COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Saison I (2/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Saison I (2/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Saison I (2/3)
Je viens de rentrer de ma journée en classe et je réussis à faire fuir Teti, nouvel élève plutôt chétif, mais qui semble vouloir prendre prise sur moi.
Pourtant, je suis une professeure aguerrie, mais là, il semble que j’aie trouvé mon maître.

Je vais prendre une douche froide avant de vaquer à mes occupations, ça me calme.
La nuit suivante, Teti me rattrape et je jouis sous les coups de boutoir de sa bite blanche brillante comme un diamant.
Je me réveille à trois heures du matin en eau et pas seulement, car il fait chaud dans ma chambre.
Bien sûr, Teti brille par son absence, que vais-je devenir s’il m’obsède même la nuit.
Pendant les trois heures qui suivent, je pense à ce que je vais faire lorsque je reviendrai au lycée.
Lorsque je me lève, je reprends un bain froid pour bien refroidir mon corps.
Lorsque j’arrive devant le lycée, il est là, il entre en me frôlant.

• Tu crois avoir gagné hier, je suis sûr que si j’avais attendu moins de cinq minutes, il est certain que tu as ouvert ta porte et je t’aurais eu.

Comment peut-il entrer dans ma tête si profondément ?

• Si je suis parti, c’est pour que tu prennes la mesure que tu vas devenir de plus en plus dans l’attente de m’appartenir !
Plus tu attends, plus tu vas t’apercevoir que je ferai de toi entièrement ma soumise.
Je suis sûr que toute la matinée, tu vas faire ton cours la culotte mouillée tellement tu vas penser à moi.
• Je vais te conduire au proviseur.
• Et que vas-tu lui dire !
« Le jeune homme arrivé hier me dit qu’il va me baiser, il est venu jusque chez moi et ma culotte est toute mouillée. » Comment le prouveras-tu, tu enlèveras ta petite culotte pour lui montrer et ce sera lui qui te baisera sur son bureau ?
Dès que je t’ai vu hier à la fraction de seconde où nos regards se sont croisés, j’ai senti en toi la chienne lubrique qui sommeillait en toi.
J’ai su que tu étais prête à accepter que je devienne ton maître.
La maîtrise de toi que je vais avoir, va te faire comprendre qu’inexorablement je vais t’amener à être entièrement dépendante de moi.
Ta vie est programmée pour cela et toute la lignée des Teti et des Ménès a toujours su soumettre des femelles dans ton genre se croyant supérieure.

Je suis étonné qu’un garçon de son âge soit autant mature et puisse pénétrer mes fantasmes les plus profonds, car il est sûr que je dois reconnaître qu’il a raison, de nombreuses fois.
J’ai rêvé et espéré appartenir à un homme qui saurait faire de moi sa chose, son objet, son meuble.
Simple fantasme bien sûr, mais que je sens réalisable avec Teti simplement parce qu’il est loin de mon fantasme où cet homme était noir et bien baraqué.
Sans parler de son membre qui doit être à l’image du reste de son corps.
La matinée se passe sans lui physiquement, mais tellement présent dans ma tête avec pour constatation qu’il a pleinement raison pour ma petite culotte.
Plus de trente ans et je suis prise en flagrant délit d’être redevenue une midinette.
Le plus grave c’est que ses promesses de faire de moi une femelle soumise s’incruste de plus en plus dans ma tête et que je me demande ce que je ferai si ce soir il est sur mon palier.

Depuis son arrivée, Teti prend de plus en plus de place dans ma vie, hier j’aurais dû aller voir le directeur pour le faire remettre à sa place.
Plus le temps passe et plus il m’est impossible d’aller me plaindre.
J'ai des chances qu’il me blâme d’avoir laissé pourrir la situation.
Mais le mal est-il avouable devant lui, de plus en plus sans qu’il fasse le moindre geste déplacé, son emprise sur moi s’accentue.
Je dois l’avouer lorsqu’il entre en classe à seize heures, j’ai envie de lui crier
« Baise-moi sur le bureau devant tes camarades. »
Bien sûr, je me contiens, commençant mon cours sans problème.
Sans problème sur le plan du travail, mais avec un gros problème sentimentalement.
Teti a changé de place et s'est assis à côté d’une jolie blonde convoitée par tous les mâles de la classe.
Il semble lui faire du charme avec en point d’orgue le regard glacial de Patrick qui est l’amant de cœur de la belle, même si je suis sûr que la pucelle est toujours pucelle.
Le combat qui risque de se passer entre les deux jeunes mâles pour la belle est loin de mes soucis.
Comment peut-elle essayer de me piquer celui qui m’a promis de faire de moi une femelle soumise et qu’à quatre-vingt-dix pour cent, je suis déjà devenue ?
À dix-sept heures, il sort en suivant la belle sans un regard pour moi.
J’en suis malade, tout cela pour ça, toutes ses promesses pour arriver à ce qu’il s’amourache d’une jeune pétasse inexpérimentée.
Moi, je sais que je lui aurais apporté ce qu’il semble chercher, une femme capable de faire ses quatre volontés, même si certaines étaient impensables dans ma vie d’avant.
Ma vie d’avant, à ce jour, il y a deux périodes, l’avant arrivé de Teti et l’après.
Ce supplice va durer trois jours, trois jours où ma culotte est toujours sèche.
Trois jours sans dormir.
Trois jours où son sexe m’apparaît dans mes somnolences, comme la plus belle bite au monde.
Le vendredi matin, il est devant la porte du lycée, semblant attendre sa nouvelle copine, quelle surprise lorsque je passe, il m’emboîte le pas.
Dans le couloir qui mène aux classes et vers la salle des profs qui est vide, il m’aborde.

