COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Saison II (5/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Saison II (5/6)
Dans un sexe shop, Teti mon Maître me transforme d’ex-femme mariée, professeur de français dans son lycée à soumise acceptant même d’avoir des guêpières, des bas, faisant de moi à la limite une pute.
Ce qui est drôle, c’est que les guêpières se transforment en guêpes dans leur bouche.
C’est devant les portes jarretelles qu’ils m’emmènent.
Je les suis comme un gentil toutou, les boules me donnant envie de hurler de plaisir, heureusement, j’ai la bouche obstruée par la boule à bouche.
Là encore j’en essaye trois.
• C’est tout.
• Oui, fais-moi l’addition.
• La voilà, en cadeaux, je te donne deux paires de menottes, je suis sûr que ta salope appréciera quand tu t’amuseras avec.
Ha oui, tu me dis que c’est tout, on a failli oublier le principal, le martinet.
Il aurait pu l’oublier celui-là, je m’en porterais très bien, mais d’un certain côté, il est normal qu’ils me punissent chaque fois que je fais une chose de travers.
Il y a peu de temps que je pratique la soumission et il me faut encore acquérir certains codes.
Nos paquets préparés, nous quittons le magasin pour retrouver l’appartement.
Le retour est ravageur, chaque fois que je fais un pas ces maudites boules agresse l’intérieur de mon vagin et je sens la cyprine couler tout le long de mes jambes.
Comment vais-je faire en cours demain, est-ce que mes élèves remarqueront mon trouble.
Ils sont tellement observateurs sur les sujets qui sortent du cours.
C’est normal, à leur âge, il découvre le sexe comme je découvre ce qu’être une soumise veut dire depuis que Teti est entré dans ma vie, je verrai bien, il faut savoir assumer.
Les porter le restant de la journée, me permettant de commencer à m’habituer aux boules et mes cuisses sont moins arrosées quoique chaque fois que je bouge, elles me rappellent leur existence.
Au matin, je pars au travail sous le regard de mon amant, bien que mon vagin semble banni de ses pratiques sexuelles, il a cours une heure après moi.
J’aime travailler avec mes élèves dans l’espace que forme ma classe, vont-ils trouver bizarre que je reste river le cul sur ma chaise du début à la fin.
J’attends consciencieusement qu’ils soient tous dans le couloir avant de me lever.
Je me suis aperçu que les premiers mouvements avaient tendance à me faire perdre l’équilibre lorsque la décharge qu’elle provoque en moi est forte et rapide.
Il y a des risques que je m’étale sur les fesses, la chatte offerte, car comme il me l’a imposé, j’ai supprimé ma culotte.
J’ai cours avec Teti à la dernière heure de la matinée, c’est un vicieux avec ça, lorsqu’il me demande de venir voir un point du court qui lui est obscur.
Je manque de défaillir, pour son plus grand plaisir, il aime alors j’aime.
Cette journée sans fin, tellement les boules m’ont donné du plaisir se terminant et je suis heureuse de rentrer à la maison.
Comme à son habitude, je suce régulièrement mon amant quand il enlève ma boule et il me sodomise presque toutes les nuits.
Il semble prendre son pied lorsqu’il m’encule dans le noir.
La seule chose bizarre, c’est que ma chatte semble être un repoussoir pour sa queue, car depuis que je suis sous sa servitude, il a toujours évité de la toucher.
J’apprécie de plus en plus ma carpette, car mon corps aime dormir à la dure.
Depuis deux jours, Teti a trouvé le moyen de me faire voir sa domination en déplaçant la peau de mouton de quelques mètres et le premier soir, j’ai passé la nuit la main attachée par une menotte au radiateur.
Il a eu la gentillesse de me placer mon oreiller derrière les reins pour éviter que les barres de fonte qui le composent me marquent les reins, c’est sa façon de me donner des preuves d’amour.
Le temps passe, je suis de plus en plus dans l’attente de ce qu’il va me faire subir de nouveau.
Il semble avoir une imagination sans fin, le point principal, il a réussi, mon cerveau lui est entièrement acquis ainsi que tout mon corps.
Le mercredi soir, j’ai envie de le provoquer, dès que je rentre les cours de l’après-midi étant arrêté, il semble avoir oublié le martinet, je passe mon temps à y penser, mais je me suis trompée.
C’est allongé sur la moquette devant le canapé avec ma guêpière rouge et la boule rouge dans ma bouche que je le vois entrer.
