COLLECTION SOUMISSION. Copines d’enfances (1/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION SOUMISSION. Copines d’enfances (1/4)
• Noémie, est-ce que j’y suis pour quelque chose si tu es toujours vierge.
• Oui, un peu à cause de ton berger allemand.
• Nous avions cinq ans, tu pousses un peu.
• Non, je sais que je ressemble à mes parents tous deux longilignes qui ont fait que je suis aussi plate qu’une limande et que mes fesses sont inexistantes.
• C’est vrai, j’ai de jolis seins et un cul à attirer les mains.
Certes, mon chien t’a labouré le visage quand nous étions petites, te laissant une grande cicatrice, mais je suis sûr que tu vas trouver chaussure à ton pied.
Nous avions une quinzaine d’années quand nous tenions ces propos.
Nos chattes commençaient à nous démanger et les garçons commençaient à tourner comme des chiens fous autour des chiennes en chaleur que nous allions devenir.
Il est vrai que Noémie était toujours seule, hors de ma présence.
Si j’avais voulu, j’aurais déjà perdu mon pucelage, mais je me trouvais un peu jeune.
Par compte mon amie semblait obnubilée par les sexes masculins, mais chaque fois elle se prenait des râteaux.
Nous avons atteint nos vingt ans toujours avec nos hymens entre nos jambes.
Je faisais des études supérieures pendant que Noémie commençait à aider ses parents aux cuisines et dans notre jardin.
Avec ses géniteurs, ils habitent la maison des gardes de notre domaine.
Père ayant de hautes fonctions, mère dans notre monde, dite une femme dite entretenue.
Le travail principal, des femmes comme elle, soit belle et tais-toi !
Elle m’élevait avec les mêmes concepts ayant été les siens.
Je voulais être indépendante même si notre castel m’était destiné au départ prévu de mes parents l’an prochain pour leur maison près de Bordeaux.
Père prenant sa retraite.
Mon destin professionnel est tout tracé, mes études terminées, je suis promise à la même carrière que père dans la haute fonction publique.
Il est vrai que le piston cela existe.
Un dernier point, lors d’une conversation avec père, il m’apprend qu’il a signé un accord avec les parents de Noémie, ils les suivent dans leur résidence bordelaise.
Concernant Noémie, elle continuera à être mon amie, malgré notre différence de classe.
Elle vivra dans la maison des gardes, mais deviendra mon employé de maison.
Père est en train de lui chercher un compagnon qui remplacera son père dans ses taches.
Je rencontre un jeune homme à qui j’offre mon pucelage, rien que de bien banal pour une jolie fille comme moi.
Dépucelage sans lendemain pour le sexe que j’ai trouvé, à partir de ce moment, je me tiens à ma règle, une queue, une soirée et après basta.
Dans le même temps, Noémi déjà sèche naturellement, dépérie, nous arrivons à quelques jours du départ de mes parents et des siens.
Je finis mes études avec succès, toutes mes partielles me placent en tête de notre groupe d’étudiants.
• Noémie, même si tu vas travailler pour moi, tu resteras mon amie à jamais.
Père, après de vaines recherches a décidé d’arrêter de te trouver un galant.
Chaque fois qu’il avait une piste et qu’il pensait trouver l’oiseau rare, dès qu’il leur montrait ta photo, il se sauvait en courant, c’est là que j’interviens.
J’ai pris conscience de ma faute dans notre jeunesse.
J’avais caché au fond de ma mémoire que c’est moi qui ai ouvert la porte du chenil.
Diane, notre chienne qui gardait le domaine la nuit avec Brutus, son mâle avait eu des petits.
J’ai voulu aller les voir, j’en ai pris un dans mes bras, tu arrivais pour que je te les montre aussi.
J’ignorais que dans le chenil, Brutus pouvait passer d’une cage à l’autre par un passage resté normalement fermé à cause des petits.
