COLLECTION STAR DU PORNO. Grand-mère était actrice porno (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION STAR DU PORNO. Grand-mère était actrice porno (2/2)
Je m’appelle Susy, je suis la fille de Marie et la petite fille de Mamy Alexandra, dont j’ai découvert que cette dernière était actrice porno dans les années soixante à soixante-dix.
C’est sur Internet que j’ai fait cette découverte étonnante, ma grand-mère pour moi étant un puits de vertu.
À part son vieux chauffeur qui habite seul dans la petite maison attenant à la propriété qu’elle possède à Neuilly et où je suis venue lui montrer ma découverte et lui poser des questions, elle vit seule.
Maman a trois longueurs d’avance, on pourrait même dire que c’est une bigote, qui semble ignorer, comment je suis venue au monde !
À la maison, alors qu’elle m’a élevé seule, les conversations sur le sexe étaient bannies.
Y aurait-il une deuxième Marie venue sur terre pour sauver les hommes et surtout nous les femmes, salopes jusqu’au bout des ongles.
J’en étais là de mes réflexions, lorsque sur mon smartphone, regardant des films de cul des débuts du cinéma porno toléré par l’État français, je suis tombée sur les films d’une certaine Alexandra Love.
Trait pour trait, malgré la blondeur de cette jeune Alexandra, elle avait gardé son prénom, je retrouvais ses traits et surtout mes traits, en ces années 2000.
Cinq films, avec cette actrice, m’ont convaincu que cette femme était ma grand-mère.
J’ai assez de connivence avec elle pour aller lui poser la question et surtout lui montrer ces images.
Contre toute attente, elle crédibilise mes doutes.
Elle m’explique comment vers vingt ans, en mai 68, elle, fille de famille bourgeoise parisienne, elle s’était trouvée embringuée dans une vie bien différente que celle tracée pour des jeunes filles de son milieu.
J’avais déjà entendu l’expression « faite l’amour, pas la guerre » ce qu’elle a fini par faire dans une communauté installée dans le centre de la France.
Armand, Claudius et autres Luc auront été ses amants au début dans cette ferme avant de tourner ces films pornographiques avec le matériel que Richard avait dans sa camionnette Citroën.
Dans ces films, en plus des garçons qui lui font l’amour de toutes les façons dont j’ai appris qu’on le faisait, il y avait des femmes ou des jeunes filles de son âge.
Là encore, Mamy répond à mes interrogations, elle se gouinait avec Jennifer et autres, Sylvia, Brigitte sans oublier Delfynn.
Mamy a continué à me raconter l’histoire de sa jeunesse.
• C’est le lendemain de mon arrivée, lorsque Geoffroy nous a partagé nos taches alors que nous avions fait l’amour une partie de la nuit que je me suis retrouvée assignée au lavage du linge.
Je suis allée jusqu’au petit bras de la rivière avec Jennifer pour laver les draps qui avaient été changés la veille de mon arrivée.
Nous avons fait le travail, nous étions dans un coin tranquille surtout à cette époque alors que nous étions en Bikini.
Jennifer ayant accouché quelque temps plus tôt avait des seins magnifiques, tu peux les voir sur ces images, c’est elle.
Nous avons lavé plusieurs paires, lorsqu’elle m’a envoyé de l’eau pour s’amuser, je me suis pris au jeu et j’en ai fait de même.
Nous avons fini par rouler sur l’herbe et surtout sur un drap étendu pour qu’il sèche.
Ses seins sont venus au contact des miens, mes pointes se sont érigées.
J’ignorais que ce que nous faisions se faisait entre femmes, les hommes je venais depuis quelques jours de le découvrir.
C’était donc la première fois que j’embrassais une autre femme.
• Moi aussi, mamy, je connais, j’ai eu une expérience lesbienne avec Sonia, une amie d’enfance chez qui j’allais faire mes devoirs les mercredis.
• Quelle jeunesse, vous êtes incroyable.
