COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Début de la saison III (7/8)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Début de la saison III (7/8)
Dans la saison II Teti m’a amené chez son père en vue de ma présentation au grand-Maître la semaine prochaine.
Je pense avoir été reçue même si Ménès son père a fait quelques remarques.
Quand il donne l’ordre à Teti de venir prendre sa belle-mère en levrette pendant qu’elle me broute, je glousse de plaisir et je pense que c’est gagné.
Teti suit l’ordre de celui qui se dit son père, même si maintenant je sais que dans cette famille, c’est loin d’être le cas.
Si tout à l’heure, la verge paternelle vient en moi, j’aurai peut-être la chance d’être fécondée.
Quand il entre dans la femelle que son père a mise à sa disposition, la langue d’Azur, c’est comme cela que je vais la nommer, ignorant qui elle est, me pénètre plus profondément.
Ma bouche émet ce petit gloussement que j’ai du mal à refréner.
C’est un œil noir qui me pénètre quand mes yeux entrent en contact avec ceux de Teti. Le son a été si faible, que j’espère que son père ignorera ce détail.
• Fils, je crois que je vais remettre votre rencontre avec notre grand Maître pour plus tard.
Comme moi, tu as vu les lacunes que présentent encore, ta belle soumise !
Regarde ta belle-mère, tu la pilonnes et entends-tu le moindre son sortant de sa bouche.
• Veux-tu la prendre tout de même ?
• Fils, les femmes ignorant la façon de se tenir devant nous les maîtres, me la rendent dans l’impossibilité de la baiser, elle est encore loin d’être digne que je m’occupe d’elle.
Les vulgaires femelles sont capables de jouir en émettant des cris.
Dégage cette chienne de ma vue, tu m’as déçu.
Première sanction ramène là chez toi par le métro, elle est loin de mériter que je paye le taxi.
Fait voir à tout le monde que cette fille est incapable d’avoir le niveau de nos véritables soumises.
Je vais lui faire une fleur et à toi aussi, tu connais comme moi tes liens avec notre organisation.
Ramène-la, dans voyons, quinze jours, j’espère que cette fois, elle réussira l’épreuve.
Sinon, tu devras t’en débarrasser avec comme conséquence pour toi, l’interdiction de former des soumises, une certaine personne serait très déçue.
Tenue par ma laisse, même si ma chaîne est en or, me promener dans les rues de Paris en imper bas et chaussures à hauts talons, hélas, trop bas pour Maître Ménès.
Je suis morte de honte, mais c’est normal, j’ai trahi mon propre Maître.
Rapidement, je me rends compte que j’ai de la chance, c’est dimanche peu de personnes dans les rues, mais surtout des gens qui cherchent la caméra pensant que nous tournons pour une émission, ils nous regardent très amusés.
La seule frayeur, ce serait de rencontrer un de mes élèves lors les derniers mètres de notre parcours surtout que par vice, Teti me fait passer devant notre lycée.
Arrivé chez mon Maître, dire que je suis chez moi, lorsqu’il m’amène dans la chambre, je vois que des travaux ont été réalisés, une plaque est fixée au mur en béton et un anneau y est placé.
Une chaîne et un collier à son bout semblent remplacer les menottes m’attachant au radiateur.
• Tu m’as fait vivre la honte de ma vie, quelle idée de glousser sous l’attaque de la langue de ma belle-mère.
Je suis dans l’obligation de sévir, je pense que tu es d’accord ayant été loin d’être à la hauteur.
Pendant notre absence, j’ai fait faire ces travaux pour te remercier de l’évolution de ta condition de soumise.
Pour te faciliter la vie, j’avais fait placer cet anneau avec une chaîne qui te donnerait plus de liberté la nuit.
• Merci Maître, punissez-moi Maître, je vais faire des efforts, gardez-moi, j’ai trouvé avec vous l’équilibre de ma vie, je vous en supplie.
Votre père nous donne une deuxième chance.
• Je vais voir ce que je peux faire, la nuit porte conseil, mais tu sais qu’avant d’aller dormir, une grosse volée avec ton martinet s’impose, tu vas te fouetter toi-même.
Attention quand je dis fouetté, je t’interdis les caresses, va jusqu’à t’arracher la peau du dos.
Il m’enlève le collier d’or et me met le collier ordinaire au bout de la chaîne.
• Tu as perdu toute dignité de porter ce beau collier.
Je verrai pour le remettre si tu es capable de rencontrer le Maître suprême.