Il me prend par les cheveux pour me retourner, il me fait mal, mais c’est du plaisir comparé aux lanières qui viennent déchirer mes fesses.
J’entends le cuir claquer, la première volée, je le trouve violent, mais après quelques coups bien appuyés mon cul bien rouge me donne du plaisir à la limite de l’orgasme.
• Salope, ici, c’est moi qui décide si tu dois jouir, tu es plus bas que terre.
Ma soumission est de plus en plus totale, la plupart du temps, mon vagin reçoit les boules de geishas qu’il m’a offertes et que je mets en les enlevant seulement pour satisfaire des besoins naturels.
Bien sûr, je m’empresse de les remettre.
Pour la première fois, il me fouette avec le martinet que nous avons acheté ensemble dans le sexe shop où l’organisation à laquelle il semble appartenir se fournit.
Il me reprend par les cheveux m’amenant des larmes et il me tire vers la chambre.
Il m’allonge sur ma carpette, j’ai droit aux menottes une à chaque main qu’il fixe en partie haut du radiateur.
Ça m’oblige à dormir allongée sur le ventre, les bras levés en croix.
Une fois que je suis bien positionné sans que je me révolte, il me fait voir sa preuve d’amour en me passant doucement de la pommade cicatrisante, donnée avec le martinet acheté au magasin.
Cette punition méritée puisque je l’ai cherché, à un seul inconvénient le lendemain matin au lycée, il m’est impossible de poser les fesses sur ma chaise et ce sont les boules qui prennent le relais pour agresser mon corps.
Je suis heureuse de découvrir qu’il me donne le choix, la douleur ou le plaisir, nul doute que tout est calculé, leurs méthodes pour assouplir les femmes semblent bien rodées.
Je choisis le plaisir des boules, au moment où je passe près de Teti dans l’allée.
Il peut entendre le gémissement de plaisir que je suis dans l'obligation de lâcher lorsque pour la première fois dans mon métier de prof, je jouiiiis…au milieu de mes élèves.
À mon passage suivant, je vois qu’il a écrit sur son cahier.
• J’ai vu que tu as joui, tu vas ramasser.
Je devrais me sentir inquiète, mais je suis de plus en plus intéressée par la formation qu’il souhaite m’apporter malgré son jeune âge, je suis tout à fait sereine et je voudrais savoir où il veut me mener.
Je me suis bien remise de la fessée avec le martinet, lorsque j’analyse ce que j’endure, je dois reconnaître que, pour rien au monde, ma place je l’abandonnerais à une autre.
Mon ex a été un idiot d’oublier de me faire connaître la soumission dès notre mariage.
J’étais faite pour ça et Teti a su le découvrir dès notre premier regard.
Entre mon éducation, qui a conditionné ma jeunesse où la violence physique était exclue par mes parents sauf pour les fessées que papa m’infligeait.
Mon mariage où mon mari m’a respecté au-delà des convenances puisqu’il a été chercher ses plaisirs avec une autre.
C’est cet adolescent, bien qu’il soit majeur, qui a su détecter en moi la soumise qui dormait et qu’il révèle jour après jour avec des pratiques qui devraient me révolter, mais que je sollicite de plus en plus.
Le jeudi après-midi est un jour sans cours pour moi.
J’ai deux endroits où il m’impose de me rendre.
Le premier qui prend deux heures ou un médecin m’enlève tous les poils de mon corps au laser.
Dès que j’ai terminé, je dois aller chez un tatoueur qui sur toute la longueur extérieure de mon bras me grave « Teti mon maître ».
Je voulais qu’il me tatoue sur l’autre bras « Teti pour la vie » avec une paire de menottes, mais l’artiste refuse, mon corps risquant une réaction forte et négative de toutes ses attaques la même journée.
Rendez-vous est pris par Teti qui m’a rejoint après ses cours pour le samedi matin pour finir le tatouage de mon corps ?
Dommage que cela soit interdit, car je serais capable de me faire marquer au fer rouge un T et un V sur l’épaule comme les putes des rois d’autrefois.
Le samedi, le tatoueur est satisfait par l’évolution du premier tatouage.
Il a la gentillesse malgré la douleur que ces appareils me procurent de me tatouer lorsqu’il a fini la phrase, nos initiales sur mon épaule qu’il trace enlacé.
Depuis ce jour, Teti étant satisfait de ma soumission replace la carpette au pied du lit pour les nuits.
Mais en contrepartie il m’enlève de nouveau mon oreiller, il a raison trop de plaisir tue le plaisir.