Moi c’est par accident que je me suis retrouvée dans cette société libertine alors que j’étais programmée pour devenir une bonne bourgeoise parisienne.
• Internet a bouleversé les choses, mamy, je te l’ai dit, j’avais une douzaine d’années lorsque j’ai vu mes premières images pornographiques.
Mais aussi de mes yeux, papa baisant maman dans le salon.
• Ou la bonne !
• Ça sent le vécu, mamy !
• Oui, moi aussi, chez nous, avant que mon père me mette à la porte.
Je l’ai vu un jour avec notre bonne dans la cuisine sans que pour autant je sache que lorsqu’il était derrière elle le buste de la fille sur la table, il la baisait.
« Faite ce que je dis et non ce que je fais », ça semblait être sa devise dans ces années-là.
Je vais t’avouer un secret ma chérie, lorsque nous tournions nous étant laissé entrainé par Richard qui connaissait le maniement de ces grosses caméras, ce sont les scènes avec les autres femmes que je préférais.
J’adorais leur douceur comparée à la rudesse des hommes surtout dans les scènes de domination.
• J’ai vu que lorsqu’il te prenait en levrette, souvent tu te faisais claquer les fesses.
• Oui, je sais que maintenant, ils tournent avec de petites caméras portables électroniques et qu’ils tournent scènes par scènes avec plusieurs prises s’il le faut.
De mon temps la pellicule était très chère et nous tournions en continuité en une seule prise.
Dans ce deuxième donc, « Baiser dans la prairie », j’avais une scène avec Brigitte, très connue par la suite, elle a fait de la radio.
• Brigitte ?
• Oui, la blonde reconvertie à la radio ou elle donne des conseils sur la vie de couple et le sexe.
Nous gardions les vaches et Richard ayant installé la caméra tournait.
Nous nous faisions un 69, tu sais pourquoi 69 ma chérie !
• Je voudrais jouer les ingénues, mamy, je te dirais « département du Rhône, capitale Lyon », mais 69 représente la figure formée par deux corps tête-bêche.
• Donc, tête-bêche, elle dessus et moi dessous, j’ai vu et tu le vois aussi une vache s’approcher.
Une fraction de seconde, j’ai cru que Richard allait dire « couper », mais il a continué de tourner le museau de Marguerite se trouvant dans le champ de la caméra.
Bien lui en a pris, Brigitte savait, se servir de sa langue et de ses doigts, j’ai eu l’un de mes plus grands orgasmes de ces moments-là.
Susy, je suis une grand-mère indigne, je te parle de 69, de cunnilingus et double pénétration vaginale, à tes jeunes oreilles.
• 69 et cunnilingus avec Brigitte, oui, mais double anale, oui, je me souviens t’avoir vue dans « le journal érotique d’un bucheron. »
• C’était Luc et Armand avec qui nous avons tourné la scène, j’avais déjà la bite d’Armand dans la chatte et Luc devait me prendre en me sodomisant.
Il a glissé et sa verge s’est trouvé à entrer, elle aussi dans mon anus.
Deux bites, ma rosette était tendue et là encore j’ai joui pendant que Richard filmait.
• Il faudra que j’essaye la prochaine fois que je trouverais deux mecs pour me baiser.
• Susy, tu parles à ta grand-mère, soit un peu plus discrète dans tes propos.
• Mamy, l’actrice à cette heure, c’est toi, moi je suis une jeune fille de son temps qui aime jouir de son corps.
Mais dit moi, tu as fait cinq films et tu as eu maman.
Y a-t-il un point commun entre ses films et sa naissance, les rares fois où j’ai pu lui parler de son père, mon grand-père, j’ai trouvé bouche close.
Comme pour le mien, d’ailleurs.
• Tu es franche avec moi sur ta vie amoureuse, je vais l’être alors que j’ignore qui m’a mise enceinte.
• Arrête mamy, tu fais comme maman et la vierge Marie, sans être pour le mariage pour tous, un bébé, c’est un papa une maman ou au moins la rencontre d’un ovule et d’un spermatozoïde.
