COLLECTION SOUMISSION. Commissaire de police (2/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION SOUMISSION. Commissaire de police (2/4)
Il y a des années, j’avais une petite copine d’école étant rousse et qui était le souffre-douleur de notre classe et même de notre village dans la région de Beaune en Bourgogne.
Beaune, ses célèbres hospices et de sa vente de vin annuelle.
Je viens de vendre la maison de mon enfance quittant définitivement mon village ou plus rien me retient.
Maman m’a quitté et mon travail de commissaire de police à la préfecture parisienne m’accapare me laissant peu de place pour être dans les vignes.
Je décide de vider sa maison et de la vendre.
C’est dans un vieux carton que je retrouve des dessins au crayon noir représentant Françoise Gaubert dans des postures de soumission.
J’étais bien jeune dans les années où j’ai dessiné de telles horreurs sorties de mon cerveau formaté par maman et ses amants.
Dans le collège de la ville de Beaune que nous avions rejoint en début d’année, Françoise était assise devant moi.
Deux particularités pour cette jeune fille, son odeur, elle était rousse, mais surtout elle était soumise.
C’était la souffre-douleur de notre classe, tout ce que la vacherie de jeunes de quatorze, quinze ans pouvaient lui être fait, les autres le lui faisaient sans que jamais elle montre le moindre signe de rébellion.
C’est à cette époque lors de cours où je m’emmerdais que j’ai laissé courir mon crayon sur ce cahier à dessin, le cachant lorsqu’un professeur risquait de me surprendre.
Je m’interroge sur ce qu’elle est devenue, pour ma part comme je l’ai dit, j’ai fait l’école des commissaires de police et j’ai été nommé à la préfecture de police de Paris.
Après avoir mis en vente la maison de mon enfance, j’ai repris le chemin de la « cage », nom de mon bureau à la préfecture.
Je charge François un de mes jeunes inspecteurs d’enquêter discrètement sur le devenir de cette jeune femme.
Pute soumise à Paris, c’est ce qu’il découvre, je laisse du temps et je décide de me rendre à l’adresse qu’il m’a donnée.
Une gouvernante vient m’ouvrir, au premier abord elle me prend pour une cliente.
Je me fais connaître lui expliquant que j’ai connu Françoise du temps de notre jeunesse.
Elle va la chercher et je vois une magnifique plante toujours aussi rousse venir dans le vestibule où j’ai pu admirer des meubles d’époque loin d’être des copies.
• Dominique, si je m’attendais, tu as de la chance, j’ai un moment de libre, que me vaut ta visite.
Je lui explique la mort de maman et mes dessins retrouvés dans mon armoire de jeune fille, je les sors de mon sac et je lui montre.
• Viens, nous allons prendre un café, la soirée a été rude, tu en veux un !
Elle m’entraîne par une porte donnant sur ce qui doit être son logement.
• Marie sert nous un café, tu te rends compte, j’ai connu Dominique sur les bancs du collège, alors que nous étions deux pucelles loin d’avoir trouvé notre voie.
Que fais-tu maintenant ?
• Je suis commissaire de police à la préfecture, lorsque j’ai vu ces croquis, ça m’a rappelé notre jeunesse, j’ai chargé un de mes inspecteurs discrètement te retrouvé.
• Je vois, si tu es venue c’est ce que tu sais ce que je fais, tu es venue m’arrêter !
• Comme tu y vas, crois-tu que je t’aurais montré mes croquis si c’était pour venir te passer les menottes.
• Tu veux savoir comment j’en suis arrivée là, tu sais que je suis une prostituer !
• Une pute soumise, oui, mon inspecteur a tout découvert, mais soit sans crainte, il a envie de me sauter et je l’ai à ma botte.
J’avais simplement envie de te revoir et te montrer que j’avais vu juste lorsque mon imagination faisait courir mon crayon sur ces feuilles blanches.
• Je dois reconnaître que c’est assez réaliste avec ce que je pratique avec mes clients.
