COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Saison V (12/12)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Saison V (12/12)
Où va-t-on nous emmener ?
C’est la question que je me pose, que vais-je découvrir.
Un avion, il semble que nous nous déplacerons bien loin de notre pays.
Je suis, pardon, j’étais prof donc j’ai une certaine logique, ils peuvent nous avoir fait tourner en rond pour retrouver à notre point de départ et faire croire que nous sommes au bout du monde.
Depuis que je me suis soumise à Teti mon élève chose impensable pour moi depuis que j’enseigne, l’heure et le jour sont devenus des valeurs abstraites.
Certes, si j’ai choisi d’enseigner le français, c’est parce que les maths et moi comme l’on dit ça fait deux.
Mais français ou math, après le virage de ma vie, peu importe, je vais retrouver Teti , certes, avec sa deuxième soumise que son père lui a demandé d’amener, mais qui va être intronisé maître.
L’avion se pose, et la cabine est dépressurisée, une chaleur moite tombe sur nous.
Heureusement, nue comme nous le sommes, si l’avion avait atterri au Groenland, nous serions glacés.
Lorsque nous descendons, avec Azur sur nos deux pieds, les soumises qui vont devenir les esclaves des maîtres vont être descendues par du personnel avec les cages.
Nous semblons être dans un hangar, mais c’est de la roche comme si nous étions rentrés dans une montagne.
Nous sommes conduits devant un ascenseur qui nous fait monter vers un couloir blanc.
Tout blancs comme dans les films de science fictions ou des aliens se croisent certains étant des serviteurs.
Les aliens il y en a, mais ce sont des femmes nues comme moi, mais certaines poussent des chariots de matériel de nettoyage, d’autres portant des draps propres et entrant dans une pièce qui semble être une chambre.
Je m’attendais à me retrouver dans un lieu où on me fera attendre de revoir Teti dans une situation de soumise, mais là j’ai l’impression d’être une princesse.
Un lit, un bon lit, avec de bons draps bien frais, surtout que depuis qu’on est montées dans l’ascenseur, la pièce semble climatiser.
Azur doit être dans la pièce voisine, car lorsque l’on m’a fait entrer, elle a continué son chemin accompagné par le garde qui nous ouvrait la marche depuis le bas de la passerelle de l’avion.
Ici comme en France, nous avons le droit à nos doses de nourriture sans saveur mais très bien équilibré, car depuis que j’ai repris ma ligne de jeune fille, je la garde sans avoir besoin de batailler.
Et ça doit être le jour, ma porte s’ouvre des servantes muettes comme il se doit entre avec une grande cape rouge que l’on met sur mon lit.
Elles sont deux et me conduisent dans ma salle de bains où elle me prépare un bain chaud et odorant.
La jolie blonde qui s’occupe de me laver le dos passe son éponge sur mes seins, je frisonne avant que sa main descende vers mon entrejambe.
Elle me regarde, je vois de la peur dans ses yeux.
Ça fait des jours que j’ai eu le dernier contact avec Brutus et l’une des choses que m’a procurées le faite d’être une soumise, c’est l’état presque permanent d’attente du sexe de nos maîtres.
Je me saisis de sa main et je me passe l’éponge sur ma chatte, qui semble être béante dans l’attente du plaisir.
Je lui souris lui montrant le début de jouissance qu’elle m’a donnée, je sens qu’elle se rassure.
Sortie de l’eau, elle m’essuie et les deux femmes me conduisent près de mon lit, elles me mettent la cape sur les épaules.
Comme je l’ai déjà dit, j’ai l’impression d’être dans un film déjà vu, mais si je me pince, je suis sûr que je suis dans la réalité.
Une fois préparé, un garde vient me chercher, nous reprenons un ascendeur avant de nous retrouver devant une porte gardée par deux autres gardes.
On se croirait au temps des Romains, même tenue genre gladiateur avec un casque avec un cache pour le nez et un glaive comme arme.
L’un d’eux ouvre la porte, c’est une vraie fourmilière.
Des hommes, surtout des hommes avec chacun une cape noire.
Des femmes, des soumises tenues en laisse.
Près de la porte Ménès est là avec Azur à ses pieds, je pensais, la retrouver avec une cape rouge comme moi.
Je devrais rapidement comprendre pourquoi.
Des femmes en cape rouge dans les deux cents à trois cents personnes présentent, j’en repère trois dont moi.
