COLLECTION SOUMISSION. Émilie (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION SOUMISSION. Émilie (2/2)
Je suis tombé sur un cas.
Une jeune salope qui aime à se faire soumettre, même à distance par téléphone.
C’est en allant à un baptême que j’ai fait sa connaissance et que je comprends qu’elle a des besoins masochistes.
• Maître Chris, je peux vous poser une question !
• Comme c’est demandé, je t’accorde quelques mots.
• J’ai reçu le colis, il y a les bougies que vous m’aviez promises, mais pourquoi une boîte de capotes ?
• Crois-tu que je vais perdre mon temps au téléphone, tu as grillé combien de cigarettes ?
• Deux, maître, je pense arriver à arrêter dans les jours prochains.
• C’est bien, je suis fière de toi, les capotes, c’est pour ce que je vais te faire faire.
• Dites-moi maître.
• Lorsque je t’ai raccompagné, à côté de chez toi, j’ai vu qu’il y avait un chantier avec des hommes vivants dans des cabanons.
J’en ai vu un entré, ce doit être des Maghrébins.
• Oui, maître, ce sont des Marocains, l’autre jour, l’un d’eux c’est adressé à moi, je suis passé presque en courant.
• Il avait peut-être envie de toi.
• Oh ! maitre, il était vieux et laid.
• Je suis vieux moi aussi !
• Oui, mais vous avez de beau reste.
J’aurais pu me fâcher, mais je reste zen, inutile de la braquer, il faut que je sois assez persuasif pour qu’elle accepte de se soumettre à distance.
• Que fais-tu lorsque tu as des courses à faire avec ton fils ?
• J’ai un babyphone que je laisse à mes voisins, je le mets en service, je les appelle et ils entendent s’il pleure, ils ont les clefs.
• Prends les capotes, démarre le babyphone et appelle-les, après tu descends jusqu’au chantier.
• J’ai peur de ce que vous allez me demander maître, j’ai peur de ce qui va m’arriver.
• Lorsque tu as fait tes enfants, tu as aimé faire l’amour !
• Je dois reconnaître que vous avez raison, mais j’ai promis de rester chaste jusqu’à ce que je trouve le bon !.
• Les capotes, c’est fait pour ça, si tu es protégée, je te donne l’ordre de te laisser faire.
Une bite est une bite, tu frappes à leur porte, aujourd’hui, jour ferrier, tu trouves un motif pour rentrer.
• Vous voulez que je me donne à eux, mais s’ils sont plusieurs !
• Tu te démerdes et dès que tu as réussi, tu me rappelles.
As-tu un imper ?
• Oui, maître, je vois ce que vous voulez, c’est mal, mais je vais le faire, je vous rappelle.
Je reprends mes écrits, j’aime écrire plusieurs textes en même temps, j’en prends un sur les belles mères déjà commencé.
Je suis presque à la fin quand mon portable sonne.
• C’est Émilie, maître, je viens de rentrer, si vous saviez !
• Je vais savoir, car tu vas tout me raconter avec tous les détails.
• Lorsque je suis arrivée, Hamed était à l’extérieur, j’ai fait semblant de tomber et de me faire mal au pied.
Il m’a secouru, il sentait la sueur et j’ai été excité.
• Tu mouillais !
• J’ignore cette sensation, mais si vous me dites que ma petite chatte était excitée, oui je mouillais.
• C’est bien, c’est que tu avais envie de cet homme.
• Oui et non, mais je vous avais promis.
• Qu’avez-vous fait ?
• Il m’a aidé à entrer et a voulu voir mon pied, dans son pays il était rebouteux pour les chèvres qu’il gardait.
Ils étaient trois, j’ai failli détaller, mais les autres semblaient faire comme s’ils étaient absents.
Il m’a fait assoir sur ce qui devait être un lit vide, car les draps et la couverture étaient tirés parfaitement alors que l’autre lit vide était défait.
Vous êtes là maître !
• Je t’écoute, petite salope.
• Merci de me traiter de salope, maître, mais c’est pour vous que je le suis.
• Continue !