• Tu as eu peur, tu as cru que je te quittais pour une autre, tiens, un cadeau pour toi.

Avant d’avoir eu le temps de dire quelque chose, il me propulse vers les toilettes des professeurs femmes, il sort un écrin de sous sa veste.

• Ouvre.

Je m’exécute, devant mes yeux, un collier en or composé d’une chaîne avec sur l’arrière un anneau plus gros terminé par deux petites menottes.
Elles sont enlacées avec deux initiales un T sur l’une, certainement comme Teti, un V sur l’autre, surement comme Véronique.

C’est arrivé, je jouis après avoir touché du bout de mes doigts, ce collier marque de mon appartenance.
Mais surtout en détachant l’une des menottes pour qu’il me mette le collier autour de mon cou.
En faisant attention, il sort et disparaît me laissant sans voix.
Les collèges en salle des profs semblent avoir des oeillères, l’attaque, si attaque il y a eu a été fulgurante et à part cette chaîne avec ses menottes, ils vaguent tous à leurs occupations.
À la cloche, je me dirige vers la salle ou mon harceleur a cours avec moi.
Harceleur où mon Maître puisque j’aborde fièrement la preuve de ma défaite et l’acceptation d’être menotté par lui.
Il a repris sa place à l’avant au grand soulagement de Patrick qui reprend du poil de la bête dans la séduction de la petite pucelle.
Le cours se passe avec à chaque fois que je le peux un regard vers le garçon le plus beau vu par mes yeux.
À la sortie et jusque chez moi, je suis déçue par son absence.
Je prends l’ascenseur et lorsque j’en sors, j’entends.

• Ouvre.

Il est là caché dans la montée vers l’étage supérieur, je le fais pénétrer et je referme ma porte.
Ma porte pour la dernière fois de ma vie, la sienne dès que je la referme.

• Va dans ta chambre et déshabille-toi, je te veux nue définitivement dès que tu passes ma porte, même si je suis absent.

Il est sûr de lui, pour me faire voir qui est le plus fort pour la première fois, il me touche en me saisissant le sein à travers mon chemisier et tourne la pointe qui bande depuis quelques minutes.

• Dépêche, attention si je dois répéter une nouvelle fois.

En me tenant ce propos, le pincement de mon sein se transforme en caresse la main à plat.
Depuis mon divorce, pas un homme ayant eu un tel geste.
Je me laisse porter vers le plaisir et je tourne les talons comme un zombi me rendant dans ma chambre.
Au secours qui peut me venir en aide, ce garçon sans envergure, mais avec un magnétisme étonnant a pris possession de mon cerveau et je le sens dans mon corps.
Je reviens dans le couloir, mais il a disparu, je le retrouve dans ma salle à manger les fesses appuyées nonchalamment sur ma table.
Dès que j’entre sa verge qu’il a sortie de son pantalon me saute aux yeux.

• Viens me sucer.

Je m’approche, je m’agenouille et le prends dans ma main.
Si son corps est androgyne quand il est habillé, son sexe est si gros que mes doigts ont du mal à en faire le tour.
Je le mets dans ma bouche, j’ai de la difficulté à le faire entrer.
Je passe ma langue sur son gland qui a la grosseur d’une balle de pelote basque à main nue.
J’évite de le faire trop pénétrer au fond de ma bouche, car j’ai peur d’avoir des haut-le-cœur.

• Arrête de tricher, mets là au fond de ta gorge.

Il voit tout, je l’avale et j’ai la bouche tellement distendue que mes mâchoires me font mal.
Je comprends qu’avec lui, je vais être humiliée, mais depuis qu’il m’a pris mon regard, je sais que je lui appartiens entièrement.
Comment une femme plus âgée que lui peut-elle se laisser soumettre par ce garçon si jeune, ressaisi toi, fait le sortir de ta bouche et de chez toi, fais-lui voir qui est le professeur et lui l’élève ?
Mais c’est un vœu pieux, je le pompe et il me remplit la bouche.
Je suis tellement surprise que par réflexe, je crache le sperme sur ma moquette, sa main me prend par les cheveux et me relève la tête.

• Pour qui te prends-tu ?
Comment peux-tu cracher la semence de ton maître sur ma moquette ?
Lèche et avale.

Je le regarde à la limite des larmes et comme un robot, je baisse la tête et ma langue récupère tout le foutre craché.
Comme c’est le sien, je le fais en relevant la tête et en le regardant dans les yeux, je déglutis.
Voilà comment une femme environ deux fois plus vieille que ce jeune homme rend les armes et attend les ordres de celui qui il y a une semaine m’était inconnu.
Je suis sa soumise lorsqu’il me donne l’ordre de me relever et de lui préparer son dîner, car se déverser dans ma bouche lui a donné très faim.
Sa soumise lorsque je reçois l’ordre de m’asseoir à ses pieds tout le temps de son repas, je m’exécute…

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