COLLECTION TABOU. La prof de français est une salope (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2020 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION TABOU. La prof de français est une salope (2/2)
Tabou, je viens de mettre à mal l’un des tabous de notre société.
Quand je dis mettre à mal des tabous, on m’a bien aidé.
Elle m’a bien aidé en m’invitant chez elle et en me recevant dans un déshabillé vaporeux.
C’est elle qui a tout manigancé pour mon plus grand plaisir, je dois le reconnaître.
Nous avons cassé le tabou tout l’après-midi finissant même dans le lit conjugal.
Comme je l’ai dit avant de venir à Paris, à Blois, j’avais un premier amour masculin Charles qui m’a pris, pardon enlevé mon pucelage.
Enlevé, car c’est moi qui l’ai choisi pour cette tache délicate étant donné sa douceur à la limite de celle des femmes.
Avec lui, je savais qu’il ferait ça délicatement pas comme certains machos, Boran par exemple, le garçon qui a pris celui de Babette, une amie plus qu’une copine.
Ses confidences devant un verre de Martini, boisson que j’aime beaucoup boire, sur la manière dont il l’a attrapé, jeté sur son lit de jeune fille, avant de sortie sa verge.
Confidences quand-il l’a tiré par les pieds pour la planter sans aucun ménagement la faisant hurler de douleur.
Sa dernière confidence a enfoncé le clou.
Pendant trois jours sa chatte a saigné, on comprend que j’ai voulu éviter la case Boran au profit de la case Charles.
Les amours féminins, j’étais à mille lieues de savoir comment deux femmes faisaient l’amour ensemble.
Cela fait deux semaines que chaque mercredi après-midi, je rejoins l’appartement de Lucette, ma prof de français pour lui rapporter les livres qu’elle me prête afin d’en reprendre d’autres.
• Bonjour Lutécia, tu te promènes, tu es loin de notre quartier.
• Comme toi, Alexandre, je suis là pour progresser pour mon bac.
En changeant d’établissement, j’avais du retard.
Luce, madame Lucette habite ici, elle me prête des livres pour rattraper mon retard.
Pour une fois, moi qui ai du mal à l’appelé Lucette devant elle et là j’ai failli faire voir à ce copain de classe, beau gosse au surcroit, les rapports amicaux pour éviter de dire les rapports sexuels que j’ai avec ma prof.
• Travail bien, je vais voir un copain, je veux éviter d’être en retard.
Ouf, Alexandre me quitte, les livres dans mon bras ont justifié ma présence au pied de l’immeuble ou ma maîtresse habite.
Le lendemain, Alexandre est là, comme tous les jours à trois tables de moi.
Lorsqu’il se retourne pour me regarder, pourquoi a-t-il un petit sourire ironique ?
La classe de français se passe, comme chaque fois Lucette et moi nous évitons tous gestes ou tous propos qui nous feraient découvrir dans nos ébats amoureux.
Jeudi, vendredi, samedi, dimanche.
Dimanche, je vais manger chez ma tante avec mes parents, nous passons en voiture devant chez Lucette.
Au moment où nous passons devant son porche, elle sort.
Je sens ma chatte mouiller.
• Tiens, ta prof de français, elle est correcte avec toi !
• Pourquoi maman ?
• Mon amie Arlette tient d’une source sûre qu’elle aurait des penchants lesbiens avec certaines de ses élèves.
Tu sais ce que cela veut dire Lutécia.
Sois, je réponds rapidement montrant à ma mère mon intérêt pour cette pratique sexuelle ou je fais l’idiote risquant de perdre ma crédibilité.
Je choisis une troisième voie, celle de la géographie.
• Lesbos est une Île grecque, qui a permis par son nom de faire connaitre au monde, l’homosexualité féminine ayant donné lesbienne.
• Ma chérie, tu es prête pour le bac de Français, je pense que tu auras une très bonne note qui te servira l’an prochain.
Note de suceuse de chatte, plus que de mon Français.
Comme le mercredi suivant où je rapporte les livres sans même les avoirs ouvert.
C’est au moment où je quitte son appartement que nous passons par le bureau prendre un paquet de livres sur des étagères.
Ceux que je ramène, sont dans ce cas.
Dans l’ascenseur, je regarde les titres, le deuxième, « la cuisine en trois leçons ».
Heureusement, que ma mère en faisant le ménage les a laissés sur le coin de mon bureau dans ma chambre.
Elle aurait été surprise de trouver un tel ouvrage que je lui ai fait croire pris à la bibliothèque du lycée.
