Collection Textes en commun : « Aude se lâche » (5 : une nuit de noces très spéciale)
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Collection Textes en commun : « Aude se lâche » (5 : une nuit de noces très spéciale)
Avertissement
Nous poursuivons, avec Sarah, l’écriture « à deux mains » de cette série. Nous vous conseillons de lire ou relire les épisodes précédents, parus depuis le 4 août 2024.
***
Résumé
Aude est aujourd’hui une mère de famille, âgée de 45 ans. Elle est mariée depuis près de 20 ans à Daniel. Le couple, établi dans une grande métropole de province, a deux enfants, Clémence, 19 ans et Arnaud, 16 ans.
Au moment de vouloir reprendre son destin en mains, Aude se souvient de sa rencontre avec Daniel, comment elle est devenue son épouse et ce qu’il fait d’elle.
Les premiers chapitres évoquaient le brillant parcours universitaire et professionnel d’Aude, pour laquelle s’annonçait une carrière prometteuse dans un grand établissement financier français. Ces chapitres racontent l’emprise croissante qu’exerce sur la jeune femme son supérieur hiérarchique, Daniel. Confirmant sa réputation de séducteur, celui-ci a accroché la jolie brune à son tableau de chasse et n’a eu de cesse d’affirmer sa domination sur elle. Avec la complicité du management, il est allé jusqu’à exercer sur elle un odieux chantage, agitant une menace de licenciement pour faute, sous prétexte d’une « conduite qui porte atteinte à la réputation de l’établissement ».
L’emprise de Daniel sur Aude semble désormais totale. Pourtant, la jeune femme poursuit depuis le début un objectif bien précis et, pour y parvenir, va abattre ses cartes devant un Daniel qui ne s’attend pas à cela. Enceinte de Daniel, Aude obtient qu’il l’épouse, ce à quoi il consent de très mauvaise grâce, pour éviter un scandale qui serait préjudiciable à sa carrière et sa réputation.
La journée nuptiale voulue par Daniel est très particulière. Non seulement il refuse d’inviter les parents et les amis de la jeune femme, mais la façon dont il l’exhibe confirme qu’il n’a ni sentiments et pas la moindre considération pour son épouse.
La soirée se passe avec un nombre restreint d’invités. Pensant humilier celle qui l’a contraint à l’épouser, Daniel a organisé pour Aude un gang bang avec cinq hommes soigneusement choisis. Daniel n’a pas compris qu’Aude, qui a pris conscience de son hypersexualité, va vivre intensément cette soirée. Une surprise l’attend !
***
Aude n’est pas ravie de la présence de Gaspard, son collègue du service documentation, qui s’est récemment pris une gifle pour avoir tenté de la coincer dans le local des archives. Ce quinquagénaire ventripotent, qui la dégoûte, s’approche d’elle avec un sourire malsain.
- Tu ne vas pas faire la difficile cette fois n’est-ce pas ?
Aude se détourne pour jeter un regard à Daniel, pour l’implorer de lui épargner ça. Mais ce dernier est déjà plongé dans la poitrine de Fabienne, son assistante et maitresse. Et, de toute façon, Daniel a promis à Gaspard qu’il serait le premier à profiter d’Aude. Daniel sait qu’Aude le déteste. Il veut la punir, lui faire comprendre une fois pour toutes qu’il est le maitre, qu’il fait d’elle ce qu’il lui plait. Gaspard attrape Aude par les cheveux et la tire brutalement vers lui.
- Ton « mari » nous a dit qu’on pouvait faire ce qu’on voulait de toi, y compris te secouer, si jamais tu désobéissais. Tu as compris, petite pute ?
Aude comprend au regard malsain de Gaspard et au regard ravi des autres spectateurs, à l’exception de Barnabé, que ce ne sont pas des menaces en l’air. Elle doit obéir sagement même si Gaspard lui répugne au plus haut point.
- A genoux ! Crie Gaspard en tirant à nouveau sur ses cheveux.
Hochant docilement la tête, Aude se met à genoux devant lui. Vicieux, Gaspard la prend par la nuque et pousse sa tête sur son pantalon.
- Allez, secoue-toi, ma bite ne va pas sortir toute seule. Active-toi !