Lorsque mes parents sont partis pour Limoges mon père ayant trouvé un poste dans une usine de cette ville, j’étais jeune et j’ai été obligé de suivre.
J’ai eu les mêmes problèmes que dans votre région à cause de mon odeur de rousse.
De plus, mon père picolait et me foutait des tournioles.
Plus je vieillissais et plus j’aimais qu’il me fesse, souvent lorsqu’il était bourré c’est moi qui le provoquais pour ramasser.
Un jour ils ont de nouveau déménagé, mais j’étais majeur et j’ai pris mon indépendance.
J’avais trouvé une place de bonne dans une maison bourgeoise ici à la capitale, le mari était insatisfait et m’a dépucelé.
Sa femme l’a su et je me suis retrouvée à la rue, c’est à ce moment que j’ai commencé à me prostituer.
• Les salopards, en te jetant ils t’ont fait tomber dans la prostitution !
• Pas du tout, Alfonse le mari est mon plus fidèle client, c’est avec lui que j’ai découvert que ça gagnait plus lorsque j’étais une pute soumise plutôt qu’une simple pute écartant ses cuisses.
J’ignore si tu es connaisseuse de meuble ancien, ici tu pourrais constater qu’ils sont tous d’origine, simplement certaines fois restaurés.
Je lui explique que j’avais constaté dès mon entrée l’authenticité de ses meubles après l’enquête qui m’avait obligé de travailler le vrai de la copie.
• Je suppose que tu te fais attacher, depuis ces croquis, j’ai vu des films dont certains sur les maîtres et les esclaves.
Tu prends des risques d’être seule, attachée avec eux.
Françoise éclate de rire.
• Seule, c’est ce que tu peux penser, Jennifer la femme d’âge mur qui t’a ouverte est, elle aussi une ancienne prostituée.
Dans la pièce où je reçois, elle a un endroit où elle se glisse avant que je fasse entrer mon client et si j’ai des problèmes, elle allume toutes les lumières et vient à mon secours.
Depuis que je suis devenue pute soumise, elle a été obligée une seule fois de venir m’aider.
Le client doit encore s’en souvenir, elle lui a donné la raclé de sa vie.
Sans y paraître, elle est ceinture noire de karaté et connaît ou porter ses coups.
Veux-tu que je te fasse visiter la pièce où je reçois mes clients et où je me laisse faire par eux ?
Si tu le veux, tu pourrais rendre réels certains de tes croquis.
• Ça serait avec plaisir, mais je suis commissaire et si l’on me trouve chez une pute, excuse du terme, j’aurais du mal expliqué que je suis venue voir une simple amie.
• Je comprends, inutile de prendre des risques, même si depuis qu’une fois j’ai été arrêté pour racolage, je fais très attention à ma clientèle.
• Sais-tu que c’est grâce à ce PV de racolage que mon inspecteur a pu te retrouver ?
• Le monde est petit, mais nous nous serions revues tout de même !
L’agence où tu as mis la maison de ta maman en vente t’a-t-elle dit qu’un compromis de vente a été signé ?
• Oui, depuis quelques heures !
• C’est moi qui suis venue visiter ce week-end, prendre des coups, j’adore, mais il faut savoir prendre du recule, l’âge commençant à venir.
Je compte arrêter de me prostituer dans les mois prochains et de me retirer avec Jennifer dans la région que j’ai le plus aimé avant que mon conard de père m’oblige à les suivre.
Bien sûr, je t’invite, voilà mon numéro de portable personnel, donne-moi le tien si tu le désires, je t’inviterais lorsque nous serons installées.
J’ai quitté Françoise, au fond de moi un malaise s’est installé vite oublier avec la charge de travail, Paris dans la police est une vraie sinécure.
Quelques semaines plus tard, je reçois un message.
« Devine où je suis. »
« Je l’ignore, dis-moi ! »
« Dans la maison de ta jeunesse, quand peux-tu venir, j’ai découvert des choses qui pourraient t’intéresser ! »
La flic prend toujours le pas sur la femme, lorsque certains propos attirent mon attention, que Françoise a-t-elle découverte chez ma mère.
