COLLECTION SOUMISSION. Commissaire de police (3/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION SOUMISSION. Commissaire de police (3/4)
« Dans ton mail, tu parlais d’une découverte que tu aurais faite, est-il possible d’en savoir plus ? »
Quelle réponse vais-je avoir à cette question ?
Retrouver Françoise rousse, vraie rousse, lorsqu’elle était petite, elle était prise en grippe aussi bien par les filles que les garçons à cause de sa forte odeur.
C’est elle qui pute soumise a racheté la maison de mon enfance après le décès de ma mère.
Ma mère, au plus loin que je m’en souvienne dire « maman » pour moi a été difficile.
• Viens, suis-moi, je vais te montrer ce que j’ai découvert.
Françoise me fait quitter la maison principale pour me conduire à la dépendance attenante la maison.
Cette remise je la connais bien, un amant de ma mère avait aménagé la soupente pour m’en faire un coin pour y jouer.
Lors du déménagement, j’ai jeté la maison de poupée et tous autres jeux de mon enfance.
Je montais par une échelle que je vois dès que nous entrons, j’y passais mon temps dès qu’il pleuvait, j’y ai passé des heures.
• Regarde ce palan, je me suis demandé ce qu’il faisait là !
• Au début, lorsque j’étais très jeune, la salle avait seulement cet établi, un jour, je me souviens qu’un de ses amants l’a installé, je pense qu’il y réparait sa voiture.
• Sa voiture, par où la faisait-il entrer, la porte est toute petite.
Non, j’ai fini par trouver !
• Et qu’as-tu trouvé ?
• Ta mère était une soumise comme moi je le suis et ses amants lui donnaient son plaisir en la suspendant et en la fouettant.
• Tu es folle ma pauvre fille et ça se serait passé sans que j’en sois informée, je te rappelle que je vivais dans la maison voisine.
J’ai mieux, les croquis que tu m’as montrés ou il y avait mon nom qui a permis à ton inspecteur de me retrouver, ce sont ceux de ta mère que tu as dû surprendre lors de ta jeunesse.
• Maman, une soumise se faisant fouetter pour prendre son pied, pauvre folle.
Un palan, si c’est la seule preuve que tu as, c’est un peu léger pour insulter une femme décédée.
• Réfléchis, la date sur les croquis prouve que nous avions treize à quatorze ans.
Comment pouvais-tu m’avoir vu dans ces positions alors qu’à cet âge je jouais encore à la poupée ?
• Je reconnais, que tu marques un point.
• Je vais te faire voir autre chose, c’est avec un coup de chance que j’ai découvert que ta mère aimait être une soumise, derrière cette armoire.
Là encore, cette armoire je l’ai vidée et bruler dans le tonneau aux mauvaises herbes les kilos de journaux qui s’y trouvaient.
Françoise la fait glisser sur la droite découvrant une niche.
Elle appuie sur un bouton et une lumière se propage dans la salle.
Ce que j’y vois est impressionnant, mais j’ai un drôle de sentiment.
Fouet gode avec ceinture et tout ce qu’il faut pour soumettre une personne, il y a même des menottes, je m’en saisi.
• Salope, tu as ramené tes outils de travail parisien et tu veux me faire croire que ma mère était une putain de soumise.
Je l’aurais dessinée, certainement, l’ayant vu un jour se faire fouetter depuis la mezzanine où j’avais l’habitude de jouer.
À cette insinuation sans le moindre fondement, je deviens folle, la rage me prend, les menottes que je lui mets prestement avant qu’elle réagisse.
La colère décuple mes forces, car j’arrive à les passer dans le crochet du palan et de la soulever jusqu’à ce que ses pointes de pieds touchent à peine le sol.
Je lui arrache littéralement ses vêtements me montrant des piercings aux seins, nombril et à la chatte.
• Regarde ces poids, avec ces chaines, ils se pendent sur les anneaux que j’ai sur ma chatte, les petits sur les seins.
