COLLECTION SOUMISSION. Dettes de jeu (1/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION SOUMISSION. Dettes de jeu (1/4)
• Reconnaissez-vous cette signature ?
• Oui, c’est celle de mon mari, mais pourquoi m’avez-vous attaché les mains.
• Cette signature, celle de votre mari, regardez à quelle date a été signée cette reconnaissance de dettes !
• Le 29 juillet 2019, à 23 heures.
• Exact et où était Paul, ce soir-là lorsqu’il nous a signé ce papier ?
• Je l’ignore, ça fait déjà trois mois, il s’absente fréquemment pour son travail.
• Sandrine, je vais vous rafraîchir la mémoire, quand avez-vous été chez vos parents avec votre fils ?
• Pour son anniversaire ?
• Il est né !
• Le 29 juillet 2012.
• Alors !
Le 29 juillet 2019, que vous a-t-il donné comme motif pour être absent, a l’anniversaire de votre fils ?
• Une histoire de fuite sur le toit de son chantier à Meknès au Maroc où il devait intervenir avant que tous part en vacances risquant en cas de pluie d’envenimer la situation.
• 50 000 € perdus ce jour-là.
Et celle-là, quelques semaines plus tôt, c’est bien sa signature, 124 300 € où étiez-vous ?
Inutile de chercher au début de notre partie de poker, Paul est un joueur compulsif, il nous a dit qu’il profitait de votre départ chez votre sœur.
Il profitait de ce que votre fils était chez vos parents pour les vacances de Pâques pour faire quelques tours de table.
Je passe les trois autres, qui sont plus anciennes au total, il y en a pour plus de 500 000 €.
• Mes parents et moi sommes dans l’incapacité de vous rembourser.
• Sandrine, nous allons bien trouver une solution, il y a plusieurs façons de régler les dettes de jeu de son mari.
Bien sûr, cette solution se fera dans la plus grande discrétion et pour vous et pour lui.
• Laquelle ?
• J’organise de petites soirées de jeux et de baises entre amis.
J’offre des femmes à certains de mes amis qui aiment se payer de jolies salopes ayant l’allure de femmes honorables !
• Vous voulez m’offrir à des inconnus !
• Tu as tout compris Sandrine, au point de notre discussion, tu permets que je te dise tu, quand tu auras mon sexe en bouche nous serons devenus très intimes.
• Il est hors de question que je fasse la pute pour vous dans vos soirées de dingues.
• Alors, il me reste une seule chose à faire !
• Quelle saloperie allez-vous trouver ?
• Faire connaître à la presse que le grand architecte connu dans le monde entier est addict aux jeux d’argent surtout le poker et qu’il signe des reconnaissances de dette en bois.
Comment s’appelle ton fils ?
À oui, Jules !
Que dira Jules quand il sera plus grand et que nous lui ferons savoir qui son père était réellement !
Une merde jouant gros et qui vous aura mis à la rue quand ce joli appartement sera saisi et vendu.
Nous nous sommes renseignés, au doigt mouillé, il vaut environ 300 000 €.
En le vendant, il en resterait encore un bon paquet pour nous payer, mais pour vous il vous restera le crédit, surtout qu’il est loin d’être fini d’être payé.
Paul m’avait dit qu’il l’avait payé comptant à la suite d’un immense chantier à New York.
Il m’avait même emmené une semaine dans l’un des plus beaux palaces de cette ville au pied de central parc.
• Où et quand ?
• Samedi, il va te dire qu’il doit aller sur un autre chantier à Dubaï, alors qu’il espère simplement se refaire.
Je t’ai amené un carton dans lequel tu trouveras une tenue un peu osée que tu porteras.
Pour ton fils, je pense que ta sœur pourra te rendre ce petit service jusqu’au matin.
Quand nous sautons des salopes nous aimons que ça dure, nous aimons prendre notre temps.
Bien sûr, pas un mot a ton salopard de mari.
Il peut le dire, même si ça paraît incroyable.
Encore la semaine dernière il me montrait les catalogues d’une grosse berline allemande qu’il pensait nous acheter.
