COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Saison V (11/12)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Saison V (11/12)
Je viens de réussir à faire de Teti mon ancien élève lorsque j’étais prof en lycée un maître de la soumission dans l’organisation internationale dont il faisait partie.
Maître et soumise, c’est ce que je découvre dans ce monde secret où ceux qui y entrent sont dans l’impossibilité d’en sortir.
Deux solutions pour évoluer, vers le haut comme je viens de réussir à propulser Teti ou vers le bas monde des servitudes sexuelles ou poule pondeuse d’enfants voués à être des serviteurs toute leur vie.
Lorsque Teti me ramène chez son père, soumise 2, Aurore mon ancienne élève reste seule attacher avec son collier et sa chaîne assez grande pour pouvoir parcourir tout mon appartement devenu celle de notre maître Teti.
Pendant notre absence, Teti lui donne l’ordre de récurer son logement le trouvant dégueulasse alors que je m’applique à ce qu’il soit le plus propre possible.
Même avant qu’il me soumette à tous ses désirs, je récurais, dès le moindre temps libre afin que ma maison soit toujours impeccable, ayant la phobie de la poussière.
Devant son père Ménès, je suis prête à subir l’épreuve permettant à Teti d’égaler son père.
Je m’attends à voir Azur, c’est le nom que j’ai donné à cette femme lors de notre première épreuve, qui tout au long du repas et du moment où nous avons baisé sur la table est restée complètement muette.
Il est seul au salon, pièce d’une grande beauté pleine de boiserie et d’armures moyenâgeuses.
Si c’est la belle-mère de Teti qui récure, je lui souhaite bien du plaisir vu le travail que cela doit représenter.
Dans ce salon, ce que me demande Ménès, est abject, récupérant la bave coulant de ma bouche alors qu’il me met son sexe en gorge profonde, il se permet de remplir la coupe en pissant dedans.
Après avoir mélangé le tout avec sa queue, il veut voir si je suis arrivée au niveau de leurs soumises en me faisant avaler le tout.
Haut-le-coeur, aucun, pas le moindre signe de dégout, même si au fond de moi j’ai envie de crier à l’infamie d’une telle soumission.
Deux images se superposent dans mon esprit.
Teti en maître absolue et moi nue, je le suis déjà, aux mains de plusieurs soudards dans leurs armures comme celle toute autour de moi me pourfendant avec leur lance autre que celle qu’ils ont en main.
Il y a tellement longtemps que j’aspire à être baisé normalement que je devrais être enchantée, mais lorsque dix, quinze ou vingt vous passent dessus, ça finit par être moins marrant.
Abject, oui, mais pour l’épater réussissant en plus cette épreuve de soumission, je lèche même la coupe afin qu’elle soit le plus propre possible.
C’est le moment de la séparation avec Teti, maître Ménès m’a baisé devant lui me prenant par la chatte, ce que j’espérais, mais par Teti tellement je mouille pour lui.
• Mon fils, j’organise ta présentation au grand maître dimanche prochain.
Mon chauffeur vous prendra ta deuxième soumise et toi et vous conduira à mon avion, nous rejoindrons notre confrérie.
Toi suis moi, Teti t’avais à la bonne, moi son père, ce sera loin d’être le cas.
Ma laisse passe des mains de Teti vers celle de Ménès.
Contre toute attente, il la détache et la donne à Teti.
• Fils garde cette laisse pour ton autre élève à la soumission, celle-ci mérite la laisse de diamant qui est dans cet écrin, suis-nous.
À dimanche fils, je suis fière de toi.
Réussir que ce que tu as réussi en si peu de temps et avec une soumise d’âges mûres, c’est un exploit aussi grand que celui du maître suprême, il y a des années.
Je dois le suivre, vers un escalier m’amenant à ce qui doit être la cave de cet hôtel particulier.
Il m’enlève ma laisse, la pièce est éclairée, mais de façon tamisée et je retrouve celle que j’ai surnommé Azur, ignorant son nom.
Il faut dire que depuis l’autre fois, ou elle m’a fait jouir et m’a fait louper mon examen le son de sa voix m’est inconnue.
• Entre avec ma soumise, inutile de parler avec elle, elle est muette.