J’en ai dans des cartons dans la maison, les miens font 200 grammes pour ma chatte et 50 pour mes seins.
Ceux-là font 500 pour la chatte et 100 pour les seins.
Tu peux bien te voiler les yeux, ta mère sans être une pute comme moi aimait se faire martyriser.
500 grammes, j’ignore combien de temps ses maîtres lui plaçaient, mais ses lèvres vaginales devaient être très distendues.
Je regarde ses grandes lèvres, c’est vraie qu’elles sont déjà très grandes, mais la rage me prend.
Je me saisis d’un fouet et commence à taper méticuleusement.
Combien de fois ai-je eu envie de frapper de pauvres connards voulant me tenir tête alors que je les interrogeais, surtout lorsqu’ils avaient pratiqué des actes abjects.
Je frappe, je frappe, ses seins, sa chatte, instinctivement j’évite son visage.
L’effluve de rousse toujours présente lorsqu’on est près d’elle, m’enivre à chaque fois que je touche une partie de son corps.
J’ai chaud, mais je continue, je fouette tout en enlevant mes vêtements, je vois un gode et sa ceinture, lorsque j’aurais fini de la fouetter, je lui pendrais les poids et je la sodomiserais.
Je suis sûr qu’une pute adore se faire sodomiser.
Mais avant mon bras se lève et la lanière fait apparaitre du sang sur son sein droit.
Je suis comme une lionne voyant le sang couler, je veux la déchiqueter.
Une main me saisit le poignet où j’ai le fouet.
• Patronne, arrêtez, vous aller la tuer, il était temps que j’arrive.
• C’est bon Dominique continue, je prends mon pied comme jamais.
Ces mots m’arrivent aux oreilles en même temps que mes mains sont menottées et que je me trouve pendue, collée à Françoise.
Mes seins sont sur ses seins, je sens ses anneaux exciter mes pointes, je suis sûr que ça les fait bander.
Nos chattes se touchent et ses anneaux excitent mon clito que j’ai très proéminent.
Le fouet qu’il m’a arraché, commence à tomber principalement sur ses fesses, la lanière, assez longue, doit nous entourer au mouvement qu’elle fait avant de finir sur moi.
Je dois reconnaitre que j’aime ça.
François lâche le fouet, il saisit mes menottes pour me détacher du crochet et me fait mettre à quatre pattes.
C’est moi la commissaire, sa commissaire, François devrait me montrer du respect.
Mais avant que j’aie le temps de m’offusquer, il a dû sortir sa queue et commence à me pénétrer.
J’ai hurlé sous les coups du fouet, je hurle de nouveau à sa longue pénétration.
Un orgasme finit par me traverser, il a fait de moi sa chienne.
Je finis par reprendre mes esprits.
• François détachons là et emmenons là dans sa chambre, je crois que j’ai un peu abusé, après vous me direz ce que vous faites ici, je vous avais accordé deux jours de repos.
• Soyez sans crainte, je vais bien, j’ai pris mon plaisir comme jamais avec tous mes clients.
C’est une toute petite voix qui prononce ces mots, mais comme il m’est arrivé de faire avec un pendu, nous dépendons Françoise, mais avant François récupère ses menottes.
Françoise ramenée dans sa chambre, nous la baignons, c’est moi qui passe ma main sur sa chatte, elle frémit dans son semi-sommeil, mes doigts lui donneraient-ils du plaisir ?
À mon tour, je prends un bain avant de rejoindre l’inspecteur dans la cuisine, il boit une bière certainement trouvée dans le frigo.
J’en prends une, les émotions, ça donne soif.
• Peux-tu m’expliquer ?
• Lors de mon enquête à Paris, je dois reconnaître que j’ai vu l’opportunité de trouver des renseignements sur certains des clients de cette pute.
Une pute soumise, ça se paye cher et souvent les clients qu’elle rencontre sont des pervers friqués.