Aude ouvre le pantalon sous le regard moqueur de Gaspard et des trois autres autres qui observent la scène avec intérêt. Il bande déjà comme un cheval.
Sans laisser le temps à Aude de se préparer, il s’enfonce brutalement dans sa bouche en lâchant un long râle de satisfaction. Aude a immédiatement un haut-le-cœur. Non seulement Gaspard lui impose d’emblée une gorge profonde, mais en plus sa bite est malodorante. L’odieux personnage a pris soin de ne pas laver sa queue le matin.
- Ah qu’est-ce que c’est bon. Mon odeur te plait, j’espère ! Tu as une vraie bouche de suceuse. Je vais te défoncer ta petite gueule de prétentieuse moi, tu vas voir.
Lui prenant la tête entre ses mains, il se met à lui pilonner brutalement la tête, lui faisant monter les larmes aux yeux.
- Eh, cria Aldo, n’y va pas si fort Gaspard, on veut aussi avoir l’opportunité de ruiner son maquillage.
Mais Gaspard est comme en transe, brutalisant la bouche d’Aude autant qu’il le peut.
- C’est ça, bouffe bien ma queue sale pute… grosse trainée… tu m’as bien dit que je ne t’aurais jamais n’est-ce pas ? Eh bien ce soir… pour célébrer ton mariage, je vais te prendre par tous les trous. Je vais t’apprendre à me prendre de haut, sale pute.
Il se retire brutalement de sa bouche, faisant sortir avec sa queue un long filet de bave. Il se déshabille très vite et se place derrière sa proie.
- A quatre pattes, ordonne-t-il, mieux que ça ! Je vais te saillir.
Aude, reprenant encore son souffle, sent la queue de Gaspard qui s’enfonce brutalement en elle, lui arrachant un grand cri.
- Ne fais pas ton cinéma, hurle Gaspard en lui claquant violemment les fesses, tu mouilles comme la dernière des trainées. Tu as envie de ma queue n’est-ce pas ?
Aude ne répond pas, subissant les assauts de son premier amant de la soirée. Elle déteste Gaspard, il la dégoute et pourtant, elle ne veut pas qu’il arrête ses assauts brutaux.
- Réponds quand je te parle petite pute, crache Gaspard en lui envoyant une nouvelle claque douloureuse sur les fesses.
- Oui, j’ai envie de ta queue.
- Tu as envie que je te baise encore.
- Oh oui, baise-moi, ne t’arrête pas je t’en supplie.
- Très bien, alors prends ça, petite trainée.
Alors que les assauts brutaux de Gaspard continuent, Aldo se présente tout nu devant Aude. Il se met sur un genou devant elle et, la prenant par la nuque pour stabiliser sa position, il enfonce sa queue dans sa bouche.
- Bouffe bien ma queue salope, ce n’est pas la première fois que tu la vois. Avale la bien !
- Mmm…
Juan approche à son tour en se déshabillant lentement, ne ratant pas une miette de la scène. Il exhibe sa queue et commence à la masser doucement, attendant son tour. Barnabé, quant à lui, observe la scène depuis son siège, la main sur sa « grosse bosse ». Ce qu’il observe le choque, mais, en même temps, Aude le fascine.
- Aller on échange, dit Aldo à Gaspard. Je veux aussi baiser cette pute.
- Attends, proteste Gaspard, je veux aussi l’enculer.
- Tu l’enculeras après, comme tout le monde. Nous avons toute la nuit pour ça !
A contrecœur, Gaspard se lève et laisse sa place à Aldo qui pénètre Aude avec autant de brutalité que son prédécesseur.
- Je vais bien te faire hurler moi, dit Aldo en tirant fort sur les cheveux d’Aude. Depuis la dernière fois à Davos, je ne pense qu’à te baiser à nouveau. Des salopes de ton genre, on n’en voit pas tous les jours, il faut en profiter.
Juan se place à son tour devant Aude, enfonçant sa queue dans sa bouche, ne lui laissant aucun répit.
- Tu suces toujours aussi bien, dit Juan en s’enfonçant à chaque fois le plus profondément possible dans la bouche d’Aude. Daniel est quand même un sacré veinard d’avoir une telle trainée à sa disposition tous les jours.