Pourquoi s’est-elle trouvée ouverte ou est-ce Brutus qui a réussi à l’ouvrir et passer dans la cage voisine, ça restera un mystère ?
Je l’ai vu courir vers toi et te sauter au visage.
Tu as crié quand il t’a couché au sol.
Il t’aurait tué si par chance, ton père l’avait loupé, il revenait d’essayer de tuer un renard ayant attaqué son poulailler nous permettant d’avoir des œufs frais chaque matin.
Brutus mort, une ambulance est venue nous chercher, tu étais dans la nuit, ayant perdu connaissance.
Je t’ai veillé pendant les trois jours où tu délirais, jusqu’à ce que tu te réveilles.
Nous étions jeunes et mon cerveau avait occulté ma responsabilité, voilà ce que nous allons faire, je t’explique.
Le soir, je vais en ville avec elle, nous prenons une chambre double dans l’hôtel le plus chic de la ville.
• Attends ici, reste nue, regarde la télé jusqu’à mon retour, ça facilitera mon plan, dès que je t’appellerais, tu viendras me rejoindre et tu perdras ton pucelage, j’aurais payé ma dette.
Je vais dans la boîte où je sais trouver des queues.
J’en ai refusé quelques-unes qui seront satisfaites d’être l’élu de ma couche.
Ce sont de vrais petits chiens amoureux de leur maîtresse.
Ils savent la salope que je suis capable d’être dans mes nuits de débauche.
• J’ai une chambre à l’hôtel voisin, vous venez prendre un dernier verre, mon frigo a une bouteille de champagne qui a envie d’être vidée.
C’est ainsi que je ramène un joli brun dans cette chambre.
La bouteille ouverte, il commence à vouloir me prendre dans ses bras pour m’embrasser.
• Une minute, beau ténébreux, Noémi veux-tu venir !
Le garçon semble surpris et tourne sa tête vers la porte de séparation de nos chambres.
• Je serais à toi à une seule condition, saute ma copine avant.
Il se lève, comme si un habitant d'un nid de frelons l'avait piqué.
• T’es folle, j’arrive encore à lever des gonzesses dans ton genre, quand je serais vieux, presque sénile, fais appel à moi, je lui rendrais peut-être ce service.
Il part en courant, je récupère Noémie dans mes bras, nous pleurons ensemble.
• Reste sans crainte, nous allons y arriver, il faut persévérer, je connais une autre boîte ou je vais réussir.
Je recommence, je mets quelques minutes à me diriger vers nos chambres, comme je l’avais prévu la première fois, Noémie m’attend.
Je vais la faire courte, le gars quand il la voit part plus vite que le premier.
• Noémie, j’ai toujours dragué des gravures de mode.
Je l’ai ais choisi en espérant qu’ils te baiseraient.
J’ai fait chou blanc.
Si je t’amène un petit gros bedonnant, avec des lunettes de myope, comme j’en ai vu un tout à l’heure, tu diras oui !
• S’il me débarrasse de mon hymen, m’assurant que ma vie se terminera sans cette membrane, je suis preneuse.
Je trouve la perle rare, je le ramène à l’hôtel.
Il bave de me baiser, Noémi entre, encore foutue, c’est en pleurs que je quitte ma copine.
Quelques jours plus tard, je reçois un coup de téléphone sur mon portable.
Je manque de raccrocher, la voix qui me parle m’est inconnue.
• Mademoiselle Marie-Ange, je peux vous rendre service ainsi qu’à votre amie.
Je sais que vous chercher à lui trouver un galant, j’ai devant moi des photos d’elle.
Je peux vous assurer que si vous trouvez un homme assez bête pour la baiser, ce sera un débile profond.
Nous sommes un groupe qui peut vous être utiles.
J’ai personnellement un toutou que je peux mettre à votre disposition.
• Vous rigolez, un toutou !
• Excusez, je m’exprime mal, avec mes amis nous avons des soumis ou soumises qui vivent comme de gentils toutous.