Le dimanche chez tantine dur en longueur dans des débats sur la dernière série sur Netflix.
Je m’ennuie, mon entrejambe colle de mes débordements simplement à la vue de ma maîtresse.
Je vais même aux toilettes me caresser.
Mercredi dernier Lucette m’a montré l’élasticité de sa chatte.
J’ai fini avec ma main entière plantée à l’intérieur.
Si je connais Lesbos, lesbienne, j’ai appris aussi le nom de fist.
Je me fais entrer trois doigts, tentant le quatrième, mais à part faire repartir ma cyprine, impossible de faire passer le cinquième.
Mais le principal, c’est que j’arrive à calmer provisoirement ma boulimie de sexe.
Bref, c’est mercredi, ce matin, école, mais aucun cours de Français.
• Bonjour chérie, vite, viens dans notre chambre, j’ai toujours envie de toi.
Depuis que tu m’as séduite, mes nuits sont un cauchemar de mercredi en mercredi.
• Et comment s’appelle-t-il, à oui, Red est-il bientôt de retour.
• Il est bloqué à Yaoundé à cause d’une grève du personnel au sol.
Lucette est nue et me prenant la main m’attire vers le paradis de Lesbos.
Nous roulons sur le lit , en nous déplaçant, j’ai fait tomber mes vêtements et c’est aussi nu l’une que l’autre qu’avec plaisirs nos bouches se retrouvent.
Nos bouches et nos mains.
Je suis déjà à trois doigts, son conduit étant parfaitement lubrifié.
J’abandonne sa chatte, pour mieux me glisser jusqu’à elle et récupérer par un très beau cunnilingus le fruit de ma masturbation.
• Je vois que tu t’amuses bien petite salope, tu profites de mon absence pour dévergonder ma femme.
Qui es-tu, une de ses élèves à qui elle donne des cours de rattrapage et qui en profite pour étancher tes envies lesbiennes.
Un serpent m’aurait piqué, que ma réaction aurait été la même.
Je me recroqueville sur moi-même, pour cacher ma chatte qu’il a dû voir en gros plan quand il est entré vu ma position.
• Calme toi, petite salope, on peut très bien s’entendre, il suffit de me sucer, en as-tu déjà vu une aussi grosse ?
Le monstre qui s’avance vers moi en ferait peur à plus d’une, mais je sens qu’il faut que j’éteigne la colère que je vois dans ces yeux.
• Suce, petite salope.
Je m’exécute, Charles s’il était présent ferait une jaunisse de la différence de taille.
Mais en l’empoignant avec mes deux mains, ma bouche et ma langue arrive à le faire bander.
• Fait moi voir, comment tu suce sa chatte, regarde cette petite merveille, elle est toute chose de ce qui arrive, suce là, ma verge est assez tendue.
Le geste que fait Lucette, se calant dans ses oreillers pour écarter ses cuisses au maximum aurait dû me mettre la puce à l’oreille, mais j’ai eu tellement peur que ce détail m’échappe.
Je laisse sa verge pour retrouver le vagin de ma prof.
Ma langue sent qu’elle mouille comme jamais.
La situation semble lui plaire.
Je sens le lit bouger et mes hanches saisies jusqu’à ce que sa verge monstrueuse se présente.
Il la fait glisser deux à trois fois avant de commencer à la faire entrer, entrer, entrer.
Ça entre, mais sa pénétration me donne l’impression d’une éternité tellement, elle est longue et grosse.
Lucette sous ma langue en même temps que Red et que moi-même traversé par un orgasme gigantesque.
Mon premier noir décharge en moi sans arrêter pendant de longues minutes.
Depuis qu’il est parti, il avait certainement les couilles pleines.
L’après-midi me parait cour, Lucette comme moi, profitons du retour inopiné de son mari, jusqu’à ce que je me rhabille et que je quitte le couple sans me poser plus de question.
De retour chez ma mère, je dîne rapidement et vais me coucher, des images de verges noires dans les yeux.
Mince, j’ai oublié de leur demander s’ils ont se revoie mercredi prochain, aussi bien l’un que l’autre semblant avoir apprécié notre partie à trois.
J’entre dans la cour du lycée.
Pour la première fois, elle s’avance vers moi.
• Lutécia, il faut que je te prévienne.
Je viens de recevoir une lettre ce matin de l’Éducation nationale.
Il semble que des personnes sachent que j’ai des rapports sexuels avec l’une de mes élèves.
J’ai passé de très bons moments avec toi, mais je pense qu’il faut en rester là.
