COLLECTION SOUMISSION. Émilie (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2397 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 996 335 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 6 920 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION SOUMISSION. Émilie (1/2)
Je suis venu ce week-end pour un repas de famille, un baptême.
Le matin, la maîtresse de maison me demande si je peux aller chercher une amie avec son fils à la ville.
Je mets mon GPS ignorant l’endroit ou je dois aller la chercher.
Elle est mignonne et son fils est à l’âge où l’on veut parler sans que je comprenne le moindre de ses mots.
Loin de moi l’idée de penser à quoi que ce soit avec cette petite, elle m’annonce 27 printemps et j’en ai 40 de plus.
Je la dépose et je rejoins la fête après m’être garé.
Au moment où tous en sont à la sangria, je m’assieds sur un des bancs.
La petite vient vers moi tout en surveillant son petit, je la sens mère poule et dans les minutes qui suivent, je comprends pourquoi.
À vingt ans, elle et tombés amoureux d’un garçon qui lui a fait une petite fille.
Rapidement il est devenu violent et un soir alors qu’il s’était absenté, elle a pris sa fille et s’est rendue au commissariat.
Elle est sous protection, le mec ayant interdiction d’approche, sa fille s'est retrouvée en famille d’accueil.
Elle pensait qu’elle en avait fini avec ses galères quand elle a rencontré un autre garçon qui lui aussi l’a mise enceinte, mais c’était mal connaître la vie s’acharnant sur les plus faibles.
Quatre mois avant l’accouchement, il l'a quitté pour aller vivre avec une autre fille qu’il avait aussi engrossée.
Elle s’est retrouvée en foyer jusqu’à ce qu’elle accouche et qu’elle soit en état de s’assumer.
Elle a réussi et a commencé une vie dans un appartement où elle est nounou, ce qui lui permet de vivre avec les aides et ce qu’elle gagne.
Après toutes ces galères, elle m’avoue que son frère lui a ouvert les portes de la rédemption en allant au temple chaque dimanche dans sa communauté.
Elle s’est réfugiée dans l’amour de Dieu, mais elle en tire des principes qui ont tendance à me faire peur.
Je sens qu’elle est passée dans un monde qui est loin d’être le vrai monde.
Maintenant, elle acceptera d’avoir des rapports avec un garçon qu’après le mariage, comme si l’attente était la garantie de trouver le bon numéro.
Des tarés, il y en a partout, autant que de braves garçons même s’ils baisent.
Un autre point m’interpelle, tous les dimanches, elle refuse la communion, car elle se sent encore impure, elle fume.
Arrêté sera son ultime étape pour atteindre son but et de devenir celle que son frère semble vouloir qu’elle soit.
J’ai l’impression qu’elle est tombée dans un mouvement d’un genre sectaire.
Elle a couché chez son amie et au matin on m’a demandé de la ramener en ville.
Elle a voulu que je la conduise pour déposer son fils chez sa nounou, elle a souhaité fumer une clope.
Dans la soirée, je lui avais dit que j’écrivais des histoires érotiques, la question qu’elle m’a posée m’a fait entrevoir les travers que son passé lui avait apportés.
• Avez-vous déjà écrit des histoires SM ?
Incroyable, des histoires sadomasochistes, c’est le cas et là j’ai une deuxième surprise.
• Vous écrivez sur des femmes se faisant couler de la cire de bougie sur le corps et surtout les seins.
La question est trop précise pour avoir été inventé, elle a dû subir ce genre de dépravation.
À mon tour une idée me vient.
• Tu as fermé la porte à l’amour physique avec des hommes, mais te donnes, tu du plaisir avec tes doigts !
C’est un petit « oui » tout timide qui sort de sa bouche.
• Te sers-tu aussi de godemichets ?
Le même petit « oui ».
• Je suis rassuré, tu es encore vivante, alors que les propos que tu tiens sur ton engagement mistique auraient pu me faire croire que tu avais fermé la porte à toutes sortes de plaisirs.