Il sort de la boîte que nous avions récupéré au sex-shop un martinet avec des lanières deux fois plus longues que celui dont il s’était servi jusqu’à ce jour.
Les lanières se terminent par des boules en bois, dès le premier coup que je me donne comme le fond les prêtes dans un film que j’ai vu pour expier leurs péchés, je suis à la limite de crier.
Non, évite de crier, non évite de crier, je me passe ces mots en boucles dans ma tête.
Non, évite de crier, je voudrais bien voir mon dos, ce qu’il y a de sûr, c’est qu’il doit saigner, mais je sais que c’est pour notre bien que je m’inflige ce traitement.
• Allonge-toi, oui sur le dos, dépêche, je dois sortir, si tu crois que j’ai seulement cela à faire.
De plus, à partir de ce jour, ce sera une dose de repas en moins, tu seras nourri, un jour sur deux.
Tu t’es bien fouettée, je pense qu’il t’est impossible de te rendre à ton boulot surtout que ce traitement est valable trois jours.
• Maître, puis-je vous suggérez une chose pour que je puisse m’améliorer sur la marche en talons hauts !
Pouvez-vous m’en apporter une paire afin que je m’entraîne ?
Sans me répondre, il me quitte en laissant la lumière allumée et me rattachant à mon radiateur.
J’ai envie de me mettre sur le côté pour atténuer la douleur.
Mais je sais que sa belle-mère resterait dans une position où le mal est à son paroxysme dans les mêmes circonstances, alors je garde ma souffrance pour moi.
J’ignore où il est allé, il fait jour quand il revient.
• L’organisation fait le nécessaire, ton proviseur va être mis au courant de ton indisponibilité pendant quinze jours.
Je vais y aller, je pense avoir une surprise pour toi ce soir.
Il me laisse de nouveau, j’ai faim, j’ai faim à hurler, mon estomac me tiraille, qui dort dîne, car lorsqu’il est de retour une jeune femme l’accompagne.
Incroyable Aurore la pucelle de ma classe tenue comme moi en laisse par le cou.
Teti l’a séduit et veut en faire sa soumise, sa deuxième, comme son père en a parlé, j’ai envie de hurler de dépit, comment lutter contre une telle beauté.
Quel âge a-t-elle déjà, à oui 18, comme moi, elle a le droit de choisir sa vie.
• Je vois que tu as compris qui j’étais parti chercher pour t’aider à devenir une vraie soumise.
Elle va t’aider à te former et surtout à te contrôler pendant la quinzaine que Maître Ménès nous a donné pour qu’il accepte que tu sois présentée au Maître suprême.
J’ai pris en compte ta demande pour les chaussures, fais en bon usage.
Des talons incroyables, au moins 10 centimètres, largement plus hauts que ce que disait son père.
Dès Louboutin aux semelles rouges, une vraie fortune sur la place de Paris.
Je vois que Teti veut que je sois parfaite dans quinze jours.
Non, dans 14, il faut que je travaille vite, le temps avec lui passant si vite.
Aurore vient se blottir dans mes bras.
Il me détache ma main de ma menotte et m’arrache mon collier avec nos initiales.
• Fini d’être gentil, finit Véronique et Aurore, vous devenez simplement des soumises.
J’ai des dispositions à prendre, faites intimement connaissance.
Terminée la prof et l’élève, je vous rappelle, vous êtes mes soumises.
Une dernière chose soumise, sers-toi de son cul autant que tu le désir pour contrôler tes pulsions et surtout tes gémissements.
Mais surtout interdiction de la dépuceler, elle appartient aux Maîtres supérieurs, eux seuls sont en droit de la dépuceler si elle devient ma première soumise.
Tu as compris, ma soumise, fini de rire, si j’échoue une seconde fois, ce que je suis loin d’envisager, tu resteras ma soumise, mais sans l’aide de l’organisation et ça, c’est inenvisageable.
Teti nous a quittés, avant, il nous a attaché au bout de cet anneau avec des chaînes différentes qui étaient dans un sac le long du mur.
J’attends quelques minutes, les choses se sont précipitées par ma faute, mais je veux en savoir plus.
• Notre Maître veut que nous soyons ses soumises, apprenons à le satisfaire, comment a-t-il réussi à faire de toi sa nouvelle soumise.
C’est en pleurs et tremblant de tous ses membres qu’elle me répond.
• Patrick avait réussi à m’attirer chez lui, je savais qu’il allait me baiser et je voulais me débarrasser de ce petit problème pour les filles.
Je venais de rentrer chez lui, quand on a sonné.
