est pour Clarisse, ce sera à elle de le baptiser.
Bien placer, je vais tester la possibilité qu’il fasse des cunnilingus, j’appuie sur le bouton, aujourd’hui grâce à lui c’est la seule fonction qui est reliée au pupitre.
Mon robot a des yeux, ce sont des capteurs me permettant de le guider vers le but à atteindre de façon précise.
« Bonjour maîtresse, avez-vous besoin de mes services ? »
Cette voix, comme celle que l’on peut entendre dans les gares, est un gadget que j’ai installé pour qu’il paraisse plus vrai, je dirais vivant.
Il s’avance vers ma queue, hélas au repos à jamais.
Sa langue artificielle sort de sa bouche.
Il est dit que dans le porc tout est bon, ce sont des poils de cet animal que j’ai mis au bout de cette langue qui passe sur mon sexe.
Je pensais que ma bite était complètement morte, mais de légers picotements me font sentir que des bribes de liaison de ma mœlle épinière devaient être connectées, mais pas suffisamment pour me faire bander.
Mon robot possède plusieurs godes, un pour la chatte, l’autre pour l’anus.
Je le mets en position retrait permettant de me dégager.
« Au revoir, maîtresse, j’espère que j’ai été à la hauteur de ma tâche.
Appelez-moi si vous avez besoin. »
Ses yeux se ferment, il a reculé jusqu’au pied du lit.
Je me remets dans mon fauteuil, et au pupitre je cherche quoi connecter pour faire un nouvel essai.
J’ai une commande pour le gode vaginal et une pour l’anus, le point commun entre les hommes et les femmes c'est notre anus, je le connecte à la télécommande.
Je retourne sur mon lit et je me place sur le ventre.
Il va vraiment falloir que nous le baptisions, je déclenche le mécanisme.
« Bonjour maîtresse, vous êtes une belle salope, vous voulez que je vous encule ! »
Oui, ça va, il faut bien s’amuser, mais je voulais donner une attitude plus humaine à mon jouet.
Je sens qu’il s’approche, je suis anxieux, va-t-il se comporter comme je le désire.
Il me saisit sur les flancs, me soulève sans forcer, j’ai bien calculé la force des bras et d’un coup il me pénètre.
« Maîtresse, vous appréciez, voulez-vous que je vous en mette deux centimètres de plus, il m’en reste dix en réserve ! »
Heureusement que là encore, je suis insensible, car je vois bien même sans sentir que je me suis fait enculer à sec d’une seule poussée.
Je vais devoir faire une modification pour lubrifier les conduits, avant de sodomiser Clarisse.
Mais ça marche.
• Chérie, joyeux anniversaire, après avoir couché Jules, pourrais-tu venir avec moi dans mon atelier, j’ai une surprise pour toi.
Nous brancherons la caméra dans sa chambre, j’ai un écran sur mon pupitre, je pourrais le surveiller.
Pour ces premiers essais sur Clarisse, nul besoin de ma télécommande, je serais au pupitre.
Lorsqu’elle découvre mon robot, mon atelier lui étant fermé depuis que je me suis mis au travail, elle est estomaquée.
• C’est pour toi, certaines fonctions sont au point, enlève ton peignoir nous allons l’essayer.
Couche-toi sur le dos, calé dans les cousins, tu le verras te donner du plaisir !
• C’est ta machine qui va me baiser ?
• Oui, j’ai déjà testé deux fonctions, le reste nous verrons plus tard avant le modèle définitif plus près de l’homme que d’une machine.
Donne-moi un nom que je le rentre dans la programmation, il va te surprendre.
• Jules chéri !
• Impossible de lui donner le nom de notre fils, quand vous ferez l’amour ensemble, j’aurais l’impression que tu es une femme incestueuse !
• Tu as raison, Gaston comme toi !
• Là encore, mauvaise idée, chaque fois que le robot parlera en donnant mon nom, j’aurai l’impression que tu me parles, ça me déconcentrera !
• Tu as encore raison, alors Luc, j’aime bien Luc.
Un instant j’ai un moment de jalousie, Luc et Claire, s’étaient chez eux que nous étions lorsque j’ai trop bu.
Y aurait-il quelque chose entre Clarisse et Luc ?
Je m’égare, Luc est mon frère de lait et Claire la meilleure amie de Clarisse, c’est nous qui les avons fait se rencontrer.
Je pense que c’est le premier nom qui lui est venu.
Je vais dans le programme et dans le système j’entre « Luc » ce qui va le placer là où ce sera nécessaire.
• Voilà, es-tu prête, je démarre, veux-tu qu’il te fasse un cunnilingus, j’ai testé cette fonction, hélas, sans bander, j’ai juste ressenti des picotements dans le bas de mon dos.
« Bonjour, Maîtresse, je suis Luc votre ami, voulez-vous que je vous donne du plaisir ? »
Luc avance et comme avec moi, sors sa langue et se met à lécher la chatte épilée de ma femme.
Rapidement elle se met à se tordre de plaisir.
Elle va même jusqu’à lui prendre sa tête faite de métal pour mieux le plaquer en elle.