Je l’ai conduit à son église et je l’ai quitté pour repartir le lendemain chez moi à 200 kilomètres de là.
Sur mon portable, j’ai retrouvé le SMS avec ses coordonnés que l'on m'avait donné pour que je programme mon G.P.S., je l’ai appelé au bout de huit jours.
• Allo Émilie, reconnais-tu ma voix ?
• Oui, Chris.
• Appelle-moi Maître Chris, je suis en train d’écrire ton histoire et dans les propos que tu as tenus, la question du sadomasochiste m’a intrigué.
• Que désirez-vous savoir Maître Chris ?
• Accepterais-tu d’être ma soumise par téléphone, je commande et tu exécutes ?
• Oui, maître Chris, je suis d’accord d’essayer.
• Ou es-tu ?
• Chez moi.
• Ton fils est là !
• Oui, il fait la sieste.
• Comment es-tu habillé ?
• Décontracté d’intérieur.
• Mets-toi nue.
J’entends un certain temps et elle reprend le dialogue.
• C’est fait Maître, que voulez-vous que je fasse.
• Mauvais point Émilie, tu dois dire Maître Chris, pour te punir prend la pointe de ton sein droit et serre là, le plus fort possible.
• J’ai mal Maître Chris, mais c’est bon.
Le « c’est bon » est langoureux et traînant, j’ai vu juste elle aime être soumise, elle va devenir ma soumise.
• Veux-tu être à moi, veux-tu que je sois ton Maître, veux-tu être ma soumise ?
• Je l'ignore Maître Chris !
• Parce que je suis bien plus vieux que toi Émilie !
• Un peu Maître Chris, surtout parce que vous êtes loin de moi.
• Je te donne des ordres, tu les exécutes, as-tu des pinces à linge.
• J’en ai acheté hier, en bois, c’est plus écolo.
• Tu marques un bon point, si tu fais attention à la planète, va les chercher.
• Elles sont près de moi, j’étends mon linge dans la salle de bain.
Je vois quelle oubli Maître Chris, mais comme elle semble disposée à faire ce que je veux par téléphone, je me garde bien de lui faire remarquer.
• As-tu fumé aujourd’hui, petite salope ?
• Je venais d’éteindre la cinquième quand vous avez appelé maître.
Pardon Maître Chris.
• Tu vas être punie, tu le seras chaque fois que je t’appellerais et que tu auras fumé.
Mets-toi la première au bout de ta fraise droite, ta pointe est assez développée ?
• Oui, mes seins sont en forme de poire avec des fraises des bois au bout Maître Chris.
• Place la première, aimes-tu ?
• Vite, demandez-moi de mettre la deuxième à mon autre fraise.
• Les ordres, c’est moi qui les donne, mais va-y met là.
Tes lèvres vaginales, sont-elles proéminentes ?
• J'ignore ce que ce mot veut dire, Maître Chris.
• Peux-tu placer une pince sur les lèvres de ton vagin ?
• Oui, j’ai compris, combien voulez-vous que j’en mette ?
• Deux de chaque côté, vite, c’est un peu lent.
Encore un temps d’attente, j’entends qu’elle fait du bruit avec sa bouche chaque fois qu’elle doit se placer une pince.
• C’est fait Maître Chris.
• As-tu mal ?
• Quand ce sera vous qui me donnerez des ordres, j’aurais mal.
Mais j’aimerais tout ce que vous me ferez faire.
Je vois bien que vous voulez m’aider à atteindre mon but d’arrêter de fumer et me rapprocher de Dieu en prenant son corps grâce à la communion des fidèles.
• Tu crois que c’est la chose principale à quoi je te suis utile !
Pour te punir, le sol dans ta salle de bain est-il en carrelage ?
• Oui maître !
• Mets-toi à quatre pattes, attention aux pinces, évite qu'elles tombent sinon tu verras ce qu'il risque de t'arriver.