• Je vois que tu as bien retenu tes cours de sexualité que je crois vous ai proposé à l’école.
Les bébés éprouvette fin des années 70, Dolly la brebis a été clonée presque à la fin du 20ème siècle.
De ce côté inutile de chercher !
Ia pilule, c’était difficile de s’en procurer, mais dans le milieu où j’avais atterri, nous avions la possibilité d’en obtenir et je la prenais.
Un jour un notaire m’a fait demander.
On venait m’annoncer que j’étais la digne héritière de mon papa et de ma maman.
Papa était un gros fumeur, plus de trois paquets de clopes par mois.
Il est mort d’un cancer du poumon, il m’a été dit que maman a trainé sa misère pendant deux mois avant de vider la pharmacie et de prendre un cocktail de médicaments qui l’ont terrassé.
Elle a été retrouvée quinze jours plus tard, morte, bien sûr, et à son odeur.
Les voisins qui ont donné l’alerte, on dit aux enquêteurs qu’ils avaient une fille qui avait été mise à la porte par son père.
J’ai été recherchée et retrouvée dans ma communauté, je venais de finir le cinquième film.
Je suis rentrée à Paris et j’ai hérité de tous leurs biens, la fortune familiale.
Neuf mois plus tard, je mettais au monde une petite fille sans savoir que j’avais été enceinte.
Mes formes avaient quelque peu évolué, mais je mettais ça sur le compte du chocolat dont je me gavais.
J’avais assez de biens pour vivre sans travailler, mais j’avais coupé en partie les liens avec le milieu de la pornographie.
Mon médecin a considéré que j’avais fait un déni de grossesse et que la pilule avait foiré, ça arrive.
Ta mère est donc née de père inconnu, car lors de ce dernier film, tous les acteurs avaient déchargé en moi.
Tu as vu ce film, le cinquième, on a tourné avec des petits Caméscopes à cassettes et Richard a fait des gros plans du sperme sortant de mon vagin à chaque fois avec un partenaire différent.
• Mamy, je suis, moi aussi née de père inconnu, maman a-t-elle été dans une communauté !
• Non, ta mère a été séduite par un bel italien qui a permis ta venue au monde, mais qui est parti dès sa semence déposée, sans demander son reste.
Avec ta mère, nous l’avons recherché sans grand succès et ta mère t’a élevé avec l’argent que je lui donne.
Si j’avais fait comme mon père, elle aurait fini pute à Barbès et toi dans un foyer pour enfants.
• Grand-mère, j’ai une demande à te faire, as-tu gardé des liens avec le milieu porno ?
• Moi non, mais une personne que je connais oui, pourquoi cette question.
• Je suis nul en étude et je veux vivre sans être à vos crochets.
J’aimerais faire comme toi et tourner des films pornographiques, peux-tu lui demander de me pistonner pour tourner dans ce type de film.
• C’est facile, il me suffit de l’appeler, c’est Armand, mon chauffeur.
• Celui qui tourne avec toi dans tes films ?
• Oui, un jour, il a sonné à ma porte, il m’avait retrouvé.
Il avait vieilli et les contrats se faisaient rares, il était presque à la rue, je vais l’appeler.
• Alexandra, je voulais te demander, oh ! pardon, j’ignorais que ta petite fille était là, je reviendrais.
• Non, entre, elle a quelque chose à te demander !
Voilà les choses sont facile lorsqu’on possède les bons appuis.
À cette intrusion, j’ai compris deux choses, ma mamy avait encore une vie sexuelle malgré ses cheveux blancs, Armand étant sortie de sa chambre, nu comme un ver.
Mais, surtout qu’un bon appui est bien utile pour percer même dans le porno.
Je suis en train de préparer mes valises, départ pour l’Italie ou je vais tourner à Venise.
Une jeune mariée en voyage de noces, séduite par un bel Italien.
Dommage Rocco a arrêté de tourner, j’aime les bites imposantes.
