Collection Textes en commun : « Aude se lâche » (2 : la soumise) - histoire érotique

Avertissement

Ce second chapitre est également écrit à deux, mais cette fois-ci avec linsee, une des auteures les plus prolifiques d’HDS et dont les récits rencontrent un succès considérable et mérité. Un grand merci à linsee !

Je suis impressionnée par linsee, qui est inscrite sur HDS depuis un peu plus d’un an et a déjà publié à ce jour 205 récits. Elle est proche des un millions de visites. A titre de comparaison, je suis inscrite sur HDS depuis près de 8 ans, j’ai publié 372 textes pour moins de 1,1 millions de visites.

C’est donc une fierté et un plaisir de collaborer avec elle. Nous avons écrit ensemble cette suite, dans un registre qui ne m’est pas familier. C’est linsee qui a souhaité que ce soit publié sur ma page.

Quand je disais que le registre de ce récit ne m’est pas habituel, c’est que le fonds de l’histoire raconte la soumission d’Aude, laquelle accepte de tout de la part de son "maitre", y compris baiser avec des inconnus sans se protéger.

Dans la suite du récit, Aude, qui a découvert le plaisir, aura droit à sa revanche sur son dominateur, Daniel.

***

Résumé :

Aude est aujourd’hui une mère de famille âgée de 45 ans. Elle est mariée depuis près de 20 ans à Daniel. Le couple, établi dans une grande métropole de province, a deux enfants, Clémence, 19 ans et Arnaud, 16 ans.

Le premier chapitre évoquait le brillant parcours universitaire et professionnel d’Aude. La jeune femme, qui a débuté une carrière prometteuse dans un grand établissement financier français, a accompagné son supérieur hiérarchique, Daniel, au Forum de Davos. Celui-ci, confirmant sa réputation de séducteur, en profite pour accrocher la jolie brune à son tableau de chasse.

***

Alors que, hier encore, ils n’étaient que des collègues de travail, Daniel et Aude viennent de passer une soirée torride. Daniel, qui collectionne les maitresses comme des trophées, doit reconnaitre que sa jeune collaboratrice est exceptionnelle. Il a bien l’intention de remettre ça, à chaque fois qu’il en aura envie. Son instinct ne l’a pas trompé : derrière « l’executive woman », il y a une jeune femme très sensuelle. Il entend bien en faire une parfaite salope et disposer totalement d’elle.

Nu sur son lit, savourant un whisky, Daniel bande à nouveau. Il n’aurait pas du laisser Aude regagner sa chambre, mais l’obliger à rester. Il se sent en forme et il l’aurait volontiers baisé toute la nuit. Son refus de la sodomie avait jeté un froid et poussé Aude à s’éclipser. Daniel se dit qu’il va lui apprendre qu’il est le mâle et que tous ses trous sont à sa disposition.

En attendant, malgré l’heure tardive, Daniel a un coup de téléphone à passer. Il appelle Christine, une de ses anciennes maitresses. Il sait qu’elle attend son coup de fil. Christine est mariée, son mari Luc est candauliste. D’ailleurs Daniel a plusieurs fois baisé Christine devant son époux permissif. Daniel et Christine aiment le changement et ne sont donc plus amants. Aussi vicieux l’un que l’autre, ils sont très complices dans la recherche de nouvelles sensations.

Dès l’arrivée d’Aude dans le service, Daniel et Christine avaient deviné que, derrière l’apparente distance qu’affichait l’ambitieuse nouvelle, il y avait un grand potentiel sexuel. La première fois qu’ils ont ensemble parlé d’Aude, Daniel et Christine étaient d’accord : Aude devait figurer au tableau de chasse de Daniel.

C’est Christine qui a eu l’idée de profiter du séminaire de Davos et de faire en sorte qu’Aude y accompagne son directeur. Christine est allée plus loin, en « informant » Aude qu’elle plaisait à don directeur et en l’encourageant à profiter de l’occasion.