J’ai un film à voir à la télé, tu restes dans cette position jusqu’à ce que je te rappelle !
Si ton fils pleure, tu vas le voir et tu te dépêches de revenir prendre ta position.
• Bon film Maître, je sens que mes genoux me font déjà souffrir, je sens que je vais aimer.
Je coupe la communication et comme je lui ai dit, je vais devant mon écran, le film m’endort.
Merde Émilie, quand j’émerge il y a bien longtemps que j’aurais dû appeler la petite.
S’est-elle relevée ?
• Maître Chris, je vous attendais avec impatience, j’ai envie de faire pipi.
• Pourquoi crois-tu que je t’aie demandé si c’était un carrelage dans ta salle de bain, soulage-toi ?
Je veux entendre le bruit de l’urine sortant de ta chatte et tombant sur le sol.
• Écoutez Maître j’espère que je vous satisfais, mes genoux et mes poignets me font mal.
• Tu veux qu’on arrête.
• Surtout pas, écoutez !
Elle urine, c’est sa soumission qui m’intéresse, pas son pipi, quoi que.
J’entends ses petits mouvements qu’elle doit faire avec ses lèvres en se soulageant.
• C’est fait, Maître Chris, j’en ai mis partout, sur moi et dans la salle de bain.
• Relève-toi, attention de rester debout, tes jambes vont avoir du mal à te porter.
• Ça va maître, je suis debout.
• Enlève les pinces, mais en tirant dessus pour les arracher que ça te fasse mal.
J’entends qu’elle le fait, pince par pince, émettant un petit claquement à chacune d’elles.
• C’est fait, j’ai eu mal Maître Chris, vous êtes démoniaque, je vais prendre une douche.
• Non, et c’est un ordre, tu resteras couverte d’urine jusqu’à ce soir, pour mon seul plaisir.
As-tu des bougies ?
• Non, Maître Chris, j'ai oublié d’en acheter !
• Tu m’as bien demandé si j’écrivais des histoires SM avec des bougies !
• Oui, Maître Chris.
• Je t’en envoie par colis rapide, on va en avoir besoin…
Le matin, la maîtresse de maison me demande si je peux aller chercher une amie avec son fils à la ville.
Je mets mon GPS ignorant l’endroit ou je dois aller la chercher.
Elle est mignonne et son fils est à l’âge où l’on veut parler sans que je comprenne le moindre de ses mots.
Loin de moi l’idée de penser à quoi que ce soit avec cette petite, elle m’annonce 27 printemps et j’en ai 40 de plus.
Je la dépose et je rejoins la fête après m’être garé.
Au moment où tous en sont à la sangria, je m’assieds sur un des bancs.
La petite vient vers moi tout en surveillant son petit, je la sens mère poule et dans les minutes qui suivent, je comprends pourquoi.
À vingt ans, elle et tombés amoureux d’un garçon qui lui a fait une petite fille.
Rapidement il est devenu violent et un soir alors qu’il s’était absenté, elle a pris sa fille et s’est rendue au commissariat.
Elle est sous protection, le mec ayant interdiction d’approche, sa fille s'est retrouvée en famille d’accueil.
Elle pensait qu’elle en avait fini avec ses galères quand elle a rencontré un autre garçon qui lui aussi l’a mise enceinte, mais c’était mal connaître la vie s’acharnant sur les plus faibles.
Quatre mois avant l’accouchement, il l'a quitté pour aller vivre avec une autre fille qu’il avait aussi engrossée.
Elle s’est retrouvée en foyer jusqu’à ce qu’elle accouche et qu’elle soit en état de s’assumer.
Elle a réussi et a commencé une vie dans un appartement où elle est nounou, ce qui lui permet de vivre avec les aides et ce qu’elle gagne.
Après toutes ces galères, elle m’avoue que son frère lui a ouvert les portes de la rédemption en allant au temple chaque dimanche dans sa communauté.
Elle s’est réfugiée dans l’amour de Dieu, mais elle en tire des principes qui ont tendance à me faire peur.