Elle me quitte, maman m’avait bien dit qu’une de ses copines lui avait dit que ma prof se faisait ses élèves.
Le court de dix heures se passe jusqu’à quelques minutes de la fin.
• Radia, peux-tu rester après le court, j’aurais besoin de voir des points avec toi.
À quelques tables de moi, Alexandre se retourne et me sourit.
Me drague-t-il ou est-ce autre chose ?
Je sors, je vois Radia, la petite Marocaine en provenance de Meknès, arrivé chez son père il y a quelques jours, s’approcher de la prof qui tourne la tête à mon passage.
Je vais aux toilettes.
Lorsque je sors, Alexandre est là.
• Lutécia, as-tu compris ce qu’il t’arrive avec Lucette notre prof de Français.
• Que veux-tu dire !
• Elle t’a attiré dans ses filets te recevant en déshabiller sous couvert de te faire progresser pour ton bac dans quelques mois.
• Comment sais-tu ça ?
• Tu sais que j’ai une sœur jumelle qui est en terminale !
• Oui, vous vous ressemblez énormément.
• L’an passé, c’est elle qui a été l’élu !
Comme je te l’ai dit, c’est en déshabillé qu’elle la reçut jusqu’à ce que son mari sorte du bois.
• Comment sais-tu tout ça ?
• Tu as vu que l’on s’est rencontrés, devant chez elle.
J’attendais pour bois le moment ou le mari se découvrirait.
Je peux te dire que chaque fois que tu étais chez eux, il était là, certainement vous matant quand vous baisiez.
Tout à l’heure quand elle a demandé à Radia de venir la voir, je savais qu’elle t’avait fait le coup de la lettre de l’administration nationale.
C’est au tour de la petite venante du maroc de connaître tous le parcours que tu as suivi.
Si tu le veux, Alexandra ma sœur serait enchantée mercredi prochain de te recevoir chez nous, nos parents travaillent tard le soir.
Nous aussi on aime le sexe avec une partenaire entre nous.
À ce moment, je vois Lucette sortir la classe à côté de Radia, qui semble loin de comprendre ce qui va lui arriver.
Juste avant qu’elle passe derrière moi, je prends Alexandre par le cou et je l’embrasse nos langues se trouvant.
Moi aussi, j’ai pris goût au sexe à trois et les jumeaux sont très appropriés pour être mon prochain terrain de jeu.
Quand je dis mettre à mal des tabous, on m’a bien aidé.
Elle m’a bien aidé en m’invitant chez elle et en me recevant dans un déshabillé vaporeux.
C’est elle qui a tout manigancé pour mon plus grand plaisir, je dois le reconnaître.
Nous avons cassé le tabou tout l’après-midi finissant même dans le lit conjugal.
Comme je l’ai dit avant de venir à Paris, à Blois, j’avais un premier amour masculin Charles qui m’a pris, pardon enlevé mon pucelage.
Enlevé, car c’est moi qui l’ai choisi pour cette tache délicate étant donné sa douceur à la limite de celle des femmes.
Avec lui, je savais qu’il ferait ça délicatement pas comme certains machos, Boran par exemple, le garçon qui a pris celui de Babette, une amie plus qu’une copine.
Ses confidences devant un verre de Martini, boisson que j’aime beaucoup boire, sur la manière dont il l’a attrapé, jeté sur son lit de jeune fille, avant de sortie sa verge.
Confidences quand-il l’a tiré par les pieds pour la planter sans aucun ménagement la faisant hurler de douleur.
Sa dernière confidence a enfoncé le clou.
Pendant trois jours sa chatte a saigné, on comprend que j’ai voulu éviter la case Boran au profit de la case Charles.
Les amours féminins, j’étais à mille lieues de savoir comment deux femmes faisaient l’amour ensemble.
Cela fait deux semaines que chaque mercredi après-midi, je rejoins l’appartement de Lucette, ma prof de français pour lui rapporter les livres qu’elle me prête afin d’en reprendre d’autres.
• Bonjour Lutécia, tu te promènes, tu es loin de notre quartier.
• Comme toi, Alexandre, je suis là pour progresser pour mon bac.
En changeant d’établissement, j’avais du retard.
Luce, madame Lucette habite ici, elle me prête des livres pour rattraper mon retard.
Pour une fois, moi qui ai du mal à l’appelé Lucette devant elle et là j’ai failli faire voir à ce copain de classe, beau gosse au surcroit, les rapports amicaux pour éviter de dire les rapports sexuels que j’ai avec ma prof.