La pièce immense pleine d’hommes ou de femmes soumise est entourée de gardes qui semblent tous impressionnant.
D’un coup tous se taisent lorsque des trompettes se mettent à sonner.
Tous tourne la tête vers la paroi rocheuse à gauche.
Pourquoi ces regards, je vais rapidement comprendre ?
Le mur pivote sur lui-même et un trône apparaît avec ce que je considère être une momie, il a une cape blanche rendant sa peau parcheminée.
Momie qui se lève et prend la parole un peu chevrotante, il parle en anglais, aucun problème pour moi pour comprendre.
Il doit en être de même pour tous les maîtres.
• Mes amis, maître du monde, je vous ai convoqué à double titre, mais asseyez-vous, je vais commencer la cérémonie.
Je reste debout, on m’a placé là où les chaises brillent par leur absence.
• Le premier, c’est pour l’intronisation de trois nouveaux maîtres.
Faites entrer nos nouveaux maîtres.
Adolphe de Berlin, Tony de São Paulo et Teti de Paris.
Les trompettes résonnent de nouveau, Entendre le nom de mon maître, même s’il m’a cédé à son père qui semble faire peu de cas de moi, mon cœur s’accélère de mille tours.
Les portes du fond de la salle s’ouvrent.
Un grondement sourd se fait entendre.
• Restez calme, tout est sous contrôle, messieurs, avancez jusqu’à moi.
Qu’est-ce que ce bruit, mais j’ai les yeux rivés sur Teti qui s’avance, Aurore sa soumise tenue au bout de sa laisse et marchant à quatre pattes ?
Les trois ont une cape bleue.
• Messieurs, enlevez vos capes.
• Soumises, mettez leurs capes noires de maîtres à nos amis.
Résonnez, trompettes pour leur rendre hommage.
Ils aiment le bruit que font ces trompettes longues très longues et toutes droites.
Une nouvelle fois le grondement se fait entendre.
D’où peut bien venir ce bruit !
Les trompettes s’arrêtent, que va-t-il se passer ?
Le grand maître se lève difficilement et reprend la parole.
• Mes amis maîtres du monde, depuis des mois, le grand conseil me presse de nommer mon successeur.
Ma décision est prise et je vais vous la faire connaître.
Un nouveau bruit, identique à celui qui a fait apparaître le maître assis sur son trône.
Un autre trône apparaît, vide.
• Teti, monte, monte jusqu’à moi, tu as su séduire puis soumettre une femme plus vieille que toi et très instruite, tu seras mon successeur.
• Vive Teti, notre futur grand maître.
Ce sont tous les maîtres en cœur qui semblent donner allégeance à leur futur grand maître.
Teti monte et s’assoit sur le trône libre.
Soumise 2, Aurore au bout de sa laisse vient se lover à ses pieds.
Je suis jalouse, c’est moi qui devrais être à sa place, la jalousie me gagne.
Le grand maître une nouvelle fois lève sa main, tous s’arrêtent.
• Mes amis, maintenant que j’ai un successeur que vous avez approuvé, je voudrais vous soumettre une dernière proposition.
Depuis des lustres que j’ai permis ma soumise, le poste de maîtresse des soumises, j’ai refusé de le remplacer.
Une nouvelle fois le bruit du mur se fait entendre et un troisième trône apparaît à côté de celui de Teti.
• Véronique, je vous libère de la tutelle de votre maître et je vous nomme reine des soumises.
Je tombe de haut, il me tend la main, c’est tremblante qu’à mon tour je monte les marches.
J’ai maitrisé mes talons plus que haut, mais m’étaler au moment où je sens que je vais retrouver Teti.
J’ignore si leurs règles et si le grand maître a le droit de coucher avec son ancienne soumise, au moment où je m’assoie sur mon trône doré ou certainement en or massif.
• Grand maître, puis-je prendre la parole, s’il vous plait ?
• Vous êtes maîtresse des soumises et à ce titre, vous pouvez tout vous permettre.
• Même de donner des ordres ?
• Aux soumises et aux gardes, ils devront exécuter vos ordres comme ils le font avec les maîtres.
Une folie me prend, ma jalousie l’emporte sur la logique pour la première fois de ma vie.
Teti est à ma portée et je teins à en conquérir le coeur définitivement.
Près de nous de chaque côté des trônes des gardes, je les interpelle.
• Gardes, emparez-vous d’Aurore, la soumise de maître Teti et emmenez là dans vos appartements, je vous la donne.
