COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Début de la saison IV (9/10)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Début de la saison IV (9/10)
À la fin de la saison III, Aurore soumise 2 va nous attirer des ennuis.
S2 comme je l’ai vu marqué par Teti sur les bouteilles de notre nourriture qu’il a placées dans notre frigo, dose dégueulasse, à boire, mais quantité faite pour équilibrer notre corps.
S2 donc est la jeune fille ayant entraîné des conflits entre mes deux élèves, Patrick le bouffon de ma classe et Teti venant d’arriver en cours d’année.
Si Aurore est là, c’est que Teti l’a séduite au détriment de Patrick.
Chacun d’eux ayant la langue bien pendue, j’aurais dû éviter de rentrer dans le conflit les opposant, mais j’aurais loupé les sensations nouvelles que mon drôle d’amant me procure.
S2 me sert, outre de compagnie, à m’entraîner avant ma deuxième présentation à maître Ménès le père et de celui que je considère déjà comme mon seul maître Teti.
Ménès, que j’aperçois au fond de la salle du restaurant avec sa belle-mère soumise à son maître et que Teti a baisée, mais à cause de laquelle j’ai loupé mon examen.
Je suis à deux doigts de prévenir Teti que son père est là.
Ouf, je ravale mes mots, j’étais très près de la boulette me renvoyant définitivement à mes chères études.
Nous avons fini de manger, lorsque je vois Ménès se lever et se diriger vers nous.
• Bonjour fils, je vois que tu as une nouvelle soumise !
• Bonjour monsieur, j’étais au lycée dans la classe de votre fils, Véronique était notre prof de français.
J’ai évité la boulette, S2 met les deux pieds dedans, elle vient de s’adresser à un maître sans y avoir été autorisé.
C’est de ma faute, concentré sur moi-même afin de réussir mon examen, j’ai oublié de lui dire que nous avons le droit simplement de répondre à nos maîtres.
Mon dos est loin d’être remis, c’est fichu pour la semaine prochaine et nous allons ramasser dès que nous serons de retour à cause de cette erreur.
• Elle est mignonne ta nouvelle, fils, tu sais que tu avais droit à un joker, tu l’as brûlé lors de la présentation de ta première soumise.
Je vais faire comme si cette petite avait fermé sa jolie bouche !
Je vous ai vu arriver, je vois que tu fais porter à cette soumise des talons très hauts.
• Oui, et je les ai fait percer.
La manière qu’ont nos maîtres de nous considérer comme des quantités négligeables devrait me faire me rebeller, mais j’ignore jusqu’à où leur organisation peut aller.
J’allais rapidement l’apprendre.
• C’est bien, ta première soumise, sait ce qu’elle doit faire pour me plaire, tu lui as fait franchir bien des étapes en très peu de temps depuis ta visite.
• Soumise, mon fils vous a-t-il dit ce qui vous arriverait si vous me déplaisez une nouvelle fois.
Le maître vient de s’adresser à moi, je lève ma tête, mais tenant mes yeux baissés.
Il m’a parlé, je peux lui répondre.
• Je serais renvoyé de votre organisation et je retournerais devant mes étudiants, maîtres !
• Elles sont gentilles ces soumises, elle croit qu’après ce qu’elles ont vu nous pouvons les remettre dans le circuit des femmes de deuxième zone qui forme la majorité des femelles de cette terre.
Mon fils t’a choisi pour ton intelligence et pour faire partie de la classe dirigeante de tous les pays du monde.
Si je décide que tu es loin de mériter d’être de notre caste supérieure, le grand maître te dirigera vers les poules pondeuses en te plaçant dans une maison réservée à ces filles qui sont là pour enfanter et devenir nos serviteurs.
Ou, deuxième solution, nous avons des gardes qui nous protègent, car nous sommes poursuivis par des gens qui jalousent notre pouvoir.
Je te ferais envoyer dans une caserne où tu seras donnée en pâture à ces soldats pour leur seul plaisir.
Lorsque l’un de nous vous choisit et que vous acceptez, aucun retour vers votre ancien monde possible.
Je comprends ce qu’il risque de m’arriver, avoir des enfants qui deviendront des serviteurs de l’organisation ou être la pute de leurs soldats.
Je rebaisse les yeux, je sens que si je dis un mot de plus, ma carrière de soumise se terminera dans un bordel aux hommes de main de tous ces maîtres.
Nous sommes de retour à la maison, les propos de maître Ménès semblent nous éviter des remontrances voire des sévices sur nos corps déjà malmenés.
C’était mal connaître celui qui a pris le pas sur ma vie.
En fin de journée, nous allons nous installer sur notre peau de bête lorsque la nuit est tombée.
