COLLECTION STAR DU PORNO. Acteur porno (1/2) - histoire érotique

Aujourd’hui, mon patron me commande de me rendre dans une boîte de production de films.
Ils ont un problème de disjonction d’une partie de leur studio, je dois vérifier les lignes et réparer si j’en suis capable.
Je viens de débuter dans le métier après mon BTS, mais il est sûr que c’est sur le tas que l’on apprend réellement son métier.
Les autres électriciens confirmés sont tous partis sur le terrain et il semble que cette intervention soit primordiale pour notre boîte.
Nous avons un contrat avec ce client qui nous oblige à être stricts sur les retards dans ces tournages ce qui risque de nous amener de grosses pénalités.

Quand, j’arrive après plusieurs tours dans le quartier pour garer la camionnette sans risque qu’elle se retrouve en fourrière, le patron me reçoit dans son bureau.
Il me conduit dans une grande pièce avec des projos et surtout un lit à barreaux.
Pour le moment, il est fait et vierge de tout acteur ou actrice.

• Dépêche toi petit, il est 13 heures et j’ai un tournage à 15 heures, le contrat que j’ai signé avec ton patron spécifie " Réparation en une demi-heure ".
• Je connais nos contrats, monsieur, les 30 minutes, c’est pour que nous soyons sur place, ça fait 27 minutes que vous avez téléphoné.
• Nos avocats règleront ce litige, j’ai horreur que l’on me baise.

Pas facile le patron, mais j’ai beau débuter dans le métier, Paul mon patron voulant nous responsabiliser des risques de rencontrer un client tatillon, nous fait lire ces contrats qu’il leur fait signer.
Il y était bien indiqué les 30 minutes pour être sur les lieux.
Mais pour la facturation, il est stipulé que le temps facturé sera fait sur le temps normal d’intervention et des frais de consommables que nous utiliserons.

Je fais le béaba du métier, je remets le fusible, ça disjoncte, heureusement les ouvriers ayant installé le studio ont laissé un plan.
En cinq minutes, je détecte que la disjonction vient d’une prise où est branché un gros projecteur.
Je la défais du mur, je vois tout de suite que le fil d’alimentation est à moitié dénudé, pour le changer de place et de prise, des couillons ont dû tirer sur le fil finissant par le dénuder.
C’est classique, les disjonctions neuf fois sur dix proviennent de ce type de panne causé par du personnel peu soigneux.
Je peux mettre cinq minutes pour réparer.
Je suis sûr que l’autre con et l’électricité, ça fait deux, sinon il aurait trouvé la panne lui-même, je décide de prendre mon temps.
Je passe la tête dans le bureau, le patron vient de décrocher son téléphone.

• J’ai trouvé la panne monsieur, je retourne au camion pour chercher du matériel.
• C’est bien, vous êtes doué, en avez-vous pour longtemps pour réparer ?
• J’aurais fini pour 15 heures, je dois tirer un fil dans le mur d’une prise vers le compteur, venez voir quelqu’un a planté des clous dans les murs et l’un d’eux doit toucher le fil et faire disjoncter.
• Putain de con de Fabrice, j’ai bien fait de le virer ce connard, c’était un incapable.
Si vous saviez, le nombre de nazes m’entourant vous seriez très étonné.
Je lui avais expliqué que nous allions tourner avec une nana qui était dans sa chambre de jeune fille.
Pour fixer les posters, il aurait mieux fait d’aller à la quincaillerie que de planter les clous qu’il avait dans sa boîte à outils.

Je descends chercher du fil, mais surtout la prise, je remonte, dans l’ascenseur deux hommes montent avec moi, au dernier étage.
Ils rentrent dans le studio et vont dans une salle vers le fond.

• Salut patron, on voit que vous fait réparer le projo, nous allons boire un café en attendant et nous nous mettons au travail.

Je retourne vers ma prise et je la change, je défais le câble du compteur, qui est dans le couloir près du bureau du patron, la porte est ouverte, le téléphone sonne.

• Quoi, Fred sera absent aujourd’hui, mais tu me prends pour un con.
Ludo, à 15 heures, j’ai un tournage d’un film amateur, ces films représentent quatre-vingt-dix pourcents de notre chiffre d’affaires.
Il est 13 heures 30, les techniciens seront là à 14 heures et tu me dis que ton poulain sera incapable de venir sauter la vieille qui doit tourner avec lui sa partie de trou du cul !
Quoi, tu veux que je reporte à demain ou tu auras un jeune à m’envoyer.
T’es con, combien ce dédit va nous couter
Il va falloir que je paye tout le monde, j’ai déjà trouvé chère la prestation de ton poulain qui sous le couvert qu’il est l’étoile montante du porno se croit tout permis et me demande 2 000 €.
T’es con, tu me proposes de le remplacer par Nick, il a trente-quatre ans, c’est loin d’être un perdreau de l’année.
La cliente, mais surtout son mari a bien précisé, un jeunot, dans la légalité de ses dix-huit ans.
Garde ton mec, en plus, j’ai déjà failli le réfuter vue la grandeur de sa bite.
Le client veut voir sa femme se faire défoncer par un véritable démonte-pneu.
Des jeunes à plus de vingt-deux centimètres, ou en trouver en France ?
Peut-être en Italie, mais je tourne à 15 heures.