Nous avions couché Jules qui comme a son habitude s'est endormi dans la minute suivante avant de nous retrouver sur le canapé.
Le choix fait, il m’a embrassé, a ouvert ma robe de chambre et m’a caressé.
À aucun moment quand son sexe est venu en moi, j’ai eu l’impression qu’il avait des soucis d’argent.
Nous avons fait l’amour, comme nous faisons fréquemment l’amour sans qu’à aucun moment j’aie l’impression qu’il avait des tracas alors que ce que m’impose mon homme, c’est du sexe que je considère comme sauvage.
Je reviens près de cet homme afin de l’écouter.
• Comme je te l’ai dit, les conséquences seraient terribles.
En ce moment, nous sommes conciliants, mais nous sommes prêts à couper les doigts de ton fils un à un sans anesthésie, si tu nous y pousse Sandrine.
Regarde, moi aussi j’en ai un que l’on m’a coupé.
J’avais trahi la confiance de l’homme qui m’emploi et qui tient les couilles de ton mec dans ses mains.
Samedi 21 heures en bas de chez toi, par-dessus cette tenue tu pourras mettre ton imper rouge que tu t’es achetée mardi matin.
C’est surprenant que nous sachions ça, mais depuis bien des jours nous t’observons.
Si dans l’ascenseur une voisine te croise, ton honorabilité sera préservée.
Il est dommage que ce soit toi qui doives payer pour les turpitudes de ton mari, mais c’est la loi des joueurs invétérés qui sont sans limite.
Avant que je te quitte, je vais voir si tu as compris à qui tu appartiens jusqu’à extinction des dettes de ton mari.
À genoux et suce ma bite, ta bouche doit être douce.
Je suis anéanti quand cet homme sort sa verge bien plus grosse que celle de Paul seule verge que j’ai connu depuis qu’il m’a faite femme.
Je la touche, c’est doux et ça entre juste dans ma bouche.
C’est la première fellation que je fais.
Paul dans nos ébats s’est bien gardé de me demander de telles choses, même comme je l’ai dit lorsque nous faisons l’amour, il est assez viril.
Je suis issue d'une famille assez rigoriste.
• Avale, c’est bien, samedi, nous allons passer un bon moment avec toi.
Du sperme dans ma bouche !
J’étais persuadée que jamais une telle quantité de liquide gluant toucherait mes amygdales.
Je dois dire que lorsque cet homme est parti, je vais dans la salle de bains enlever la dernière giclée qu’il m’a envoyée sur la figure.
• Bonsoir, mon cœur, pourras-tu préparer ma valise pour samedi matin, je prends un avion pour Dubaï, je dois contrôler des travaux et j’ai une grosse réunion de chantier lundi.
Ce sera le dernier vol pour que j’y sois à temps le matin.
Je serais de retour mardi en fin d’après-midi.
Je vais embrasser Jules avant qu’il dorme.
Mon dieu, j’ai failli lui parler de la visite de cet horrible homme à qui il manque un doigt, homme qui avait raison pour Dubaï.
Le samedi, il part, je conduis Jules chez Claudine ma sœur et anxieusement j’attends l’heure fatidique pour commencer mon chemin de croix.
Je suis en tenue pour aller faire la pute afin d’effacer les dettes de Paul, mon mari.
Sans mon fils, mon mari, je l’aurais jeté et je serais retourné chez mes parents.
Mais quand je l’emmène chez ma sœur et que je le vois assis derrière moi dans notre voiture, j’imagine ces doigts qu’il risquerait de perdre si je flanchais.
Je suis à l’heure lorsque je sors de l’ascenseur, mon tortionnaire est là.
Comment ai-je pu lui sucer la verge, il est quelconque, très mauvais genre.
Il me conduit à une grosse voiture noire aux vitres teintée.
Il me met une cagoule sur les yeux et me fait entrer à l’arrière.
• Garde ta cagoule jusqu’à ce que je te dise que tu peux l’enlever.
Nous roulons.
Je sens que je suis palpé, on me fait ouvrir mes jambes et des doigts viennent arracher ma culotte.
Roulé vers une destination inconnue dans le noir sentant que je suis offerte me fait un drôle d’effet.