Toute cette semaine, j’ai porté ma guêpe rouge comme ils disent, puis ma bleue avec une seule fois la boule rouge le jour où j’ai mérité d’être fouettée avec mon martinet.
Enfin toute la semaine je prends ma dose au petit déjeuner, le patron de la boutique avait raison, il va falloir resserrer les lanières, car la guêpe flotte d’au moins trois bons centimètres.
J’adore me regarder dans la glace lorsque je me retrouve seule, je commence à revoir les jolies fossettes de ma jeunesse sur mes fesses et mon visage.
Mes côtes aussi me font plaisir, je recommence à pouvoir les compter.
Que dire de mon ventre, lorsque je dégrafe ma guêpière pour prendre mon bain, je remarque que mon ventre dans les derniers jours du traitement retrouvera ce que les hommes appellent leur tablette de chocolat ?
À cet effet, malgré la faim qui me tenaille à certains moments, je fais de la gym pour retrouver l’équilibre de mon ventre.
Le dimanche matin, Teti téléphone comme prévu et le chauffeur de son père vient nous chercher pour m’emmener régler ma tenue et que nous allions manger chez lui.
Comme Romy Schneider dans un film avec Piccoli, je mets mon imperméable noir par-dessus des bas avec le porte-jarretelles et ma très belle guêpe blanche.
Le patron nous reçoit et rapidement fait son travail.
Il me fait tourner sur moi-même.
• Teti, ton père va être content, ce serait moi, tu as fait un sans faute, mais je suis moins expert que lui.
Un conseil, le collier en or de ta soumise à un anneau où il est possible d’attacher une chaîne en or, j’en ai, je vais te les montrer.
Le chauffeur nous attend pour nous conduire sur les Champs-Élysées où son père a un étage entier dans un immeuble ancien.
Il me tient par la laisse qui m’a été infligée, suprême ornement de ma soumission.
Nous prenons l’ascenseur et lorsque l’on en sort, il m’enlève mon imper et me place la boule blanche.
Je manque de m’offusquer, car j’aurais bien voulu lui dire verbalement bonjour.
Dès que le majordome en livrée vient nous ouvrir la porte, je comprends rapidement comment les choses se passent dans cet appartement.
Dès que nous sommes entrés, il frappe à une porte où quelqu’un lui dit entrer.
• Monsieur, votre fils et sa soumise sont arrivés.
• Faites entrer…
Ce qui est drôle, c’est que les guêpières se transforment en guêpes dans leur bouche.
C’est devant les portes jarretelles qu’ils m’emmènent.
Je les suis comme un gentil toutou, les boules me donnant envie de hurler de plaisir, heureusement, j’ai la bouche obstruée par la boule à bouche.
Là encore j’en essaye trois.
• C’est tout.
• Oui, fais-moi l’addition.
• La voilà, en cadeaux, je te donne deux paires de menottes, je suis sûr que ta salope appréciera quand tu t’amuseras avec.
Ha oui, tu me dis que c’est tout, on a failli oublier le principal, le martinet.
Il aurait pu l’oublier celui-là, je m’en porterais très bien, mais d’un certain côté, il est normal qu’ils me punissent chaque fois que je fais une chose de travers.
Il y a peu de temps que je pratique la soumission et il me faut encore acquérir certains codes.
Nos paquets préparés, nous quittons le magasin pour retrouver l’appartement.
Le retour est ravageur, chaque fois que je fais un pas ces maudites boules agresse l’intérieur de mon vagin et je sens la cyprine couler tout le long de mes jambes.
Comment vais-je faire en cours demain, est-ce que mes élèves remarqueront mon trouble.
Ils sont tellement observateurs sur les sujets qui sortent du cours.
C’est normal, à leur âge, il découvre le sexe comme je découvre ce qu’être une soumise veut dire depuis que Teti est entré dans ma vie, je verrai bien, il faut savoir assumer.
Les porter le restant de la journée, me permettant de commencer à m’habituer aux boules et mes cuisses sont moins arrosées quoique chaque fois que je bouge, elles me rappellent leur existence.
Au matin, je pars au travail sous le regard de mon amant, bien que mon vagin semble banni de ses pratiques sexuelles, il a cours une heure après moi.
J’aime travailler avec mes élèves dans l’espace que forme ma classe, vont-ils trouver bizarre que je reste river le cul sur ma chaise du début à la fin.
J’attends consciencieusement qu’ils soient tous dans le couloir avant de me lever.
