COLLECTION SOUMISSION. Dettes de jeu (3/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION SOUMISSION. Dettes de jeu (3/4)
• Reconnaissez-vous cette signature ?
Je pourrais dire, cette queue, cette chatte, cette belle rousse après la nuit et la présence de cette femme dégageant des parfums enivrants émanant de tout son corps.
C’est dans l’immeuble près de la mairie de Créteil que je la croise quand elle arrive des sous-sols et où je viens d’entrer mettant garer au parking visiteur.
Après la nuit que je viens de passer espérant avoir fait diminuer la dette de Paul architecte de renom dans le monde entier je semble avoir acquis un sixième sens pour flairer les salopes.
Quand on est devenu salope soit même il doit être plus facile de les percevoir.
Que dire, ma sœur est heureuse de me voir et semble me recevoir comme les autres fois ?
L’intérieur de moi a changé, mais l’image que je renvoie, semble toujours la même.
• Maman.
Jules me saute dans les bras pour mon plus grand plaisir.
Lui aussi semble retrouver la même femme que je suis pour lui alors que je sais que je suis devenue une autre et qui dès que l’homme aura besoin de moi pour ses orgies, je répondrais présente.
Le mardi Paul revient, pour lui non plus rien de changer en moi.
Pire quand il me fait l’amour dès que Jules s’est endormi je retrouve la position du missionnaire à une nuance près qu’il semble trouver naturelle.
Je lui enserre les fesses avec mes jambes.
Je jouis, car il est très performant me laissant une impression de malêtre.
Un homme ayant été privé de sa femme devrait avoir envie de se vider les couilles plus rapidement.
Nul doute qu’une autre femme pendant sa soi-disant absence lui a sucé le sexe jusqu’à éjaculation.
Loulou aurait-elle pu être celle-là quand j’ai été ramené et qu’il est sorti de la glace qui l’isolait de moi.
Mais je fantasme, cette glace où je collais ma joue semble obsessionnelle pour moi.
Mercredi calme plat, Jules accapare tout mon temps.
Jeudi, il est à l’école et comme il mange à la cantine, j’ai du temps pour moi.
Je tourne en rond réussissant à attendre l’heure de son retour gage que pour ce jour, la rouquine restera une simple odeur poivrée pour moi.
Vendredi, l’homme reste muet et Paul semble vouloir passer un week-end en famille.
Il nous promet dimanche de nous emmener au restaurant.
Quel sang-froid, à aucun moment il me montre qu’il a des soucis d’argent, peut être aggravé dans la partie que l’homme m’ait dit lui avoir proposée et où à ses dires il espérait se refaire.
Vendredi, je vais dans une boutique de la rue piétonne de Créteil.
Je passe devant celle de Jeanine, ma couturière habituelle et j’entre dans une autre qui propose des tenues plus sexy sans être trop provocatrice.
Du côté tenue de garce, j’ai ce qu’il faut dans le carton dans le bas de mon armoire là où j’ai rangé les affaires mises pour aller à mes premières turpitudes imposées suite au comportement de mon mari envers le jeu.
Rez-de-chaussée, personne, même si je sais que ma sœur est à l’hôpital de Créteil, elle est chirurgienne, célibataire au grand dam de mes parents espérant la casser.
Pour eux je suis celle qui a réussi, même si je suis femme au foyer, je leur ai donné un petit-fils qui est la prunelle de mes yeux, mais surtout des leurs.
Vingtième, non, mon doigt a appuyé sur dix-neuf, je veux me persuader que c’est une erreur, mais les portes s’ouvrant, je pourrais réappuyer et monter à l’étage supérieur.
Lorsque je passe devant la porte de l’escalier de secours, je pourrais en faire de même, mais je continue les quelques mètres me séparant d’une porte ou sous la sonnette est marquée Yollande X.
Suis-je bête, Yollande X, j’ignore tout d’elle sauf sa langue sur ses lèvres et si je sonne et qu’une vieille dame vient ouvrir devrais-je lui dire que je suis l’employé du gaz venu relever le compteur ?
Je fais demi-tour lorsque la porte s’ouvre, Yollande est bien Yollande, pyjama en soie et déshabillé en même matière.
Elle a un sac-poubelle en main.
• Sandrine, je vois que tu allais repartir, il est vrai que nous nous sommes vu très peu de temps, mais j’ai senti un fluide passé par nos yeux et j’espérais bien te revoir.
De sa main libre, elle me fait entrer et en une fraction de seconde comme dans un rêve elle claque sa porte du pied et me colle le long pour me prendre ma bouche.