Je serais enclin à les envoyer promener, mais dans la situation où Paul m’a mise, j’ai envie de lui faire payer chèrement.
Mon cul va payer sa dette, mais pourquoi rester insensible à ces doigts me fouillant la chatte.
• Viens que je te mette ta laisse.
Une chienne, dans le noir, cet homme me transforme en chienne m’attachant un collier autour de mon cou.
En temps normal, c’est une rivière de diamants ou mon collier en perles naturelles que Paul m’attache chaque fois qu’il m’emmène dans des soirées moins glauques que celle que je vais vivre dans quelques minutes.
Je marche un certain temps et l’on m’ôte la cagoule.
Je me sens attachée par cette laisse de cuir à ce collier que j’ai senti que l’on a attaché autour de mon cou.
Je me retrouve dans un vestibule, certainement d’un appartement.
Chez moi, nous avons meublé moderne tout dans les tons de blanc.
Tient une chose me revient en mémoire, Paul voulait que nous changions tous le mobilier, car depuis la naissance de Jules, entretenir du blanc devenait difficile.
• Suis-moi, nous allons poser nos affaires, tu te doutes bien que les amis dans le salon voisin veulent te voir dans toute ta jolie nudité.
Joli, ça me fait une belle jambe même si elles sont fines et élégantes.
Sur le lit où je pose mes affaires prenant mon temps, plusieurs vêtements d’hommes, mais aussi de femmes sont impeccablement rangés.
• Ta bouche était divine, ton cul l’est autant, je vais avoir plaisir à rentrer dedans.
Il reprend, ma laisse nous retournons dans le couloir.
• Regarde, ici ce sont les chiottes, va pisser le temps sera long avant la fin de la nuit.
J’entre me rendant compte qu’il a raison j’ai envie de pisser comme il dit avec cette pointe de vulgarité.
• Laisse la porte ouverte, j’adore vous regarder pisser, écarte bien tes jambes comme dans la voiture tout à l’heure.
Je sens qu’il cherche à m’humilier, mais la trahison de mon mari a entretenu ma culpabilité, je suis prête à me sacrifier…
• Oui, c’est celle de mon mari, mais pourquoi m’avez-vous attaché les mains.
• Cette signature, celle de votre mari, regardez à quelle date a été signée cette reconnaissance de dettes !
• Le 29 juillet 2019, à 23 heures.
• Exact et où était Paul, ce soir-là lorsqu’il nous a signé ce papier ?
• Je l’ignore, ça fait déjà trois mois, il s’absente fréquemment pour son travail.
• Sandrine, je vais vous rafraîchir la mémoire, quand avez-vous été chez vos parents avec votre fils ?
• Pour son anniversaire ?
• Il est né !
• Le 29 juillet 2012.
• Alors !
Le 29 juillet 2019, que vous a-t-il donné comme motif pour être absent, a l’anniversaire de votre fils ?
• Une histoire de fuite sur le toit de son chantier à Meknès au Maroc où il devait intervenir avant que tous part en vacances risquant en cas de pluie d’envenimer la situation.
• 50 000 € perdus ce jour-là.
Et celle-là, quelques semaines plus tôt, c’est bien sa signature, 124 300 € où étiez-vous ?
Inutile de chercher au début de notre partie de poker, Paul est un joueur compulsif, il nous a dit qu’il profitait de votre départ chez votre sœur.
Il profitait de ce que votre fils était chez vos parents pour les vacances de Pâques pour faire quelques tours de table.
Je passe les trois autres, qui sont plus anciennes au total, il y en a pour plus de 500 000 €.
• Mes parents et moi sommes dans l’incapacité de vous rembourser.
• Sandrine, nous allons bien trouver une solution, il y a plusieurs façons de régler les dettes de jeu de son mari.
Bien sûr, cette solution se fera dans la plus grande discrétion et pour vous et pour lui.
• Laquelle ?
• J’organise de petites soirées de jeux et de baises entre amis.
J’offre des femmes à certains de mes amis qui aiment se payer de jolies salopes ayant l’allure de femmes honorables !