Je sens qu’elle est passée dans un monde qui est loin d’être le vrai monde.
Maintenant, elle acceptera d’avoir des rapports avec un garçon qu’après le mariage, comme si l’attente était la garantie de trouver le bon numéro.
Des tarés, il y en a partout, autant que de braves garçons même s’ils baisent.
Un autre point m’interpelle, tous les dimanches, elle refuse la communion, car elle se sent encore impure, elle fume.
Arrêté sera son ultime étape pour atteindre son but et de devenir celle que son frère semble vouloir qu’elle soit.
J’ai l’impression qu’elle est tombée dans un mouvement d’un genre sectaire.
Elle a couché chez son amie et au matin on m’a demandé de la ramener en ville.
Elle a voulu que je la conduise pour déposer son fils chez sa nounou, elle a souhaité fumer une clope.
Dans la soirée, je lui avais dit que j’écrivais des histoires érotiques, la question qu’elle m’a posée m’a fait entrevoir les travers que son passé lui avait apportés.
• Avez-vous déjà écrit des histoires SM ?
Incroyable, des histoires sadomasochistes, c’est le cas et là j’ai une deuxième surprise.
• Vous écrivez sur des femmes se faisant couler de la cire de bougie sur le corps et surtout les seins.
La question est trop précise pour avoir été inventé, elle a dû subir ce genre de dépravation.
À mon tour une idée me vient.
• Tu as fermé la porte à l’amour physique avec des hommes, mais te donnes, tu du plaisir avec tes doigts !
C’est un petit « oui » tout timide qui sort de sa bouche.
• Te sers-tu aussi de godemichets ?
Le même petit « oui ».
• Je suis rassuré, tu es encore vivante, alors que les propos que tu tiens sur ton engagement mistique auraient pu me faire croire que tu avais fermé la porte à toutes sortes de plaisirs.
Je l’ai conduit à son église et je l’ai quitté pour repartir le lendemain chez moi à 200 kilomètres de là.
Sur mon portable, j’ai retrouvé le SMS avec ses coordonnés que l'on m'avait donné pour que je programme mon G.P.S., je l’ai appelé au bout de huit jours.
• Allo Émilie, reconnais-tu ma voix ?
• Oui, Chris.
• Appelle-moi Maître Chris, je suis en train d’écrire ton histoire et dans les propos que tu as tenus, la question du sadomasochiste m’a intrigué.
• Que désirez-vous savoir Maître Chris ?
• Accepterais-tu d’être ma soumise par téléphone, je commande et tu exécutes ?
• Oui, maître Chris, je suis d’accord d’essayer.
• Ou es-tu ?
• Chez moi.
• Ton fils est là !
• Oui, il fait la sieste.
• Comment es-tu habillé ?
• Décontracté d’intérieur.
• Mets-toi nue.
J’entends un certain temps et elle reprend le dialogue.
• C’est fait Maître, que voulez-vous que je fasse.
• Mauvais point Émilie, tu dois dire Maître Chris, pour te punir prend la pointe de ton sein droit et serre là, le plus fort possible.
• J’ai mal Maître Chris, mais c’est bon.
Le « c’est bon » est langoureux et traînant, j’ai vu juste elle aime être soumise, elle va devenir ma soumise.
• Veux-tu être à moi, veux-tu que je sois ton Maître, veux-tu être ma soumise ?
• Je l'ignore Maître Chris !
• Parce que je suis bien plus vieux que toi Émilie !
• Un peu Maître Chris, surtout parce que vous êtes loin de moi.
• Je te donne des ordres, tu les exécutes, as-tu des pinces à linge.
• J’en ai acheté hier, en bois, c’est plus écolo.
• Tu marques un bon point, si tu fais attention à la planète, va les chercher.
• Elles sont près de moi, j’étends mon linge dans la salle de bain.