Mon expérience avec mon suborneur m’aura appris une chose, j’aime ces situations insolites.
En suis-je arrivée là alors qu’au fond de moi, je sentais que les choses devaient bouger dans ma vie ?
Même pas, j’étais bien, je me satisfaisais de la chance que j’avais d’avoir épousé un homme d’exception ayant gagnée de nombreux concours d’architecture à travers le monde.
Je me satisfaisais de son sexe sachant me combler et m’ayant apporté Jules.
Sa bouche sens la lavande, sa chatte coule lorsque je passe ma main dans le pantalon de son pyjama.
Je sens que ça coule le long de mes jambes, la salope, qu’elle salope je suis, je mouille sans qu’elle ait besoin de me toucher.
Il faut dire qu’une de ses mains a empaumé mon sein et l’autre tient toujours son sac à ordure.
Comment nous nous retrouvons sur son lit, sans que nous nous soyons séparés, je l’ignore, mais nous y sommes et ma langue plonge dans sa touffe rousse odorante à souhait ?
J’écarte sa chatte, quel joli mot, chatte et dire qu’au début le prononcer étais impensable pour moi.
Je l’écarte donc, je coule, elle coule, elle boit, je bois.
Son clito s’exacerbe, le mien aussi.
Nous roulons sur le lit sans bien nous rendre compte de ce qui arrive.
Elle jouit, je jouis nos corps s’embrasant jusqu’à nous retrouver dans les bras l’une de l’autre.
• Sandrine, as-tu vu le massacre ?
Yollande à raison, dans notre délire amoureux, nous avons oublié le sac-poubelle, des pelures de banane, de pommes, de mouchoirs en papier et par chance sans tampons même dans leurs saces.
Le sac de poubelle nous ayant suivis jusqu’au lit, c’est ouvert dans nos débats.
Bonne douche, un baiser nous décidons de nous retrouver ayant échangé nos numéros de portable.
Dans le verre qu’elle m’offre une fois tout remis en ordre, elle m’apprend qu’elle est propriétaire d’une galerie d’art dans Paris, elle est une dénicheuse de jeune talant.
• Madame, c’est pour un colis.
C’est ainsi que j’apprends qu’une soirée est organisée la semaine suivante.
Paul est parti pour Toronto, depuis hier et doit rentrer dans plus de huit jours une nouvelle fois après le week-end.
Combien de fois vais-je recevoir ce genre de boîte avec des ténues suggestives et une lettre avec des instructions.
« Samedi même heure. »
Quoi dire de plus, il a raison de ce qu’il va se passer, je sais tout jusqu’au moindre détail, même sur la cagoule, que l’on me met sur la tête.
Même conséquence sauf que le chemin me paraît un peu plus long que la première fois.
On a dû me conduire autre part, dans quel bouge vais-je me retrouver ?
La première fois nous semblions être dans le beau monde et dans un appartement de bon goût.
Ce soir, est-ce que je vais être offerte à des hommes de chantier aux mains calleuses, Est-ce un fantasme venu à mon cerveau depuis que, je passe devant un chantier de rénovation près de chez moi.
Il est vrai que je fais plus attention aux hommages que me lancent ces hommes venus du Maghreb allant même jusqu’à me siffler.
Avec Yollande, j’ai goûté aux odeurs sexuelles de rousse, depuis ma transforation en salope, mon être dégage-t-il des effluves qui atteignent les hommes comme de véritables aimants ?
Je sens que l’on m’enlève ma cagoule, ce que je découvre me statufie, je suis dans une pièce sans lumière, mais une source me permet de découvrir où je suis.
Une grande fenêtre éclairée, dans la pièce de l’autre côté, des hommes et des femmes en tenue de soirée boivent en discutant.
Rapidement je me rends compte que je suis de l’autre côté d’un miroir.
J’avais bien vu lorsque je me faisais baiser la joue sur la glace, elle est bien sans teint, je suis dans la pièce de l’autre côté.
Je sens que l’on me prend un bras par ma taille, l’autre par mes seins.
• Sandrine, tu découvres ce soir mon véritable univers.
C’est à ce moment que mes yeux se portent sur deux femmes dans un coin parlant avec Loulou l’homme qui s’était fait rabrouer par sa femme la première fois où je suis venu ici.
C’est impossible, ma sœur Claudine et Yollande sont là, mais j’ai conduit Jules chez elle avant de venir me changer pour rembourser la dette de Paul, mon mari.
• Soi sans crainte ma chérie, ton fils est chez mes parents, nous l’avons conduit avant de venir ici.