• Vous voulez m’offrir à des inconnus !
• Tu as tout compris Sandrine, au point de notre discussion, tu permets que je te dise tu, quand tu auras mon sexe en bouche nous serons devenus très intimes.
• Il est hors de question que je fasse la pute pour vous dans vos soirées de dingues.
• Alors, il me reste une seule chose à faire !
• Quelle saloperie allez-vous trouver ?
• Faire connaître à la presse que le grand architecte connu dans le monde entier est addict aux jeux d’argent surtout le poker et qu’il signe des reconnaissances de dette en bois.
Comment s’appelle ton fils ?
À oui, Jules !
Que dira Jules quand il sera plus grand et que nous lui ferons savoir qui son père était réellement !
Une merde jouant gros et qui vous aura mis à la rue quand ce joli appartement sera saisi et vendu.
Nous nous sommes renseignés, au doigt mouillé, il vaut environ 300 000 €.
En le vendant, il en resterait encore un bon paquet pour nous payer, mais pour vous il vous restera le crédit, surtout qu’il est loin d’être fini d’être payé.
Paul m’avait dit qu’il l’avait payé comptant à la suite d’un immense chantier à New York.
Il m’avait même emmené une semaine dans l’un des plus beaux palaces de cette ville au pied de central parc.
• Où et quand ?
• Samedi, il va te dire qu’il doit aller sur un autre chantier à Dubaï, alors qu’il espère simplement se refaire.
Je t’ai amené un carton dans lequel tu trouveras une tenue un peu osée que tu porteras.
Pour ton fils, je pense que ta sœur pourra te rendre ce petit service jusqu’au matin.
Quand nous sautons des salopes nous aimons que ça dure, nous aimons prendre notre temps.
Bien sûr, pas un mot a ton salopard de mari.
Il peut le dire, même si ça paraît incroyable.
Encore la semaine dernière il me montrait les catalogues d’une grosse berline allemande qu’il pensait nous acheter.
Nous avions couché Jules qui comme a son habitude s'est endormi dans la minute suivante avant de nous retrouver sur le canapé.
Le choix fait, il m’a embrassé, a ouvert ma robe de chambre et m’a caressé.
À aucun moment quand son sexe est venu en moi, j’ai eu l’impression qu’il avait des soucis d’argent.
Nous avons fait l’amour, comme nous faisons fréquemment l’amour sans qu’à aucun moment j’aie l’impression qu’il avait des tracas alors que ce que m’impose mon homme, c’est du sexe que je considère comme sauvage.
Je reviens près de cet homme afin de l’écouter.
• Comme je te l’ai dit, les conséquences seraient terribles.
En ce moment, nous sommes conciliants, mais nous sommes prêts à couper les doigts de ton fils un à un sans anesthésie, si tu nous y pousse Sandrine.
Regarde, moi aussi j’en ai un que l’on m’a coupé.
J’avais trahi la confiance de l’homme qui m’emploi et qui tient les couilles de ton mec dans ses mains.
Samedi 21 heures en bas de chez toi, par-dessus cette tenue tu pourras mettre ton imper rouge que tu t’es achetée mardi matin.
C’est surprenant que nous sachions ça, mais depuis bien des jours nous t’observons.
Si dans l’ascenseur une voisine te croise, ton honorabilité sera préservée.
Il est dommage que ce soit toi qui doives payer pour les turpitudes de ton mari, mais c’est la loi des joueurs invétérés qui sont sans limite.
Avant que je te quitte, je vais voir si tu as compris à qui tu appartiens jusqu’à extinction des dettes de ton mari.
À genoux et suce ma bite, ta bouche doit être douce.
Je suis anéanti quand cet homme sort sa verge bien plus grosse que celle de Paul seule verge que j’ai connu depuis qu’il m’a faite femme.
Je la touche, c’est doux et ça entre juste dans ma bouche.
C’est la première fellation que je fais.
Paul dans nos ébats s’est bien gardé de me demander de telles choses, même comme je l’ai dit lorsque nous faisons l’amour, il est assez viril.
Je suis issue d'une famille assez rigoriste.