Teti était là et a provoqué en duel Patrick.
Il avait deux épées, vous vous rendez compte, être l’enjeu d’un duel entre ces deux garçons, lorsque Teti a donné la règle à l’issue de ce duel, j’étais subjuguée que je sois devenue leur enjeu.
Au premier sang, c’est Teti qui a blessé Patrick au bras, il m’a regardé, j’ai fondu et je l’ai suivi.
• C’est comme pour moi, ses yeux t’ont transpercé !
• Oui, je savais que c’était lui qui ferait de moi une femme.
• Il le fera, mais certainement un autre que lui, tu comprendras cela plus tard.
J’évite de lui parler, des fellations et surtout des sodomies, je pense qu’elle le découvrira assez tôt.
• Si Teti a pu faire ce qu’il a fait avec toi étant présent au bon moment chez Patrick, c’est qu’il a autour de lui une organisation qui semble gigantesque et qui nous dépasse.
Toi et Patrick deviez être surveillés et il a été prévenu lorsque tu t’es rendu chez lui.
Je t’en parle en connaissance de cause, il savait tout de mon mariage et de mon divorce.
Vas-tu m’aider pour que je sois prête pour retourner déjeuner chez son père.
• Je ferais tout pour vous, déjà au lycée j’admirais votre aplomb, je voulais être aussi forte que vous.
• Je suis tout de même tombé sous le charme puis sous la domination de mon maître Teti, notre maître maintenant.
Et tes parents, je doute qu’ils acceptent difficilement que tu disparaisses de la circulation du jour au lendemain !
• Notre Maître m’a montré une lettre écrite de ma main, du moins je suis censée l’avoir écrite, leur disant que je suivais un homme en Argentine, car j’étais tombée amoureuse et que je leur donnerais des nouvelles régulièrement.
J’ai été obligé d’y regarder à deux fois, c’était exactement mon écriture, mes tournures de phrase et ma signature.
Je prends de plus en plus conscience que Teti fait partie d’une organisation internationale.
Ma main caresse la nouvelle soumise, je lui place un doigt, je dois apprendre à me taire lorsque j’ai un début de jouissance.
J’ignore ce que Teti va faire de notre petite amie, autant la former en même temps que je me forme.
Est-ce bien-là mon principal motif, ai-je plutôt l’envie de rester la première des soumises de celui qui au fond de moi restera toujours mon maître...
Je pense avoir été reçue même si Ménès son père a fait quelques remarques.
Quand il donne l’ordre à Teti de venir prendre sa belle-mère en levrette pendant qu’elle me broute, je glousse de plaisir et je pense que c’est gagné.
Teti suit l’ordre de celui qui se dit son père, même si maintenant je sais que dans cette famille, c’est loin d’être le cas.
Si tout à l’heure, la verge paternelle vient en moi, j’aurai peut-être la chance d’être fécondée.
Quand il entre dans la femelle que son père a mise à sa disposition, la langue d’Azur, c’est comme cela que je vais la nommer, ignorant qui elle est, me pénètre plus profondément.
Ma bouche émet ce petit gloussement que j’ai du mal à refréner.
C’est un œil noir qui me pénètre quand mes yeux entrent en contact avec ceux de Teti. Le son a été si faible, que j’espère que son père ignorera ce détail.
• Fils, je crois que je vais remettre votre rencontre avec notre grand Maître pour plus tard.
Comme moi, tu as vu les lacunes que présentent encore, ta belle soumise !
Regarde ta belle-mère, tu la pilonnes et entends-tu le moindre son sortant de sa bouche.
• Veux-tu la prendre tout de même ?
• Fils, les femmes ignorant la façon de se tenir devant nous les maîtres, me la rendent dans l’impossibilité de la baiser, elle est encore loin d’être digne que je m’occupe d’elle.
Les vulgaires femelles sont capables de jouir en émettant des cris.
Dégage cette chienne de ma vue, tu m’as déçu.
Première sanction ramène là chez toi par le métro, elle est loin de mériter que je paye le taxi.
Fait voir à tout le monde que cette fille est incapable d’avoir le niveau de nos véritables soumises.
Je vais lui faire une fleur et à toi aussi, tu connais comme moi tes liens avec notre organisation.
Ramène-la, dans voyons, quinze jours, j’espère que cette fois, elle réussira l’épreuve.
Sinon, tu devras t’en débarrasser avec comme conséquence pour toi, l’interdiction de former des soumises, une certaine personne serait très déçue.