Ils adorent avoir des rapports comme leurs congénères à quatre pattes.
C’est l’un des garçons à qui vous avez présenté votre copine qui m’a parlé de votre démarche.
Je cherchais une chienne pour mon chien
Je veux vous rencontrer, je vous donnerais tous les détails.
Je le rencontre, ce qu’il me propose est certainement la solution à notre problème.
Je mets quelques jours et le départ de nos parents pour faire la proposition à Noémie.
• Noémie, si tu mets ce collier de petite chienne, samedi je te conduis à ton mâle.
Il te prendra comme sa petite chienne, si vous vous entendez, vous pourrez avoir des rapports réguliers, voir des portées de petits chiots.
C’est comme ça que je rentre dans un autre manoir non loin de chez moi.
Le baron Charles-Antoine de la Fiote nous reçoit au pied de son perron.
Il a un garçon assis à ses pieds entièrement nus.
Je fais descendre Noémie que je tiens par sa laisse de ma voiture à quatre pattes, il se met, lui aussi dans la même position.
Quand elle est montée se couchant à mes pieds, j’avais ordonné qu’elle soit nue.
Elle doit encore avoir confiance, car elle me suit sans rechigner.
• Marie-Ange, lâchez votre chienne, ils vont aller gambader sur la pelouse.
Je détache le mousqueton, il en fait de même avec le sien.
• Marius va chercher ta femelle.
Il se déplace plus vite que Noémie, il a plus de pratique de la position que son maître lui a habitué à avoir.
Incroyable, il arrive sur ma copine, il la prend dans ses bras, lui grimpe sur le dos, je vois sa queue déjà tendue, il me semble impressionnant.
Mais je suis loin, sans aucun problème Noémie devient sa chienne quand son sexe pénètre en elle.
J’ai réussi grâce à Charles-Antoine à faire perdre son hymen à celle qui par ma faute s'est trouvée défigurée.
Cette sailli par Marius, faisant sortir des cris de plaisir de la gorge de Noémie, est le début de notre histoire commune, la suite au chapitre II…
• Oui, un peu à cause de ton berger allemand.
• Nous avions cinq ans, tu pousses un peu.
• Non, je sais que je ressemble à mes parents tous deux longilignes qui ont fait que je suis aussi plate qu’une limande et que mes fesses sont inexistantes.
• C’est vrai, j’ai de jolis seins et un cul à attirer les mains.
Certes, mon chien t’a labouré le visage quand nous étions petites, te laissant une grande cicatrice, mais je suis sûr que tu vas trouver chaussure à ton pied.
Nous avions une quinzaine d’années quand nous tenions ces propos.
Nos chattes commençaient à nous démanger et les garçons commençaient à tourner comme des chiens fous autour des chiennes en chaleur que nous allions devenir.
Il est vrai que Noémie était toujours seule, hors de ma présence.
Si j’avais voulu, j’aurais déjà perdu mon pucelage, mais je me trouvais un peu jeune.
Par compte mon amie semblait obnubilée par les sexes masculins, mais chaque fois elle se prenait des râteaux.
Nous avons atteint nos vingt ans toujours avec nos hymens entre nos jambes.
Je faisais des études supérieures pendant que Noémie commençait à aider ses parents aux cuisines et dans notre jardin.
Avec ses géniteurs, ils habitent la maison des gardes de notre domaine.
Père ayant de hautes fonctions, mère dans notre monde, dite une femme dite entretenue.
Le travail principal, des femmes comme elle, soit belle et tais-toi !
Elle m’élevait avec les mêmes concepts ayant été les siens.
Je voulais être indépendante même si notre castel m’était destiné au départ prévu de mes parents l’an prochain pour leur maison près de Bordeaux.
Père prenant sa retraite.
Mon destin professionnel est tout tracé, mes études terminées, je suis promise à la même carrière que père dans la haute fonction publique.
Il est vrai que le piston cela existe.