Nous prenons rendez-vous le week-end suivant, j’ai la chance d’être absente sur le tableau de service, on a droit à des moments de repos sauf urgences bien sûr.
Je retourne, dans mon village, voir la maison de ma jeunesse me serre le cœur même si j’étais un peu loin d’elle.
• Bonjours Dominique, heureuse de te voir, tu vois c’est fait, j’ai décroché, tu as eu de la chance de vivre dans cette maison, même si j’ai y découvert un secret.
• Tu es seule, je croyais que ta gouvernante venait vivre avec toi !
• C’est le cas, elle dort dans ce qui devait être ta chambre, ce week-end, elle est dans sa famille, elle a un fils dans le Bordelais.
C’est un conflit permanent entre les vins bordelais et les Bourguignons entre nous, bien sûr, je suis pour les Bourguignons, tu en déduisis la suite.
Je m’installe dans la chambre qui était celle de ma mère, pourquoi ai-je toujours dit « ma mère » et non « maman » lorsque je parle d’elle, il est vrai que j’étais loin d’être proche.
Ça venait certainement des amants qui se succédaient chez nous, même si à aucun moment, j’ai été témoin de ses jeux amoureux.
Je retourne dans la salle où Françoise nous a servi un verre de Santenay grand cru.
• Dans ton mail, tu parlais d’une découverte que tu aurais faite, est-il possible d’en savoir plus ?...
Beaune, ses célèbres hospices et de sa vente de vin annuelle.
Je viens de vendre la maison de mon enfance quittant définitivement mon village ou plus rien me retient.
Maman m’a quitté et mon travail de commissaire de police à la préfecture parisienne m’accapare me laissant peu de place pour être dans les vignes.
Je décide de vider sa maison et de la vendre.
C’est dans un vieux carton que je retrouve des dessins au crayon noir représentant Françoise Gaubert dans des postures de soumission.
J’étais bien jeune dans les années où j’ai dessiné de telles horreurs sorties de mon cerveau formaté par maman et ses amants.
Dans le collège de la ville de Beaune que nous avions rejoint en début d’année, Françoise était assise devant moi.
Deux particularités pour cette jeune fille, son odeur, elle était rousse, mais surtout elle était soumise.
C’était la souffre-douleur de notre classe, tout ce que la vacherie de jeunes de quatorze, quinze ans pouvaient lui être fait, les autres le lui faisaient sans que jamais elle montre le moindre signe de rébellion.
C’est à cette époque lors de cours où je m’emmerdais que j’ai laissé courir mon crayon sur ce cahier à dessin, le cachant lorsqu’un professeur risquait de me surprendre.
Je m’interroge sur ce qu’elle est devenue, pour ma part comme je l’ai dit, j’ai fait l’école des commissaires de police et j’ai été nommé à la préfecture de police de Paris.
Après avoir mis en vente la maison de mon enfance, j’ai repris le chemin de la « cage », nom de mon bureau à la préfecture.
Je charge François un de mes jeunes inspecteurs d’enquêter discrètement sur le devenir de cette jeune femme.
Pute soumise à Paris, c’est ce qu’il découvre, je laisse du temps et je décide de me rendre à l’adresse qu’il m’a donnée.
Une gouvernante vient m’ouvrir, au premier abord elle me prend pour une cliente.
Je me fais connaître lui expliquant que j’ai connu Françoise du temps de notre jeunesse.
Elle va la chercher et je vois une magnifique plante toujours aussi rousse venir dans le vestibule où j’ai pu admirer des meubles d’époque loin d’être des copies.
• Dominique, si je m’attendais, tu as de la chance, j’ai un moment de libre, que me vaut ta visite.
Je lui explique la mort de maman et mes dessins retrouvés dans mon armoire de jeune fille, je les sors de mon sac et je lui montre.
• Viens, nous allons prendre un café, la soirée a été rude, tu en veux un !
Elle m’entraîne par une porte donnant sur ce qui doit être son logement.