Au sein du service, Aude, efficace, mais brutale et distante, n’est guère appréciée. Alors qu’elle affectionne les décolletés plongeants et les tenues sexy qui mettent en valeur ses longues jambes, elle passe pour une allumeuse, une provocatrice. La très cynique Christine a eu l’idée perverse d’organiser, au sein du service, un pari : celui que Daniel, à la réputation bien établie, allait « se la faire », selon les termes de la boucle WhatsApp créée autour du pari, avec un nom qui était tout un programme : « Aude, coincée ou salope ? ». Elle avait naturellement mis Daniel dans la confidence.

Tout le service s’était prêté au jeu, d’autant plus que les parieurs avaient été généreux. Christine était certaine du succès de son ex-amant. Les autres collègues connaissaient la réputation flatteuse de leur directeur, mais, à la façon dont elle avait repoussé les nombreuses avances des hommes du service, beaucoup pensaient que la jolie brune était coincée ou frigide.

Daniel fut immédiatement triomphant :

• Ca y est ! C’est fait !
• Je ne doutais pas de toi ! C’était bien ?
• Exceptionnel ! Je peux te dire que c’est une sacrée chaudasse ! D’ailleurs, j’ai tout enregistré avec mon téléphone. Tu pourras entendre comment je l’ai fait couiner !
• Voilà une première preuve ! Même si c’est parfaitement illégal.
• Ca permettra aux parieurs de savoir que cette Aude est une sacrée salope. En plus j’ai mon trophée. Tu es bien placée pour savoir que je collectionne les culottes et les strings lors de la première fois. Et je lui ai demandé de me donner sa culotte en dentelles. Elle a rougi mais elle a accepté. Et je peux te dire qu’elle est encore trempée.
• Au fait, tu l’as remplie ?
• Evidemment ! C’est d’ailleurs elle qui me l’a demandé. Elle a eu sa dose, je peux te le dire.
• Tu n’as pas vérifié qu’elle n’est pas en période « dangereuse » ?
• Ben non. C’est son problème, pas le mien !
• Décidément, tu es un abominable macho ! La pauvre !
• Je n’ai qu’un regret. Cette petite garce ne m’a pas laissé l’enculer.
• Tu voulais vraiment lui faire la totale !
• Je te promets que je lui casserai le cul !
• Je n’en doute pas. Je vais faire circuler l’information sur la boucle WhatsApp. Grâce à toi, j’ai gagné une jolie somme !

***

Aude est dans sa chambre. Elle ignore évidemment qu’elle a été l’objet d’un pari au sein du service et que Daniel a immédiatement fait un compte-rendu à Christine. Elle ne sait pas qu’à son retour, tous vont la regarder très différemment.

Aude est, elle aussi, nue sur son lit. Sa chatte déborde. Elle n’a pas encore été prendre sa douche. Elle est à nouveau excitée. Avec le recul, elle regrette d’avoir refusé la sodomie. Elle a eu peur qu’avec son engin, il ne l’estropie.

Aude pense aux moments moments qu’elle vient de vivre. Du fait de ses ambitions, elle avait jusqu’alors sacrifié sa vie sexuelle, cherchant à compenser par de fréquentes masturbations et ses lectures sur des sites d’histoires érotiques ou encore le visionnage de vidéos X où elle fantasmait sur des étreintes torrides, s’imaginant à la place de ces femmes qui se faisaient baiser par de véritables étalons. Aude s’était débarrassée, à l’âge de 18 ans, de sa virginité comme une sorte de passage obligé. Elle avait fait ça avec un camarade de lycée, aussi beau garçon que piètre amant. Et depuis, plus rien. Jusque ce soir, avec Daniel. Et c’était encore mieux que ce qu’elle avait imaginé.