Avec de la chance, je retrouverais mon père, comme bon nombre de personnes nées de père inconnu, j’aspire à combler ce vide.
C’est sur Internet que j’ai fait cette découverte étonnante, ma grand-mère pour moi étant un puits de vertu.
À part son vieux chauffeur qui habite seul dans la petite maison attenant à la propriété qu’elle possède à Neuilly et où je suis venue lui montrer ma découverte et lui poser des questions, elle vit seule.
Maman a trois longueurs d’avance, on pourrait même dire que c’est une bigote, qui semble ignorer, comment je suis venue au monde !
À la maison, alors qu’elle m’a élevé seule, les conversations sur le sexe étaient bannies.
Y aurait-il une deuxième Marie venue sur terre pour sauver les hommes et surtout nous les femmes, salopes jusqu’au bout des ongles.
J’en étais là de mes réflexions, lorsque sur mon smartphone, regardant des films de cul des débuts du cinéma porno toléré par l’État français, je suis tombée sur les films d’une certaine Alexandra Love.
Trait pour trait, malgré la blondeur de cette jeune Alexandra, elle avait gardé son prénom, je retrouvais ses traits et surtout mes traits, en ces années 2000.
Cinq films, avec cette actrice, m’ont convaincu que cette femme était ma grand-mère.
J’ai assez de connivence avec elle pour aller lui poser la question et surtout lui montrer ces images.
Contre toute attente, elle crédibilise mes doutes.
Elle m’explique comment vers vingt ans, en mai 68, elle, fille de famille bourgeoise parisienne, elle s’était trouvée embringuée dans une vie bien différente que celle tracée pour des jeunes filles de son milieu.
J’avais déjà entendu l’expression « faite l’amour, pas la guerre » ce qu’elle a fini par faire dans une communauté installée dans le centre de la France.
Armand, Claudius et autres Luc auront été ses amants au début dans cette ferme avant de tourner ces films pornographiques avec le matériel que Richard avait dans sa camionnette Citroën.
Dans ces films, en plus des garçons qui lui font l’amour de toutes les façons dont j’ai appris qu’on le faisait, il y avait des femmes ou des jeunes filles de son âge.
Là encore, Mamy répond à mes interrogations, elle se gouinait avec Jennifer et autres, Sylvia, Brigitte sans oublier Delfynn.
Mamy a continué à me raconter l’histoire de sa jeunesse.
• C’est le lendemain de mon arrivée, lorsque Geoffroy nous a partagé nos taches alors que nous avions fait l’amour une partie de la nuit que je me suis retrouvée assignée au lavage du linge.
Je suis allée jusqu’au petit bras de la rivière avec Jennifer pour laver les draps qui avaient été changés la veille de mon arrivée.
Nous avons fait le travail, nous étions dans un coin tranquille surtout à cette époque alors que nous étions en Bikini.
Jennifer ayant accouché quelque temps plus tôt avait des seins magnifiques, tu peux les voir sur ces images, c’est elle.
Nous avons lavé plusieurs paires, lorsqu’elle m’a envoyé de l’eau pour s’amuser, je me suis pris au jeu et j’en ai fait de même.
Nous avons fini par rouler sur l’herbe et surtout sur un drap étendu pour qu’il sèche.
Ses seins sont venus au contact des miens, mes pointes se sont érigées.
J’ignorais que ce que nous faisions se faisait entre femmes, les hommes je venais depuis quelques jours de le découvrir.
C’était donc la première fois que j’embrassais une autre femme.
• Moi aussi, mamy, je connais, j’ai eu une expérience lesbienne avec Sonia, une amie d’enfance chez qui j’allais faire mes devoirs les mercredis.
• Quelle jeunesse, vous êtes incroyable.
Moi c’est par accident que je me suis retrouvée dans cette société libertine alors que j’étais programmée pour devenir une bonne bourgeoise parisienne.
• Internet a bouleversé les choses, mamy, je te l’ai dit, j’avais une douzaine d’années lorsque j’ai vu mes premières images pornographiques.