• Avale, c’est bien, samedi, nous allons passer un bon moment avec toi.
Du sperme dans ma bouche !
J’étais persuadée que jamais une telle quantité de liquide gluant toucherait mes amygdales.
Je dois dire que lorsque cet homme est parti, je vais dans la salle de bains enlever la dernière giclée qu’il m’a envoyée sur la figure.
• Bonsoir, mon cœur, pourras-tu préparer ma valise pour samedi matin, je prends un avion pour Dubaï, je dois contrôler des travaux et j’ai une grosse réunion de chantier lundi.
Ce sera le dernier vol pour que j’y sois à temps le matin.
Je serais de retour mardi en fin d’après-midi.
Je vais embrasser Jules avant qu’il dorme.
Mon dieu, j’ai failli lui parler de la visite de cet horrible homme à qui il manque un doigt, homme qui avait raison pour Dubaï.
Le samedi, il part, je conduis Jules chez Claudine ma sœur et anxieusement j’attends l’heure fatidique pour commencer mon chemin de croix.
Je suis en tenue pour aller faire la pute afin d’effacer les dettes de Paul, mon mari.
Sans mon fils, mon mari, je l’aurais jeté et je serais retourné chez mes parents.
Mais quand je l’emmène chez ma sœur et que je le vois assis derrière moi dans notre voiture, j’imagine ces doigts qu’il risquerait de perdre si je flanchais.
Je suis à l’heure lorsque je sors de l’ascenseur, mon tortionnaire est là.
Comment ai-je pu lui sucer la verge, il est quelconque, très mauvais genre.
Il me conduit à une grosse voiture noire aux vitres teintée.
Il me met une cagoule sur les yeux et me fait entrer à l’arrière.
• Garde ta cagoule jusqu’à ce que je te dise que tu peux l’enlever.
Nous roulons.
Je sens que je suis palpé, on me fait ouvrir mes jambes et des doigts viennent arracher ma culotte.
Roulé vers une destination inconnue dans le noir sentant que je suis offerte me fait un drôle d’effet.
Je serais enclin à les envoyer promener, mais dans la situation où Paul m’a mise, j’ai envie de lui faire payer chèrement.
Mon cul va payer sa dette, mais pourquoi rester insensible à ces doigts me fouillant la chatte.
• Viens que je te mette ta laisse.
Une chienne, dans le noir, cet homme me transforme en chienne m’attachant un collier autour de mon cou.
En temps normal, c’est une rivière de diamants ou mon collier en perles naturelles que Paul m’attache chaque fois qu’il m’emmène dans des soirées moins glauques que celle que je vais vivre dans quelques minutes.
Je marche un certain temps et l’on m’ôte la cagoule.
Je me sens attachée par cette laisse de cuir à ce collier que j’ai senti que l’on a attaché autour de mon cou.
Je me retrouve dans un vestibule, certainement d’un appartement.
Chez moi, nous avons meublé moderne tout dans les tons de blanc.
Tient une chose me revient en mémoire, Paul voulait que nous changions tous le mobilier, car depuis la naissance de Jules, entretenir du blanc devenait difficile.
• Suis-moi, nous allons poser nos affaires, tu te doutes bien que les amis dans le salon voisin veulent te voir dans toute ta jolie nudité.
Joli, ça me fait une belle jambe même si elles sont fines et élégantes.
Sur le lit où je pose mes affaires prenant mon temps, plusieurs vêtements d’hommes, mais aussi de femmes sont impeccablement rangés.
• Ta bouche était divine, ton cul l’est autant, je vais avoir plaisir à rentrer dedans.
Il reprend, ma laisse nous retournons dans le couloir.
• Regarde, ici ce sont les chiottes, va pisser le temps sera long avant la fin de la nuit.
J’entre me rendant compte qu’il a raison j’ai envie de pisser comme il dit avec cette pointe de vulgarité.
• Laisse la porte ouverte, j’adore vous regarder pisser, écarte bien tes jambes comme dans la voiture tout à l’heure.
Je sens qu’il cherche à m’humilier, mais la trahison de mon mari a entretenu ma culpabilité, je suis prête à me sacrifier…
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