COLLECTION SOUMISSION. Dettes de jeu (4/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION SOUMISSION. Dettes de jeu (4/4)
• Reconnaissez-vous cette signature ?
Ce fut le début de ce que je pensais être ma déchéance et l’idée de sauver mon mari de ses déviances, non sexuelles, mais de jeux d’argent.
• Tu peux être sans crainte ma chérie, ton fils est chez mes parents, nous l’avons conduit avant de venir ici.
• Paul, dit moi ce que tout cela veut dire !
• Je vais tout t’expliquer !
C’est ce que dit mon mari se tenant derrière moi dans cette pièce dans le noir.
Mais avec vue sur la pièce principale de cet appartement que j’ai déjà eu l’occasion de visiter lors de ma première venue pour honorer ses dettes de jeu.
• Pour commencer soit tranquille, nos biens sont suffisants pour que nous vivions dans le luxe jusqu’à la fin de notre vie.
Je suis allergique à toute forme de jeux de hasard, sauf à ceux de l’amour, avant de te rencontrer, j’étais un libertin.
Ta sœur et sa copine Yollande faisaient partie de notre groupe, je t’ai caché que nous avons eu des rapports entre nous, mais juste dans un cadre de libertinage.
Un jour, tu dinais avec Claudine au restaurant et je t’ai vu, j’ai eu un coup de foudre.
Je me souviens de ce moment où nous dinions avec ma sœur, un homme était passé, avait dit deux mots à Claudine.
Comme le sujet que j’évoquais avec elle me passionnait, justement nous parlions de la première fois entre les hommes et les femmes, étant pucelle et non elle, je l’avais ignorée.
• Je l’ai appelé dès le lendemain, il m’a été facile que nous nous rencontrions et que par chance tu tombes amoureuse de moi comme moi je le suis de toi.
Je t’ai épousé et je t’ai juré fidélité, laissant tomber le libertinage.
J’ai tenu ma parole, mais de plus en plus les soirées que je faisais avec mes amis m’ont manqué.
C’est à cette époque, que je suis devenu voyeur en faisant faire des travaux condamnant cette pièce, mais me permettant de continuer à inviter mon groupe de libertin.
Cet appartement nous appartient, mais j’avais l’impression de te trahir tout de même, il fallait que tu nous rejoignes.
Sergio, c’est mon copain d’enfance, c’est ta sœur et lui qui ont eu l’idée de la dette de jeu.
• Et son doigt coupé ?
• Avec une tondeuse dans notre jeunesse.
• Salopard, il m’a dit vouloir s’en prendre à notre fils, pour moi c’est impardonnable !
Je te haïs et je te haïrai jusqu’à mon dernier souffle, soit en certains.
• Chérie calme toi, que devrais-je dire de ta visite à Yollande et ce que tu as fait avec elle ?
Paul marque un point, j’ai aimé la soirée et le moment jusqu’au sac d’ordure nous faisant pisser de rire dans l’état où nous avions laissé le lit.
• Ça faisait partie du plan, la première fois où tu es venue te sentant dans l’obligation de rembourser notre dette, nous étions derrière cette vitre sans teint.
Nous avons bien rigolé quand tu t’es retrouvé la joue contre la vitre.
• Ma sœur aussi ?
Et Jules, vous l’aviez fourgué à ses grands-parents !
• Non, j’avais engagé une très bonne baby-sitter, ce qui est sûr c’est que lorsque tu te faisais besogner, même si c’était sous la contrainte, tu semblais apprécié.
Quant à Yollande, j’ai été prévenu de ton départ pour aller chez ta sœur récupérer notre fils.
Il a été facile à notre amie de prendre l’ascenseur avec toi.
La façon dont tu as donné du plaisir à Simone à montrer que tu aimais les rapports féminins.
• Qui est Simone ?
• Tu vois la jolie blonde avec laquelle tu t’es gouinée au premier remboursement de ma dette c’est elle, depuis je l’ai revu et elle m’a fait des éloges de ta façon dont tu lui as léché la chatte.
Ce qui a été imprévu lorsque tu es venue chez Yollande, c’est le coup du sac d’ordure, j’ai vu des photos, qu’elle a prises après ton départ, vous y êtes allé de bon cœur.
Mais si je t’ai fait venir jusqu’à cette pièce, c’est pour que tu fasses partie de mon monde et du leur !
Je te sens prête à faire partie de nos jeux dès ce soir ce qui me permettrait de sortir de cette cachette qui commence à me peser.