Une idée saugrenue me vient, je passe la tête.

• Monsieur, s’il vous plait.
• Travaille toi, arrête de m’emmerder !
Je vais téléphoner en désespoir de cause aux clients avant qu’ils arrivent ici, pour leur proposer Nick et ses trente-quatre ans.
• Monsieur, non, je peux vous dépanner.
• Que dis-tu, bien sûr que tu me dépannes en réparant l’électricité ?
• Non, pour votre tournage, la mienne fait plus de trente, à vue d’œil en érection, je me fais votre vieille pour 1 500 €.
• Tu te fous de ma gueule, mais dis-moi, comment t’appel tu et quel âge as-tu ?
• Dix-neuf dans deux mois et je m’appelle Chris
• Fais moi voir ta bite ?

J’ouvre la fermeture de ma cote de travail floquée du nom de mon entreprise et je lui montre mon sexe un peu gêné devant cet homme.

• Tu sais petit, baiser des vieilles, ça paraît facile, pourtant peu d’hommes sont capables de le faire.
Es-tu puceau ?

La sonnette sonne, ce doit être les clients qui arrivent.

• J’ai eu trois maîtresses, trois vieilles copines de ma mère, elles m’avaient vu petit et elles savaient que j’étais bien monté, la plus vieille avait soixante-douze ans.
• C’est incroyable, si tu es mon sauveur, ce sera 3 000 € que je vais te donnerais au lieu des 1 500 que tu me demandes.
Seulement, il faut que tu assumes, je te donnerais la part de ce pourri de Ludo.

Je fais croire que j’ai remis le circuit électrique en état, après avoir changé le fil bien sûr, mon patron va être content.
Le fil que je montre au client, je l’ai pris dans mon camion.
Je le tortille pour qu’il donne l’impression d’être usagé.
Je vais même jusqu’à entailler la gaine là où le clou a touché le fil, je le roule au sol et rebranche la prise.
Il est 14 heures 30 quand l’assistante, qui est arrivée, entre-temps me prends en main et me conduire à la maquilleuse.
C’est là que je rencontre la femme que je dois baiser et son mari qui semble la couvée des yeux.
Grande femme fine, plutôt élancé, la cinquantaine, ça va être un jeu d’enfant à la faire monter au rideau.
Je lis le semblant de scénario, je suis sur mon lit faisant celui qui dort
Ma queue sera au repos, la femme entrera, je commencerais par me faire sucer ce qui me fera bander.
Je me réveillerais et je lui ferais un cunnilingus.
Je la baiserais en missionnaire puis en levrette pour finir par l’enculer lui plaçant les jambes par-dessus tête.
Pour finir, il est dit à la volonté du moment de la cliente.
Ils feront des plans sur le mari qui se masturbera en regardant sa femme se faire baiser, le terme de candaulisme est employé.

• Je suis d’accord sur le scénario, c’est facile, je pense que je vais assurer patron, mais que veut dire le mot candaulisme !
• Jeune homme, Jeanne ma femme vient de me dire que le producteur l’a gâté en vous ayant choisi.
Je sais que vous allez faire avec elle un très beau film que je vais lui offrir pour la Saint Valentin.
Il se trouve que c’est aussi son anniversaire, cinquante ans, ça se fête et le mot candaulisme veut dire que moi le mari, je vais prendre mon pied à la regarder lorsque vous la baiserez.
Pour sa part, elle a la chatte qui mouille devant les jeunes hommes surtout bien montés comme vous l’êtes.
Nous avions ces fantasmes depuis notre mariage et grâce à ce film, nous allons tous les réaliser d’un coup.

L’assistance que son patron a appelé Prune est partie du plateau et revient.

• On est prêt à tourner, si vous voulez venir.

La femme a passé un peignoir sur son corps nue.
Ici pas de chichi, droit au but, même si la caméra est électronique et les images montées sur un CD.
Le temps des techniciens défile et la prod veut finir le plus tôt possible en dépensant un minimum.

• Première scène, Chris place toi sur le lit et fait celui qui dort.
Bien, maintenant nous allons tourner en son direct, silence complet, plus un mot.

Je suis intimidé, je manque d'éclater de rire, je me force à me calmer et je les vois entrer.

• Regarde Jeanne, je t’avais dit qu’il avait une jolie bite, je l’ai vue lorsqu’il s’est douché à la piscine l’autre jour.
• Tu as raison, Louis, me permets-tu de le réveiller ?
• Bien, sur mon aimée rejoignez le sur le lit, je vais me mettre dans ce fauteuil.

Celle que je découvre s’appeler Jeanne se met à mon côté, je sens le lit s’affaisser et sa main venir caresser ma hampe.
J’attends un moment et j’ouvre les yeux, je sens que je suis un bon acteur.

• Mon oncle, ma tante, que faite vous dans ma chambre.

Je joue très bien l’étonné.

• C’est ton anniversaire et celui de ta tante, je t’offre à elle, elle t’a vu nu et elle flash sur ta verge.

Elle se baisse, son peignoir est ouvert et je vois le cameraman faire un gros plan sur sa chatte épilée.
Je sens que je suis intimidé, je vais avoir du mal à bander.

• Couper, il a débandé…