COLLECTION TABOU. La prof de français est une salope (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION TABOU. La prof de français est une salope (1/2)
• Léticia, pouvez-vous passer me voir à la fin de mon cours.
• Qu’ai-je fait de mal madame Lucette ?
• Je vous demande simplement de venir me voir, vous verrez pourquoi.
Je suis la nouvelle élève arrivée en cours d’année, ma mère ayant été mutée à Paris dans cette nouvelle ville pour moi.
À 18 ans, j’avais le choix de rester à Blois dans les bras de Charles, mon amant depuis deux ans.
Il pouvait m’héberger et maman était prête à accepter la séparation.
Cela arrivait alors que j’étais déjà à deux doigts de prendre la décision de le quitter.
Cette mutation au siège social de sa banque m’en a donné l’occasion sans que les larmes nous submergent.
• Que me voulez-vous madame Lucette.
• Léticia, je vais vous dire le fond de ma pensée.
J’ignore comment les professeurs d’où vous venez travaillaient, mais j’ai constaté des lacunes entre vous et les élèves de ma classe.
Ça peut être préjudiciable lors du passage du bac de Français.
Accepteriez-vous de venir chez moi à cette adresse mercredi après-midi pour que je vous fournisse des bouquins vous permettant de vous remettre à niveau ?
• C’est sympa, surtout étant à mille lieues de me rendre compte du retard par rapport aux autres.
• Croyez-moi sur parole, ce retard existe.
Ça fait trois ans que je prépare des élèves de votre âge à passer leur bac de Français, toujours avec succès.
Quel âge a madame Lucette, à peine plus âgé que moi à cinq ou six ans près.
22, 24, 26.
26, voilà j’y suis, immeuble moderne, on sent que la prof a des moyens.
Elle est mariée ayant une alliance, son mari doit avoir de gros moyens.
• Entre Léticia, allons directement dans mon bureau.
Excuse ma tenue, après ton rendez-vous, je dois aller faire une course importante pour mon mari, je sors de ma douche.
Je m’habillerais après.
La prof est simplement recouverte avec un déshabillé négligemment attaché, me montrant une partie du galbe de ses seins.
Ils sont fort beaux et semblent bien fermes.
Mais je suis hétéro, loin de moi l’envie de les prendre dans ma main, encore moins dans ma bouche.
• Assieds-toi là, j’ai préparé les livres que je veux que tu lise, je vais te montrer les passages principaux qui te seront utiles le jour du bac.
Elle s’assoit à mon côté en croisant les jambes.
Son déshabillé en soie glisse me découvrant ses jambes jusqu’à sa fourche.
Je vois quelques poils bruns.
Contrairement à moi qui suis épilée intégralement, elle semble avoir gardé sa toison.
Il y a cinq minutes que nous parlons des sujets susceptibles de sortir au bac de Français quand sa main vient se poser sur ma cuisse dénudée.
Je suis en mini, vraiment mini.
Le galbe de mes jambes est aussi parfait que celui des siennesJe suis toujours en mini, je mets des shorts seulement l’été.
J’aime qu’ils soient près de ma chatte comme cette mini en jean porter aujourd’hui.
Elle me regarde, je la regarde.
• Je te choque.
• Non, madame Lucette, c’est agréable.
• Appelle moi simplement Lucette, disons-nous, tu !
Je sais, chez moi j’aime être un peu provocante, lorsque je suis seule je me promène nue.
• Qui y a-t-il de choquant.
Je me sens répondre ces mots et je sens en perdition.
Surtout que la main remonte et sans aucun mal, vu la distance trouve ma petite culotte.
Contrairement avec Charles où je suis longue à la détente, je commence à mouiller.
Je sens mon clito gonflé et certainement être sorti de son capuchon.
Il frotte sur le voile léger qui le recouvre.
Comme nous sommes assises, nos têtes tournées, c’est sans réfléchir que j’accepte ses lèvres sur les miennes.
Je me sens encore obligé de comparer avec Charles plus rude et plus brusque dans ces mouvements.
Sa langue surtout, sa main contournant le voile, caressant mon point faible.
Mon clito comme celui de nombreuses femmes, je le pense, trop souvent négligé. C’était le cas de Charles qui voulait partager ma vie avant que je le quitte.
Je suis assise sur une chaise de bureau pivotante comme la sienne.
Ça devait être à dessein, car elle me fait tourner en même temps qu’elle se lève repoussant son siège et s’agenouillant.