Hommes politiques, artistes de renom et autres personnalités.
• Voulais-tu les faire chanter pour gagner du fric ?
• Chanter, non, me servir d’eux pour faire avancer ma carrière, dans mes temps libres je surveillais ses appartements, j’ai pu photographier quelques clients fort intéressants.
• Et un jour, c’est moi que tu as eu dans ton viseur lorsque je suis venue la rencontrer.
• Oui, patronne, je peux vous faire voir les clicher, l’appareil est dans ma voiture, mais je vais les effacer.
• Laisses-tu tomber ton chantage ?
• Non, depuis que vous êtes dans le service, je rêve de vous baiser, c’est fait.
Je pense que je vous ai fait prendre beaucoup de plaisir, si vous me dites que c’est fini, là encore je laisserais tomber, je suis loin d’être un salopard.
Lorsque j’ai vu sur le tableau de service que vous preniez deux jours de congé, j’en ai fait de même et je vous ai suivi jusqu’ici.
Je vous ai vu aller avec la pute dans cette remise, je me suis rapproché et j’ai entendu des éclats de voix, sans comprendre vraiment ce qu’il se disait.
Les coups de fouet ont commencé à tomber, j’ai pensé que vous étiez une dominatrice comme vous l’êtes dans le service, je suis entré et j’ai arrêté votre bras, vous alliez la tuer.
François à raison, vouloir me faire croire que ma mère se faisait fouetter à sa place, cette rousse avait dépassé les bornes et j’ai perdu mon calme.
Sur la table, la paire de menottes qu’il a défaite des poignets de Françoise et que j’ai prise dans les objets de domination qu’elle m’assurerait être à ma mère, elles me disent quelque chose.
Je vois des initiales, « DD ».
Merde, pardon, mince, c’est la paire de menottes que l’on m’a donnée lorsque j’ai été reçu à mon concours de commissaire.
Ma mère me les aurait-elle volées ?
Je suis indécrottable, impossible pour moi de dire « maman ».
Les images me reviennent, je dors et je me réveille, mes pensées arrivent par petits morceaux.
Merde, si Françoise avait raison...
Quelle réponse vais-je avoir à cette question ?
Retrouver Françoise rousse, vraie rousse, lorsqu’elle était petite, elle était prise en grippe aussi bien par les filles que les garçons à cause de sa forte odeur.
C’est elle qui pute soumise a racheté la maison de mon enfance après le décès de ma mère.
Ma mère, au plus loin que je m’en souvienne dire « maman » pour moi a été difficile.
• Viens, suis-moi, je vais te montrer ce que j’ai découvert.
Françoise me fait quitter la maison principale pour me conduire à la dépendance attenante la maison.
Cette remise je la connais bien, un amant de ma mère avait aménagé la soupente pour m’en faire un coin pour y jouer.
Lors du déménagement, j’ai jeté la maison de poupée et tous autres jeux de mon enfance.
Je montais par une échelle que je vois dès que nous entrons, j’y passais mon temps dès qu’il pleuvait, j’y ai passé des heures.
• Regarde ce palan, je me suis demandé ce qu’il faisait là !
• Au début, lorsque j’étais très jeune, la salle avait seulement cet établi, un jour, je me souviens qu’un de ses amants l’a installé, je pense qu’il y réparait sa voiture.
• Sa voiture, par où la faisait-il entrer, la porte est toute petite.
Non, j’ai fini par trouver !
• Et qu’as-tu trouvé ?
• Ta mère était une soumise comme moi je le suis et ses amants lui donnaient son plaisir en la suspendant et en la fouettant.
• Tu es folle ma pauvre fille et ça se serait passé sans que j’en sois informée, je te rappelle que je vivais dans la maison voisine.
J’ai mieux, les croquis que tu m’as montrés ou il y avait mon nom qui a permis à ton inspecteur de me retrouver, ce sont ceux de ta mère que tu as dû surprendre lors de ta jeunesse.
