COLLECTION STAR DU PORNO. Acteur porno (2/2)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION STAR DU PORNO. Acteur porno (2/2)
• Couper, il a débandé…
• Je le savais faire jouer un débutant, ce serait la cata.
• Laissez faire patron, Jeanne et moi nous allons le faire bander, vous n’aurez qu’à faire un raccord sur le début de la fellation et la bite bien rigide.
Chris, décontract toi et regarde moi dans les yeux.
Je fais ce qu’elle me demande, la situation est nouvelle pour moi, deux langues sur ma bite, quel jeune homme de bonne famille resterait insensible, surtout que Prune qui semble être environ de mon âge me plait.
Eh oui, c’est la petite Prune qui est venue à mon secours.
Ouf, je bande.
Cunnilingus, sur Jeanne, poursuivi par une pénétration vaginale, comme prévu dans la position du missionnaire.
• Louis, elle me remonte jusqu’à mes poumons, elle me coupe le souffle.
Je vois Prune qui a un chrono en mains.
Elle me fait signe d’activer mon pilonnage.
Elle a raison, la cliente jouie, sans faire semblant, pour cela, elle fait de grand mouvement avec son bassin, elle semble aimer se faire prendre virilement.
La sodo, le temps de la placer en lui relevant le dos, je vois le caméraman s’allonger sur le lit derrière nos intimités emboitées.
J’ai un moment de panique incompréhensif, je prends conscience que l’on va voir mon trou du cul.
Celui de ma partenaire, que j’ai devant mes yeux, baillent d’envie de se faire pénétrer.
Pourtant je suis loin de l’avoir touché.
J’ai un mouvement incontrôlé, je penche ma tête et ma bouche vient pratiquer une feuille de rose.
La femme est surprise, mais elle avance son bassin pour que je puisse entrer plus profondément la pointe de ma langue dans son trou du cul.
On peut croire que c’est l’instinct animal en moi qui me dicte ce cunni anal !
Rien de ça, dans les maîtresses que j’ai eues, Hortense la voisine de ma mère, grosse femme aux gros nichons, me faisait lui faire des feuilles de rose chaque fois que nous baisions.
Dégoulinante de graisse, il fallait avoir encore de la monter ce que j’ai fait la faisant hurler de plaisir.
Je relève ma tête pour reprendre mon souffle.
Une nouvelle fois Prune fait un mouvement sur ses fesses allant même jusqu’à me montrer le geste de son doigt dans son anus, il semble qu’il soit temps de la sodomiser.
Je prends ma queue et j’ai tout de même du mal à rentrer, pas si défoncée que ça la vieille bourgeoise.
D’ailleurs qui l’a déjà sodomisé cette femelle, son mec avec son petit bout qu’il masturbe désespérément ?
Même s’il est presque tendu, sa femme a-t-elle des amants sans qu’il le sache ?
Il est temps de finir le tournage, Prune me montre sa montre.
Je veux bien je suis bien au fond du trou du cul de la dame, mais dois-je envoyer la purée ?
Surtout que contrairement à Hortense, elle se met à jouir du trou du cul.
Sa chatte m’aspergeant d’un liquide en jet continu.
Un, deux, trois, ma verge dégouline de cette eau ou pisse sortant du con de cette femme.
Je vois sa bouche ouverte cherchant son souffle certainement d’étonnement, mais je présente ma verge et les jets sont captés par l’opérateur de la caméra, fort dans son boulot.
Jeanne avale mon sperme, le dernier tombant au bord de ses lèvres.
On peut croire qu’elle est bonne actrice, lorsqu’elle passe sa langue pour tout récupérer, mais ses yeux révulsés qui seront eux aussi saisis sur le film montrent qu’elle est toujours à dix mille.
• Coupé, c’est dans la boîte, monsieur, je pense que vous êtes satisfait de notre travail et surtout de notre acteur.
Tient madame revient parmi nous.
• Voir ma femme être femme fontaine ce qui ne lui était jamais arrivé, comment pourrais-je être déçu, Jeanne dès que nous serons à la maison, je vais te repasser ton film.
Tu verras comment tu perds le contrôle des choses sous la bite de ce grand acteur porno.