Quelques minutes après, Aude est portée et couchée sur le dos, sur la grande table. Les jambes écartées, totalement offerte, c’est au tour de Juan, qui ne l’a pas encore baisée de commencer en premier, la pilonnant avec autant de brutalité que ses camarades, malmenant ses seins et lui donnant des claques sur les fesses.
- Oh putain, quel cadeau tu nous a fait Daniel, dit-il en haletant sans arrêter sa baise, cette salope, c’est vraiment quelque chose.
Il la baise ainsi pendant de longues minutes, la faisant crier de plaisir. Ensuite ce fut Gaspard qui reprit sa place entre les cuisses d’Aude.
- Ecarte bien les jambes salope, je vais te défoncer comme il faut, moi !
La prenant brutalement par les hanches, il commence à la baiser impitoyablement, essayant de lui faire plus de mal que de bien. Aude, bien que révulsée par la personne, est aux anges, subissant un coït brutal, ce qu’elle aime énormément. Mais Gaspard va encore tenter de pousser le vice plus loin, essayant toujours de rendre la situation aussi insupportable que possible pour elle.
La prenant par le cou, il la tire vers lui, l’obligeant à s’assoir sur le bord de la table pendant qu’il la baise.
- Roule-moi une pelle salope !
- Quoi ?
- Tu es sourde ? Je t’ai dit de m’embrasser.
- Non !
La gifle part très vite. Elle n’est pas douloureuse, mais Aude comprend qu’elle doit obéir. Pourtant, se faire baiser par cet homme immonde est une chose, mais l’embrasser en est une autre.
Du coin de l’œil, elle voit Daniel en train de prendre Fabienne en levrette alors que Christine l’embrasse à pleine bouche. Jean et Barnabé se rapprochent également d’elle.
- Tu en veux une autre ? Menace Gaspard.
- Non… je…
- Alors, embrasse-moi petite pute. Tu as déjà eu pire en bouche.
Luttant contre ses émotions, totalement humiliée, Aude pose une main sur la joue de Gaspard et l’embrasse. Elle se sent totalement impuissante mais l’excitation d’être ainsi entourée d’amants inhibe quelque peu la situation. Elle sent les mains de Jean qui lui pressent les seins alors que Gaspard ne semble toujours pas vouloir lâcher sa bouche.
Quand il se retire enfin de sa bouche et de sa chatte, Aude se retrouve soudainement face à un colosse : Barnabé est devant elle, exhibant une longue queue bien épaisse entre ses jambes, la plus grosse qu’Aude ait jamais vue.
***
Barnabé n’est pas comme les autres, qui ne pensent qu’à humilier Aude et qui la traitent comme un vide-couilles.
Barnabé est le président du club de tennis, dans cette ville de province où le nouveau couple va s’installer. Daniel est le principal sponsor du club et le partenaire de jeu de l’Antillais. Il pensait appâter Barnabé en lui montrant des photos et des vidéos intimes d’Aude. Barnabé avait été choqué par la façon dont Daniel parlait de sa future épouse, qu’il qualifiait de « salope ».
- Tu sais, elle m’a piégé, pour se faire mettre enceinte et m’obliger à l’épouser. Je le fais pour éviter le scandale, alors que je ne suis même pas certain que ce gosse soit de moi.
L'Antillais n’osa pas lui dire le fond de sa pensée, à savoir que la contraception, c’est l’affaire des deux partenaires, pas d’un seul.
- Je veux qu’elle s’en souvienne, de cette nuit de noces. Je vais lui offrir un gang bang. J’ai pensé à faire venir cinq hommes, car cette petite pute dispose de trois orifices et deux mains. Ce que je veux, c’est qu’elle soit bien baisée et surtout bien humiliée, comme la trainée qu’elle est. Qu’en penses-tu ?
Barnabé se dit que sa première impression était la bonne : ce type, qui fait étalage de son statut social et de son fric, est profondément malsain. Il aurait dû décliner, mais il était tenté de mieux connaitre cette femme magnifique.