Elle se dit qu’elle n’aurait pas du partir aussi rapidement, après son refus de la sodomie. Si elle s’était écoutée, Aude y serait retournée, ou aurait au moins téléphoné à Daniel pour proposer de le rejoindre. Elle se dit qu’elle ne pouvait faire cela : « pour qui va-t-il me prendre ? Pour une putain, une salope. Mais c’est bien ce que je suis devenue, car je suis désormais à lui ». Aude avait bien compris que Daniel était un dominateur. Aude était tombée amoureuse de Daniel. Elle savait bien que, chez ce séducteur compulsif, ce n’était pas réciproque. Elle eut bien du mal à trouver le sommeil, après s’être fait jouir plusieurs fois avec ses doigts.

***

Le lendemain matin, assez tôt pour pouvoir participer au programme de la journée, Aude retrouva Daniel au petit déjeuner. Pour se donner une bonne contenance, Aude avait repris sa tenue de banquière avec son tailleur chanel strict. En fait, sous son chemisier blanc, Aude n’avait pas de soutien et sa poitrine généreuse se verrait, si elle enlevait la veste du tailleur. Elle avait mis un string ficelle, qu’elle commença à mouiller dès qu’elle vit le regard de désir de Daniel sur elle.

Tout avait changé dans sa vie hier soir. Son directeur accueillit Aude en la prenant dans ses bras, lui roulant une pelle, la serrant contre lui, lui faisant sentir son érection, les mains posées sur ses fesses :

• Tu as beau essayé de donner le change, maintenant je sais que tu es une salope, ma salope. Tu es partie trop tôt hier soir. J’avais encore envie !
Aude baissa les yeux et dit à voix basse :
• Oui, moi aussi.
• A la bonheur ! Je le savais. Je veux que tout le monde sache qui tu es et que tu es à moi. Commence par ouvrir deux boutons de ce chemisier. Et dis à haute voix et en Anglais ce que tu veux, que tous comprennent.

Aude était aussi excitée qu’humiliée de se donner ainsi en spectacle. Elle obtempéra. Tout ce qu’il voulait pourvu qu’il la baise !

• Daniel, I'm your whore, your slut. I want you to fuck me whenever you feel like it. I want your beautiful cock. I want it inside me. I want your seed inside me.
• Can I do whatever I want with you?
• Of course, everything, absolutely everything! I belong to you!
• You won't refuse sodomy anymore! I want your ass. I want to break your ass.
• I repeat. I will do whatever you want.

Elle ajouta, cette fois à voix basse :
• Je t’aime !
• Don't ever say that again! With you, it's just fucking, do you understand?

Aude en avait les larmes aux yeux. Pourtant, elle se soumit à la volonté de Daniel :

• As long as you fuck me, that's enough for me.

Daniel eut un air triomphant, celui du chasseur qui avait décroché un trophée. Nul n’avait perdu un mot de la capitulation d’Aude. C’est ce qu’avait voulu Daniel.
Plusieurs des collègues de Daniel lui firent un clin d’œil complice, certains allant plus loin en lui disant « congratulations ! » ou même « Fuck her good! » ou encore « Make her cum! ». Un collègue d’une grande banque allemande, Dieter, alla même plus loin, demandant à Daniel :

• So, is this bitch good?
• She is exceptional! Next time you come to Paris, my friend, I will lend her to you.
• Oh thank you very much! I can't wait! I'll call you to arrange this shorly.

Aude eut un sursaut, un bref moment de révolte :

• Tu m’offres à d’autres, sans même me demander mon avis ?
• Tu es à moi. Je dispose de toi comme j’en ai envie. Je n’accepterai aucun refus de ta part. Sinon c’est fini entre nous. Je ne te répéterai pas.

Aude ne dit plus rien. Son silence valait acquiescement.