Teti s’installe sur son lit bien calé dans des oreillers, je m’attends à ce qu’il éteigne, c’était encore mal le connaître.
• Aurore, tu as conscience que d’apostropher mon père comme tu l’as fait dans notre restaurant, c’est lui avoir manqué du plus petit respect que tu lui devais.
Le fait que Teti, appelle ma jeune compagne par son prénom préjuge rien de bon pour nous.
J’allais rapidement m’apercevoir que sa fureur, c’est contre moi qu’il l’exercice, même s’il me propose de faire une chose impensable pour moi.
• Première soumise prend le chat à neuf que, posé sur cette commode et inflige 20 coups à cette petite soumise, pour qu’elle apprenne que devant un maître on se tait.
• Maître Teti, j’ignorais qu’il fallait se taire, sinon je l’aurais fait.
• 25 coups, soumise 1.
• Mais vous vous trompez, c’est moi qui ai parlé.
• Soumise 30 coups, et tu lui applique sans aucune retenue sinon ton dos encore à vif, c’est sur lui que je vais déverser ma fureur.
S2 allait en rajouter, je lui place ma main sur sa bouche.
Je me saisis du martinet aux boules en bois dur et avant que la petite ait le temps de comprendre, je l’applique sur son dos.
• Plus fort, sinon je vais me relever et là !
La menace est directe, je me redresse et je commence à punir Aurore, à me faire mal à moi à chaque coup porté.
• 20, c’est bien, je pense qu’elle a compris dans qu’elle monte, elle est entrée, surtout après ce que mon père t’a dit où les soumises qui nous déplaise finisses.
Je serais intraitable, dormez bien.
Il éteint et je l’entends se retourner, rapidement le bruit qu’il fait en dormant avec sa bouche me montre qu’il dort.
Je tiens S2 contre moi, lui caressant les seins les ayant épargnés.
Ma main a repris sa bouche pour éviter tout impaire, voulant éviter d’énerver notre maître.
Quand je sens que tout va bien, je vais chercher ma pommade que je lui mets sur le dos.
Sa réaction est directe, une fois que j’ai fini, c’est elle qui m’attire à elle et me prend la bouche.
Si Patrick voyait celle qu’il convoitait m’embrasser, il serait vert de jalousie.
Je découvre une facette de la soumission, tu la fais souffrir et elle est plus attachée à toi.
Jusqu’à ce que nous retournions chez maître Ménès, tout se passe comme il faut.
Teti me détache de mon collier laissant S2 au bout de sa chaine.
Il me remet le collier d’or avec la laisse et je retrouve le taxi nous conduisant chez mon examinateur.
Le fait que S2 reste isolé me rassure, je me sens prête, mais avec ma petite débutante, il aurait toujours été possible qu’elle me fasse échouer.
Je m’attendais à retrouver la salle à manger, mais c’est dans un salon que je suis conduite et ou maître Ménès nous attend.
• Soumise, tu croyais que l’épreuve à passer serait la même que la première fois.
Viens ici et allonge-toi ta tête pendant dans le vide.
C’est parfait, Teti, tient cette coupe en or sous la bouche de ta soumise.
C’est bien.
Comme je suis placée, je vois le maître sortir sa verge qu’il m’avait refusée la première fois.
Il s’approche et j’ouvre ma bouche, je vois que c’est par là qu’il veut me la mettre.
Il pousse au plus loin qu’il le peut, je sens que ma bave coule dans la coupe.
Combien de temps se sert-il de ma bouche pour me faire une gorge profonde, je l’ignore, je sens le filet couler aux commissures de mes lèvres conformes à la pomme attirée vers le bas coulé abondamment.
• C’est bien, belle soumise, si tu avais eu le moindre haut-le-coeur, les gardes t’auraient récupéré pour le restant de ta vie, du moins jusqu’à temps ils aient envie de toi.
Mais ton épreuve à son début.
Tient moi la queue et dirige mon jet dans la coupe qui a déjà une bonne quantité de liquide recraché par ton corps.
Incroyable, maître Ménès pisse dans la coupe l’urine se mélangeant avec la bave !
Il se sert même de sa queue pour mélanger le tout et commander à Teti la chose la plus abjecte qu’il m’ait été d’entendre.
• Fils fait boire à ta soumise, ce qui est sorti de son corps et du mien, si elle passe l’épreuve, ce sera à ta gloire mon fils.
Teti me présente la coupe, je désert les dents que j’aurais plutôt envie de serrer et j’avale le plus vite possible ce mélange abject.
Voulant faire voir que je sais être une exceptionnelle soumise, lorsque tout est retourné dans mon corps, je lèche la coupe récupérant l’intégralité de ce qu’elle contient.