J’avais prévu cette réaction, il est capable de résister à toute force humaine qui voudrait le repousser ou l’attirer à elle.
• Ô putain ! Oh merde ! excuse mon amour, Luc est incomparable, mon clito est au plus haut de ce que tu m’as fait ressentir.
Ah ! ah ! ah ! ah !
Je vois qu’elle jouit, je mets Luc en position retrait.
« Au revoir, maîtresse, j’espère que Luc a été à la hauteur de la tâche qui lui a été assignée par mon maître Gaston et le vôtre Clarisse. »
Là encore, je me suis fait plaisir me faire appeler maître moi qui suis moins qu’une moitié d’homme.
• Tu es un homme formidable, laisse-moi reprendre mon souffle, je pense que Luc va me faire découvrir de nouvelles choses, je connais ton intelligence et ta perversité, montre-moi...
Depuis mon accident, de ma faute ayant roulé bourré, tu te prends pour mère Thérésa alors que tu as toute ta vie devant toi.
Je sais que dans peu de temps, tes envies te feront prendre des amants et te voir partir le soir sous des motifs futiles me rendra plus malade que si tu me quittais pour refaire ta vie.
Je m’appelle Gaston, je haïs mon nom, mais la question est ailleurs.
Pourquoi ai-je voulu conduire après une soirée entre amis et que lorsque j’ai emplafonné ce camion, Clarisse ma femme et Jules mon fils était dans cette, voiture.
Clarisse voulait prendre le volant et ma mœlle épinière s’est trouvée brisée me propulsant dans une chaise à roulette.
Je me suis renseigné, je peux trouver un appartement pour handicapé ou je pourrais faire moi-même tout ce qu’un valide peut faire et toi je te saurai heureuse.
• Il est inutile d’attendre que je te quitte pour une simple question de cul.
C’est vrai que depuis que tu m’as dépucelée, j’aimais nos jeux érotiques et que tu as su satisfaire mon corps plus que de raisons.
Je saurai être patiente à la limite si tu penses que ta langue et que tes doigts sont insuffisants, je veux bien que nous commandions un gode que tu m’introduiras aux guises de mes envies.
Lorsque Clarisse parle de gode, ça me donne une idée.
Nous regardons dans Internet et nous choisissons ensemble l’olisbos qui va servir à ma femme la perte de ma queue.
Je suis ingénieur en robotique, je conçois des robots pour les entreprises afin de remplacer les tâches pénibles des employés et améliorer la rentabilité.
Je connais une société de mécanique de précision capable de me fabriquer des pièces à ma convenance.
Je les assemblerai, une à une, grâce à mon petit atelier au fond de notre jardin.
Certaines pièces, je pourrais les fabriquer moi-même avec mon imprimante 3D que Clarisse m’a offerte pour mon anniversaire.
À ce jour, avant notre accident, elle m’a permis de fabriquer un drone qui sert à Jules à jouer dans le jardin et à le faire voler.
Ceci aura plusieurs buts, servir à Clarisse pour que ce robot la satisfasse sexuellement et pour moi de me donner un but dans ma vie pour me sentir utile.
Nous avons les moyens, car en parallèle de cette fabrication, j’ai repris quelques heures de travail pour ma société.
Principalement pour des modifications des robots industriels que j’ai déjà créés.
Je mets moins de deux mois pour avoir un prototype.
Il en est d’un robot, même industriel, autrement qu’un robot susceptible d’être assez autonome pour répondre aux sollicitations que je maîtriserai grâce au pupitre de commande que j’ai élaboré.
Deux mois, mon premier proto est près, un problème se présente, les premiers essais.
Comme en médecine, impossible que ce soit Clarisse qui l’essaye en premier, il répond à mes ordres, mais quel comportement aura-t-il sur son corps ?
Je décide que les premiers essais ce serait sur moi que je les ferai.
Je fabrique un boîtier comme une télécommande reliée au pupitre me permettant de mettre en marche mon robot à distance.
L’habitude de ce genre de fabrication a fait que même sur ce prototype j’ai travaillé sur son poids et sa maniabilité !
22 kilos, je le positionne au pied du lit qui me sert lorsque je travaille et que je veux éviter de réveiller ma femme qui est couchée depuis longtemps.
J’ai développé mes pectoraux et je me sers de la poignée pour me placer face à mon robot, tiens comment vais-je l’appeler, c’est pour Clarisse, ce sera à elle de le baptiser.
Bien placer, je vais tester la possibilité qu’il fasse des cunnilingus, j’appuie sur le bouton, aujourd’hui grâce à lui c’est la seule fonction qui est reliée au pupitre.
Mon robot a des yeux, ce sont des capteurs me permettant de le guider vers le but à atteindre de façon précise.
« Bonjour maîtresse, avez-vous besoin de mes services ? »
Cette voix, comme celle que l’on peut entendre dans les gares, est un gadget que j’ai installé pour qu’il paraisse plus vrai, je dirais vivant.
Il s’avance vers ma queue, hélas au repos à jamais.
Sa langue artificielle sort de sa bouche.
Il est dit que dans le porc tout est bon, ce sont des poils de cet animal que j’ai mis au bout de cette langue qui passe sur mon sexe.