Nous l’avons recueilli errant dans Paris, nous l’avons fait examiner par nos médecins, elle est démunie de corde vocale.
J’ai été chargé de son éducation, elle est aussi fidèle que peut l’être les chiens avec leurs maîtres.
Une de nos serveuses vous apportera vos doses de repas, tu as été très bien pour mon fils, tu auras une demi-dose de ce repas.
Pire que Teti, lui au moins me réduisait ma nourriture, mais de là à me donner demi-dose, c’est abusé.
Dans cette cave, il y a des cages où il est presque impossible de rester debout.
Plusieurs d’entre elles sont occupées par de jeunes femmes, il me fait entrer dans l’une d’elles.
• Tu vois, je te mets dans une cage à droite à côté de ma soumise muette, tu aurais loupé ton épreuve, je t’aurais fait entrer dans une cage à gauche. Dimanche tu aurais fait le voyage vers le château de notre grand maître, mais c’est lui qui aurait décidé si tu devenais une reproductrice ou une servante pour notre plus grand plaisir.
Les cages à droite sont plus grandes que celles à gauche, j’apprécie cette différence.
Je suis contente d’entrer dans la cage voisine d’Azur, j’ai peut-être échappé à une vie loin de celle qui m’attend.
Ce qui me rassure et pour cela je pense que je vais faire encore attention une semaine, c’est que dimanche prochain je retrouverais Teti pour aller rencontrer le grand maître.
• Brutus, comme la muette, tu respectes la soumise formée par mon fils Teti, lorsque tu leur fais faire de l’exercice, ces deux-là, tu peux seulement les sodomiser.
Les autres pendant cette semaine si tu le veux elles sont entièrement à toi de toute façon, elles seront baisables à volonté à leur arrivée.
Je dois m’absenter jusqu’à dimanche, je sais que tu es un obsédé, mais pense à les nourrir.
Je suis dans ma cage, prêt de celle d’Azur, ils partent nous laissant seules.
Je vais devoir m’habituer à vivre dans cette pénombre, je fais le tour de la cave du regard du mieux que je peux, vu l’exiguïté de l’endroit où je le trouve.
Le chien de fusil sera la position la meilleure que je vais prendre en attendant que Brutus me fasse faire de l’exercice.
Je vois Azur de très près, qui se masturbe, mais derrière elle le long d’un mur, surtout une croix avec des menottes pour les pieds et les mains.
Je m’assoupis jusqu’à ce que j’entende la grosse porte de la cave s’ouvrir.
Brutus est là avec nos repas.
Est-il muet lui aussi, il passe de cage en cage commençant par nous les protéger pour finir par les soumises promises à une fin moins valeureuse que la nôtre.
Il me passe ma demi-dose, je dois me mettre autrement et avant d’avoir le temps de l’en empêcher, Azur passe sa main dans ma cage et me pique mon repas.
Brutus la voit, sans ménagement, il la sort de sa cage la tirant par ses cheveux et l’amenant jusqu’à la croix où il l’attache.
La petite est face à moi et je vois qu’elle pleure.
Brutus prend une cravache et la flagelle, principalement ses seins et sa chatte.
Il sort sa queue, elle est monstrueuse !
Comme Azur est placée, il est peu probable qu’il puisse la baiser dans l’anus ou même se faire faire une pipe.
Je sais qu’ici le silence est d’or, mais c’est plus fort que moi, je me mets à hurler.
• Brutus, si tu sautes cette jeune femme, dès le retour du maître, je briserais le silence et il saura que tu as transgressé ses ordres.
Il me regarde vert de rage, mais simplement par son regard, avant de détacher Azur et de la ramener dans sa cage.
Il sort de la pièce sans plus de considération.
Un bras passe entre nos barreaux et mon repas m’est rendu, non, le sien, elle me donne une dose pleine et bois la mienne.
Je bois, moi aussi, à mon tour je passe ma main et je lui caresse les seins, son regard me fait voir que je viens de me faire une amie.
À son tour, elle prend ma main et commence à me sucer les doigts.
C’est la première fois que l’on me suce les doigts, mais vus l’atmosphère et l’endroit, ce geste à une portée érotique qui me fait couler.
Si Brutus, vient me faire faire de l’exercice, je lui ferais nettoyer ma cage.