Je vois quelle oubli Maître Chris, mais comme elle semble disposée à faire ce que je veux par téléphone, je me garde bien de lui faire remarquer.
• As-tu fumé aujourd’hui, petite salope ?
• Je venais d’éteindre la cinquième quand vous avez appelé maître.
Pardon Maître Chris.
• Tu vas être punie, tu le seras chaque fois que je t’appellerais et que tu auras fumé.
Mets-toi la première au bout de ta fraise droite, ta pointe est assez développée ?
• Oui, mes seins sont en forme de poire avec des fraises des bois au bout Maître Chris.
• Place la première, aimes-tu ?
• Vite, demandez-moi de mettre la deuxième à mon autre fraise.
• Les ordres, c’est moi qui les donne, mais va-y met là.
Tes lèvres vaginales, sont-elles proéminentes ?
• J'ignore ce que ce mot veut dire, Maître Chris.
• Peux-tu placer une pince sur les lèvres de ton vagin ?
• Oui, j’ai compris, combien voulez-vous que j’en mette ?
• Deux de chaque côté, vite, c’est un peu lent.
Encore un temps d’attente, j’entends qu’elle fait du bruit avec sa bouche chaque fois qu’elle doit se placer une pince.
• C’est fait Maître Chris.
• As-tu mal ?
• Quand ce sera vous qui me donnerez des ordres, j’aurais mal.
Mais j’aimerais tout ce que vous me ferez faire.
Je vois bien que vous voulez m’aider à atteindre mon but d’arrêter de fumer et me rapprocher de Dieu en prenant son corps grâce à la communion des fidèles.
• Tu crois que c’est la chose principale à quoi je te suis utile !
Pour te punir, le sol dans ta salle de bain est-il en carrelage ?
• Oui maître !
• Mets-toi à quatre pattes, attention aux pinces, évite qu'elles tombent sinon tu verras ce qu'il risque de t'arriver.
J’ai un film à voir à la télé, tu restes dans cette position jusqu’à ce que je te rappelle !
Si ton fils pleure, tu vas le voir et tu te dépêches de revenir prendre ta position.
• Bon film Maître, je sens que mes genoux me font déjà souffrir, je sens que je vais aimer.
Je coupe la communication et comme je lui ai dit, je vais devant mon écran, le film m’endort.
Merde Émilie, quand j’émerge il y a bien longtemps que j’aurais dû appeler la petite.
S’est-elle relevée ?
• Maître Chris, je vous attendais avec impatience, j’ai envie de faire pipi.
• Pourquoi crois-tu que je t’aie demandé si c’était un carrelage dans ta salle de bain, soulage-toi ?
Je veux entendre le bruit de l’urine sortant de ta chatte et tombant sur le sol.
• Écoutez Maître j’espère que je vous satisfais, mes genoux et mes poignets me font mal.
• Tu veux qu’on arrête.
• Surtout pas, écoutez !
Elle urine, c’est sa soumission qui m’intéresse, pas son pipi, quoi que.
J’entends ses petits mouvements qu’elle doit faire avec ses lèvres en se soulageant.
• C’est fait, Maître Chris, j’en ai mis partout, sur moi et dans la salle de bain.
• Relève-toi, attention de rester debout, tes jambes vont avoir du mal à te porter.
• Ça va maître, je suis debout.
• Enlève les pinces, mais en tirant dessus pour les arracher que ça te fasse mal.
J’entends qu’elle le fait, pince par pince, émettant un petit claquement à chacune d’elles.
• C’est fait, j’ai eu mal Maître Chris, vous êtes démoniaque, je vais prendre une douche.
• Non, et c’est un ordre, tu resteras couverte d’urine jusqu’à ce soir, pour mon seul plaisir.
As-tu des bougies ?
• Non, Maître Chris, j'ai oublié d’en acheter !
• Tu m’as bien demandé si j’écrivais des histoires SM avec des bougies !
• Oui, Maître Chris.
• Je t’en envoie par colis rapide, on va en avoir besoin…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...