• Marie sert nous un café, tu te rends compte, j’ai connu Dominique sur les bancs du collège, alors que nous étions deux pucelles loin d’avoir trouvé notre voie.
Que fais-tu maintenant ?
• Je suis commissaire de police à la préfecture, lorsque j’ai vu ces croquis, ça m’a rappelé notre jeunesse, j’ai chargé un de mes inspecteurs discrètement te retrouvé.
• Je vois, si tu es venue c’est ce que tu sais ce que je fais, tu es venue m’arrêter !
• Comme tu y vas, crois-tu que je t’aurais montré mes croquis si c’était pour venir te passer les menottes.
• Tu veux savoir comment j’en suis arrivée là, tu sais que je suis une prostituer !
• Une pute soumise, oui, mon inspecteur a tout découvert, mais soit sans crainte, il a envie de me sauter et je l’ai à ma botte.
J’avais simplement envie de te revoir et te montrer que j’avais vu juste lorsque mon imagination faisait courir mon crayon sur ces feuilles blanches.
• Je dois reconnaître que c’est assez réaliste avec ce que je pratique avec mes clients.
Lorsque mes parents sont partis pour Limoges mon père ayant trouvé un poste dans une usine de cette ville, j’étais jeune et j’ai été obligé de suivre.
J’ai eu les mêmes problèmes que dans votre région à cause de mon odeur de rousse.
De plus, mon père picolait et me foutait des tournioles.
Plus je vieillissais et plus j’aimais qu’il me fesse, souvent lorsqu’il était bourré c’est moi qui le provoquais pour ramasser.
Un jour ils ont de nouveau déménagé, mais j’étais majeur et j’ai pris mon indépendance.
J’avais trouvé une place de bonne dans une maison bourgeoise ici à la capitale, le mari était insatisfait et m’a dépucelé.
Sa femme l’a su et je me suis retrouvée à la rue, c’est à ce moment que j’ai commencé à me prostituer.
• Les salopards, en te jetant ils t’ont fait tomber dans la prostitution !
• Pas du tout, Alfonse le mari est mon plus fidèle client, c’est avec lui que j’ai découvert que ça gagnait plus lorsque j’étais une pute soumise plutôt qu’une simple pute écartant ses cuisses.
J’ignore si tu es connaisseuse de meuble ancien, ici tu pourrais constater qu’ils sont tous d’origine, simplement certaines fois restaurés.
Je lui explique que j’avais constaté dès mon entrée l’authenticité de ses meubles après l’enquête qui m’avait obligé de travailler le vrai de la copie.
• Je suppose que tu te fais attacher, depuis ces croquis, j’ai vu des films dont certains sur les maîtres et les esclaves.
Tu prends des risques d’être seule, attachée avec eux.
Françoise éclate de rire.
• Seule, c’est ce que tu peux penser, Jennifer la femme d’âge mur qui t’a ouverte est, elle aussi une ancienne prostituée.
Dans la pièce où je reçois, elle a un endroit où elle se glisse avant que je fasse entrer mon client et si j’ai des problèmes, elle allume toutes les lumières et vient à mon secours.
Depuis que je suis devenue pute soumise, elle a été obligée une seule fois de venir m’aider.
Le client doit encore s’en souvenir, elle lui a donné la raclé de sa vie.
Sans y paraître, elle est ceinture noire de karaté et connaît ou porter ses coups.
Veux-tu que je te fasse visiter la pièce où je reçois mes clients et où je me laisse faire par eux ?
Si tu le veux, tu pourrais rendre réels certains de tes croquis.
• Ça serait avec plaisir, mais je suis commissaire et si l’on me trouve chez une pute, excuse du terme, j’aurais du mal expliqué que je suis venue voir une simple amie.
• Je comprends, inutile de prendre des risques, même si depuis qu’une fois j’ai été arrêté pour racolage, je fais très attention à ma clientèle.
• Sais-tu que c’est grâce à ce PV de racolage que mon inspecteur a pu te retrouver ?
• Le monde est petit, mais nous nous serions revues tout de même !