• Paul, dit moi ce que tout cela veut dire !
• Je vais tout t’expliquer !...
Je pourrais dire, cette queue, cette chatte, cette belle rousse après la nuit et la présence de cette femme dégageant des parfums enivrants émanant de tout son corps.
C’est dans l’immeuble près de la mairie de Créteil que je la croise quand elle arrive des sous-sols et où je viens d’entrer mettant garer au parking visiteur.
Après la nuit que je viens de passer espérant avoir fait diminuer la dette de Paul architecte de renom dans le monde entier je semble avoir acquis un sixième sens pour flairer les salopes.
Quand on est devenu salope soit même il doit être plus facile de les percevoir.
Que dire, ma sœur est heureuse de me voir et semble me recevoir comme les autres fois ?
L’intérieur de moi a changé, mais l’image que je renvoie, semble toujours la même.
• Maman.
Jules me saute dans les bras pour mon plus grand plaisir.
Lui aussi semble retrouver la même femme que je suis pour lui alors que je sais que je suis devenue une autre et qui dès que l’homme aura besoin de moi pour ses orgies, je répondrais présente.
Le mardi Paul revient, pour lui non plus rien de changer en moi.
Pire quand il me fait l’amour dès que Jules s’est endormi je retrouve la position du missionnaire à une nuance près qu’il semble trouver naturelle.
Je lui enserre les fesses avec mes jambes.
Je jouis, car il est très performant me laissant une impression de malêtre.
Un homme ayant été privé de sa femme devrait avoir envie de se vider les couilles plus rapidement.
Nul doute qu’une autre femme pendant sa soi-disant absence lui a sucé le sexe jusqu’à éjaculation.
Loulou aurait-elle pu être celle-là quand j’ai été ramené et qu’il est sorti de la glace qui l’isolait de moi.
Mais je fantasme, cette glace où je collais ma joue semble obsessionnelle pour moi.
Mercredi calme plat, Jules accapare tout mon temps.
Jeudi, il est à l’école et comme il mange à la cantine, j’ai du temps pour moi.
Je tourne en rond réussissant à attendre l’heure de son retour gage que pour ce jour, la rouquine restera une simple odeur poivrée pour moi.
Vendredi, l’homme reste muet et Paul semble vouloir passer un week-end en famille.
Il nous promet dimanche de nous emmener au restaurant.
Quel sang-froid, à aucun moment il me montre qu’il a des soucis d’argent, peut être aggravé dans la partie que l’homme m’ait dit lui avoir proposée et où à ses dires il espérait se refaire.
Vendredi, je vais dans une boutique de la rue piétonne de Créteil.
Je passe devant celle de Jeanine, ma couturière habituelle et j’entre dans une autre qui propose des tenues plus sexy sans être trop provocatrice.
Du côté tenue de garce, j’ai ce qu’il faut dans le carton dans le bas de mon armoire là où j’ai rangé les affaires mises pour aller à mes premières turpitudes imposées suite au comportement de mon mari envers le jeu.
Rez-de-chaussée, personne, même si je sais que ma sœur est à l’hôpital de Créteil, elle est chirurgienne, célibataire au grand dam de mes parents espérant la casser.
Pour eux je suis celle qui a réussi, même si je suis femme au foyer, je leur ai donné un petit-fils qui est la prunelle de mes yeux, mais surtout des leurs.
Vingtième, non, mon doigt a appuyé sur dix-neuf, je veux me persuader que c’est une erreur, mais les portes s’ouvrant, je pourrais réappuyer et monter à l’étage supérieur.
Lorsque je passe devant la porte de l’escalier de secours, je pourrais en faire de même, mais je continue les quelques mètres me séparant d’une porte ou sous la sonnette est marquée Yollande X.
Suis-je bête, Yollande X, j’ignore tout d’elle sauf sa langue sur ses lèvres et si je sonne et qu’une vieille dame vient ouvrir devrais-je lui dire que je suis l’employé du gaz venu relever le compteur ?
Je fais demi-tour lorsque la porte s’ouvre, Yollande est bien Yollande, pyjama en soie et déshabillé en même matière.
Elle a un sac-poubelle en main.
• Sandrine, je vois que tu allais repartir, il est vrai que nous nous sommes vu très peu de temps, mais j’ai senti un fluide passé par nos yeux et j’espérais bien te revoir.
De sa main libre, elle me fait entrer et en une fraction de seconde comme dans un rêve elle claque sa porte du pied et me colle le long pour me prendre ma bouche.
Mon expérience avec mon suborneur m’aura appris une chose, j’aime ces situations insolites.