Mon maître Teti pourrait finir par se lasser de moi.
Toi là aux pieds de maître Ménès, j’ignore ton nom, peu importe, je t’ai appelé Azur, tu seras ma servante.
Mon audace est totale, mais le garde plus près de Teti s’approche, il sort son glaive et le plante dans le cœur de Teti.
Il s’empare du grand maître le strangulant et lui posant son glaive plein de sang sur sa gorge.
• Aurore suit moi, je vis chez les gardes et je sais comment ils traitent les femmes qui arrivent dans leurs pattes, je veux t’éviter ça.
La voix, même avec le casque je reconnais qui se cache derrière, mais à ce moment le bruit que j’entendais devient plus pressant.
Le garde traverse la salle, ma seule réaction, c’est de prendre Teti dans mes bras et de lui fermer les yeux qui me regardaient mais mort.
Dans mon brouillard je les vois traversés entre les maîtres jusqu’à la porte du fond de la salle.
Le grand maître étant le prisonnier de ce forcené, ils semblent tétanisés, les gardes aussi, Azur se lèvent.
Il semble que ce soit la seule qui reste lucide, elle suit le trio et sort de la salle, les portes se referment.
Le bruit, non l’apocalypse, quand tout explose autour de nous.
Maîtres, soumises, gardes, tous ont logé comme moi à la même enseigne, tous essayent d’ouvrir la porte qui semble bloquée.
C’est là sur la droite que les murs s’effondrent.
Dans quelques années, on me retrouvera couverte de lave comme les gens de Pompéi lorsque le Vésuve a exposé, mais je m’en fiche, je suis avec Teti dans mes bras.
Je pourrais arrêter là mon récit, à la mort des deux principaux protagonistes.
Mais il s’avère que je peux voir derrière la porte lorsque le garde enlève Aurore après avoir tué le maître de Véronique sa soumise, prof du lycée où elle enseignait sur de sa force de caractère.
Peut-être que je prendrais le temps de l’écrire.
Aller, je vais être sympa, le garde veut bien vous raconter qui il est et pourquoi il a enlevé Aurore, ce sera dans un dernier chapitre le 13ème, certainement diffusé dans les jours prochains sur HDS.
C’est la question que je me pose, que vais-je découvrir.
Un avion, il semble que nous nous déplacerons bien loin de notre pays.
Je suis, pardon, j’étais prof donc j’ai une certaine logique, ils peuvent nous avoir fait tourner en rond pour retrouver à notre point de départ et faire croire que nous sommes au bout du monde.
Depuis que je me suis soumise à Teti mon élève chose impensable pour moi depuis que j’enseigne, l’heure et le jour sont devenus des valeurs abstraites.
Certes, si j’ai choisi d’enseigner le français, c’est parce que les maths et moi comme l’on dit ça fait deux.
Mais français ou math, après le virage de ma vie, peu importe, je vais retrouver Teti , certes, avec sa deuxième soumise que son père lui a demandé d’amener, mais qui va être intronisé maître.
L’avion se pose, et la cabine est dépressurisée, une chaleur moite tombe sur nous.
Heureusement, nue comme nous le sommes, si l’avion avait atterri au Groenland, nous serions glacés.
Lorsque nous descendons, avec Azur sur nos deux pieds, les soumises qui vont devenir les esclaves des maîtres vont être descendues par du personnel avec les cages.
Nous semblons être dans un hangar, mais c’est de la roche comme si nous étions rentrés dans une montagne.
Nous sommes conduits devant un ascenseur qui nous fait monter vers un couloir blanc.
Tout blancs comme dans les films de science fictions ou des aliens se croisent certains étant des serviteurs.
Les aliens il y en a, mais ce sont des femmes nues comme moi, mais certaines poussent des chariots de matériel de nettoyage, d’autres portant des draps propres et entrant dans une pièce qui semble être une chambre.
Je m’attendais à me retrouver dans un lieu où on me fera attendre de revoir Teti dans une situation de soumise, mais là j’ai l’impression d’être une princesse.
Un lit, un bon lit, avec de bons draps bien frais, surtout que depuis qu’on est montées dans l’ascenseur, la pièce semble climatiser.
Azur doit être dans la pièce voisine, car lorsque l’on m’a fait entrer, elle a continué son chemin accompagné par le garde qui nous ouvrait la marche depuis le bas de la passerelle de l’avion.