À l’amour, même l’amour pernicieux, plein de déviance de ce que mes parents m’ont appris et que ma sœur Claudine semble avoir reléger au plus profond de l’oubli.
• Paul, je veux bien te pardonner, même si j’ai du mal à admettre que tu baises avec ma sœur, mais je vais m’y habituer, allons les rejoindre !
Mon mari ouvre une porte donnant sur un couloir.
La pièce où nous étions devait être un boudoir qu’il a fait condamner afin de jouer les voyeurs.
Il ouvre la porte contiguë et en homme galant qu’il a toujours été me laisse passer devant lui.
Un tonnerre d’applaudissements se fait entendre, je suis la vedette de tous ces libertins, mais, en suis-je déjà une déjà sans le savoir ?
Trois hommes viennent vers moi la queue en main, Loulou ou plus précisément Vincent rencontré lors de ma première, mari de Simone, Sergio le fumier au doigt coupé et un inconnu.
J’ai dit à Paul que Sergio, je le haïssais d’avoir mêlé Jules à tout ceci pour faire de moi une libertine.
Mais des trois c’est vraiment la plus belle alors puisque c’est ce que mon mari veut, pourquoi rechigner à la tache sur ce joli morceau.
Trois sucé à tour de rôle, chacune leur tour, trois bites bandant à mort.
Dans la position de la grenouille où je suis, je me sens offerte, mais je suis loin d’être la seule.
Claudine d’un côté, Yollande de l’autre, partition à quatre lèvres sur ma verge que je croyais personnelle !
Certains diront qu’avec mes trois, je suis largement gagnante, mais les lèvres des deux filles s’échappent pour se retrouver.
Je suis devenue gouine depuis peu, ma sœur semble l’être depuis plus longtemps.
J’ai toujours mon collier, Sergio se croyant tout permis l’empoigne, ma laisse étant restée dans la salle sombre.
C’est sur un canapé qu’il se laisse tomber m’entrainant à m’empaler.
Je pense que je vais en rester là, mais je sens quelqu’un dans mon dos.
Je tourne la tête et la surprise est totale.
• Ma chérie, il y a longtemps que j’ai envi de te sodomiser, mais j’ai loupé le coche au début de notre mariage.
Tu permets.
Impérativement dit, je sens la verge qui m’a dépucelé par le devant se place sur ma rosette.
Sergio, coulisse dans ma chatte faisant pénétrer irrémédiablement la verge dans mon conduit anal.
Je suis prise des deux côtés sans savoir si cela est normal ou pas et quel nom donne-t-on à cette double pénétration.
Double pénétration, ces verges coulissant l’une sur l’autre me faisant directement de plaisir.
Je suis satisfaite, je pense avoir trouvé ce nom, « double pénétration. » Il serait drôle que cette figure artistique entre trois personnes finisse par devenir la norme de ces soirées libertines.
Surtout qu’au milieu de la salle, Simone a récupéré les deux autres hommes que je suçais et elle aussi semble prise par ses deux trous si prêts l’un de l’autre.
Elle a la tête relevée et bouffe la chatte de ma sœur qu’elle lui écarte afin que sa langue pénètre plus profondément.
C’est en famille qu’ayant pris mon pied et elle aussi Paul nous offre une coupe avant de rentrer chacun chez nous.
Le silence est pesant entre nous, je cherche comment les remercier d’avoir fait évoluer ma vie.
Pour Paul c’est facile, dans les jours qui ont suivi, c’est en tête à tête une fois que Jules est couché que je le remercie.
• Demain chéri, j’ai encore un peu mal, mais j’ai conscience que ce que tu as ouvert, il serait bête que ça se referme.
Le lendemain matin, je conduis Jules à l’école, je passe devant le chantier.
On me siffle, il faut dire que j’ai mis ma tenue de salope que mon mari m’a offerte pour rembourser sa dette fictive.
Je traverse, deux des trois hommes étant devant le bungalow rentre précipitamment.
Le troisième se trouve pris dans mes filets.
Il a une vingtaine d’années et des muscles noirs très saillants.
• Mon grand, tu me fais visiter ton bungalow.
Nous entrons, ils sont six, j’ai bien déjà baisé avec trois dans notre appartement libertin, six, croyez-vous que ça me fait peur.
Mon mari a su déceler en moi la part d’ombre que ma sœur avait découverte bien avant moi.
Je vous laisse, à oui, j’oubliais afin d’éviter les commentaires de mes lectrices favorites, j’ouvre mon sac et je leur distribue une capote.