• Fils t'a soumise vient de faire de toi un maître de la soumission.
Je vais la baiser...
S2 comme je l’ai vu marqué par Teti sur les bouteilles de notre nourriture qu’il a placées dans notre frigo, dose dégueulasse, à boire, mais quantité faite pour équilibrer notre corps.
S2 donc est la jeune fille ayant entraîné des conflits entre mes deux élèves, Patrick le bouffon de ma classe et Teti venant d’arriver en cours d’année.
Si Aurore est là, c’est que Teti l’a séduite au détriment de Patrick.
Chacun d’eux ayant la langue bien pendue, j’aurais dû éviter de rentrer dans le conflit les opposant, mais j’aurais loupé les sensations nouvelles que mon drôle d’amant me procure.
S2 me sert, outre de compagnie, à m’entraîner avant ma deuxième présentation à maître Ménès le père et de celui que je considère déjà comme mon seul maître Teti.
Ménès, que j’aperçois au fond de la salle du restaurant avec sa belle-mère soumise à son maître et que Teti a baisée, mais à cause de laquelle j’ai loupé mon examen.
Je suis à deux doigts de prévenir Teti que son père est là.
Ouf, je ravale mes mots, j’étais très près de la boulette me renvoyant définitivement à mes chères études.
Nous avons fini de manger, lorsque je vois Ménès se lever et se diriger vers nous.
• Bonjour fils, je vois que tu as une nouvelle soumise !
• Bonjour monsieur, j’étais au lycée dans la classe de votre fils, Véronique était notre prof de français.
J’ai évité la boulette, S2 met les deux pieds dedans, elle vient de s’adresser à un maître sans y avoir été autorisé.
C’est de ma faute, concentré sur moi-même afin de réussir mon examen, j’ai oublié de lui dire que nous avons le droit simplement de répondre à nos maîtres.
Mon dos est loin d’être remis, c’est fichu pour la semaine prochaine et nous allons ramasser dès que nous serons de retour à cause de cette erreur.
• Elle est mignonne ta nouvelle, fils, tu sais que tu avais droit à un joker, tu l’as brûlé lors de la présentation de ta première soumise.
Je vais faire comme si cette petite avait fermé sa jolie bouche !
Je vous ai vu arriver, je vois que tu fais porter à cette soumise des talons très hauts.
• Oui, et je les ai fait percer.
La manière qu’ont nos maîtres de nous considérer comme des quantités négligeables devrait me faire me rebeller, mais j’ignore jusqu’à où leur organisation peut aller.
J’allais rapidement l’apprendre.
• C’est bien, ta première soumise, sait ce qu’elle doit faire pour me plaire, tu lui as fait franchir bien des étapes en très peu de temps depuis ta visite.
• Soumise, mon fils vous a-t-il dit ce qui vous arriverait si vous me déplaisez une nouvelle fois.
Le maître vient de s’adresser à moi, je lève ma tête, mais tenant mes yeux baissés.
Il m’a parlé, je peux lui répondre.
• Je serais renvoyé de votre organisation et je retournerais devant mes étudiants, maîtres !
• Elles sont gentilles ces soumises, elle croit qu’après ce qu’elles ont vu nous pouvons les remettre dans le circuit des femmes de deuxième zone qui forme la majorité des femelles de cette terre.
Mon fils t’a choisi pour ton intelligence et pour faire partie de la classe dirigeante de tous les pays du monde.
Si je décide que tu es loin de mériter d’être de notre caste supérieure, le grand maître te dirigera vers les poules pondeuses en te plaçant dans une maison réservée à ces filles qui sont là pour enfanter et devenir nos serviteurs.
Ou, deuxième solution, nous avons des gardes qui nous protègent, car nous sommes poursuivis par des gens qui jalousent notre pouvoir.
Je te ferais envoyer dans une caserne où tu seras donnée en pâture à ces soldats pour leur seul plaisir.
Lorsque l’un de nous vous choisit et que vous acceptez, aucun retour vers votre ancien monde possible.
Je comprends ce qu’il risque de m’arriver, avoir des enfants qui deviendront des serviteurs de l’organisation ou être la pute de leurs soldats.
Je rebaisse les yeux, je sens que si je dis un mot de plus, ma carrière de soumise se terminera dans un bordel aux hommes de main de tous ces maîtres.
Nous sommes de retour à la maison, les propos de maître Ménès semblent nous éviter des remontrances voire des sévices sur nos corps déjà malmenés.
C’était mal connaître celui qui a pris le pas sur ma vie.
En fin de journée, nous allons nous installer sur notre peau de bête lorsque la nuit est tombée.
Teti s’installe sur son lit bien calé dans des oreillers, je m’attends à ce qu’il éteigne, c’était encore mal le connaître.