• Tu aimes !
• Oui, continue.
Le brouillard qui m’entoure rend la situation presque irréelle lorsque ses lèvres viennent se coller à mon string rose.
Je suis à deux doigts de lui dire « attention, tu es ma prof », mais elle écarte ma protection, si protection il y a, et me suce mon clito.
J’avais bien senti qu’il était réveillé en pleine forme, car en moins de temps qu’il n’en faut, une première décharge irradie mon corps.
Au lieu de m’offusquer de ses initiatives hors du champ de l’Éducation nationale, je lui appuie sur sa tête pour que sa langue aille plus loin et qu’un orgasme me submerge.
• Je savais au premier regard que j’ai porté sur toi que tu aimais le sexe et qu’il fallait que je te révèle ta vraie nature.
Lucette me dit ça alors qu’il y a plus d’une heure que nous sommes sur son lit, après un 69 nous ayant fait décoller de nouveau en symbiose cette fois.
C’était la première chatte que je léchais, mais lorsque je disais que j’étais hétéro, je me sens obligé de me reclasser dans les bisexuelles.
Nous sommes lovés dans les bras l’une de l’autre.
• C’est ton mari, là dans cette photo avec toi.
• Ça te surprend, oui, il est noir, mais né en France de parents Camerounais.
Il s’appelle Red !
Redwan, mais tous l’appellent Red.
Il est d’ailleurs aller les voir pour quelques semaines.
• Et tu t’amuses avec l’une de tes élèves.
• Tu le regrettes ma chérie.
Comment le regretter surtout que sa main caresse mon sein qui comme mon clito apprécie et bande ?
J’avais vu en partie les siens et ma tête appuyer dessus me fais sentir, que mon impression était la bonne.
Ils sont en forme de poire alors que les miens sont plutôt des pommes avec des pointes inexistantes en temps de repos.
Comme je l’ai dit, sous les doigts de ma prof, j’ai du mal à dire Lucette, ils sont sortis de leur cachette.
• Il faut que j’y aille, Lu-Lucette, à demain au lycée, on fait comme d’habitude entre profs et élèves.
Ce fut le premier jour où j’ai mis à mal le tabou entre ma prof et moi-même, mais qu’elle découverte, j’aime les filles aussi bien que les hommes...
• Qu’ai-je fait de mal madame Lucette ?
• Je vous demande simplement de venir me voir, vous verrez pourquoi.
Je suis la nouvelle élève arrivée en cours d’année, ma mère ayant été mutée à Paris dans cette nouvelle ville pour moi.
À 18 ans, j’avais le choix de rester à Blois dans les bras de Charles, mon amant depuis deux ans.
Il pouvait m’héberger et maman était prête à accepter la séparation.
Cela arrivait alors que j’étais déjà à deux doigts de prendre la décision de le quitter.
Cette mutation au siège social de sa banque m’en a donné l’occasion sans que les larmes nous submergent.
• Que me voulez-vous madame Lucette.
• Léticia, je vais vous dire le fond de ma pensée.
J’ignore comment les professeurs d’où vous venez travaillaient, mais j’ai constaté des lacunes entre vous et les élèves de ma classe.
Ça peut être préjudiciable lors du passage du bac de Français.
Accepteriez-vous de venir chez moi à cette adresse mercredi après-midi pour que je vous fournisse des bouquins vous permettant de vous remettre à niveau ?
• C’est sympa, surtout étant à mille lieues de me rendre compte du retard par rapport aux autres.
• Croyez-moi sur parole, ce retard existe.
Ça fait trois ans que je prépare des élèves de votre âge à passer leur bac de Français, toujours avec succès.
Quel âge a madame Lucette, à peine plus âgé que moi à cinq ou six ans près.
22, 24, 26.
26, voilà j’y suis, immeuble moderne, on sent que la prof a des moyens.
Elle est mariée ayant une alliance, son mari doit avoir de gros moyens.
• Entre Léticia, allons directement dans mon bureau.
Excuse ma tenue, après ton rendez-vous, je dois aller faire une course importante pour mon mari, je sors de ma douche.
Je m’habillerais après.
La prof est simplement recouverte avec un déshabillé négligemment attaché, me montrant une partie du galbe de ses seins.
Ils sont fort beaux et semblent bien fermes.
Mais je suis hétéro, loin de moi l’envie de les prendre dans ma main, encore moins dans ma bouche.
