COLLECTION SOUMISSION. Dettes de jeu (2/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 2397 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
  • • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 995 586 visites.
Récit libertin : COLLECTION SOUMISSION. Dettes de jeu (2/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 8 728 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
COLLECTION SOUMISSION. Dettes de jeu (2/4)
• Reconnaissez-vous cette signature ?

C'est par cette phrase que cet homme, la barbe mal taillée, vient m’apprendre que Paul mon mari est un joueur de poker compulsif.
J’ai un fils avec lui, Jules et à ce jour, j’ignorais que mon homme avait fait des dettes me faisant tomber dans un puits sans fond.
C’est dans un appartement, vieille France, que je suis conduite.
C’est dans une chambre que j’enlève mes affaires me faisant ressembler à une pute.
Pourquoi me faire passer de tels vêtements pour me les faire ôter dès que j’arrive ?
M’humilier pour nous faire payer ce que Paul leur a fait en accumulant ses dettes.
M’humilier quand cet homme dont j’ignore le nom me regarde uriner et m’essuyer le vagin la porte de toilettes restée ouverte.
Vagin, car j’ai du mal à dire des mots comme « ma chatte ».
Mon éducation m’a préparé à être une épouse dévouée et fidèle acceptant le sexe de son mari sans se poser la moindre question chaque fois qu’il le désir.
Mais une fois que je me suis essuyée et redressée, je vais savoir, je vais arriver à jeter au panier toute cette éducation et faire avec ces couples ce que j’aurais trouvé inimaginable si j’avais lu ces scènes dans des livres.
« La bourgeoise va devenir une salope. »Je devrais dire une pute, car je vais indirectement me faire payer pour les partis de sexes que je vais faire derrière la porte que l’homme ouvre ayant fini de se rincer l’œil et ayant repris ma laisse.

• Messieurs dames, voici celle qui cette nuit va égailler vos jeux.
Après ce que nous doit son mari, vous pouvez vous servir d’elle sans limite.

Mon dieu que va-t-on me faire subir.
Sans être peureuse, je suis un peu sensible au mal.
À aucun moment dans nos ébats avec Paul, il aime me faire mal, jamais de domination non consentie ou de contrainte imposée, même si comme je l’ai dit, nous aimons le sexe viril.
Le salon où nous sommes entré est comme la chambre, canapé, chaise d’époque et surtout une glace.
Dans des films, que j’adore regarder lascivement couchés sur mon canapé, derrière ce genre de glace, se cache celui qui deviendra le personnage principal de l’histoire.
Il faut que j’arrête de fantasmer.
C’est simplement une glace d’époque, car tous ces meubles sentent le fric, chez mes parents nous avions les mêmes.
Cinq hommes et deux femmes, tous recouverts de masques comme j’en ai ramené de Venise, pour que je sois dans l’incapacité de les reconnaître, sont là.
Une table avec un buffet devant lequel deux hommes trinquent, une coupe de champagne en main me regardant.

• Viens salope, fais-nous voir ce que tu sais faire.
• Voici sa laisse, faite d’elle ce qu’il vous plaira.
Je l’ai testé chez son salaud de mari, elle est novice, mais a rapidement appris à savoir faire de bonnes fellations.

Je change de propriétaire pour un moment.
Je me place entre ces deux hommes, bites moyennes tous les deux.
Voilà que je compare déjà celles que j’ai en mains et que je fais passer dans ma bouche avec le peu que j’en connais.

• Vincent, elle suce mieux que moi cette salope.
• Loulou, souviens-toi, aucun nom, demain si elle va à la police elle aura des indications à leur donner !
• Laisse Sergio, cette salope a un fils et elle tient à ses jolis petits doigts.
Quand nous l’aurons bien baisé elle en redemandera.
Chaque bourge qui est passée dans nos pattes finissait par en redemander.
Je suis sûr qu’avec l’architecte elle baise pépère.
Grâce à elle on récupère une partie des dettes de son mari et à terme c’est ce fumier qui récupèrera une salope dans son lit.

Entendre de tel mot alors que les deux verges ont pris du volume et que je les pompe du mieux que je peux devrait me mettre mal à l’aise.
Mais je découvre, le monde de la luxure avec je l’espère bien du plaisir personnellement.
Quitte à payer les dettes de mon mari, autant en retirer un minimum de plaisir.

• Les sexes féminins, as-tu déjà essayé, tu vas voir tu vas aimer !

Sachant que je viendrais pour être offerte à des hommes autres que celui que j’ai épousé.
Après la fellation faite à celui que j’ai décidé d’appeler, l’homme au grain de beauté sur sa verge, ignorant son nom, je m’attendais à bien des choses.
Mais loin de moi l’idée de lécher un sexe de femmes même canon comme cette blonde qui profite de ma situation pour me mettre sa chatte sous les yeux et surtout sous la langue.
J’ai pu penser chatte surtout alors que masturbant avec plus d’assurance ces deux hommes, avec ma langue j’arrive à écarter ses lèvres intimes bien rondes et atteindre sa petite excroissance qui se met à vibrer.
Je dois être efficace, car elle plie sur ses genoux me tenant la tête fermement pour que j’aille plus loin en elle.
J’ai bu du sperme avec l’homme et c’est de la cyprine que je bois, car la jeune femme expulse des jets dans ma bouche.
Je les avale avec délice.

• C’est bien, salope, tu lèches bien, t’as bien préparé mon copain, nous allons te baiser.
• Aller y, moi aussi je suis prêt, viens.