• Travail bien, je vais voir un copain, je veux éviter d’être en retard.
Ouf, Alexandre me quitte, les livres dans mon bras ont justifié ma présence au pied de l’immeuble ou ma maîtresse habite.
Le lendemain, Alexandre est là, comme tous les jours à trois tables de moi.
Lorsqu’il se retourne pour me regarder, pourquoi a-t-il un petit sourire ironique ?
La classe de français se passe, comme chaque fois Lucette et moi nous évitons tous gestes ou tous propos qui nous feraient découvrir dans nos ébats amoureux.
Jeudi, vendredi, samedi, dimanche.
Dimanche, je vais manger chez ma tante avec mes parents, nous passons en voiture devant chez Lucette.
Au moment où nous passons devant son porche, elle sort.
Je sens ma chatte mouiller.
• Tiens, ta prof de français, elle est correcte avec toi !
• Pourquoi maman ?
• Mon amie Arlette tient d’une source sûre qu’elle aurait des penchants lesbiens avec certaines de ses élèves.
Tu sais ce que cela veut dire Lutécia.
Sois, je réponds rapidement montrant à ma mère mon intérêt pour cette pratique sexuelle ou je fais l’idiote risquant de perdre ma crédibilité.
Je choisis une troisième voie, celle de la géographie.
• Lesbos est une Île grecque, qui a permis par son nom de faire connaitre au monde, l’homosexualité féminine ayant donné lesbienne.
• Ma chérie, tu es prête pour le bac de Français, je pense que tu auras une très bonne note qui te servira l’an prochain.
Note de suceuse de chatte, plus que de mon Français.
Comme le mercredi suivant où je rapporte les livres sans même les avoirs ouvert.
C’est au moment où je quitte son appartement que nous passons par le bureau prendre un paquet de livres sur des étagères.
Ceux que je ramène, sont dans ce cas.
Dans l’ascenseur, je regarde les titres, le deuxième, « la cuisine en trois leçons ».
Heureusement, que ma mère en faisant le ménage les a laissés sur le coin de mon bureau dans ma chambre.
Elle aurait été surprise de trouver un tel ouvrage que je lui ai fait croire pris à la bibliothèque du lycée.
Le dimanche chez tantine dur en longueur dans des débats sur la dernière série sur Netflix.
Je m’ennuie, mon entrejambe colle de mes débordements simplement à la vue de ma maîtresse.
Je vais même aux toilettes me caresser.
Mercredi dernier Lucette m’a montré l’élasticité de sa chatte.
J’ai fini avec ma main entière plantée à l’intérieur.
Si je connais Lesbos, lesbienne, j’ai appris aussi le nom de fist.
Je me fais entrer trois doigts, tentant le quatrième, mais à part faire repartir ma cyprine, impossible de faire passer le cinquième.
Mais le principal, c’est que j’arrive à calmer provisoirement ma boulimie de sexe.
Bref, c’est mercredi, ce matin, école, mais aucun cours de Français.
• Bonjour chérie, vite, viens dans notre chambre, j’ai toujours envie de toi.
Depuis que tu m’as séduite, mes nuits sont un cauchemar de mercredi en mercredi.
• Et comment s’appelle-t-il, à oui, Red est-il bientôt de retour.
• Il est bloqué à Yaoundé à cause d’une grève du personnel au sol.
Lucette est nue et me prenant la main m’attire vers le paradis de Lesbos.
Nous roulons sur le lit , en nous déplaçant, j’ai fait tomber mes vêtements et c’est aussi nu l’une que l’autre qu’avec plaisirs nos bouches se retrouvent.
Nos bouches et nos mains.
Je suis déjà à trois doigts, son conduit étant parfaitement lubrifié.
J’abandonne sa chatte, pour mieux me glisser jusqu’à elle et récupérer par un très beau cunnilingus le fruit de ma masturbation.
• Je vois que tu t’amuses bien petite salope, tu profites de mon absence pour dévergonder ma femme.
Qui es-tu, une de ses élèves à qui elle donne des cours de rattrapage et qui en profite pour étancher tes envies lesbiennes.
Un serpent m’aurait piqué, que ma réaction aurait été la même.
Je me recroqueville sur moi-même, pour cacher ma chatte qu’il a dû voir en gros plan quand il est entré vu ma position.
• Calme toi, petite salope, on peut très bien s’entendre, il suffit de me sucer, en as-tu déjà vu une aussi grosse ?
Le monstre qui s’avance vers moi en ferait peur à plus d’une, mais je sens qu’il faut que j’éteigne la colère que je vois dans ces yeux.