Je me suis aperçu que les premiers mouvements avaient tendance à me faire perdre l’équilibre lorsque la décharge qu’elle provoque en moi est forte et rapide.
Il y a des risques que je m’étale sur les fesses, la chatte offerte, car comme il me l’a imposé, j’ai supprimé ma culotte.
J’ai cours avec Teti à la dernière heure de la matinée, c’est un vicieux avec ça, lorsqu’il me demande de venir voir un point du court qui lui est obscur.
Je manque de défaillir, pour son plus grand plaisir, il aime alors j’aime.
Cette journée sans fin, tellement les boules m’ont donné du plaisir se terminant et je suis heureuse de rentrer à la maison.
Comme à son habitude, je suce régulièrement mon amant quand il enlève ma boule et il me sodomise presque toutes les nuits.
Il semble prendre son pied lorsqu’il m’encule dans le noir.
La seule chose bizarre, c’est que ma chatte semble être un repoussoir pour sa queue, car depuis que je suis sous sa servitude, il a toujours évité de la toucher.
J’apprécie de plus en plus ma carpette, car mon corps aime dormir à la dure.
Depuis deux jours, Teti a trouvé le moyen de me faire voir sa domination en déplaçant la peau de mouton de quelques mètres et le premier soir, j’ai passé la nuit la main attachée par une menotte au radiateur.
Il a eu la gentillesse de me placer mon oreiller derrière les reins pour éviter que les barres de fonte qui le composent me marquent les reins, c’est sa façon de me donner des preuves d’amour.
Le temps passe, je suis de plus en plus dans l’attente de ce qu’il va me faire subir de nouveau.
Il semble avoir une imagination sans fin, le point principal, il a réussi, mon cerveau lui est entièrement acquis ainsi que tout mon corps.
Le mercredi soir, j’ai envie de le provoquer, dès que je rentre les cours de l’après-midi étant arrêté, il semble avoir oublié le martinet, je passe mon temps à y penser, mais je me suis trompée.
C’est allongé sur la moquette devant le canapé avec ma guêpière rouge et la boule rouge dans ma bouche que je le vois entrer.
Il me prend par les cheveux pour me retourner, il me fait mal, mais c’est du plaisir comparé aux lanières qui viennent déchirer mes fesses.
J’entends le cuir claquer, la première volée, je le trouve violent, mais après quelques coups bien appuyés mon cul bien rouge me donne du plaisir à la limite de l’orgasme.
• Salope, ici, c’est moi qui décide si tu dois jouir, tu es plus bas que terre.
Ma soumission est de plus en plus totale, la plupart du temps, mon vagin reçoit les boules de geishas qu’il m’a offertes et que je mets en les enlevant seulement pour satisfaire des besoins naturels.
Bien sûr, je m’empresse de les remettre.
Pour la première fois, il me fouette avec le martinet que nous avons acheté ensemble dans le sexe shop où l’organisation à laquelle il semble appartenir se fournit.
Il me reprend par les cheveux m’amenant des larmes et il me tire vers la chambre.
Il m’allonge sur ma carpette, j’ai droit aux menottes une à chaque main qu’il fixe en partie haut du radiateur.
Ça m’oblige à dormir allongée sur le ventre, les bras levés en croix.
Une fois que je suis bien positionné sans que je me révolte, il me fait voir sa preuve d’amour en me passant doucement de la pommade cicatrisante, donnée avec le martinet acheté au magasin.
Cette punition méritée puisque je l’ai cherché, à un seul inconvénient le lendemain matin au lycée, il m’est impossible de poser les fesses sur ma chaise et ce sont les boules qui prennent le relais pour agresser mon corps.
Je suis heureuse de découvrir qu’il me donne le choix, la douleur ou le plaisir, nul doute que tout est calculé, leurs méthodes pour assouplir les femmes semblent bien rodées.
Je choisis le plaisir des boules, au moment où je passe près de Teti dans l’allée.
Il peut entendre le gémissement de plaisir que je suis dans l'obligation de lâcher lorsque pour la première fois dans mon métier de prof, je jouiiiis…au milieu de mes élèves.
À mon passage suivant, je vois qu’il a écrit sur son cahier.
• J’ai vu que tu as joui, tu vas ramasser.
Je devrais me sentir inquiète, mais je suis de plus en plus intéressée par la formation qu’il souhaite m’apporter malgré son jeune âge, je suis tout à fait sereine et je voudrais savoir où il veut me mener.