• Aurore, tu as conscience que d’apostropher mon père comme tu l’as fait dans notre restaurant, c’est lui avoir manqué du plus petit respect que tu lui devais.
Le fait que Teti, appelle ma jeune compagne par son prénom préjuge rien de bon pour nous.
J’allais rapidement m’apercevoir que sa fureur, c’est contre moi qu’il l’exercice, même s’il me propose de faire une chose impensable pour moi.
• Première soumise prend le chat à neuf que, posé sur cette commode et inflige 20 coups à cette petite soumise, pour qu’elle apprenne que devant un maître on se tait.
• Maître Teti, j’ignorais qu’il fallait se taire, sinon je l’aurais fait.
• 25 coups, soumise 1.
• Mais vous vous trompez, c’est moi qui ai parlé.
• Soumise 30 coups, et tu lui applique sans aucune retenue sinon ton dos encore à vif, c’est sur lui que je vais déverser ma fureur.
S2 allait en rajouter, je lui place ma main sur sa bouche.
Je me saisis du martinet aux boules en bois dur et avant que la petite ait le temps de comprendre, je l’applique sur son dos.
• Plus fort, sinon je vais me relever et là !
La menace est directe, je me redresse et je commence à punir Aurore, à me faire mal à moi à chaque coup porté.
• 20, c’est bien, je pense qu’elle a compris dans qu’elle monte, elle est entrée, surtout après ce que mon père t’a dit où les soumises qui nous déplaise finisses.
Je serais intraitable, dormez bien.
Il éteint et je l’entends se retourner, rapidement le bruit qu’il fait en dormant avec sa bouche me montre qu’il dort.
Je tiens S2 contre moi, lui caressant les seins les ayant épargnés.
Ma main a repris sa bouche pour éviter tout impaire, voulant éviter d’énerver notre maître.
Quand je sens que tout va bien, je vais chercher ma pommade que je lui mets sur le dos.
Sa réaction est directe, une fois que j’ai fini, c’est elle qui m’attire à elle et me prend la bouche.
Si Patrick voyait celle qu’il convoitait m’embrasser, il serait vert de jalousie.
Je découvre une facette de la soumission, tu la fais souffrir et elle est plus attachée à toi.
Jusqu’à ce que nous retournions chez maître Ménès, tout se passe comme il faut.
Teti me détache de mon collier laissant S2 au bout de sa chaine.
Il me remet le collier d’or avec la laisse et je retrouve le taxi nous conduisant chez mon examinateur.
Le fait que S2 reste isolé me rassure, je me sens prête, mais avec ma petite débutante, il aurait toujours été possible qu’elle me fasse échouer.
Je m’attendais à retrouver la salle à manger, mais c’est dans un salon que je suis conduite et ou maître Ménès nous attend.
• Soumise, tu croyais que l’épreuve à passer serait la même que la première fois.
Viens ici et allonge-toi ta tête pendant dans le vide.
C’est parfait, Teti, tient cette coupe en or sous la bouche de ta soumise.
C’est bien.
Comme je suis placée, je vois le maître sortir sa verge qu’il m’avait refusée la première fois.
Il s’approche et j’ouvre ma bouche, je vois que c’est par là qu’il veut me la mettre.
Il pousse au plus loin qu’il le peut, je sens que ma bave coule dans la coupe.
Combien de temps se sert-il de ma bouche pour me faire une gorge profonde, je l’ignore, je sens le filet couler aux commissures de mes lèvres conformes à la pomme attirée vers le bas coulé abondamment.
• C’est bien, belle soumise, si tu avais eu le moindre haut-le-coeur, les gardes t’auraient récupéré pour le restant de ta vie, du moins jusqu’à temps ils aient envie de toi.
Mais ton épreuve à son début.
Tient moi la queue et dirige mon jet dans la coupe qui a déjà une bonne quantité de liquide recraché par ton corps.
Incroyable, maître Ménès pisse dans la coupe l’urine se mélangeant avec la bave !
Il se sert même de sa queue pour mélanger le tout et commander à Teti la chose la plus abjecte qu’il m’ait été d’entendre.
• Fils fait boire à ta soumise, ce qui est sorti de son corps et du mien, si elle passe l’épreuve, ce sera à ta gloire mon fils.
Teti me présente la coupe, je désert les dents que j’aurais plutôt envie de serrer et j’avale le plus vite possible ce mélange abject.
Voulant faire voir que je sais être une exceptionnelle soumise, lorsque tout est retourné dans mon corps, je lèche la coupe récupérant l’intégralité de ce qu’elle contient.
• Fils t'a soumise vient de faire de toi un maître de la soumission.
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