Mais aussi de mes yeux, papa baisant maman dans le salon.
• Ou la bonne !
• Ça sent le vécu, mamy !
• Oui, moi aussi, chez nous, avant que mon père me mette à la porte.
Je l’ai vu un jour avec notre bonne dans la cuisine sans que pour autant je sache que lorsqu’il était derrière elle le buste de la fille sur la table, il la baisait.
« Faite ce que je dis et non ce que je fais », ça semblait être sa devise dans ces années-là.
Je vais t’avouer un secret ma chérie, lorsque nous tournions nous étant laissé entrainé par Richard qui connaissait le maniement de ces grosses caméras, ce sont les scènes avec les autres femmes que je préférais.
J’adorais leur douceur comparée à la rudesse des hommes surtout dans les scènes de domination.
• J’ai vu que lorsqu’il te prenait en levrette, souvent tu te faisais claquer les fesses.
• Oui, je sais que maintenant, ils tournent avec de petites caméras portables électroniques et qu’ils tournent scènes par scènes avec plusieurs prises s’il le faut.
De mon temps la pellicule était très chère et nous tournions en continuité en une seule prise.
Dans ce deuxième donc, « Baiser dans la prairie », j’avais une scène avec Brigitte, très connue par la suite, elle a fait de la radio.
• Brigitte ?
• Oui, la blonde reconvertie à la radio ou elle donne des conseils sur la vie de couple et le sexe.
Nous gardions les vaches et Richard ayant installé la caméra tournait.
Nous nous faisions un 69, tu sais pourquoi 69 ma chérie !
• Je voudrais jouer les ingénues, mamy, je te dirais « département du Rhône, capitale Lyon », mais 69 représente la figure formée par deux corps tête-bêche.
• Donc, tête-bêche, elle dessus et moi dessous, j’ai vu et tu le vois aussi une vache s’approcher.
Une fraction de seconde, j’ai cru que Richard allait dire « couper », mais il a continué de tourner le museau de Marguerite se trouvant dans le champ de la caméra.
Bien lui en a pris, Brigitte savait, se servir de sa langue et de ses doigts, j’ai eu l’un de mes plus grands orgasmes de ces moments-là.
Susy, je suis une grand-mère indigne, je te parle de 69, de cunnilingus et double pénétration vaginale, à tes jeunes oreilles.
• 69 et cunnilingus avec Brigitte, oui, mais double anale, oui, je me souviens t’avoir vue dans « le journal érotique d’un bucheron. »
• C’était Luc et Armand avec qui nous avons tourné la scène, j’avais déjà la bite d’Armand dans la chatte et Luc devait me prendre en me sodomisant.
Il a glissé et sa verge s’est trouvé à entrer, elle aussi dans mon anus.
Deux bites, ma rosette était tendue et là encore j’ai joui pendant que Richard filmait.
• Il faudra que j’essaye la prochaine fois que je trouverais deux mecs pour me baiser.
• Susy, tu parles à ta grand-mère, soit un peu plus discrète dans tes propos.
• Mamy, l’actrice à cette heure, c’est toi, moi je suis une jeune fille de son temps qui aime jouir de son corps.
Mais dit moi, tu as fait cinq films et tu as eu maman.
Y a-t-il un point commun entre ses films et sa naissance, les rares fois où j’ai pu lui parler de son père, mon grand-père, j’ai trouvé bouche close.
Comme pour le mien, d’ailleurs.
• Tu es franche avec moi sur ta vie amoureuse, je vais l’être alors que j’ignore qui m’a mise enceinte.
• Arrête mamy, tu fais comme maman et la vierge Marie, sans être pour le mariage pour tous, un bébé, c’est un papa une maman ou au moins la rencontre d’un ovule et d’un spermatozoïde.
• Je vois que tu as bien retenu tes cours de sexualité que je crois vous ai proposé à l’école.
Les bébés éprouvette fin des années 70, Dolly la brebis a été clonée presque à la fin du 20ème siècle.