Comment dit-on à la télé ?
À oui, « il faut sortir bien protégée » !
Ce fut le début de ce que je pensais être ma déchéance et l’idée de sauver mon mari de ses déviances, non sexuelles, mais de jeux d’argent.
• Tu peux être sans crainte ma chérie, ton fils est chez mes parents, nous l’avons conduit avant de venir ici.
• Paul, dit moi ce que tout cela veut dire !
• Je vais tout t’expliquer !
C’est ce que dit mon mari se tenant derrière moi dans cette pièce dans le noir.
Mais avec vue sur la pièce principale de cet appartement que j’ai déjà eu l’occasion de visiter lors de ma première venue pour honorer ses dettes de jeu.
• Pour commencer soit tranquille, nos biens sont suffisants pour que nous vivions dans le luxe jusqu’à la fin de notre vie.
Je suis allergique à toute forme de jeux de hasard, sauf à ceux de l’amour, avant de te rencontrer, j’étais un libertin.
Ta sœur et sa copine Yollande faisaient partie de notre groupe, je t’ai caché que nous avons eu des rapports entre nous, mais juste dans un cadre de libertinage.
Un jour, tu dinais avec Claudine au restaurant et je t’ai vu, j’ai eu un coup de foudre.
Je me souviens de ce moment où nous dinions avec ma sœur, un homme était passé, avait dit deux mots à Claudine.
Comme le sujet que j’évoquais avec elle me passionnait, justement nous parlions de la première fois entre les hommes et les femmes, étant pucelle et non elle, je l’avais ignorée.
• Je l’ai appelé dès le lendemain, il m’a été facile que nous nous rencontrions et que par chance tu tombes amoureuse de moi comme moi je le suis de toi.
Je t’ai épousé et je t’ai juré fidélité, laissant tomber le libertinage.
J’ai tenu ma parole, mais de plus en plus les soirées que je faisais avec mes amis m’ont manqué.
C’est à cette époque, que je suis devenu voyeur en faisant faire des travaux condamnant cette pièce, mais me permettant de continuer à inviter mon groupe de libertin.
Cet appartement nous appartient, mais j’avais l’impression de te trahir tout de même, il fallait que tu nous rejoignes.
Sergio, c’est mon copain d’enfance, c’est ta sœur et lui qui ont eu l’idée de la dette de jeu.
• Et son doigt coupé ?
• Avec une tondeuse dans notre jeunesse.
• Salopard, il m’a dit vouloir s’en prendre à notre fils, pour moi c’est impardonnable !
Je te haïs et je te haïrai jusqu’à mon dernier souffle, soit en certains.
• Chérie calme toi, que devrais-je dire de ta visite à Yollande et ce que tu as fait avec elle ?
Paul marque un point, j’ai aimé la soirée et le moment jusqu’au sac d’ordure nous faisant pisser de rire dans l’état où nous avions laissé le lit.
• Ça faisait partie du plan, la première fois où tu es venue te sentant dans l’obligation de rembourser notre dette, nous étions derrière cette vitre sans teint.
Nous avons bien rigolé quand tu t’es retrouvé la joue contre la vitre.
• Ma sœur aussi ?
Et Jules, vous l’aviez fourgué à ses grands-parents !
• Non, j’avais engagé une très bonne baby-sitter, ce qui est sûr c’est que lorsque tu te faisais besogner, même si c’était sous la contrainte, tu semblais apprécié.
Quant à Yollande, j’ai été prévenu de ton départ pour aller chez ta sœur récupérer notre fils.
Il a été facile à notre amie de prendre l’ascenseur avec toi.
La façon dont tu as donné du plaisir à Simone à montrer que tu aimais les rapports féminins.
• Qui est Simone ?
• Tu vois la jolie blonde avec laquelle tu t’es gouinée au premier remboursement de ma dette c’est elle, depuis je l’ai revu et elle m’a fait des éloges de ta façon dont tu lui as léché la chatte.
Ce qui a été imprévu lorsque tu es venue chez Yollande, c’est le coup du sac d’ordure, j’ai vu des photos, qu’elle a prises après ton départ, vous y êtes allé de bon cœur.
Mais si je t’ai fait venir jusqu’à cette pièce, c’est pour que tu fasses partie de mon monde et du leur !
Je te sens prête à faire partie de nos jeux dès ce soir ce qui me permettrait de sortir de cette cachette qui commence à me peser.
À l’amour, même l’amour pernicieux, plein de déviance de ce que mes parents m’ont appris et que ma sœur Claudine semble avoir reléger au plus profond de l’oubli.