- Ce sera l’occasion de mieux connaitre cette Aude, dans tous les sens du terme. Elle est consentante, n’est-ce pas ?
- Pour qui me prends-tu ? Evidemment, car elle est devenue ma soumise, qui fait tout ce que je lui demande.
- Alors, je suis d’accord.
- Je compte sur toi pour bien défoncer cette nympho !
Juste avant la cérémonie à la mairie, Barnabé fit la connaissance d’Aude, que Daniel continuait à abaisser :
- Voici Aude, la petite putain dont je t’ai parlé. Barnabé est le président du club de tennis de cette ville et mon « sparring partner ».
Barnabé prit la main d’Aude et lui fit un baisemain. La façon dont il la regarda troubla Aude. Cet homme ne la considérait pas comme une proie. Bien sûr, cette femme le faisait bander, surtout au vu de sa tenue incroyablement indécente. « Mon Dieu, qu’elle est belle, se dit Barnabé. Elle mérite autre chose que ce sale type.
- C’est un plaisir que de faire votre connaissance, Madame. Vous aimez le tennis ?
- Je suis très sportive et j’adore le tennis. Si mon mari en est d’accord, ce sera un plaisir que de rejoindre votre club, Monsieur.
Daniel fit la moue. La courtoisie de Barnabé ne lui plaisait guère. Et ce d’autant plus qu’après le comportement de Daniel lors de la cérémonie, Barnabé osa lui dire :
- Ça ne me regarde pas, Daniel. Mais tu ne crois pas que la tenue que porte Aude est exagérée ?
- Il est normal qu’elle soit habillée comme une putain, car c’est ce qu’elle est. Et ne fais pas l’hypocrite. J’ai vu que tu ne cesses de la mater et qu’elle te fait bander. Patiente jusque ce soir.
Ce que Barnabé n’osa pas dire à Daniel est qu’il était fasciné par Aude. A cours de la réception, ils avaient beaucoup échangé, y compris au sujet de l’économie et de du monde de la finance, que Barnabé connaissait bien pour y travailler également. Barnabé admirait, non seulement la beauté d’Aude, mais aussi l’étendue de sa culture et de ses compétences professionnelles.
Grand séducteur, Barnabé avait follement envie de cette femme. Célibataire endurci, il lui arrivait une chose qu’il n’avait jamais connue : il avait un coup de foudre pour celle qui était désormais Madame S.
Au début du gang bang, Barnabé se contenta d’observer. Ce qu’il vit l’excitait et le révulsait. Il se dit en lui-même combien Aude était belle quand elle enchaînait les orgasmes. Depuis qu’il l’avait vue la première fois, il avait envie d’elle. La mater en train de jouir sans interruption rendait le jeune homme fou de désir, au point de devoir se toucher, en veillant à se réserver pour celle qu’il désirait comme un malade. En même temps, Barnabé était choqué par l’attitude de Daniel qui, tout en poursuivant ses ébats avec ses deux maîtresses, encourageait les autres à traiter son épouse en vulgaire vide-couilles. Quant aux autres, ils provoquaient chez lui un dégoût profond, particulièrement l’odieux Gaspard. Barnabé fut tenté d’intervenir, non pour fuir, mais pour prendre Aude par la main, l’enlever, l’amener chez lui, pour lui faire l’amour.
Barnabé voulait cette femme, pas pour une nuit, mais pour la vie. Des discussions qu’il avait eues avec elle au cours de la réception, il avait compris qu’Aude était hélas follement amoureuse de Daniel et, qu’en effet, elle pensait qu’il finirait par l’aimer grâce au fait qu’elle accédait à tous ses désirs, même les plus pervers. Barnabé avait compris qu’il lui faudrait du temps pour qu’Aude se libère de l’emprise de son dominateur.
***
Gaspard a enfin fini son affaire, les autres ont besoin de se refaire des forces, avant de recommencer, car la consigne de Daniel est de ne laisser aucun répit à Aude. C’est le tour de Barnabé, qui a grillé la politesse à Jean.
Aude est toujours à genoux. Elle regarde Barnabé dans les yeux, celui-ci lui sourit. La façon dont il la regarde est totalement différente de celle des quatre autres individus que Daniel a fait venir pour ce gang bang.