Ici comme en France, nous avons le droit à nos doses de nourriture sans saveur mais très bien équilibré, car depuis que j’ai repris ma ligne de jeune fille, je la garde sans avoir besoin de batailler.
Et ça doit être le jour, ma porte s’ouvre des servantes muettes comme il se doit entre avec une grande cape rouge que l’on met sur mon lit.
Elles sont deux et me conduisent dans ma salle de bains où elle me prépare un bain chaud et odorant.
La jolie blonde qui s’occupe de me laver le dos passe son éponge sur mes seins, je frisonne avant que sa main descende vers mon entrejambe.
Elle me regarde, je vois de la peur dans ses yeux.
Ça fait des jours que j’ai eu le dernier contact avec Brutus et l’une des choses que m’a procurées le faite d’être une soumise, c’est l’état presque permanent d’attente du sexe de nos maîtres.
Je me saisis de sa main et je me passe l’éponge sur ma chatte, qui semble être béante dans l’attente du plaisir.
Je lui souris lui montrant le début de jouissance qu’elle m’a donnée, je sens qu’elle se rassure.
Sortie de l’eau, elle m’essuie et les deux femmes me conduisent près de mon lit, elles me mettent la cape sur les épaules.
Comme je l’ai déjà dit, j’ai l’impression d’être dans un film déjà vu, mais si je me pince, je suis sûr que je suis dans la réalité.
Une fois préparé, un garde vient me chercher, nous reprenons un ascendeur avant de nous retrouver devant une porte gardée par deux autres gardes.
On se croirait au temps des Romains, même tenue genre gladiateur avec un casque avec un cache pour le nez et un glaive comme arme.
L’un d’eux ouvre la porte, c’est une vraie fourmilière.
Des hommes, surtout des hommes avec chacun une cape noire.
Des femmes, des soumises tenues en laisse.
Près de la porte Ménès est là avec Azur à ses pieds, je pensais, la retrouver avec une cape rouge comme moi.
Je devrais rapidement comprendre pourquoi.
Des femmes en cape rouge dans les deux cents à trois cents personnes présentent, j’en repère trois dont moi.
La pièce immense pleine d’hommes ou de femmes soumise est entourée de gardes qui semblent tous impressionnant.
D’un coup tous se taisent lorsque des trompettes se mettent à sonner.
Tous tourne la tête vers la paroi rocheuse à gauche.
Pourquoi ces regards, je vais rapidement comprendre ?
Le mur pivote sur lui-même et un trône apparaît avec ce que je considère être une momie, il a une cape blanche rendant sa peau parcheminée.
Momie qui se lève et prend la parole un peu chevrotante, il parle en anglais, aucun problème pour moi pour comprendre.
Il doit en être de même pour tous les maîtres.
• Mes amis, maître du monde, je vous ai convoqué à double titre, mais asseyez-vous, je vais commencer la cérémonie.
Je reste debout, on m’a placé là où les chaises brillent par leur absence.
• Le premier, c’est pour l’intronisation de trois nouveaux maîtres.
Faites entrer nos nouveaux maîtres.
Adolphe de Berlin, Tony de São Paulo et Teti de Paris.
Les trompettes résonnent de nouveau, Entendre le nom de mon maître, même s’il m’a cédé à son père qui semble faire peu de cas de moi, mon cœur s’accélère de mille tours.
Les portes du fond de la salle s’ouvrent.
Un grondement sourd se fait entendre.
• Restez calme, tout est sous contrôle, messieurs, avancez jusqu’à moi.
Qu’est-ce que ce bruit, mais j’ai les yeux rivés sur Teti qui s’avance, Aurore sa soumise tenue au bout de sa laisse et marchant à quatre pattes ?
Les trois ont une cape bleue.
• Messieurs, enlevez vos capes.
• Soumises, mettez leurs capes noires de maîtres à nos amis.
Résonnez, trompettes pour leur rendre hommage.
Ils aiment le bruit que font ces trompettes longues très longues et toutes droites.
Une nouvelle fois le grondement se fait entendre.
D’où peut bien venir ce bruit !
Les trompettes s’arrêtent, que va-t-il se passer ?
Le grand maître se lève difficilement et reprend la parole.
• Mes amis maîtres du monde, depuis des mois, le grand conseil me presse de nommer mon successeur.
Ma décision est prise et je vais vous la faire connaître.