La réputation de Daniel était connue. Il faisait partie de longue date de ces cénacles très fermés et nul n’osait juger son comportement envers les femmes. Au contraire, c’est Aude qui était vivement critiquée. Trop brillante, trop belle, son comportement était perçu comme celui d’une allumeuse. En une journée, elle avait mis par terre des années d’effort pour construire sa réputation. Jamais aucun des managers présents dans ce temple de la finance ne l’embaucherait désormais. Certains ne se gênaient pas pour dire à voix haute ce qu’ils pensaient d’elle, pour qu’elle entende leurs commentaires acerbes. Peu lui importait que sa carrière fût ruinée. Elle ferait tout ce que Daniel voulait, il finirait bien par avoir des sentiments pour elle. Aude ne voulait pas seulement se faire baiser par son chef. Elle était tombée amoureuse. Son objectif ultime était de devenir Madame S, peu importe le prix à payer.

***

Ce fut une longue journée de séminaires, de tables rondes, de cocktails. En milieu de matinée, à voix suffisamment forte pour être compris, Daniel s’adressa à Aude :

• Il faut que je me soulage. Et comme j’ai un vide-couilles à disposition, je ne vais pas m’en priver. Lève-toi, vas aux toilettes des hommes, choisis une cabine, ne la ferme pas à clés. Tu enlèveras ta culotte et ta jupe, tu te pencheras sur la cuvette. Et tu attendras que je te rejoigne pour la saillie. Une dernière chose : laisse la veste de ton tailleur ici et remonte les marches très lentement.

Qu’arrivait-il à Aude ? Sa raison lui recommandait de refuser, de se révolter et de retrouver sa dignité. Mais Aude était désormais dominée par ses sens. Quelques instants auparavant, Daniel avait pris la main de sa collaboratrice et l’avait posé sur la bosse qui déformait son pantalon, lui disant « tu as vu l’effet que tu me fais ? Elle te fait envie ?» Elle répondit par un faible « oui » et c’était vrai. Aude sentit que ses tétons étaient durs et que sa chatte était humide. Qu’il donne le signal du coït était pour elle un soulagement.
Elle se leva donc. Daniel avait fait exprès de s’installer tout en bas du vaste amphi, pour qu’Aude soit obligée de remonter les escaliers jusqu’à la sortie de la salle. Sans sa veste, avec les deux boutons du haut ouverts comme Daniel l’avait exigé, elle savait que l’on voyait ses seins sous le chemisier blanc.

Comme le Forum était en séance plénière dans le grand amphithéâtre, Aude espérait que les toilettes des hommes seraient vides. Raté ! Quand elle entra, elle vit ce porc de Dieter, occupé à soulager sa vessie. Il se retourna et elle vit qu’il bandait.

• This is the men's room, you little bitch!
• I know. I'm waiting for Daniel. He'll take care of me.

Aude craignait que Dieter ne profite de la situation. Elle se hâta de choisir une cabine.
L’endroit était vaste et propre. Elle suivit à la lettre les instructions de Daniel, enlevant le string, qui était trempé, ainsi que la jupe du tailleur. Elle se pencha sur la cuvette, tendant sa croupe et attendit, espérant qu’il ne tarde pas, car elle avait tellement envie.

Elle n’eut pas à patienter longtemps.

• Hi Dieter. I'm glad you're here. I came to fuck my whore. You'll hear how she squeals.
• Enjoy it! I must admit I'm jealous.
• Don't worry, my friend. I promised you, your turn will come.
• I'm counting on it! I'm going to go into the next booth so I can hear everything. Good fuck, my friend!

Daniel ouvrit la porte. Il fut fasciné par l’indécence de la belle brune, totalement offerte à son désir.

***

Aude sait qu’il n’y aura ni tendresse, ni préliminaires. Daniel veut lui montrer qu’il est désormais son mâle, son homme.

• Penche-toi! Écarte bien les jambes!

Aude a le dos cambré au maximum dans une supplique silencieuse. Elle n’en peut plus de désir, elle a besoin de se sentir comblée.

• Baise-moi ! Baise-moi ! Je n’en peux plus, prend-moi comme une salope !

Daniel s’exécute sur l’instant, violemment, profondément, la limant comme un malade, ses deux mains à l’intersection du haut de ses cuisses et de ses hanches imprimant le mouvement, le bruit de ses fesses contre son corps à l’unisson de ses coups de bite.