Un dernier point, lors d’une conversation avec père, il m’apprend qu’il a signé un accord avec les parents de Noémie, ils les suivent dans leur résidence bordelaise.
Concernant Noémie, elle continuera à être mon amie, malgré notre différence de classe.
Elle vivra dans la maison des gardes, mais deviendra mon employé de maison.
Père est en train de lui chercher un compagnon qui remplacera son père dans ses taches.
Je rencontre un jeune homme à qui j’offre mon pucelage, rien que de bien banal pour une jolie fille comme moi.
Dépucelage sans lendemain pour le sexe que j’ai trouvé, à partir de ce moment, je me tiens à ma règle, une queue, une soirée et après basta.
Dans le même temps, Noémi déjà sèche naturellement, dépérie, nous arrivons à quelques jours du départ de mes parents et des siens.
Je finis mes études avec succès, toutes mes partielles me placent en tête de notre groupe d’étudiants.
• Noémie, même si tu vas travailler pour moi, tu resteras mon amie à jamais.
Père, après de vaines recherches a décidé d’arrêter de te trouver un galant.
Chaque fois qu’il avait une piste et qu’il pensait trouver l’oiseau rare, dès qu’il leur montrait ta photo, il se sauvait en courant, c’est là que j’interviens.
J’ai pris conscience de ma faute dans notre jeunesse.
J’avais caché au fond de ma mémoire que c’est moi qui ai ouvert la porte du chenil.
Diane, notre chienne qui gardait le domaine la nuit avec Brutus, son mâle avait eu des petits.
J’ai voulu aller les voir, j’en ai pris un dans mes bras, tu arrivais pour que je te les montre aussi.
J’ignorais que dans le chenil, Brutus pouvait passer d’une cage à l’autre par un passage resté normalement fermé à cause des petits.
Pourquoi s’est-elle trouvée ouverte ou est-ce Brutus qui a réussi à l’ouvrir et passer dans la cage voisine, ça restera un mystère ?
Je l’ai vu courir vers toi et te sauter au visage.
Tu as crié quand il t’a couché au sol.
Il t’aurait tué si par chance, ton père l’avait loupé, il revenait d’essayer de tuer un renard ayant attaqué son poulailler nous permettant d’avoir des œufs frais chaque matin.
Brutus mort, une ambulance est venue nous chercher, tu étais dans la nuit, ayant perdu connaissance.
Je t’ai veillé pendant les trois jours où tu délirais, jusqu’à ce que tu te réveilles.
Nous étions jeunes et mon cerveau avait occulté ma responsabilité, voilà ce que nous allons faire, je t’explique.
Le soir, je vais en ville avec elle, nous prenons une chambre double dans l’hôtel le plus chic de la ville.
• Attends ici, reste nue, regarde la télé jusqu’à mon retour, ça facilitera mon plan, dès que je t’appellerais, tu viendras me rejoindre et tu perdras ton pucelage, j’aurais payé ma dette.
Je vais dans la boîte où je sais trouver des queues.
J’en ai refusé quelques-unes qui seront satisfaites d’être l’élu de ma couche.
Ce sont de vrais petits chiens amoureux de leur maîtresse.
Ils savent la salope que je suis capable d’être dans mes nuits de débauche.
• J’ai une chambre à l’hôtel voisin, vous venez prendre un dernier verre, mon frigo a une bouteille de champagne qui a envie d’être vidée.
C’est ainsi que je ramène un joli brun dans cette chambre.
La bouteille ouverte, il commence à vouloir me prendre dans ses bras pour m’embrasser.
• Une minute, beau ténébreux, Noémi veux-tu venir !
Le garçon semble surpris et tourne sa tête vers la porte de séparation de nos chambres.
• Je serais à toi à une seule condition, saute ma copine avant.
Il se lève, comme si un habitant d'un nid de frelons l'avait piqué.