• Maman, une soumise se faisant fouetter pour prendre son pied, pauvre folle.
Un palan, si c’est la seule preuve que tu as, c’est un peu léger pour insulter une femme décédée.
• Réfléchis, la date sur les croquis prouve que nous avions treize à quatorze ans.
Comment pouvais-tu m’avoir vu dans ces positions alors qu’à cet âge je jouais encore à la poupée ?
• Je reconnais, que tu marques un point.
• Je vais te faire voir autre chose, c’est avec un coup de chance que j’ai découvert que ta mère aimait être une soumise, derrière cette armoire.
Là encore, cette armoire je l’ai vidée et bruler dans le tonneau aux mauvaises herbes les kilos de journaux qui s’y trouvaient.
Françoise la fait glisser sur la droite découvrant une niche.
Elle appuie sur un bouton et une lumière se propage dans la salle.
Ce que j’y vois est impressionnant, mais j’ai un drôle de sentiment.
Fouet gode avec ceinture et tout ce qu’il faut pour soumettre une personne, il y a même des menottes, je m’en saisi.
• Salope, tu as ramené tes outils de travail parisien et tu veux me faire croire que ma mère était une putain de soumise.
Je l’aurais dessinée, certainement, l’ayant vu un jour se faire fouetter depuis la mezzanine où j’avais l’habitude de jouer.
À cette insinuation sans le moindre fondement, je deviens folle, la rage me prend, les menottes que je lui mets prestement avant qu’elle réagisse.
La colère décuple mes forces, car j’arrive à les passer dans le crochet du palan et de la soulever jusqu’à ce que ses pointes de pieds touchent à peine le sol.
Je lui arrache littéralement ses vêtements me montrant des piercings aux seins, nombril et à la chatte.
• Regarde ces poids, avec ces chaines, ils se pendent sur les anneaux que j’ai sur ma chatte, les petits sur les seins.
J’en ai dans des cartons dans la maison, les miens font 200 grammes pour ma chatte et 50 pour mes seins.
Ceux-là font 500 pour la chatte et 100 pour les seins.
Tu peux bien te voiler les yeux, ta mère sans être une pute comme moi aimait se faire martyriser.
500 grammes, j’ignore combien de temps ses maîtres lui plaçaient, mais ses lèvres vaginales devaient être très distendues.
Je regarde ses grandes lèvres, c’est vraie qu’elles sont déjà très grandes, mais la rage me prend.
Je me saisis d’un fouet et commence à taper méticuleusement.
Combien de fois ai-je eu envie de frapper de pauvres connards voulant me tenir tête alors que je les interrogeais, surtout lorsqu’ils avaient pratiqué des actes abjects.
Je frappe, je frappe, ses seins, sa chatte, instinctivement j’évite son visage.
L’effluve de rousse toujours présente lorsqu’on est près d’elle, m’enivre à chaque fois que je touche une partie de son corps.
J’ai chaud, mais je continue, je fouette tout en enlevant mes vêtements, je vois un gode et sa ceinture, lorsque j’aurais fini de la fouetter, je lui pendrais les poids et je la sodomiserais.
Je suis sûr qu’une pute adore se faire sodomiser.
Mais avant mon bras se lève et la lanière fait apparaitre du sang sur son sein droit.
Je suis comme une lionne voyant le sang couler, je veux la déchiqueter.
Une main me saisit le poignet où j’ai le fouet.
• Patronne, arrêtez, vous aller la tuer, il était temps que j’arrive.
• C’est bon Dominique continue, je prends mon pied comme jamais.
Ces mots m’arrivent aux oreilles en même temps que mes mains sont menottées et que je me trouve pendue, collée à Françoise.
Mes seins sont sur ses seins, je sens ses anneaux exciter mes pointes, je suis sûr que ça les fait bander.
Nos chattes se touchent et ses anneaux excitent mon clito que j’ai très proéminent.