• Oh mon dieu! Que c'est bon! Oui, comme ça! Vas-y! N'arrête pas! Mets-la-moi à fond! Plus fort! Plus vite! Encore! Oui! Oui! Oui!

Aude sent les couilles lourdes qui tapent contre ses fesses. A côté, Dieter se régale. Il a sorti sa bite pour se masturber.

• Je vais te démonter! Prends-ça! Tu en veux encore? Tu aimes ça, petite salope, n'est-ce pas?
• Oh oui, j'adore! Je suis à toi!

Daniel la pénètre de plus en plus fort. Il l’attrape par les cheveux et le pilonne avec force. Aude hurle de plaisir sous les coups de boutoir, sa chatte dégouline de mouille. La bite de Daniel rentre et sort de la chatte avec une aisance inouïe.

Daniel est au plus profond de son amante. Celle-ci devient folle. Elle ferme les yeux. Les pénétrations sont de plus en plus brutales, le bruit des couilles contre les fesses accompagne celui de ses hurlements aigus. Daniel donne des coups de folie, encore plus forts comme s’il voulait la transpercer. Ses lourdes couilles claquent contre les fesses d’Aude.
Après plusieurs minutes de pénétration intense où, subissant les coups de butoirs, Aude ne contrôle plus rien, Daniel s’enfonce très fort, pour, enfin, décharger au plus profond de la femme. Aude sent son vagin se remplir du liquide tout chaud, chaque soubresaut de la bite en elle, chaque jet de sperme.

***

Aude supplie Daniel de poursuivre leurs ébats dans un endroit plus confortable. Daniel le lui accorde volontiers. Les amants se sont rhabillés sommairement et, dès qu’ils sont dans la Suite de Daniel, il remet le couvert.

Même après avoir subi les assauts féroces de Daniel et jouit plusieurs fois, Aude n'est pourtant toujours pas rassasiée. La coquine, qui n’est pas avare de jouissances, s’accroche à son amant, pour qui ne se retire pas de son ventre. Elle agite son bassin en gémissant :

• Encore Daniel, encore !

Daniel n’a jamais connu cela. Les couilles vides, l'homme, fier comme un paon et macho avéré, lui dit en la toisant :

• Ah, tu veux encore de la bite salope, eh bien, tu vas en avoir, laisse-moi donner un coup de fil, tu vas être gâtée !

Aude pas très rassurée, elle connait les dérives de son amant autoritaire. Elle desserre son étau et libère Daniel. En souriant, il se précipite sur le téléphone et disparait dans la salle de bain pour converser. Il en ressort souriant, il s'assied sur le bord du lit, prend une cigarette et l'allume, il tire quelques bouffées puis l'éteint. Il se verse un scotch et le sirote, en regardant Aude qui git sur le lit nue. Il sourit en voyant les poils de sa vulve luisant de sperme séché, et dit :

• Je t'ai si bien rempli le ventre ma salope, que tu en portes encore les traces, je t'ai gâté hein grosse salope, avoue !

Aude s’étire comme une chatte, satisfaite. Elle espère secrètement être enceinte des œuvres de son amant, car, amoureuse, elle veut devenir Madame Daniel S.

Soudain, on frappe à la porte, Daniel va ouvrir. Il fait entrer deux hommes, dont Dieter, leur collègue allemand et un ami à celui-ci. Les deux restent figés en voyant Aude nue sur le lit. Elle est tellement surprise qu'elle ne pense même pas à cacher son corps. Daniel les regarde et en souriant leur dit :

• J'avais l'intention de vous la prêter plus tard, mais c'est une urgence, madame en veut encore, donc avec son consentement, messieurs, je vous la livre !
Un des hommes dit :

• Ah, c'est ça le service que tu attends de nous !