C’est drôle avec Teti, j’étais dominée, ici, j’ai l’impression d’être dominatrice.
Il finit par revenir vers moi et ouvre.
• Brutus nettoie ma cage et je te permettrais de me sauter même après l’interdiction de maître Meknès.
S’il le fait, je sais que je suis, moi aussi capable d’être maître ou soumise.
Lorsque je fais l’amour avec Aurore, pardon, soumise 2 ou Azur, devant le maître ou dans la cage, je me découvre bisexuelle.
Dominée ou être dominée doit avoir la même approche.
Je le vois aller vers la salle où l’on peut faire nos ablutions en revient avec un seau et une serpillère.
C’est moi qui me place les mains sur la croix face à lui.
Jambes menottées et mains aussi, je reçois mon premier coup de cravache sur la chatte porté de haut en bas.
J’ai mal, mais cette séance est un bon exercice de soumission lorsque avec Teti nous serons confrontés au maître suprême.
Je passe le moment où il me prend comme je lui ai proposé, j’en tire une magnifique jouissance.
• Maître Meknès, puis-je prendre la parole.
• Oui, si tu le demandes, comme tu viens de le faire, tu peux t’exprimer.
Je suis avec le maître juste avant notre départ ou je vais retrouver Teti vers un lieu qui semble énigmatique.
Il est là avec Brutus.
• Maître Meknès, dès votre départ, Brutus a voulu prendre votre protégée en l’immobilisant sur cette croix.
Regardez, elle a encore des traces de coups qu’il lui a portés avec sa cravache.
Comme je me suis offusquée, lui rappelant les consignes que vous lui aviez données, il l’a remise dans sa cage et c’est moi qui ai subi les derniers outrages.
Maître regardé ma chatte, moi aussi j’ai des traces de son forfait.
Demandez à votre soumise, elle vous confirmera
Je mise sur la philosophie de ces maîtres qui dominent les femmes.
Le maître regarde Azur disant « oui » de la tête.
• Brutus, as-tu baisé ma soumise ?
Brutus baisse la tête, j’avais vu juste, rien pour résister aux maîtres.
• Brutus suit moi !
Le maître et Brutus quitte la cave, ce sera la dernière fois que je le verrais.
D’autres hommes viennent nous chercher.
Où va-t-on nous emmener...
Maître et soumise, c’est ce que je découvre dans ce monde secret où ceux qui y entrent sont dans l’impossibilité d’en sortir.
Deux solutions pour évoluer, vers le haut comme je viens de réussir à propulser Teti ou vers le bas monde des servitudes sexuelles ou poule pondeuse d’enfants voués à être des serviteurs toute leur vie.
Lorsque Teti me ramène chez son père, soumise 2, Aurore mon ancienne élève reste seule attacher avec son collier et sa chaîne assez grande pour pouvoir parcourir tout mon appartement devenu celle de notre maître Teti.
Pendant notre absence, Teti lui donne l’ordre de récurer son logement le trouvant dégueulasse alors que je m’applique à ce qu’il soit le plus propre possible.
Même avant qu’il me soumette à tous ses désirs, je récurais, dès le moindre temps libre afin que ma maison soit toujours impeccable, ayant la phobie de la poussière.
Devant son père Ménès, je suis prête à subir l’épreuve permettant à Teti d’égaler son père.
Je m’attends à voir Azur, c’est le nom que j’ai donné à cette femme lors de notre première épreuve, qui tout au long du repas et du moment où nous avons baisé sur la table est restée complètement muette.
Il est seul au salon, pièce d’une grande beauté pleine de boiserie et d’armures moyenâgeuses.
Si c’est la belle-mère de Teti qui récure, je lui souhaite bien du plaisir vu le travail que cela doit représenter.
Dans ce salon, ce que me demande Ménès, est abject, récupérant la bave coulant de ma bouche alors qu’il me met son sexe en gorge profonde, il se permet de remplir la coupe en pissant dedans.
Après avoir mélangé le tout avec sa queue, il veut voir si je suis arrivée au niveau de leurs soumises en me faisant avaler le tout.
Haut-le-coeur, aucun, pas le moindre signe de dégout, même si au fond de moi j’ai envie de crier à l’infamie d’une telle soumission.
Deux images se superposent dans mon esprit.