J’ai une laisse, pourquoi me prend-il par les cheveux pour qu’à quatre pattes évitant l’arrachement il me traine jusqu’au canapé libre à cet instant.
Je me retrouve à quatre pattes, la figure reposant sur la glace froide.
C’est Sergio qui va profiter de moi le premier.
Il va droit au but et pour la première fois une autre bite que celle de mon saligaud m’ayant amené là, entre en moi.
La chose bizarre que je ressens est certainement due à la position, le garçon est entré en moi par-derrière !
Je sens ses couilles battre mes fesses alors qu’en temps normal c’est le bas de ma fente qu’elles touchent lorsque Paul me fait l’amour.
La nouveauté me plait même avec le froid sur ma joue.
Une fraction de seconde, il me semble que quelque chose a bougé derrière la vitre, mais la queue qui me laboure et les mains de Sergio ayant pris mes seins les malaxant sans la moindre retenue interrompent cette impression.
Leur sensibilité semble décuplée, j’ignorais ça, Paul semble ignorer qu’ils existent et à ce jour, ça me paraissait normal.

Ça baise partout dans cette pièce, il faut dire que nous les femmes étant minoritaires, nous avons plus de travail que les hommes.
Je tourne ma tête ayant une nouvelle fois l’impression d’être épié derrière cette glace pour voir Loulou se faire prendre par un autre homme que celui que je suçais et avec qui elle est partie baiser.
Lui dont j’ai perdu le nom est en train d’entreprendre l’autre femme avec l’homme m’ayant conduit ici et un troisième l’enfilant à même le sol sur un tapis persan semblant d’origine.
Baisé sur ce tapis, c’est avec Loulou que je le fais, je lui lèche la chatte, elle me lèche la mienne.
Elle m’a attiré sur elle après un baiser dévastateur pour moi.
Sergio m’a fait jouir la figure sur la vitre, mais cette relation lesbienne nouvelle pour moi décuple la salope qui devait sommeiller en moi.
Je suis entrée dans cette pièce soumise à mon homme qui lui semble avoir eu moins de scrupule quand il jouait tous nos biens.
Je vais en ressortir plus forte, pleine de nouvelles expériences.
Par manque de comparatif, j’étais une petite femme bien sage soumise à l’homme à qui elle avait dit oui.
Juré craché dès son retour je déballe tout et le mets devant le fait accompli.
Quand une autre bite entre en moi dans la position où je me trouve, j’en savoure tous les plaisirs qu’elle m’apporte.

Au matin comme il me l’avait dit, l’homme me ramène chez moi.
J’ignore le lieu ou j’ai été avec les deux fois une cagoule sur ma figure.
Surtout au retour, car je me suis endormi repu de sexe, de luxure et de fatigue.
J’ai un peu de remords de tout ce que j’ai accepté en une nuit.
Je suis passée de femme au foyer à salope, salope à pute, puis raclure et pour finit gouine, situation que j’ai appréciée.
Serais-je pour autant capable de faire ça hors du cadre de cette nuit et de sa contrainte ?
Je me vois mal dire à une femme rencontrée par hasard, ton cul et tes seins m’intéressent.
Je passe presque deux heures dans ma baignoire dans de la mousse et massant tout à la fois.
Paul l’a fait installer il y a peu, vu le prix, certainement avant de se faire entraîner dans une salle de jeu obscur et glauque.
Je tiens mes jambes repliées le long de moi quand la vitre ou j’ai eu l’impression de voir des gens bouger me reviens à l’esprit.
Qui peut vouloir se cacher si ce que je semble avoir vu est réalité ?
Je suis persuadé que c’était moi qui étais le clou de la soirée puisque la tête des participants à cette orgie, de sexe et de bouffe m'était cachée.
Bouffe car le buffet et les bouteilles de champagne était de grande qualité.

Il est 15 heures quand ayant retrouvé ma condition de bourgeoise, je me gare devant chez ma sœur pour récupérer mon fils.
Au moment de monter au 20e étage, une magnifique rousse arrive des sous-sols où sont les parkings des propriétaires.
Je suis non loin d’elle, son odeur forte de la couleur de ses cheveux me fait penser que sa couleur est naturelle.
Elle s’arrête au 19e.

• Vous êtes la maman de Jules, il était chez moi hier au soir.
Il aime sa maman, je sais tout de toi.
J’aimerais que tu viennes boire un verre chez moi un de ces jours.

J’aime que d’un coup, elle me tutoie, mais la porte automatique se referme avant que j’aie le temps de lui répondre.
Cette invitation avant la nuit que je viens de passer, je l’aurais entendu comme d’une invitation ayant pris mon fils en amitié.
Mais aujourd’hui c’est d’une belle salope rousse, qu’elle doit être, que je reçois cette invitation.
La fraction de seconde où elle a passé sa langue sur ses lèvres me semble une invitation...

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : COLLECTION SOUMISSION. Dettes de jeu (2/4)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par CHRIS71

COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. La jeune fille morte dans les vignes (1/12) - Récit érotique publié le 25-11-2024
COLLECTION HISTOIRE COURTE. Chérubin (1/1) - Récit érotique publié le 23-11-2024
COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (169) - Récit érotique publié le 22-11-2024
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (15/15) - Récit érotique publié le 21-11-2024
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (14/15) - Récit érotique publié le 19-11-2024
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (13/15) - Récit érotique publié le 17-11-2024
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (12/15) - Récit érotique publié le 16-11-2024
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (11/15) - Récit érotique publié le 14-11-2024
COLLECTION SALOPES. Deux vieilles salopes (1/1) - Récit érotique publié le 12-11-2024
COLLECTION ADULTÈRE. Ma baby-sitter m’oblige à devenir une salope (2/2) - Récit érotique publié le 10-11-2024