• T’es folle, j’arrive encore à lever des gonzesses dans ton genre, quand je serais vieux, presque sénile, fais appel à moi, je lui rendrais peut-être ce service.
Il part en courant, je récupère Noémie dans mes bras, nous pleurons ensemble.
• Reste sans crainte, nous allons y arriver, il faut persévérer, je connais une autre boîte ou je vais réussir.
Je recommence, je mets quelques minutes à me diriger vers nos chambres, comme je l’avais prévu la première fois, Noémie m’attend.
Je vais la faire courte, le gars quand il la voit part plus vite que le premier.
• Noémie, j’ai toujours dragué des gravures de mode.
Je l’ai ais choisi en espérant qu’ils te baiseraient.
J’ai fait chou blanc.
Si je t’amène un petit gros bedonnant, avec des lunettes de myope, comme j’en ai vu un tout à l’heure, tu diras oui !
• S’il me débarrasse de mon hymen, m’assurant que ma vie se terminera sans cette membrane, je suis preneuse.
Je trouve la perle rare, je le ramène à l’hôtel.
Il bave de me baiser, Noémi entre, encore foutue, c’est en pleurs que je quitte ma copine.
Quelques jours plus tard, je reçois un coup de téléphone sur mon portable.
Je manque de raccrocher, la voix qui me parle m’est inconnue.
• Mademoiselle Marie-Ange, je peux vous rendre service ainsi qu’à votre amie.
Je sais que vous chercher à lui trouver un galant, j’ai devant moi des photos d’elle.
Je peux vous assurer que si vous trouvez un homme assez bête pour la baiser, ce sera un débile profond.
Nous sommes un groupe qui peut vous être utiles.
J’ai personnellement un toutou que je peux mettre à votre disposition.
• Vous rigolez, un toutou !
• Excusez, je m’exprime mal, avec mes amis nous avons des soumis ou soumises qui vivent comme de gentils toutous.
Ils adorent avoir des rapports comme leurs congénères à quatre pattes.
C’est l’un des garçons à qui vous avez présenté votre copine qui m’a parlé de votre démarche.
Je cherchais une chienne pour mon chien
Je veux vous rencontrer, je vous donnerais tous les détails.
Je le rencontre, ce qu’il me propose est certainement la solution à notre problème.
Je mets quelques jours et le départ de nos parents pour faire la proposition à Noémie.
• Noémie, si tu mets ce collier de petite chienne, samedi je te conduis à ton mâle.
Il te prendra comme sa petite chienne, si vous vous entendez, vous pourrez avoir des rapports réguliers, voir des portées de petits chiots.
C’est comme ça que je rentre dans un autre manoir non loin de chez moi.
Le baron Charles-Antoine de la Fiote nous reçoit au pied de son perron.
Il a un garçon assis à ses pieds entièrement nus.
Je fais descendre Noémie que je tiens par sa laisse de ma voiture à quatre pattes, il se met, lui aussi dans la même position.
Quand elle est montée se couchant à mes pieds, j’avais ordonné qu’elle soit nue.
Elle doit encore avoir confiance, car elle me suit sans rechigner.
• Marie-Ange, lâchez votre chienne, ils vont aller gambader sur la pelouse.
Je détache le mousqueton, il en fait de même avec le sien.
• Marius va chercher ta femelle.
Il se déplace plus vite que Noémie, il a plus de pratique de la position que son maître lui a habitué à avoir.
Incroyable, il arrive sur ma copine, il la prend dans ses bras, lui grimpe sur le dos, je vois sa queue déjà tendue, il me semble impressionnant.
Mais je suis loin, sans aucun problème Noémie devient sa chienne quand son sexe pénètre en elle.
J’ai réussi grâce à Charles-Antoine à faire perdre son hymen à celle qui par ma faute s'est trouvée défigurée.
Cette sailli par Marius, faisant sortir des cris de plaisir de la gorge de Noémie, est le début de notre histoire commune, la suite au chapitre II…
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