Teti en maître absolue et moi nue, je le suis déjà, aux mains de plusieurs soudards dans leurs armures comme celle toute autour de moi me pourfendant avec leur lance autre que celle qu’ils ont en main.
Il y a tellement longtemps que j’aspire à être baisé normalement que je devrais être enchantée, mais lorsque dix, quinze ou vingt vous passent dessus, ça finit par être moins marrant.
Abject, oui, mais pour l’épater réussissant en plus cette épreuve de soumission, je lèche même la coupe afin qu’elle soit le plus propre possible.
C’est le moment de la séparation avec Teti, maître Ménès m’a baisé devant lui me prenant par la chatte, ce que j’espérais, mais par Teti tellement je mouille pour lui.
• Mon fils, j’organise ta présentation au grand maître dimanche prochain.
Mon chauffeur vous prendra ta deuxième soumise et toi et vous conduira à mon avion, nous rejoindrons notre confrérie.
Toi suis moi, Teti t’avais à la bonne, moi son père, ce sera loin d’être le cas.
Ma laisse passe des mains de Teti vers celle de Ménès.
Contre toute attente, il la détache et la donne à Teti.
• Fils garde cette laisse pour ton autre élève à la soumission, celle-ci mérite la laisse de diamant qui est dans cet écrin, suis-nous.
À dimanche fils, je suis fière de toi.
Réussir que ce que tu as réussi en si peu de temps et avec une soumise d’âges mûres, c’est un exploit aussi grand que celui du maître suprême, il y a des années.
Je dois le suivre, vers un escalier m’amenant à ce qui doit être la cave de cet hôtel particulier.
Il m’enlève ma laisse, la pièce est éclairée, mais de façon tamisée et je retrouve celle que j’ai surnommé Azur, ignorant son nom.
Il faut dire que depuis l’autre fois, ou elle m’a fait jouir et m’a fait louper mon examen le son de sa voix m’est inconnue.
• Entre avec ma soumise, inutile de parler avec elle, elle est muette.
Nous l’avons recueilli errant dans Paris, nous l’avons fait examiner par nos médecins, elle est démunie de corde vocale.
J’ai été chargé de son éducation, elle est aussi fidèle que peut l’être les chiens avec leurs maîtres.
Une de nos serveuses vous apportera vos doses de repas, tu as été très bien pour mon fils, tu auras une demi-dose de ce repas.
Pire que Teti, lui au moins me réduisait ma nourriture, mais de là à me donner demi-dose, c’est abusé.
Dans cette cave, il y a des cages où il est presque impossible de rester debout.
Plusieurs d’entre elles sont occupées par de jeunes femmes, il me fait entrer dans l’une d’elles.
• Tu vois, je te mets dans une cage à droite à côté de ma soumise muette, tu aurais loupé ton épreuve, je t’aurais fait entrer dans une cage à gauche. Dimanche tu aurais fait le voyage vers le château de notre grand maître, mais c’est lui qui aurait décidé si tu devenais une reproductrice ou une servante pour notre plus grand plaisir.
Les cages à droite sont plus grandes que celles à gauche, j’apprécie cette différence.
Je suis contente d’entrer dans la cage voisine d’Azur, j’ai peut-être échappé à une vie loin de celle qui m’attend.
Ce qui me rassure et pour cela je pense que je vais faire encore attention une semaine, c’est que dimanche prochain je retrouverais Teti pour aller rencontrer le grand maître.
• Brutus, comme la muette, tu respectes la soumise formée par mon fils Teti, lorsque tu leur fais faire de l’exercice, ces deux-là, tu peux seulement les sodomiser.
Les autres pendant cette semaine si tu le veux elles sont entièrement à toi de toute façon, elles seront baisables à volonté à leur arrivée.
Je dois m’absenter jusqu’à dimanche, je sais que tu es un obsédé, mais pense à les nourrir.
Je suis dans ma cage, prêt de celle d’Azur, ils partent nous laissant seules.
Je vais devoir m’habituer à vivre dans cette pénombre, je fais le tour de la cave du regard du mieux que je peux, vu l’exiguïté de l’endroit où je le trouve.
Le chien de fusil sera la position la meilleure que je vais prendre en attendant que Brutus me fasse faire de l’exercice.