• Quand j’étais assise, il m’a pris le pied, j’ai senti que sa main me chauffait et que la douleur disparaissait.
• Tu sais ce que tu risques à te foutre de ma gueule, tu faisais semblant d’avoir mal.
• Non, maître, je vous dis la vérité, j’étais persuadé que je m’étais fait mal en arrivant.
Mes jambes se sont écartées, mon imper s’est ouvert et ma toison blonde lui est apparue.
• Aimais-tu ?
• J’avais une drôle d’impression, mais sa main est remontée le long de ma jambe.
Jusqu’à caresser mon sexe, j’étais en eau quand ses doigts m’ont fouillé.
Je lui ai pris le poignet, car la sensation était à son maxi, c’était votre main qui était sur moi et vos doigts en moi.
Pour la première fois, un frisson est monté le long de ma colonne vertébrale.
• Pour la première fois, as ce jour, personne pour te faire jouir ?
• À cet instant, vous m’avez fait découvrir le plaisir de sentir le regard de ces trois hommes sur moi.
• Les deux autres sont venus participer à ta fête.
• Non, Hamed a ouvert mon imper dégagent mes seins.
Je les ai tordus à m’en faire mal pour vous maître.
Il a sorti son sexe de son pantalon, sa bite était longue et fine.
Il bandait, il s’est relevé d’entre mes jambes et est venu vers ma bouche, je l’ai sucé en pensant que c’était vous que je suçais maître.
• Tu as pensé à tout ça, j’ai l’impression que tu te fiches de moi !
• Oh ! maître, comment pouvez-vous penser cela, il a fini par me mettre à quatre pattes et m’a pris comme une chienne !
• Et que faisaient les deux autres ?
• Il avait sorti leur queue et se masturbait à me voir me faire sauter.
• Tu aurais dû les inviter, trois mecs qu’un coup, ça m’aurait fait plaisir de l’apprendre.
Tu as manqué d’initiative, tu mérites d’être punie !
• Comment voulez-vous me punir maître ?
• C’est le moment de ta servir des bougies, elles sont près de toi !
• Dans ma cuisine, dans le colissimo que vous m’avez envoyé maître.
• Va les chercher, les cinq, c’était les seules qu’ils leur restaient.
Amène le briquet dans la salle de bains, tu vas en avoir besoin où se trouve ton fils ?
• Chez les voisins, ils me le prennent de temps en temps maître.
Ça y est, j’ai les cinq bougies dans la salle de bains, que voulez-vous que je fasse ?
• Allume-les une à une et plantent les sur le carrelage à cinquante centimètres les unes des autres.
Un peu de temps et elle reprend la conversation.
• C’est beau maître toutes ces bougies allumées, que voulez-vous que je fasse ?
• Met toi nue et dit moi lorsque c’est fait !
• C’est fait maître et après !
• Place toi au-dessus de la première écarte les lèvres de ta chatte et plante toi dessus afin de les éteindre une à une !
• Mais...
• Ou vois-tu un « mais » ?
Exécute mes ordres, tu as compris, c’est ta chatte qui doit les éteindre !
Je sens qu’elle hésite, mais le bruit de son buisson blond grésillant me fait entendre qu’elle le fait.
• La première est éteinte, Maître, la bougie me chauffe l’intérieur, c’est bon.
Ma toison a légèrement brûlé, la pièce sent comme dans ma cuisine lorsque sans le faire exprès, je me suis brûlé les poils des bras.
Elle doit passer à la deuxième avec un peu d’appréhension, elle sait maintenant l’effet que ces bougies ont dans sa chatte.
• Aie.
• T’es-tu brûlée ?
• Oui, maître, j’ai hésité et la flamme a touché ma petite excroissance que j’aime caresser.
• Continue, je veux mes cinq !
Elle le fait une à une, à la quatrième elle pousse encore un cri, sans se plaindre pour autant.
• Ah ! ah ! ah.......
Ces cris sont loin de cris de douleur avant qu’elle s’exprime.
• Maître, avez-vous entendu ?
La cinquième bougie éteinte et au plus profond de moi, j’ai ressenti la chaleur et vous m’avez fait jouir.