En suis-je arrivée là alors qu’au fond de moi, je sentais que les choses devaient bouger dans ma vie ?
Même pas, j’étais bien, je me satisfaisais de la chance que j’avais d’avoir épousé un homme d’exception ayant gagnée de nombreux concours d’architecture à travers le monde.
Je me satisfaisais de son sexe sachant me combler et m’ayant apporté Jules.
Sa bouche sens la lavande, sa chatte coule lorsque je passe ma main dans le pantalon de son pyjama.
Je sens que ça coule le long de mes jambes, la salope, qu’elle salope je suis, je mouille sans qu’elle ait besoin de me toucher.
Il faut dire qu’une de ses mains a empaumé mon sein et l’autre tient toujours son sac à ordure.
Comment nous nous retrouvons sur son lit, sans que nous nous soyons séparés, je l’ignore, mais nous y sommes et ma langue plonge dans sa touffe rousse odorante à souhait ?
J’écarte sa chatte, quel joli mot, chatte et dire qu’au début le prononcer étais impensable pour moi.
Je l’écarte donc, je coule, elle coule, elle boit, je bois.
Son clito s’exacerbe, le mien aussi.
Nous roulons sur le lit sans bien nous rendre compte de ce qui arrive.
Elle jouit, je jouis nos corps s’embrasant jusqu’à nous retrouver dans les bras l’une de l’autre.
• Sandrine, as-tu vu le massacre ?
Yollande à raison, dans notre délire amoureux, nous avons oublié le sac-poubelle, des pelures de banane, de pommes, de mouchoirs en papier et par chance sans tampons même dans leurs saces.
Le sac de poubelle nous ayant suivis jusqu’au lit, c’est ouvert dans nos débats.
Bonne douche, un baiser nous décidons de nous retrouver ayant échangé nos numéros de portable.
Dans le verre qu’elle m’offre une fois tout remis en ordre, elle m’apprend qu’elle est propriétaire d’une galerie d’art dans Paris, elle est une dénicheuse de jeune talant.
• Madame, c’est pour un colis.
C’est ainsi que j’apprends qu’une soirée est organisée la semaine suivante.
Paul est parti pour Toronto, depuis hier et doit rentrer dans plus de huit jours une nouvelle fois après le week-end.
Combien de fois vais-je recevoir ce genre de boîte avec des ténues suggestives et une lettre avec des instructions.
« Samedi même heure. »
Quoi dire de plus, il a raison de ce qu’il va se passer, je sais tout jusqu’au moindre détail, même sur la cagoule, que l’on me met sur la tête.
Même conséquence sauf que le chemin me paraît un peu plus long que la première fois.
On a dû me conduire autre part, dans quel bouge vais-je me retrouver ?
La première fois nous semblions être dans le beau monde et dans un appartement de bon goût.
Ce soir, est-ce que je vais être offerte à des hommes de chantier aux mains calleuses, Est-ce un fantasme venu à mon cerveau depuis que, je passe devant un chantier de rénovation près de chez moi.
Il est vrai que je fais plus attention aux hommages que me lancent ces hommes venus du Maghreb allant même jusqu’à me siffler.
Avec Yollande, j’ai goûté aux odeurs sexuelles de rousse, depuis ma transforation en salope, mon être dégage-t-il des effluves qui atteignent les hommes comme de véritables aimants ?
Je sens que l’on m’enlève ma cagoule, ce que je découvre me statufie, je suis dans une pièce sans lumière, mais une source me permet de découvrir où je suis.
Une grande fenêtre éclairée, dans la pièce de l’autre côté, des hommes et des femmes en tenue de soirée boivent en discutant.
Rapidement je me rends compte que je suis de l’autre côté d’un miroir.
J’avais bien vu lorsque je me faisais baiser la joue sur la glace, elle est bien sans teint, je suis dans la pièce de l’autre côté.
Je sens que l’on me prend un bras par ma taille, l’autre par mes seins.
• Sandrine, tu découvres ce soir mon véritable univers.
C’est à ce moment que mes yeux se portent sur deux femmes dans un coin parlant avec Loulou l’homme qui s’était fait rabrouer par sa femme la première fois où je suis venu ici.
C’est impossible, ma sœur Claudine et Yollande sont là, mais j’ai conduit Jules chez elle avant de venir me changer pour rembourser la dette de Paul, mon mari.
• Soi sans crainte ma chérie, ton fils est chez mes parents, nous l’avons conduit avant de venir ici.
• Paul, dit moi ce que tout cela veut dire !
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