Je pensais que ma bite était complètement morte, mais de légers picotements me font sentir que des bribes de liaison de ma mœlle épinière devaient être connectées, mais pas suffisamment pour me faire bander.
Mon robot possède plusieurs godes, un pour la chatte, l’autre pour l’anus.
Je le mets en position retrait permettant de me dégager.
« Au revoir, maîtresse, j’espère que j’ai été à la hauteur de ma tâche.
Appelez-moi si vous avez besoin. »
Ses yeux se ferment, il a reculé jusqu’au pied du lit.
Je me remets dans mon fauteuil, et au pupitre je cherche quoi connecter pour faire un nouvel essai.
J’ai une commande pour le gode vaginal et une pour l’anus, le point commun entre les hommes et les femmes c'est notre anus, je le connecte à la télécommande.
Je retourne sur mon lit et je me place sur le ventre.
Il va vraiment falloir que nous le baptisions, je déclenche le mécanisme.
« Bonjour maîtresse, vous êtes une belle salope, vous voulez que je vous encule ! »
Oui, ça va, il faut bien s’amuser, mais je voulais donner une attitude plus humaine à mon jouet.
Je sens qu’il s’approche, je suis anxieux, va-t-il se comporter comme je le désire.
Il me saisit sur les flancs, me soulève sans forcer, j’ai bien calculé la force des bras et d’un coup il me pénètre.
« Maîtresse, vous appréciez, voulez-vous que je vous en mette deux centimètres de plus, il m’en reste dix en réserve ! »
Heureusement que là encore, je suis insensible, car je vois bien même sans sentir que je me suis fait enculer à sec d’une seule poussée.
Je vais devoir faire une modification pour lubrifier les conduits, avant de sodomiser Clarisse.
Mais ça marche.
• Chérie, joyeux anniversaire, après avoir couché Jules, pourrais-tu venir avec moi dans mon atelier, j’ai une surprise pour toi.
Nous brancherons la caméra dans sa chambre, j’ai un écran sur mon pupitre, je pourrais le surveiller.
Pour ces premiers essais sur Clarisse, nul besoin de ma télécommande, je serais au pupitre.
Lorsqu’elle découvre mon robot, mon atelier lui étant fermé depuis que je me suis mis au travail, elle est estomaquée.
• C’est pour toi, certaines fonctions sont au point, enlève ton peignoir nous allons l’essayer.
Couche-toi sur le dos, calé dans les cousins, tu le verras te donner du plaisir !
• C’est ta machine qui va me baiser ?
• Oui, j’ai déjà testé deux fonctions, le reste nous verrons plus tard avant le modèle définitif plus près de l’homme que d’une machine.
Donne-moi un nom que je le rentre dans la programmation, il va te surprendre.
• Jules chéri !
• Impossible de lui donner le nom de notre fils, quand vous ferez l’amour ensemble, j’aurais l’impression que tu es une femme incestueuse !
• Tu as raison, Gaston comme toi !
• Là encore, mauvaise idée, chaque fois que le robot parlera en donnant mon nom, j’aurai l’impression que tu me parles, ça me déconcentrera !
• Tu as encore raison, alors Luc, j’aime bien Luc.
Un instant j’ai un moment de jalousie, Luc et Claire, s’étaient chez eux que nous étions lorsque j’ai trop bu.
Y aurait-il quelque chose entre Clarisse et Luc ?
Je m’égare, Luc est mon frère de lait et Claire la meilleure amie de Clarisse, c’est nous qui les avons fait se rencontrer.
Je pense que c’est le premier nom qui lui est venu.
Je vais dans le programme et dans le système j’entre « Luc » ce qui va le placer là où ce sera nécessaire.
• Voilà, es-tu prête, je démarre, veux-tu qu’il te fasse un cunnilingus, j’ai testé cette fonction, hélas, sans bander, j’ai juste ressenti des picotements dans le bas de mon dos.
« Bonjour, Maîtresse, je suis Luc votre ami, voulez-vous que je vous donne du plaisir ? »
Luc avance et comme avec moi, sors sa langue et se met à lécher la chatte épilée de ma femme.
Rapidement elle se met à se tordre de plaisir.
Elle va même jusqu’à lui prendre sa tête faite de métal pour mieux le plaquer en elle.
J’avais prévu cette réaction, il est capable de résister à toute force humaine qui voudrait le repousser ou l’attirer à elle.
• Ô putain ! Oh merde ! excuse mon amour, Luc est incomparable, mon clito est au plus haut de ce que tu m’as fait ressentir.
Ah ! ah ! ah ! ah !
Je vois qu’elle jouit, je mets Luc en position retrait.
« Au revoir, maîtresse, j’espère que Luc a été à la hauteur de la tâche qui lui a été assignée par mon maître Gaston et le vôtre Clarisse. »
Là encore, je me suis fait plaisir me faire appeler maître moi qui suis moins qu’une moitié d’homme.
• Tu es un homme formidable, laisse-moi reprendre mon souffle, je pense que Luc va me faire découvrir de nouvelles choses, je connais ton intelligence et ta perversité, montre-moi...
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