Tenue par ma laisse, même si ma chaîne est en or, me promener dans les rues de Paris en imper bas et chaussures à hauts talons, hélas, trop bas pour Maître Ménès.
Je suis morte de honte, mais c’est normal, j’ai trahi mon propre Maître.
Rapidement, je me rends compte que j’ai de la chance, c’est dimanche peu de personnes dans les rues, mais surtout des gens qui cherchent la caméra pensant que nous tournons pour une émission, ils nous regardent très amusés.
La seule frayeur, ce serait de rencontrer un de mes élèves lors les derniers mètres de notre parcours surtout que par vice, Teti me fait passer devant notre lycée.
Arrivé chez mon Maître, dire que je suis chez moi, lorsqu’il m’amène dans la chambre, je vois que des travaux ont été réalisés, une plaque est fixée au mur en béton et un anneau y est placé.
Une chaîne et un collier à son bout semblent remplacer les menottes m’attachant au radiateur.
• Tu m’as fait vivre la honte de ma vie, quelle idée de glousser sous l’attaque de la langue de ma belle-mère.
Je suis dans l’obligation de sévir, je pense que tu es d’accord ayant été loin d’être à la hauteur.
Pendant notre absence, j’ai fait faire ces travaux pour te remercier de l’évolution de ta condition de soumise.
Pour te faciliter la vie, j’avais fait placer cet anneau avec une chaîne qui te donnerait plus de liberté la nuit.
• Merci Maître, punissez-moi Maître, je vais faire des efforts, gardez-moi, j’ai trouvé avec vous l’équilibre de ma vie, je vous en supplie.
Votre père nous donne une deuxième chance.
• Je vais voir ce que je peux faire, la nuit porte conseil, mais tu sais qu’avant d’aller dormir, une grosse volée avec ton martinet s’impose, tu vas te fouetter toi-même.
Attention quand je dis fouetté, je t’interdis les caresses, va jusqu’à t’arracher la peau du dos.
Il m’enlève le collier d’or et me met le collier ordinaire au bout de la chaîne.
• Tu as perdu toute dignité de porter ce beau collier.
Je verrai pour le remettre si tu es capable de rencontrer le Maître suprême.
Il sort de la boîte que nous avions récupéré au sex-shop un martinet avec des lanières deux fois plus longues que celui dont il s’était servi jusqu’à ce jour.
Les lanières se terminent par des boules en bois, dès le premier coup que je me donne comme le fond les prêtes dans un film que j’ai vu pour expier leurs péchés, je suis à la limite de crier.
Non, évite de crier, non évite de crier, je me passe ces mots en boucles dans ma tête.
Non, évite de crier, je voudrais bien voir mon dos, ce qu’il y a de sûr, c’est qu’il doit saigner, mais je sais que c’est pour notre bien que je m’inflige ce traitement.
• Allonge-toi, oui sur le dos, dépêche, je dois sortir, si tu crois que j’ai seulement cela à faire.
De plus, à partir de ce jour, ce sera une dose de repas en moins, tu seras nourri, un jour sur deux.
Tu t’es bien fouettée, je pense qu’il t’est impossible de te rendre à ton boulot surtout que ce traitement est valable trois jours.
• Maître, puis-je vous suggérez une chose pour que je puisse m’améliorer sur la marche en talons hauts !
Pouvez-vous m’en apporter une paire afin que je m’entraîne ?
Sans me répondre, il me quitte en laissant la lumière allumée et me rattachant à mon radiateur.
J’ai envie de me mettre sur le côté pour atténuer la douleur.
Mais je sais que sa belle-mère resterait dans une position où le mal est à son paroxysme dans les mêmes circonstances, alors je garde ma souffrance pour moi.
J’ignore où il est allé, il fait jour quand il revient.
• L’organisation fait le nécessaire, ton proviseur va être mis au courant de ton indisponibilité pendant quinze jours.
Je vais y aller, je pense avoir une surprise pour toi ce soir.
Il me laisse de nouveau, j’ai faim, j’ai faim à hurler, mon estomac me tiraille, qui dort dîne, car lorsqu’il est de retour une jeune femme l’accompagne.
Incroyable Aurore la pucelle de ma classe tenue comme moi en laisse par le cou.
Teti l’a séduit et veut en faire sa soumise, sa deuxième, comme son père en a parlé, j’ai envie de hurler de dépit, comment lutter contre une telle beauté.
Quel âge a-t-elle déjà, à oui 18, comme moi, elle a le droit de choisir sa vie.
• Je vois que tu as compris qui j’étais parti chercher pour t’aider à devenir une vraie soumise.