• C’est très bien, ma belle soumise, mais j’ai entendu quelques petits cris sur la bougie deux et la quatre, tu mérites une punition.
• Maître, que dois-je faire pour vous plaire ?
• Demain matin, tu te rendras au cabanon, débrouille-toi pour que les trois Marocains s’occupent de toi.
Voilà, dernier ordre avant les suivants, mais ce petit jeu commence à m’embêter, je vais voir, comment l’arrêter.
Ça fait deux jours que j’ai donné l’ordre et je suis sans nouvelles.
Je vais sur Internet regarder les journaux locaux.
Rien, pas un mot, sur une éventuelle femme s’était fait trucider ce qui me rassure.
Mon portable sonne, me dérangeant dans mes moments d’écriture.
• Monsieur !
• Vous voilà bien solennelle ma soumise, oubliez-vous que vous êtes ma soumise.
• C’est fini, j’allais partir suivre vos ordres quand on a sonné.
C’était Hamed qui venait me voir, il avait vu où j’habitais.
Il m’a emmené dans ma chambre et il m’a fait l’amour divinement.
Il a fini son chantier et rentre chez lui.
Il va acheter 200 chèvres et va être le propriétaire le plus riche de son village.
• Mais il est marié !
• Il est marié, mais dès que nous serons au Maroc, il va répudier cette femme pour m’épouser.
Pour que mon bonheur soit complet, j’ai appris que l’administration à l’enfance accepte que ma fille vienne chez moi les week-ends.
Samedi prochain, nous partirons dès qu’elle sera chez moi, il a une combine pour nous faire passer au Maroc tous les quatre.
Émilie a raccroché, c’était la dernière fois que j’entendais le son de sa voix.
J’ai un peu peur de ce que j’ai fait.
La petite est tellement adepte de la soumission, que je voudrais croire, qu’un jour, elle évitera de se retrouver à faire la pute à Tanger avec sa fille ayant presque dix-huit ans.
Bien, passons à autre chose, inutile de culpabiliser, une « Histoire courte » m’attend pour me changer les idées.
Une jeune salope qui aime à se faire soumettre, même à distance par téléphone.
C’est en allant à un baptême que j’ai fait sa connaissance et que je comprends qu’elle a des besoins masochistes.
• Maître Chris, je peux vous poser une question !
• Comme c’est demandé, je t’accorde quelques mots.
• J’ai reçu le colis, il y a les bougies que vous m’aviez promises, mais pourquoi une boîte de capotes ?
• Crois-tu que je vais perdre mon temps au téléphone, tu as grillé combien de cigarettes ?
• Deux, maître, je pense arriver à arrêter dans les jours prochains.
• C’est bien, je suis fière de toi, les capotes, c’est pour ce que je vais te faire faire.
• Dites-moi maître.
• Lorsque je t’ai raccompagné, à côté de chez toi, j’ai vu qu’il y avait un chantier avec des hommes vivants dans des cabanons.
J’en ai vu un entré, ce doit être des Maghrébins.
• Oui, maître, ce sont des Marocains, l’autre jour, l’un d’eux c’est adressé à moi, je suis passé presque en courant.
• Il avait peut-être envie de toi.
• Oh ! maitre, il était vieux et laid.
• Je suis vieux moi aussi !
• Oui, mais vous avez de beau reste.
J’aurais pu me fâcher, mais je reste zen, inutile de la braquer, il faut que je sois assez persuasif pour qu’elle accepte de se soumettre à distance.
• Que fais-tu lorsque tu as des courses à faire avec ton fils ?
• J’ai un babyphone que je laisse à mes voisins, je le mets en service, je les appelle et ils entendent s’il pleure, ils ont les clefs.
• Prends les capotes, démarre le babyphone et appelle-les, après tu descends jusqu’au chantier.
• J’ai peur de ce que vous allez me demander maître, j’ai peur de ce qui va m’arriver.
• Lorsque tu as fait tes enfants, tu as aimé faire l’amour !