• Suce, petite salope.
Je m’exécute, Charles s’il était présent ferait une jaunisse de la différence de taille.
Mais en l’empoignant avec mes deux mains, ma bouche et ma langue arrive à le faire bander.
• Fait moi voir, comment tu suce sa chatte, regarde cette petite merveille, elle est toute chose de ce qui arrive, suce là, ma verge est assez tendue.
Le geste que fait Lucette, se calant dans ses oreillers pour écarter ses cuisses au maximum aurait dû me mettre la puce à l’oreille, mais j’ai eu tellement peur que ce détail m’échappe.
Je laisse sa verge pour retrouver le vagin de ma prof.
Ma langue sent qu’elle mouille comme jamais.
La situation semble lui plaire.
Je sens le lit bouger et mes hanches saisies jusqu’à ce que sa verge monstrueuse se présente.
Il la fait glisser deux à trois fois avant de commencer à la faire entrer, entrer, entrer.
Ça entre, mais sa pénétration me donne l’impression d’une éternité tellement, elle est longue et grosse.
Lucette sous ma langue en même temps que Red et que moi-même traversé par un orgasme gigantesque.
Mon premier noir décharge en moi sans arrêter pendant de longues minutes.
Depuis qu’il est parti, il avait certainement les couilles pleines.
L’après-midi me parait cour, Lucette comme moi, profitons du retour inopiné de son mari, jusqu’à ce que je me rhabille et que je quitte le couple sans me poser plus de question.
De retour chez ma mère, je dîne rapidement et vais me coucher, des images de verges noires dans les yeux.
Mince, j’ai oublié de leur demander s’ils ont se revoie mercredi prochain, aussi bien l’un que l’autre semblant avoir apprécié notre partie à trois.
J’entre dans la cour du lycée.
Pour la première fois, elle s’avance vers moi.
• Lutécia, il faut que je te prévienne.
Je viens de recevoir une lettre ce matin de l’Éducation nationale.
Il semble que des personnes sachent que j’ai des rapports sexuels avec l’une de mes élèves.
J’ai passé de très bons moments avec toi, mais je pense qu’il faut en rester là.
Elle me quitte, maman m’avait bien dit qu’une de ses copines lui avait dit que ma prof se faisait ses élèves.
Le court de dix heures se passe jusqu’à quelques minutes de la fin.
• Radia, peux-tu rester après le court, j’aurais besoin de voir des points avec toi.
À quelques tables de moi, Alexandre se retourne et me sourit.
Me drague-t-il ou est-ce autre chose ?
Je sors, je vois Radia, la petite Marocaine en provenance de Meknès, arrivé chez son père il y a quelques jours, s’approcher de la prof qui tourne la tête à mon passage.
Je vais aux toilettes.
Lorsque je sors, Alexandre est là.
• Lutécia, as-tu compris ce qu’il t’arrive avec Lucette notre prof de Français.
• Que veux-tu dire !
• Elle t’a attiré dans ses filets te recevant en déshabiller sous couvert de te faire progresser pour ton bac dans quelques mois.
• Comment sais-tu ça ?
• Tu sais que j’ai une sœur jumelle qui est en terminale !
• Oui, vous vous ressemblez énormément.
• L’an passé, c’est elle qui a été l’élu !
Comme je te l’ai dit, c’est en déshabillé qu’elle la reçut jusqu’à ce que son mari sorte du bois.
• Comment sais-tu tout ça ?
• Tu as vu que l’on s’est rencontrés, devant chez elle.
J’attendais pour bois le moment ou le mari se découvrirait.
Je peux te dire que chaque fois que tu étais chez eux, il était là, certainement vous matant quand vous baisiez.
Tout à l’heure quand elle a demandé à Radia de venir la voir, je savais qu’elle t’avait fait le coup de la lettre de l’administration nationale.
C’est au tour de la petite venante du maroc de connaître tous le parcours que tu as suivi.
Si tu le veux, Alexandra ma sœur serait enchantée mercredi prochain de te recevoir chez nous, nos parents travaillent tard le soir.
Nous aussi on aime le sexe avec une partenaire entre nous.
À ce moment, je vois Lucette sortir la classe à côté de Radia, qui semble loin de comprendre ce qui va lui arriver.
Juste avant qu’elle passe derrière moi, je prends Alexandre par le cou et je l’embrasse nos langues se trouvant.
Moi aussi, j’ai pris goût au sexe à trois et les jumeaux sont très appropriés pour être mon prochain terrain de jeu.
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