Je vous avais fait un chèque de la moitié de la somme, je vous dois 5 000 €, je vous le fais de 8 000 €, 1 000 pour vous et 2 000 de plus pour votre acteur.
Lorsque je repars, j’ai en poche de ma combi que j’ai remise.
5 000 € en liquide, la carte du client avec son numéro de téléphone.
Il veut que nous nous revoyions pour que je renouvelle ma prestation avec sa femme.
J’ai rempli la fiche de mes prestations en électricité, il se démerdera avec mon patron.
C’est Prune qui me remet la carte du client, je ne les ai pas revus après avoir fait monter madame au septième ciel.
Pour sa part, elle habite à deux pas et elle me fait monter prendre un dernier verre.
Vous voudriez savoir comment je baise ma femme, mettez-vous vous aussi le doigt dans l’œil jusqu’au trognon.
Ce que je peux dire, c’est que le lendemain revenant au boulot pour présenter ma démission, je dois tourner demain un autre film avec une autre cliente, se prenant pour une actrice porno.
Violette, c’est le nom de ma patronne, est seul, du moins au début, ils sont tous sur des chantiers sauf le patron qui est allé faire un devis.
Il y a longtemps que cette femme la quarante me fait de l’œil lorsque son mari s’absente et que je range dans la réserve.
Elle ne me croit pas quand je lui réponds qu’elle a devant elle le nouveau Rocco acteur italien mais version française.
Lorsque je soulève sa robe dégageant son gros postérieur, c’est avec délice que je la pointe, avant de la tirer dans son gros joufflu.
Le patron revient dans le bureau lorsque je viens de remplir le rectum de madame, le faisant hurler de dépis de se savoir cocu par son plus jeune employé.
Je remonte mon pantalon et je détalle, je sais qu’il est capable d’être violent et moi je suis pour la douceur, surtout avec vous, mesdames.
• On va tourner, plus un mot.
Prune est là comme chaque fois, elle est pro, je suis pro.
L’un comme l’autre nous savons que ces femmes que je baise ou que je vais baiser comme Jeanne ou je me rends ce soir, nous retournons un film, mais dans sa cuisine.
Je suis son neveu qui rentre alors qu’elle me prépare de la mousse au chocolat.
Lorsque nous allons repartir après que nous nous soyons douchés sous l’œil de la caméra, il lui faudra nettoyer de fond en comble la cuisine, nous l’avons ravagée et son mari comme le dit Omar, pas de bras pas de chocolat.
Je rigole pour les bras de Louis, il les a.
Mais c’est le chocolat qu’il va manquer après que je l’ai tartiné sur le cul de son épouse avant de coulisser dans sa gaine anale bien aidée par la texture du chocolat.
Prune, rigole de bons cœurs, lorsque nous sommes sous la douche et que Jeanne me fait une dernière fellation.
J’ignore si ma bite en la ramonant comme un malade dans sa cuisine a ramené quelques matières quelques peut ragoutantes.
Le chocolat va atténuer ces particules par sa couleur et son goût.
Avec Prune lorsque nous évoquerons notre avenir, nous parlerons, non nous reverrions de notre manège à chevaux promis à l’abattoir que nous ouvrirons dans un coin du pays.
Ce sera là que nous oublierons les trous du cul de ces dames et les films pornographiques que je tourne à travers le monde avec ma scripte favorite.
Quand j’y repense, quelle chance que mon patron m’ait envoyé réparée cette prise.
Pour sa part, je repasse de temps en temps, entre deux tournages.
L’atelier et la boutique d’électricité sont fermés, il se dit que la patronne a été surprise en train de baiser avec l’un de ses employés malgré son gros cul et qu’ils ont divorcé.
Comme le patron a été dans l’impossibilité de prouver que c’était la réalité, elle a tout raflé le laissant sur la paille.
Y a-t-il une morale dans mon histoire ?
Je l’ignore, mais il est sûr qu’il faut être opportuniste dans la vie.
Surtout lorsqu’elle vous a donné le matériel pour satisfaire ces dames et les images résultant de tous ces tournages.
• Je le savais faire jouer un débutant, ce serait la cata.