Daniel souriant réplique :

• Eh oui, c'est ce service que j'attends de vous mes salauds, car elle m’a épuisée. Toi, salope, dis aux messieurs que tu es d'accord !

Aude reste comme un rond de flan, elle regarde les deux hommes. Elle est comme sonnée, mais elle parvient à dire :

• Mais Daniel, c'est toi que je veux, je ne suis pas une pute, pour que tu me livres comme une vulgaire marchandise, un vide-couilles, ce serai le mot approprié !

Il la regarde et dit en la foudroyant du regard :

• Mais, je veux que tu deviennes une pute et une bonne encore. Je sais que la bite ne te fait par peur, et gourmande comme tu l'es, profites-en, là tu en as deux pour toi seule !

Aude ressent ça comme du chantage, mais elle ne veut pas décevoir à Daniel, à qui elle a promis une totale soumission. Et puis, elle doit le reconnaitre, elle a tellement envie de se faire défoncer, qu'elle ne peut refuser cette aubaine. Elle opine de la tête pour dire qu'elle est d'accord. Les hommes rapidement se mettent nus. Aude regarde avec intérêt les deux bites qui, pendouillent entre les cuisses de ses futurs amants. Dieter s'assied sur le bord du lit, et commence à caresser la poitrine généreuse d'Aude, qui frémit.

Des frissons ondulent sur sa peau laiteuse. Aude pousse de nombreux soupirs, lorsque les doigts de l'inconnu, s'enfoncent dans ses lobes charnus. L'homme palpe, malaxe les seins comme pour en connaitre la texture. Rapidement les bouts se dressent, L'homme, les roule entre ses doigts, les presse et les étire fortement pour stimuler la femme qui va être soumise.

L'autre homme avance une chaise et prend place dessus, il regarde avec attention son complice œuvrer. Sa verge commence à manifester du désir. Lentement, elle prend du volume. L'homme la caresse doucement en soupirant profondément. Daniel a hâte de voir Aude, se faire violenter par deux bites en même temps. Les mamelons, très sollicités par l'homme, deviennent larges et épais. L'inconnu se penche et les gobe, voracement, il les suce et les tète, comme pour en extraire du lait. Aude défaille, elle commence à geindre de plaisir. L'autre homme impatient se lève et s'approche du duo. Il présente sa bite aux lèvres d'Aude, qui sans se poser de questions, la saisit. Elle la décalotte et commence à donner des coups de langue bien ajustés sur le gland violacé.

Elle lèche le priape un long moment, comme une professionnelle du sexe, sa langue fait le tour du gland plusieurs fois, titille le frein et lape les perles de rosées que le méat ne peut contenir. L'homme geint de bonheur. Les mamelons d'Aude, très malmenés, deviennent douloureux, elle grimace un peu, mais elle aime que ce soit brutal et doux à la fois.

Elle ouvre la bouche et gobe le gland, elle le suce comme une affamée. L'homme ne peut s'empêcher de dire :

• Oh putain Daniel, comme elle suce ta salope, je me régale, il faut que je la récompense !

Il lui saisit les cheveux et tire fortement dessus, sa bite s'enfonce jusqu'aux couilles dans la bouche d'Aude. Le bougre lui baise la bouche avec rage, Aude subit une gorge profonde pas piquée des hannetons. Ses yeux s'emplissent de larmes, elle a des hauts le cœur, elle veut vomir. Soudain l'homme se bloque est en poussant un long râle remplit la bouche d'Aude qui manque d'étouffer.

Elle repousse l'éjaculateur, se pince les lèvres. Daniel lui crie :

• Avale salope avale, ne gâche pas de la si bonne marchandise !

Un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres. C'est en grimaçant qu'elle déglutit en s'efforçant de tout avaler. Elle s'essuie les lèvres d'un revers de la main, et se laisse tomber sur le lit. L'homme reprend en bouche les mamelons, les martyrise à sa guise, pour faire gémir Aude.