De ce côté inutile de chercher !
Ia pilule, c’était difficile de s’en procurer, mais dans le milieu où j’avais atterri, nous avions la possibilité d’en obtenir et je la prenais.
Un jour un notaire m’a fait demander.
On venait m’annoncer que j’étais la digne héritière de mon papa et de ma maman.
Papa était un gros fumeur, plus de trois paquets de clopes par mois.
Il est mort d’un cancer du poumon, il m’a été dit que maman a trainé sa misère pendant deux mois avant de vider la pharmacie et de prendre un cocktail de médicaments qui l’ont terrassé.
Elle a été retrouvée quinze jours plus tard, morte, bien sûr, et à son odeur.
Les voisins qui ont donné l’alerte, on dit aux enquêteurs qu’ils avaient une fille qui avait été mise à la porte par son père.
J’ai été recherchée et retrouvée dans ma communauté, je venais de finir le cinquième film.
Je suis rentrée à Paris et j’ai hérité de tous leurs biens, la fortune familiale.
Neuf mois plus tard, je mettais au monde une petite fille sans savoir que j’avais été enceinte.
Mes formes avaient quelque peu évolué, mais je mettais ça sur le compte du chocolat dont je me gavais.
J’avais assez de biens pour vivre sans travailler, mais j’avais coupé en partie les liens avec le milieu de la pornographie.
Mon médecin a considéré que j’avais fait un déni de grossesse et que la pilule avait foiré, ça arrive.
Ta mère est donc née de père inconnu, car lors de ce dernier film, tous les acteurs avaient déchargé en moi.
Tu as vu ce film, le cinquième, on a tourné avec des petits Caméscopes à cassettes et Richard a fait des gros plans du sperme sortant de mon vagin à chaque fois avec un partenaire différent.
• Mamy, je suis, moi aussi née de père inconnu, maman a-t-elle été dans une communauté !
• Non, ta mère a été séduite par un bel italien qui a permis ta venue au monde, mais qui est parti dès sa semence déposée, sans demander son reste.
Avec ta mère, nous l’avons recherché sans grand succès et ta mère t’a élevé avec l’argent que je lui donne.
Si j’avais fait comme mon père, elle aurait fini pute à Barbès et toi dans un foyer pour enfants.
• Grand-mère, j’ai une demande à te faire, as-tu gardé des liens avec le milieu porno ?
• Moi non, mais une personne que je connais oui, pourquoi cette question.
• Je suis nul en étude et je veux vivre sans être à vos crochets.
J’aimerais faire comme toi et tourner des films pornographiques, peux-tu lui demander de me pistonner pour tourner dans ce type de film.
• C’est facile, il me suffit de l’appeler, c’est Armand, mon chauffeur.
• Celui qui tourne avec toi dans tes films ?
• Oui, un jour, il a sonné à ma porte, il m’avait retrouvé.
Il avait vieilli et les contrats se faisaient rares, il était presque à la rue, je vais l’appeler.
• Alexandra, je voulais te demander, oh ! pardon, j’ignorais que ta petite fille était là, je reviendrais.
• Non, entre, elle a quelque chose à te demander !
Voilà les choses sont facile lorsqu’on possède les bons appuis.
À cette intrusion, j’ai compris deux choses, ma mamy avait encore une vie sexuelle malgré ses cheveux blancs, Armand étant sortie de sa chambre, nu comme un ver.
Mais, surtout qu’un bon appui est bien utile pour percer même dans le porno.
Je suis en train de préparer mes valises, départ pour l’Italie ou je vais tourner à Venise.
Une jeune mariée en voyage de noces, séduite par un bel Italien.
Dommage Rocco a arrêté de tourner, j’aime les bites imposantes.
Avec de la chance, je retrouverais mon père, comme bon nombre de personnes nées de père inconnu, j’aspire à combler ce vide.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quel écrivain de luxe avec des histoires bien décousues entre elles pour faire un récit imaginaire bien ficelé et excitant...
Cyrille
Cyrille