Un nouveau bruit, identique à celui qui a fait apparaître le maître assis sur son trône.
Un autre trône apparaît, vide.
• Teti, monte, monte jusqu’à moi, tu as su séduire puis soumettre une femme plus vieille que toi et très instruite, tu seras mon successeur.
• Vive Teti, notre futur grand maître.
Ce sont tous les maîtres en cœur qui semblent donner allégeance à leur futur grand maître.
Teti monte et s’assoit sur le trône libre.
Soumise 2, Aurore au bout de sa laisse vient se lover à ses pieds.
Je suis jalouse, c’est moi qui devrais être à sa place, la jalousie me gagne.
Le grand maître une nouvelle fois lève sa main, tous s’arrêtent.
• Mes amis, maintenant que j’ai un successeur que vous avez approuvé, je voudrais vous soumettre une dernière proposition.
Depuis des lustres que j’ai permis ma soumise, le poste de maîtresse des soumises, j’ai refusé de le remplacer.
Une nouvelle fois le bruit du mur se fait entendre et un troisième trône apparaît à côté de celui de Teti.
• Véronique, je vous libère de la tutelle de votre maître et je vous nomme reine des soumises.
Je tombe de haut, il me tend la main, c’est tremblante qu’à mon tour je monte les marches.
J’ai maitrisé mes talons plus que haut, mais m’étaler au moment où je sens que je vais retrouver Teti.
J’ignore si leurs règles et si le grand maître a le droit de coucher avec son ancienne soumise, au moment où je m’assoie sur mon trône doré ou certainement en or massif.
• Grand maître, puis-je prendre la parole, s’il vous plait ?
• Vous êtes maîtresse des soumises et à ce titre, vous pouvez tout vous permettre.
• Même de donner des ordres ?
• Aux soumises et aux gardes, ils devront exécuter vos ordres comme ils le font avec les maîtres.
Une folie me prend, ma jalousie l’emporte sur la logique pour la première fois de ma vie.
Teti est à ma portée et je teins à en conquérir le coeur définitivement.
Près de nous de chaque côté des trônes des gardes, je les interpelle.
• Gardes, emparez-vous d’Aurore, la soumise de maître Teti et emmenez là dans vos appartements, je vous la donne.
Mon maître Teti pourrait finir par se lasser de moi.
Toi là aux pieds de maître Ménès, j’ignore ton nom, peu importe, je t’ai appelé Azur, tu seras ma servante.
Mon audace est totale, mais le garde plus près de Teti s’approche, il sort son glaive et le plante dans le cœur de Teti.
Il s’empare du grand maître le strangulant et lui posant son glaive plein de sang sur sa gorge.
• Aurore suit moi, je vis chez les gardes et je sais comment ils traitent les femmes qui arrivent dans leurs pattes, je veux t’éviter ça.
La voix, même avec le casque je reconnais qui se cache derrière, mais à ce moment le bruit que j’entendais devient plus pressant.
Le garde traverse la salle, ma seule réaction, c’est de prendre Teti dans mes bras et de lui fermer les yeux qui me regardaient mais mort.
Dans mon brouillard je les vois traversés entre les maîtres jusqu’à la porte du fond de la salle.
Le grand maître étant le prisonnier de ce forcené, ils semblent tétanisés, les gardes aussi, Azur se lèvent.
Il semble que ce soit la seule qui reste lucide, elle suit le trio et sort de la salle, les portes se referment.
Le bruit, non l’apocalypse, quand tout explose autour de nous.
Maîtres, soumises, gardes, tous ont logé comme moi à la même enseigne, tous essayent d’ouvrir la porte qui semble bloquée.
C’est là sur la droite que les murs s’effondrent.
Dans quelques années, on me retrouvera couverte de lave comme les gens de Pompéi lorsque le Vésuve a exposé, mais je m’en fiche, je suis avec Teti dans mes bras.
Je pourrais arrêter là mon récit, à la mort des deux principaux protagonistes.
Mais il s’avère que je peux voir derrière la porte lorsque le garde enlève Aurore après avoir tué le maître de Véronique sa soumise, prof du lycée où elle enseignait sur de sa force de caractère.
Peut-être que je prendrais le temps de l’écrire.
Aller, je vais être sympa, le garde veut bien vous raconter qui il est et pourquoi il a enlevé Aurore, ce sera dans un dernier chapitre le 13ème, certainement diffusé dans les jours prochains sur HDS.
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