• Paul, je veux bien te pardonner, même si j’ai du mal à admettre que tu baises avec ma sœur, mais je vais m’y habituer, allons les rejoindre !
Mon mari ouvre une porte donnant sur un couloir.
La pièce où nous étions devait être un boudoir qu’il a fait condamner afin de jouer les voyeurs.
Il ouvre la porte contiguë et en homme galant qu’il a toujours été me laisse passer devant lui.
Un tonnerre d’applaudissements se fait entendre, je suis la vedette de tous ces libertins, mais, en suis-je déjà une déjà sans le savoir ?
Trois hommes viennent vers moi la queue en main, Loulou ou plus précisément Vincent rencontré lors de ma première, mari de Simone, Sergio le fumier au doigt coupé et un inconnu.
J’ai dit à Paul que Sergio, je le haïssais d’avoir mêlé Jules à tout ceci pour faire de moi une libertine.
Mais des trois c’est vraiment la plus belle alors puisque c’est ce que mon mari veut, pourquoi rechigner à la tache sur ce joli morceau.
Trois sucé à tour de rôle, chacune leur tour, trois bites bandant à mort.
Dans la position de la grenouille où je suis, je me sens offerte, mais je suis loin d’être la seule.
Claudine d’un côté, Yollande de l’autre, partition à quatre lèvres sur ma verge que je croyais personnelle !
Certains diront qu’avec mes trois, je suis largement gagnante, mais les lèvres des deux filles s’échappent pour se retrouver.
Je suis devenue gouine depuis peu, ma sœur semble l’être depuis plus longtemps.
J’ai toujours mon collier, Sergio se croyant tout permis l’empoigne, ma laisse étant restée dans la salle sombre.
C’est sur un canapé qu’il se laisse tomber m’entrainant à m’empaler.
Je pense que je vais en rester là, mais je sens quelqu’un dans mon dos.
Je tourne la tête et la surprise est totale.
• Ma chérie, il y a longtemps que j’ai envi de te sodomiser, mais j’ai loupé le coche au début de notre mariage.
Tu permets.
Impérativement dit, je sens la verge qui m’a dépucelé par le devant se place sur ma rosette.
Sergio, coulisse dans ma chatte faisant pénétrer irrémédiablement la verge dans mon conduit anal.
Je suis prise des deux côtés sans savoir si cela est normal ou pas et quel nom donne-t-on à cette double pénétration.
Double pénétration, ces verges coulissant l’une sur l’autre me faisant directement de plaisir.
Je suis satisfaite, je pense avoir trouvé ce nom, « double pénétration. » Il serait drôle que cette figure artistique entre trois personnes finisse par devenir la norme de ces soirées libertines.
Surtout qu’au milieu de la salle, Simone a récupéré les deux autres hommes que je suçais et elle aussi semble prise par ses deux trous si prêts l’un de l’autre.
Elle a la tête relevée et bouffe la chatte de ma sœur qu’elle lui écarte afin que sa langue pénètre plus profondément.
C’est en famille qu’ayant pris mon pied et elle aussi Paul nous offre une coupe avant de rentrer chacun chez nous.
Le silence est pesant entre nous, je cherche comment les remercier d’avoir fait évoluer ma vie.
Pour Paul c’est facile, dans les jours qui ont suivi, c’est en tête à tête une fois que Jules est couché que je le remercie.
• Demain chéri, j’ai encore un peu mal, mais j’ai conscience que ce que tu as ouvert, il serait bête que ça se referme.
Le lendemain matin, je conduis Jules à l’école, je passe devant le chantier.
On me siffle, il faut dire que j’ai mis ma tenue de salope que mon mari m’a offerte pour rembourser sa dette fictive.
Je traverse, deux des trois hommes étant devant le bungalow rentre précipitamment.
Le troisième se trouve pris dans mes filets.
Il a une vingtaine d’années et des muscles noirs très saillants.
• Mon grand, tu me fais visiter ton bungalow.
Nous entrons, ils sont six, j’ai bien déjà baisé avec trois dans notre appartement libertin, six, croyez-vous que ça me fait peur.
Mon mari a su déceler en moi la part d’ombre que ma sœur avait découverte bien avant moi.
Je vous laisse, à oui, j’oubliais afin d’éviter les commentaires de mes lectrices favorites, j’ouvre mon sac et je leur distribue une capote.
Comment dit-on à la télé ?
À oui, « il faut sortir bien protégée » !
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