Le fouet qu’il m’a arraché, commence à tomber principalement sur ses fesses, la lanière, assez longue, doit nous entourer au mouvement qu’elle fait avant de finir sur moi.
Je dois reconnaitre que j’aime ça.
François lâche le fouet, il saisit mes menottes pour me détacher du crochet et me fait mettre à quatre pattes.
C’est moi la commissaire, sa commissaire, François devrait me montrer du respect.
Mais avant que j’aie le temps de m’offusquer, il a dû sortir sa queue et commence à me pénétrer.
J’ai hurlé sous les coups du fouet, je hurle de nouveau à sa longue pénétration.
Un orgasme finit par me traverser, il a fait de moi sa chienne.
Je finis par reprendre mes esprits.
• François détachons là et emmenons là dans sa chambre, je crois que j’ai un peu abusé, après vous me direz ce que vous faites ici, je vous avais accordé deux jours de repos.
• Soyez sans crainte, je vais bien, j’ai pris mon plaisir comme jamais avec tous mes clients.
C’est une toute petite voix qui prononce ces mots, mais comme il m’est arrivé de faire avec un pendu, nous dépendons Françoise, mais avant François récupère ses menottes.
Françoise ramenée dans sa chambre, nous la baignons, c’est moi qui passe ma main sur sa chatte, elle frémit dans son semi-sommeil, mes doigts lui donneraient-ils du plaisir ?
À mon tour, je prends un bain avant de rejoindre l’inspecteur dans la cuisine, il boit une bière certainement trouvée dans le frigo.
J’en prends une, les émotions, ça donne soif.
• Peux-tu m’expliquer ?
• Lors de mon enquête à Paris, je dois reconnaître que j’ai vu l’opportunité de trouver des renseignements sur certains des clients de cette pute.
Une pute soumise, ça se paye cher et souvent les clients qu’elle rencontre sont des pervers friqués.
Hommes politiques, artistes de renom et autres personnalités.
• Voulais-tu les faire chanter pour gagner du fric ?
• Chanter, non, me servir d’eux pour faire avancer ma carrière, dans mes temps libres je surveillais ses appartements, j’ai pu photographier quelques clients fort intéressants.
• Et un jour, c’est moi que tu as eu dans ton viseur lorsque je suis venue la rencontrer.
• Oui, patronne, je peux vous faire voir les clicher, l’appareil est dans ma voiture, mais je vais les effacer.
• Laisses-tu tomber ton chantage ?
• Non, depuis que vous êtes dans le service, je rêve de vous baiser, c’est fait.
Je pense que je vous ai fait prendre beaucoup de plaisir, si vous me dites que c’est fini, là encore je laisserais tomber, je suis loin d’être un salopard.
Lorsque j’ai vu sur le tableau de service que vous preniez deux jours de congé, j’en ai fait de même et je vous ai suivi jusqu’ici.
Je vous ai vu aller avec la pute dans cette remise, je me suis rapproché et j’ai entendu des éclats de voix, sans comprendre vraiment ce qu’il se disait.
Les coups de fouet ont commencé à tomber, j’ai pensé que vous étiez une dominatrice comme vous l’êtes dans le service, je suis entré et j’ai arrêté votre bras, vous alliez la tuer.
François à raison, vouloir me faire croire que ma mère se faisait fouetter à sa place, cette rousse avait dépassé les bornes et j’ai perdu mon calme.
Sur la table, la paire de menottes qu’il a défaite des poignets de Françoise et que j’ai prise dans les objets de domination qu’elle m’assurerait être à ma mère, elles me disent quelque chose.
Je vois des initiales, « DD ».
Merde, pardon, mince, c’est la paire de menottes que l’on m’a donnée lorsque j’ai été reçu à mon concours de commissaire.
Ma mère me les aurait-elle volées ?
Je suis indécrottable, impossible pour moi de dire « maman ».
Les images me reviennent, je dors et je me réveille, mes pensées arrivent par petits morceaux.
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