Je vois Azur de très près, qui se masturbe, mais derrière elle le long d’un mur, surtout une croix avec des menottes pour les pieds et les mains.
Je m’assoupis jusqu’à ce que j’entende la grosse porte de la cave s’ouvrir.
Brutus est là avec nos repas.
Est-il muet lui aussi, il passe de cage en cage commençant par nous les protéger pour finir par les soumises promises à une fin moins valeureuse que la nôtre.
Il me passe ma demi-dose, je dois me mettre autrement et avant d’avoir le temps de l’en empêcher, Azur passe sa main dans ma cage et me pique mon repas.
Brutus la voit, sans ménagement, il la sort de sa cage la tirant par ses cheveux et l’amenant jusqu’à la croix où il l’attache.
La petite est face à moi et je vois qu’elle pleure.
Brutus prend une cravache et la flagelle, principalement ses seins et sa chatte.
Il sort sa queue, elle est monstrueuse !
Comme Azur est placée, il est peu probable qu’il puisse la baiser dans l’anus ou même se faire faire une pipe.
Je sais qu’ici le silence est d’or, mais c’est plus fort que moi, je me mets à hurler.
• Brutus, si tu sautes cette jeune femme, dès le retour du maître, je briserais le silence et il saura que tu as transgressé ses ordres.
Il me regarde vert de rage, mais simplement par son regard, avant de détacher Azur et de la ramener dans sa cage.
Il sort de la pièce sans plus de considération.
Un bras passe entre nos barreaux et mon repas m’est rendu, non, le sien, elle me donne une dose pleine et bois la mienne.
Je bois, moi aussi, à mon tour je passe ma main et je lui caresse les seins, son regard me fait voir que je viens de me faire une amie.
À son tour, elle prend ma main et commence à me sucer les doigts.
C’est la première fois que l’on me suce les doigts, mais vus l’atmosphère et l’endroit, ce geste à une portée érotique qui me fait couler.
Si Brutus, vient me faire faire de l’exercice, je lui ferais nettoyer ma cage.
C’est drôle avec Teti, j’étais dominée, ici, j’ai l’impression d’être dominatrice.
Il finit par revenir vers moi et ouvre.
• Brutus nettoie ma cage et je te permettrais de me sauter même après l’interdiction de maître Meknès.
S’il le fait, je sais que je suis, moi aussi capable d’être maître ou soumise.
Lorsque je fais l’amour avec Aurore, pardon, soumise 2 ou Azur, devant le maître ou dans la cage, je me découvre bisexuelle.
Dominée ou être dominée doit avoir la même approche.
Je le vois aller vers la salle où l’on peut faire nos ablutions en revient avec un seau et une serpillère.
C’est moi qui me place les mains sur la croix face à lui.
Jambes menottées et mains aussi, je reçois mon premier coup de cravache sur la chatte porté de haut en bas.
J’ai mal, mais cette séance est un bon exercice de soumission lorsque avec Teti nous serons confrontés au maître suprême.
Je passe le moment où il me prend comme je lui ai proposé, j’en tire une magnifique jouissance.
• Maître Meknès, puis-je prendre la parole.
• Oui, si tu le demandes, comme tu viens de le faire, tu peux t’exprimer.
Je suis avec le maître juste avant notre départ ou je vais retrouver Teti vers un lieu qui semble énigmatique.
Il est là avec Brutus.
• Maître Meknès, dès votre départ, Brutus a voulu prendre votre protégée en l’immobilisant sur cette croix.
Regardez, elle a encore des traces de coups qu’il lui a portés avec sa cravache.
Comme je me suis offusquée, lui rappelant les consignes que vous lui aviez données, il l’a remise dans sa cage et c’est moi qui ai subi les derniers outrages.
Maître regardé ma chatte, moi aussi j’ai des traces de son forfait.
Demandez à votre soumise, elle vous confirmera
Je mise sur la philosophie de ces maîtres qui dominent les femmes.
Le maître regarde Azur disant « oui » de la tête.
• Brutus, as-tu baisé ma soumise ?
Brutus baisse la tête, j’avais vu juste, rien pour résister aux maîtres.
• Brutus suit moi !
Le maître et Brutus quitte la cave, ce sera la dernière fois que je le verrais.
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