L’agence où tu as mis la maison de ta maman en vente t’a-t-elle dit qu’un compromis de vente a été signé ?
• Oui, depuis quelques heures !
• C’est moi qui suis venue visiter ce week-end, prendre des coups, j’adore, mais il faut savoir prendre du recule, l’âge commençant à venir.
Je compte arrêter de me prostituer dans les mois prochains et de me retirer avec Jennifer dans la région que j’ai le plus aimé avant que mon conard de père m’oblige à les suivre.
Bien sûr, je t’invite, voilà mon numéro de portable personnel, donne-moi le tien si tu le désires, je t’inviterais lorsque nous serons installées.
J’ai quitté Françoise, au fond de moi un malaise s’est installé vite oublier avec la charge de travail, Paris dans la police est une vraie sinécure.
Quelques semaines plus tard, je reçois un message.
« Devine où je suis. »
« Je l’ignore, dis-moi ! »
« Dans la maison de ta jeunesse, quand peux-tu venir, j’ai découvert des choses qui pourraient t’intéresser ! »
La flic prend toujours le pas sur la femme, lorsque certains propos attirent mon attention, que Françoise a-t-elle découverte chez ma mère.
Nous prenons rendez-vous le week-end suivant, j’ai la chance d’être absente sur le tableau de service, on a droit à des moments de repos sauf urgences bien sûr.
Je retourne, dans mon village, voir la maison de ma jeunesse me serre le cœur même si j’étais un peu loin d’elle.
• Bonjours Dominique, heureuse de te voir, tu vois c’est fait, j’ai décroché, tu as eu de la chance de vivre dans cette maison, même si j’ai y découvert un secret.
• Tu es seule, je croyais que ta gouvernante venait vivre avec toi !
• C’est le cas, elle dort dans ce qui devait être ta chambre, ce week-end, elle est dans sa famille, elle a un fils dans le Bordelais.
C’est un conflit permanent entre les vins bordelais et les Bourguignons entre nous, bien sûr, je suis pour les Bourguignons, tu en déduisis la suite.
Je m’installe dans la chambre qui était celle de ma mère, pourquoi ai-je toujours dit « ma mère » et non « maman » lorsque je parle d’elle, il est vrai que j’étais loin d’être proche.
Ça venait certainement des amants qui se succédaient chez nous, même si à aucun moment, j’ai été témoin de ses jeux amoureux.
Je retourne dans la salle où Françoise nous a servi un verre de Santenay grand cru.
• Dans ton mail, tu parlais d’une découverte que tu aurais faite, est-il possible d’en savoir plus ?...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Olga je vais te confier un secret sur ma faàon d'écrire mes histoires
Il y a quelques mois on m'a posé la question sur une fin avec suspens.
J'aai répondu que lorsque j'écris, j'ai une idée dans la tête.
Je fais rouler l'histoire sur l'autoroute du soleil.
Souvent sur cet autauroute je finis par m'ennuyer eb écrivant ma propre histoire.
Alors là je prends une décision
Exemple parti de Paris à Valence je m'ennuye.
Je prends la décision de quitter l'autauroute et de partir à gauche vers les montagnes et là de nouvelles perspective s'ouvre à moi àa a été le cas pour la commissaire
Merci de tes commentaire toujours bonnifiant pour mon travail
Il y a quelques mois on m'a posé la question sur une fin avec suspens.
J'aai répondu que lorsque j'écris, j'ai une idée dans la tête.
Je fais rouler l'histoire sur l'autoroute du soleil.
Souvent sur cet autauroute je finis par m'ennuyer eb écrivant ma propre histoire.
Alors là je prends une décision
Exemple parti de Paris à Valence je m'ennuye.
Je prends la décision de quitter l'autauroute et de partir à gauche vers les montagnes et là de nouvelles perspective s'ouvre à moi àa a été le cas pour la commissaire
Merci de tes commentaire toujours bonnifiant pour mon travail
Chris sait terminer sur un suspens, qui nous invite à réclamer au plus vite la suite!