• Assieds-toi là, j’ai préparé les livres que je veux que tu lise, je vais te montrer les passages principaux qui te seront utiles le jour du bac.
Elle s’assoit à mon côté en croisant les jambes.
Son déshabillé en soie glisse me découvrant ses jambes jusqu’à sa fourche.
Je vois quelques poils bruns.
Contrairement à moi qui suis épilée intégralement, elle semble avoir gardé sa toison.
Il y a cinq minutes que nous parlons des sujets susceptibles de sortir au bac de Français quand sa main vient se poser sur ma cuisse dénudée.
Je suis en mini, vraiment mini.
Le galbe de mes jambes est aussi parfait que celui des siennesJe suis toujours en mini, je mets des shorts seulement l’été.
J’aime qu’ils soient près de ma chatte comme cette mini en jean porter aujourd’hui.
Elle me regarde, je la regarde.
• Je te choque.
• Non, madame Lucette, c’est agréable.
• Appelle moi simplement Lucette, disons-nous, tu !
Je sais, chez moi j’aime être un peu provocante, lorsque je suis seule je me promène nue.
• Qui y a-t-il de choquant.
Je me sens répondre ces mots et je sens en perdition.
Surtout que la main remonte et sans aucun mal, vu la distance trouve ma petite culotte.
Contrairement avec Charles où je suis longue à la détente, je commence à mouiller.
Je sens mon clito gonflé et certainement être sorti de son capuchon.
Il frotte sur le voile léger qui le recouvre.
Comme nous sommes assises, nos têtes tournées, c’est sans réfléchir que j’accepte ses lèvres sur les miennes.
Je me sens encore obligé de comparer avec Charles plus rude et plus brusque dans ces mouvements.
Sa langue surtout, sa main contournant le voile, caressant mon point faible.
Mon clito comme celui de nombreuses femmes, je le pense, trop souvent négligé. C’était le cas de Charles qui voulait partager ma vie avant que je le quitte.
Je suis assise sur une chaise de bureau pivotante comme la sienne.
Ça devait être à dessein, car elle me fait tourner en même temps qu’elle se lève repoussant son siège et s’agenouillant.
• Tu aimes !
• Oui, continue.
Le brouillard qui m’entoure rend la situation presque irréelle lorsque ses lèvres viennent se coller à mon string rose.
Je suis à deux doigts de lui dire « attention, tu es ma prof », mais elle écarte ma protection, si protection il y a, et me suce mon clito.
J’avais bien senti qu’il était réveillé en pleine forme, car en moins de temps qu’il n’en faut, une première décharge irradie mon corps.
Au lieu de m’offusquer de ses initiatives hors du champ de l’Éducation nationale, je lui appuie sur sa tête pour que sa langue aille plus loin et qu’un orgasme me submerge.
• Je savais au premier regard que j’ai porté sur toi que tu aimais le sexe et qu’il fallait que je te révèle ta vraie nature.
Lucette me dit ça alors qu’il y a plus d’une heure que nous sommes sur son lit, après un 69 nous ayant fait décoller de nouveau en symbiose cette fois.
C’était la première chatte que je léchais, mais lorsque je disais que j’étais hétéro, je me sens obligé de me reclasser dans les bisexuelles.
Nous sommes lovés dans les bras l’une de l’autre.
• C’est ton mari, là dans cette photo avec toi.
• Ça te surprend, oui, il est noir, mais né en France de parents Camerounais.
Il s’appelle Red !
Redwan, mais tous l’appellent Red.
Il est d’ailleurs aller les voir pour quelques semaines.
• Et tu t’amuses avec l’une de tes élèves.
• Tu le regrettes ma chérie.
Comment le regretter surtout que sa main caresse mon sein qui comme mon clito apprécie et bande ?
J’avais vu en partie les siens et ma tête appuyer dessus me fais sentir, que mon impression était la bonne.
Ils sont en forme de poire alors que les miens sont plutôt des pommes avec des pointes inexistantes en temps de repos.
Comme je l’ai dit, sous les doigts de ma prof, j’ai du mal à dire Lucette, ils sont sortis de leur cachette.
• Il faut que j’y aille, Lu-Lucette, à demain au lycée, on fait comme d’habitude entre profs et élèves.
Ce fut le premier jour où j’ai mis à mal le tabou entre ma prof et moi-même, mais qu’elle découverte, j’aime les filles aussi bien que les hommes...
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