• Laissez faire patron, Jeanne et moi nous allons le faire bander, vous n’aurez qu’à faire un raccord sur le début de la fellation et la bite bien rigide.
Chris, décontract toi et regarde moi dans les yeux.
Je fais ce qu’elle me demande, la situation est nouvelle pour moi, deux langues sur ma bite, quel jeune homme de bonne famille resterait insensible, surtout que Prune qui semble être environ de mon âge me plait.
Eh oui, c’est la petite Prune qui est venue à mon secours.
Ouf, je bande.
Cunnilingus, sur Jeanne, poursuivi par une pénétration vaginale, comme prévu dans la position du missionnaire.
• Louis, elle me remonte jusqu’à mes poumons, elle me coupe le souffle.
Je vois Prune qui a un chrono en mains.
Elle me fait signe d’activer mon pilonnage.
Elle a raison, la cliente jouie, sans faire semblant, pour cela, elle fait de grand mouvement avec son bassin, elle semble aimer se faire prendre virilement.
La sodo, le temps de la placer en lui relevant le dos, je vois le caméraman s’allonger sur le lit derrière nos intimités emboitées.
J’ai un moment de panique incompréhensif, je prends conscience que l’on va voir mon trou du cul.
Celui de ma partenaire, que j’ai devant mes yeux, baillent d’envie de se faire pénétrer.
Pourtant je suis loin de l’avoir touché.
J’ai un mouvement incontrôlé, je penche ma tête et ma bouche vient pratiquer une feuille de rose.
La femme est surprise, mais elle avance son bassin pour que je puisse entrer plus profondément la pointe de ma langue dans son trou du cul.
On peut croire que c’est l’instinct animal en moi qui me dicte ce cunni anal !
Rien de ça, dans les maîtresses que j’ai eues, Hortense la voisine de ma mère, grosse femme aux gros nichons, me faisait lui faire des feuilles de rose chaque fois que nous baisions.
Dégoulinante de graisse, il fallait avoir encore de la monter ce que j’ai fait la faisant hurler de plaisir.
Je relève ma tête pour reprendre mon souffle.
Une nouvelle fois Prune fait un mouvement sur ses fesses allant même jusqu’à me montrer le geste de son doigt dans son anus, il semble qu’il soit temps de la sodomiser.
Je prends ma queue et j’ai tout de même du mal à rentrer, pas si défoncée que ça la vieille bourgeoise.
D’ailleurs qui l’a déjà sodomisé cette femelle, son mec avec son petit bout qu’il masturbe désespérément ?
Même s’il est presque tendu, sa femme a-t-elle des amants sans qu’il le sache ?
Il est temps de finir le tournage, Prune me montre sa montre.
Je veux bien je suis bien au fond du trou du cul de la dame, mais dois-je envoyer la purée ?
Surtout que contrairement à Hortense, elle se met à jouir du trou du cul.
Sa chatte m’aspergeant d’un liquide en jet continu.
Un, deux, trois, ma verge dégouline de cette eau ou pisse sortant du con de cette femme.
Je vois sa bouche ouverte cherchant son souffle certainement d’étonnement, mais je présente ma verge et les jets sont captés par l’opérateur de la caméra, fort dans son boulot.
Jeanne avale mon sperme, le dernier tombant au bord de ses lèvres.
On peut croire qu’elle est bonne actrice, lorsqu’elle passe sa langue pour tout récupérer, mais ses yeux révulsés qui seront eux aussi saisis sur le film montrent qu’elle est toujours à dix mille.
• Coupé, c’est dans la boîte, monsieur, je pense que vous êtes satisfait de notre travail et surtout de notre acteur.
Tient madame revient parmi nous.
• Voir ma femme être femme fontaine ce qui ne lui était jamais arrivé, comment pourrais-je être déçu, Jeanne dès que nous serons à la maison, je vais te repasser ton film.
Tu verras comment tu perds le contrôle des choses sous la bite de ce grand acteur porno.
Je vous avais fait un chèque de la moitié de la somme, je vous dois 5 000 €, je vous le fais de 8 000 €, 1 000 pour vous et 2 000 de plus pour votre acteur.