• Je dois reconnaître que vous avez raison, mais j’ai promis de rester chaste jusqu’à ce que je trouve le bon !.
• Les capotes, c’est fait pour ça, si tu es protégée, je te donne l’ordre de te laisser faire.
Une bite est une bite, tu frappes à leur porte, aujourd’hui, jour ferrier, tu trouves un motif pour rentrer.
• Vous voulez que je me donne à eux, mais s’ils sont plusieurs !
• Tu te démerdes et dès que tu as réussi, tu me rappelles.
As-tu un imper ?
• Oui, maître, je vois ce que vous voulez, c’est mal, mais je vais le faire, je vous rappelle.
Je reprends mes écrits, j’aime écrire plusieurs textes en même temps, j’en prends un sur les belles mères déjà commencé.
Je suis presque à la fin quand mon portable sonne.
• C’est Émilie, maître, je viens de rentrer, si vous saviez !
• Je vais savoir, car tu vas tout me raconter avec tous les détails.
• Lorsque je suis arrivée, Hamed était à l’extérieur, j’ai fait semblant de tomber et de me faire mal au pied.
Il m’a secouru, il sentait la sueur et j’ai été excité.
• Tu mouillais !
• J’ignore cette sensation, mais si vous me dites que ma petite chatte était excitée, oui je mouillais.
• C’est bien, c’est que tu avais envie de cet homme.
• Oui et non, mais je vous avais promis.
• Qu’avez-vous fait ?
• Il m’a aidé à entrer et a voulu voir mon pied, dans son pays il était rebouteux pour les chèvres qu’il gardait.
Ils étaient trois, j’ai failli détaller, mais les autres semblaient faire comme s’ils étaient absents.
Il m’a fait assoir sur ce qui devait être un lit vide, car les draps et la couverture étaient tirés parfaitement alors que l’autre lit vide était défait.
Vous êtes là maître !
• Je t’écoute, petite salope.
• Merci de me traiter de salope, maître, mais c’est pour vous que je le suis.
• Continue !
• Quand j’étais assise, il m’a pris le pied, j’ai senti que sa main me chauffait et que la douleur disparaissait.
• Tu sais ce que tu risques à te foutre de ma gueule, tu faisais semblant d’avoir mal.
• Non, maître, je vous dis la vérité, j’étais persuadé que je m’étais fait mal en arrivant.
Mes jambes se sont écartées, mon imper s’est ouvert et ma toison blonde lui est apparue.
• Aimais-tu ?
• J’avais une drôle d’impression, mais sa main est remontée le long de ma jambe.
Jusqu’à caresser mon sexe, j’étais en eau quand ses doigts m’ont fouillé.
Je lui ai pris le poignet, car la sensation était à son maxi, c’était votre main qui était sur moi et vos doigts en moi.
Pour la première fois, un frisson est monté le long de ma colonne vertébrale.
• Pour la première fois, as ce jour, personne pour te faire jouir ?
• À cet instant, vous m’avez fait découvrir le plaisir de sentir le regard de ces trois hommes sur moi.
• Les deux autres sont venus participer à ta fête.
• Non, Hamed a ouvert mon imper dégagent mes seins.
Je les ai tordus à m’en faire mal pour vous maître.
Il a sorti son sexe de son pantalon, sa bite était longue et fine.
Il bandait, il s’est relevé d’entre mes jambes et est venu vers ma bouche, je l’ai sucé en pensant que c’était vous que je suçais maître.
• Tu as pensé à tout ça, j’ai l’impression que tu te fiches de moi !
• Oh ! maître, comment pouvez-vous penser cela, il a fini par me mettre à quatre pattes et m’a pris comme une chienne !
• Et que faisaient les deux autres ?
• Il avait sorti leur queue et se masturbait à me voir me faire sauter.
• Tu aurais dû les inviter, trois mecs qu’un coup, ça m’aurait fait plaisir de l’apprendre.
Tu as manqué d’initiative, tu mérites d’être punie !
• Comment voulez-vous me punir maître ?
• C’est le moment de ta servir des bougies, elles sont près de toi !
• Dans ma cuisine, dans le colissimo que vous m’avez envoyé maître.