Enfin sa bouche descend sur le torse de son amante, s'attarde sur le ventre plat, donne quelques lèchettes sur le nombril et approche dangereusement du temple qui ne cesse se suinter. Aude, jambes écartées, pousse de gros soupirs sonores. L'homme hume fortement les effluves odorantes que la chatte rejette. Mais dès qu'il pose sa bouche dessus, Aude se cabre. Il aspire le jus qui s'échappe, avant d'enfoncer sa langue profondément dans les puits d'amour.

Il fouille tellement qu'Aude gémit, elle se tend comme un arc, en offrant encore mieux sa vulve en feu. Un gémissement plus fort que les autres se fait entendre lorsque l'affamé, lui gobe le clito. La boule de chair, gonflée par les précédentes jouissances, subit les succions monstrueuses de l'homme en rut.

Une jouissance extraordinaire fait hurler Aude, sa cyprine gicle dans la bouche du suceur, qui doit lâcher le clito, pour se gaver du jus, si généreusement offert. Il se redresse et prend position entre les cuisses ouvertes, il pose sa bite contre le temple noyé et en donnant un coup de reins violent, enfonce sa bite jusqu'aux couilles dans le ventre d'Aude qui pousse un long râle.

Un autre homme que Daniel est en train de la baiser sans préservatif. Aude ne proteste pas, car elle comprend que c’est ce que veut celui est devenu son maitre.

L’étalon s'accroche comme un fauve sur sa proie. Le va-et-vient est rapide, les coups de reins sont violents. Aude ne cesse de geindre :

• Oui, oui, vas-y, vas-y !

La bite puissante du baiseur, fonctionne comme un marteau-pilon. Aude subit les assauts phénoménaux du mâle, en gémissant comme une bête malade. Elle se cambre et en hurlant explose de jouissance. L'homme infatigable continue de la défoncer comme un soudard. Il répand enfin sa semence dans le ventre d'Auge, qui ne cesse d'agiter son bassin. L'autre homme dit en souriant :

• Nous allons prendre ta salope à deux, nous allons l'exploser !

Daniel dit d'un ton autoritaire :
• Je ne veux pas que l'on touche à son cul, je me le réserve. Prenez-lui la chatte en double, sa chatte est assez souple pour recevoir deux bites. Allez-y mes salauds, faites-vous plaisir !

L'homme roule et arrive à mettre Aude sur lui sans pour cela se désaccoupler d'elle. L'autre type s'avance, il se place derrière et fait glisser sa bite sur celle de son complice, jusqu'à ce qu'elle s'enfonce a ses côtés. Aude, dilatée, reçoit sa première double vaginale. Les deux bites coulissent dans sa chatte en raclant fortement les parois sensibles. La sensation que ressent Aude est indescriptible. C'est le bonheur total.

Les deux hommes la défoncent comme des forcenés, ils lui labourent le ventre en faisant gémir Aude comme une bête blessée. Entre deux gémissements, elle arrive à dire :

• Daniel, Daniel, merci pour ce cadeau fabuleux, je prends un pied d'enfer !

Daniel en souriant répond :

• J'attends le retour d'ascenseur, mais jouis, jouis, nous en reparlerons !

Sa jouissance est phénoménale, ses hurlements excitent encore plus les deux hommes qui accélèrent le pilonnage. Une seconde jouissance fait cabrer Aude, ses yeux sont exorbités, un rictus affreux déforme son visage d'ange, un petit filet de bave s'échappe à la commissure de ses lèvres. Les deux baiseurs finissent par lui remplir, le ventre de leur sperme visqueux.

Daniel en souriant dit :

• Pour remercier tes amants, salope, tu vas leur nettoyer la queue avec ta langue.

Aude s'exécute, pour elle ce n'est pas une corvée, c'est un plaisir. Sur chaque bite, sa langue traque les restants de semence qui souillent les hampes et les glands. Enfin, les deux hommes disparaissent comme ils sont venus. Aude git, les bras en croix sur le lit, en haletant terriblement fort.

***