Lorsque je repars, j’ai en poche de ma combi que j’ai remise.
5 000 € en liquide, la carte du client avec son numéro de téléphone.
Il veut que nous nous revoyions pour que je renouvelle ma prestation avec sa femme.
J’ai rempli la fiche de mes prestations en électricité, il se démerdera avec mon patron.
C’est Prune qui me remet la carte du client, je ne les ai pas revus après avoir fait monter madame au septième ciel.
Pour sa part, elle habite à deux pas et elle me fait monter prendre un dernier verre.
Vous voudriez savoir comment je baise ma femme, mettez-vous vous aussi le doigt dans l’œil jusqu’au trognon.
Ce que je peux dire, c’est que le lendemain revenant au boulot pour présenter ma démission, je dois tourner demain un autre film avec une autre cliente, se prenant pour une actrice porno.
Violette, c’est le nom de ma patronne, est seul, du moins au début, ils sont tous sur des chantiers sauf le patron qui est allé faire un devis.
Il y a longtemps que cette femme la quarante me fait de l’œil lorsque son mari s’absente et que je range dans la réserve.
Elle ne me croit pas quand je lui réponds qu’elle a devant elle le nouveau Rocco acteur italien mais version française.
Lorsque je soulève sa robe dégageant son gros postérieur, c’est avec délice que je la pointe, avant de la tirer dans son gros joufflu.
Le patron revient dans le bureau lorsque je viens de remplir le rectum de madame, le faisant hurler de dépis de se savoir cocu par son plus jeune employé.
Je remonte mon pantalon et je détalle, je sais qu’il est capable d’être violent et moi je suis pour la douceur, surtout avec vous, mesdames.
• On va tourner, plus un mot.
Prune est là comme chaque fois, elle est pro, je suis pro.
L’un comme l’autre nous savons que ces femmes que je baise ou que je vais baiser comme Jeanne ou je me rends ce soir, nous retournons un film, mais dans sa cuisine.
Je suis son neveu qui rentre alors qu’elle me prépare de la mousse au chocolat.
Lorsque nous allons repartir après que nous nous soyons douchés sous l’œil de la caméra, il lui faudra nettoyer de fond en comble la cuisine, nous l’avons ravagée et son mari comme le dit Omar, pas de bras pas de chocolat.
Je rigole pour les bras de Louis, il les a.
Mais c’est le chocolat qu’il va manquer après que je l’ai tartiné sur le cul de son épouse avant de coulisser dans sa gaine anale bien aidée par la texture du chocolat.
Prune, rigole de bons cœurs, lorsque nous sommes sous la douche et que Jeanne me fait une dernière fellation.
J’ignore si ma bite en la ramonant comme un malade dans sa cuisine a ramené quelques matières quelques peut ragoutantes.
Le chocolat va atténuer ces particules par sa couleur et son goût.
Avec Prune lorsque nous évoquerons notre avenir, nous parlerons, non nous reverrions de notre manège à chevaux promis à l’abattoir que nous ouvrirons dans un coin du pays.
Ce sera là que nous oublierons les trous du cul de ces dames et les films pornographiques que je tourne à travers le monde avec ma scripte favorite.
Quand j’y repense, quelle chance que mon patron m’ait envoyé réparée cette prise.
Pour sa part, je repasse de temps en temps, entre deux tournages.
L’atelier et la boutique d’électricité sont fermés, il se dit que la patronne a été surprise en train de baiser avec l’un de ses employés malgré son gros cul et qu’ils ont divorcé.
Comme le patron a été dans l’impossibilité de prouver que c’était la réalité, elle a tout raflé le laissant sur la paille.
Y a-t-il une morale dans mon histoire ?
Je l’ignore, mais il est sûr qu’il faut être opportuniste dans la vie.
Surtout lorsqu’elle vous a donné le matériel pour satisfaire ces dames et les images résultant de tous ces tournages.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un pour, un contre, pas facile de faire 2 pour mais ca évite deux contre...
Chris j’ai aimé ton histoire passer
D’électricien à star porno avec ta jolie scripte
Daniel
́
D’électricien à star porno avec ta jolie scripte
Daniel
́
Mal écrit, bourré de fautes.