Je me suis bien remise de la fessée avec le martinet, lorsque j’analyse ce que j’endure, je dois reconnaître que, pour rien au monde, ma place je l’abandonnerais à une autre.
Mon ex a été un idiot d’oublier de me faire connaître la soumission dès notre mariage.
J’étais faite pour ça et Teti a su le découvrir dès notre premier regard.
Entre mon éducation, qui a conditionné ma jeunesse où la violence physique était exclue par mes parents sauf pour les fessées que papa m’infligeait.
Mon mariage où mon mari m’a respecté au-delà des convenances puisqu’il a été chercher ses plaisirs avec une autre.
C’est cet adolescent, bien qu’il soit majeur, qui a su détecter en moi la soumise qui dormait et qu’il révèle jour après jour avec des pratiques qui devraient me révolter, mais que je sollicite de plus en plus.
Le jeudi après-midi est un jour sans cours pour moi.
J’ai deux endroits où il m’impose de me rendre.
Le premier qui prend deux heures ou un médecin m’enlève tous les poils de mon corps au laser.
Dès que j’ai terminé, je dois aller chez un tatoueur qui sur toute la longueur extérieure de mon bras me grave « Teti mon maître ».
Je voulais qu’il me tatoue sur l’autre bras « Teti pour la vie » avec une paire de menottes, mais l’artiste refuse, mon corps risquant une réaction forte et négative de toutes ses attaques la même journée.
Rendez-vous est pris par Teti qui m’a rejoint après ses cours pour le samedi matin pour finir le tatouage de mon corps ?
Dommage que cela soit interdit, car je serais capable de me faire marquer au fer rouge un T et un V sur l’épaule comme les putes des rois d’autrefois.
Le samedi, le tatoueur est satisfait par l’évolution du premier tatouage.
Il a la gentillesse malgré la douleur que ces appareils me procurent de me tatouer lorsqu’il a fini la phrase, nos initiales sur mon épaule qu’il trace enlacé.
Depuis ce jour, Teti étant satisfait de ma soumission replace la carpette au pied du lit pour les nuits.
Mais en contrepartie il m’enlève de nouveau mon oreiller, il a raison trop de plaisir tue le plaisir.
Toute cette semaine, j’ai porté ma guêpe rouge comme ils disent, puis ma bleue avec une seule fois la boule rouge le jour où j’ai mérité d’être fouettée avec mon martinet.
Enfin toute la semaine je prends ma dose au petit déjeuner, le patron de la boutique avait raison, il va falloir resserrer les lanières, car la guêpe flotte d’au moins trois bons centimètres.
J’adore me regarder dans la glace lorsque je me retrouve seule, je commence à revoir les jolies fossettes de ma jeunesse sur mes fesses et mon visage.
Mes côtes aussi me font plaisir, je recommence à pouvoir les compter.
Que dire de mon ventre, lorsque je dégrafe ma guêpière pour prendre mon bain, je remarque que mon ventre dans les derniers jours du traitement retrouvera ce que les hommes appellent leur tablette de chocolat ?
À cet effet, malgré la faim qui me tenaille à certains moments, je fais de la gym pour retrouver l’équilibre de mon ventre.
Le dimanche matin, Teti téléphone comme prévu et le chauffeur de son père vient nous chercher pour m’emmener régler ma tenue et que nous allions manger chez lui.
Comme Romy Schneider dans un film avec Piccoli, je mets mon imperméable noir par-dessus des bas avec le porte-jarretelles et ma très belle guêpe blanche.
Le patron nous reçoit et rapidement fait son travail.
Il me fait tourner sur moi-même.
• Teti, ton père va être content, ce serait moi, tu as fait un sans faute, mais je suis moins expert que lui.
Un conseil, le collier en or de ta soumise à un anneau où il est possible d’attacher une chaîne en or, j’en ai, je vais te les montrer.
Le chauffeur nous attend pour nous conduire sur les Champs-Élysées où son père a un étage entier dans un immeuble ancien.
Il me tient par la laisse qui m’a été infligée, suprême ornement de ma soumission.
Nous prenons l’ascenseur et lorsque l’on en sort, il m’enlève mon imper et me place la boule blanche.
Je manque de m’offusquer, car j’aurais bien voulu lui dire verbalement bonjour.
Dès que le majordome en livrée vient nous ouvrir la porte, je comprends rapidement comment les choses se passent dans cet appartement.
Dès que nous sommes entrés, il frappe à une porte où quelqu’un lui dit entrer.
• Monsieur, votre fils et sa soumise sont arrivés.
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