• Va les chercher, les cinq, c’était les seules qu’ils leur restaient.
Amène le briquet dans la salle de bains, tu vas en avoir besoin où se trouve ton fils ?
• Chez les voisins, ils me le prennent de temps en temps maître.
Ça y est, j’ai les cinq bougies dans la salle de bains, que voulez-vous que je fasse ?
• Allume-les une à une et plantent les sur le carrelage à cinquante centimètres les unes des autres.
Un peu de temps et elle reprend la conversation.
• C’est beau maître toutes ces bougies allumées, que voulez-vous que je fasse ?
• Met toi nue et dit moi lorsque c’est fait !
• C’est fait maître et après !
• Place toi au-dessus de la première écarte les lèvres de ta chatte et plante toi dessus afin de les éteindre une à une !
• Mais...
• Ou vois-tu un « mais » ?
Exécute mes ordres, tu as compris, c’est ta chatte qui doit les éteindre !
Je sens qu’elle hésite, mais le bruit de son buisson blond grésillant me fait entendre qu’elle le fait.
• La première est éteinte, Maître, la bougie me chauffe l’intérieur, c’est bon.
Ma toison a légèrement brûlé, la pièce sent comme dans ma cuisine lorsque sans le faire exprès, je me suis brûlé les poils des bras.
Elle doit passer à la deuxième avec un peu d’appréhension, elle sait maintenant l’effet que ces bougies ont dans sa chatte.
• Aie.
• T’es-tu brûlée ?
• Oui, maître, j’ai hésité et la flamme a touché ma petite excroissance que j’aime caresser.
• Continue, je veux mes cinq !
Elle le fait une à une, à la quatrième elle pousse encore un cri, sans se plaindre pour autant.
• Ah ! ah ! ah.......
Ces cris sont loin de cris de douleur avant qu’elle s’exprime.
• Maître, avez-vous entendu ?
La cinquième bougie éteinte et au plus profond de moi, j’ai ressenti la chaleur et vous m’avez fait jouir.
• C’est très bien, ma belle soumise, mais j’ai entendu quelques petits cris sur la bougie deux et la quatre, tu mérites une punition.
• Maître, que dois-je faire pour vous plaire ?
• Demain matin, tu te rendras au cabanon, débrouille-toi pour que les trois Marocains s’occupent de toi.
Voilà, dernier ordre avant les suivants, mais ce petit jeu commence à m’embêter, je vais voir, comment l’arrêter.
Ça fait deux jours que j’ai donné l’ordre et je suis sans nouvelles.
Je vais sur Internet regarder les journaux locaux.
Rien, pas un mot, sur une éventuelle femme s’était fait trucider ce qui me rassure.
Mon portable sonne, me dérangeant dans mes moments d’écriture.
• Monsieur !
• Vous voilà bien solennelle ma soumise, oubliez-vous que vous êtes ma soumise.
• C’est fini, j’allais partir suivre vos ordres quand on a sonné.
C’était Hamed qui venait me voir, il avait vu où j’habitais.
Il m’a emmené dans ma chambre et il m’a fait l’amour divinement.
Il a fini son chantier et rentre chez lui.
Il va acheter 200 chèvres et va être le propriétaire le plus riche de son village.
• Mais il est marié !
• Il est marié, mais dès que nous serons au Maroc, il va répudier cette femme pour m’épouser.
Pour que mon bonheur soit complet, j’ai appris que l’administration à l’enfance accepte que ma fille vienne chez moi les week-ends.
Samedi prochain, nous partirons dès qu’elle sera chez moi, il a une combine pour nous faire passer au Maroc tous les quatre.
Émilie a raccroché, c’était la dernière fois que j’entendais le son de sa voix.
J’ai un peu peur de ce que j’ai fait.
La petite est tellement adepte de la soumission, que je voudrais croire, qu’un jour, elle évitera de se retrouver à faire la pute à Tanger avec sa fille ayant presque dix-huit ans.
Bien, passons à autre chose, inutile de culpabiliser, une « Histoire courte » m’attend pour me changer les idées.
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