Elle va t’aider à te former et surtout à te contrôler pendant la quinzaine que Maître Ménès nous a donné pour qu’il accepte que tu sois présentée au Maître suprême.
J’ai pris en compte ta demande pour les chaussures, fais en bon usage.
Des talons incroyables, au moins 10 centimètres, largement plus hauts que ce que disait son père.
Dès Louboutin aux semelles rouges, une vraie fortune sur la place de Paris.
Je vois que Teti veut que je sois parfaite dans quinze jours.
Non, dans 14, il faut que je travaille vite, le temps avec lui passant si vite.
Aurore vient se blottir dans mes bras.
Il me détache ma main de ma menotte et m’arrache mon collier avec nos initiales.
• Fini d’être gentil, finit Véronique et Aurore, vous devenez simplement des soumises.
J’ai des dispositions à prendre, faites intimement connaissance.
Terminée la prof et l’élève, je vous rappelle, vous êtes mes soumises.
Une dernière chose soumise, sers-toi de son cul autant que tu le désir pour contrôler tes pulsions et surtout tes gémissements.
Mais surtout interdiction de la dépuceler, elle appartient aux Maîtres supérieurs, eux seuls sont en droit de la dépuceler si elle devient ma première soumise.
Tu as compris, ma soumise, fini de rire, si j’échoue une seconde fois, ce que je suis loin d’envisager, tu resteras ma soumise, mais sans l’aide de l’organisation et ça, c’est inenvisageable.
Teti nous a quittés, avant, il nous a attaché au bout de cet anneau avec des chaînes différentes qui étaient dans un sac le long du mur.
J’attends quelques minutes, les choses se sont précipitées par ma faute, mais je veux en savoir plus.
• Notre Maître veut que nous soyons ses soumises, apprenons à le satisfaire, comment a-t-il réussi à faire de toi sa nouvelle soumise.
C’est en pleurs et tremblant de tous ses membres qu’elle me répond.
• Patrick avait réussi à m’attirer chez lui, je savais qu’il allait me baiser et je voulais me débarrasser de ce petit problème pour les filles.
Je venais de rentrer chez lui, quand on a sonné.
Teti était là et a provoqué en duel Patrick.
Il avait deux épées, vous vous rendez compte, être l’enjeu d’un duel entre ces deux garçons, lorsque Teti a donné la règle à l’issue de ce duel, j’étais subjuguée que je sois devenue leur enjeu.
Au premier sang, c’est Teti qui a blessé Patrick au bras, il m’a regardé, j’ai fondu et je l’ai suivi.
• C’est comme pour moi, ses yeux t’ont transpercé !
• Oui, je savais que c’était lui qui ferait de moi une femme.
• Il le fera, mais certainement un autre que lui, tu comprendras cela plus tard.
J’évite de lui parler, des fellations et surtout des sodomies, je pense qu’elle le découvrira assez tôt.
• Si Teti a pu faire ce qu’il a fait avec toi étant présent au bon moment chez Patrick, c’est qu’il a autour de lui une organisation qui semble gigantesque et qui nous dépasse.
Toi et Patrick deviez être surveillés et il a été prévenu lorsque tu t’es rendu chez lui.
Je t’en parle en connaissance de cause, il savait tout de mon mariage et de mon divorce.
Vas-tu m’aider pour que je sois prête pour retourner déjeuner chez son père.
• Je ferais tout pour vous, déjà au lycée j’admirais votre aplomb, je voulais être aussi forte que vous.
• Je suis tout de même tombé sous le charme puis sous la domination de mon maître Teti, notre maître maintenant.
Et tes parents, je doute qu’ils acceptent difficilement que tu disparaisses de la circulation du jour au lendemain !
• Notre Maître m’a montré une lettre écrite de ma main, du moins je suis censée l’avoir écrite, leur disant que je suivais un homme en Argentine, car j’étais tombée amoureuse et que je leur donnerais des nouvelles régulièrement.
J’ai été obligé d’y regarder à deux fois, c’était exactement mon écriture, mes tournures de phrase et ma signature.
Je prends de plus en plus conscience que Teti fait partie d’une organisation internationale.
Ma main caresse la nouvelle soumise, je lui place un doigt, je dois apprendre à me taire lorsque j’ai un début de jouissance.
J’ignore ce que Teti va faire de notre petite amie, autant la former en même temps que je me forme.
Est-ce bien-là mon principal motif, ai-je plutôt l’envie de rester la première des soumises de celui qui au fond de moi restera toujours mon maître...
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