Aude prend en main la bite de l’Antillais. Ses doigts n’en font pas le tour. Elle le masturbe tout en continuant à le regarder dans les yeux. Leurs échanges de regards sont plein de promesses. Depuis le début de l’après-midi, Aude a, elle aussi, flashé sur Barnabé. Elle a pensé à lui pendant toute la réception. Elle a compris, dès la cérémonie en mairie, pourquoi ces hommes sont là. Ce sera pour Aude un passage obligé, puisque c’est que Daniel veut et, consciente de son hypersexualité, elle sait qu’elle va prendre son pied. Mais ce Barnabé, c’est autre chose. Il l’attire.
Pour Aude, ce n’est pas le coup de foudre, car c’est Daniel qu’elle aime aveuglément. Que veut-elle ? Elle a envie de ce bel homme, incroyablement bien monté mais qui a pris la peine de parler avec elle de nombreux sujets, qui a été le seul, parmi les invités de cette soirée, à se montrer courtois envers elle, à la respecter, au point de la vouvoyer.
Pourtant, restant dans son rôle de soumise, alors que l’homme ne lui impose rien, elle lui demande, en baissant les yeux :
- Je peux la prendre en bouche ? Elle est si belle ! Et j‘en ai tellement envie !
- Evidemment ! J’en meure d’envie moi aussi. Je veux vous faire l’amour, ce soir, vous rendre heureuse.
- Tutoyez-moi, Monsieur Barnabé. D’une part, on ne me vouvoie pas. Et s’il le remarque, Daniel sera furieux.
Barnabé lui a répondu à voix basse, pour que les autres, qui sont allés prendre des forces au buffet, n’entendent pas. Seul Daniel surveille.
- Ne fais pas de manière salope. Bouffe les couilles de mon ami. Et toi, baise-lui la bouche. Ensuite tu la démonteras.
Aude n’a pas attendu l’injonction de son mari pour prendre en bouche la queue de Barnabé. Elle n’a jamais vu un monstre pareil, mais elle le veut dans sa bouche, le plus loin possible. Peu importe qu’elle s’étouffe, que les larmes lui coulent. Barnabé baise sa bouche, lui tient la tête, caressant ses cheveux, ne forçant pas la jeune femme qui y met toute sa science de la fellation.
***
Malgré les sentiments qu’il éprouve envers Aude, Barnabé ne peut s’empêcher de râler de plaisir alors que la bouche gourmande de la jeune femme lui dévore son sexe. Malgré lui, toujours en lui tenant la main, il commença à lui mettre des coups de reins, essayant d’aller le plus loin possible dans sa bouche mais sans lui faire de mal. Au bout de longues minutes qui semblaient cependant courts pour Aude, Barnabé la relève et la soulève comme si elle était une poupée et la couche sur l’une des tables.
Lui écartant les jambes avec passion, il vient sur elle et l’embrasse passionnément. Aude lui rend son baiser avec tout autant d’ardeur. Cette scène n’échappe pas à Daniel qui semble perdre sa concentration avec ses amantes et observe l’étrange harmonie qui est en train de se créer entre Aude et Barnabé. Il en est clairement mécontent.
Après un baiser long et passionné, Barnabé couvre le corps d’Aude de caresses et de baisers, en se dirigeant vers son intimité. Aude mouille abondamment et elle aurait préféré que son amant passe directement aux choses sérieuses. Elle est surprise de voir avec quelle habileté et avec quelle maitrise son nouvel amant la lèche. C’est tellement bon qu’elle est dévastée par un orgasme au bout d’à peine deux minutes. Elle lâche un grand cri de plaisir. A présent, tous les autres s’éloignent du buffet et observent ces ébats avec intérêt.
- Baise-moi s’il te plaît, lâche Aude en se mordant la main. J’ai envie de t’avoir en moi.
- Tu veux que je te baise ?
- Oh oui baise-moi, je ne peux plus attendre. Ta queue me rend folle, prends-moi comme si j’étais la dernière des trainées.
Pour toute réponse, Barnabé tire doucement Aude vers lui, l’embrasse à nouveau passionnément, moment pendant lequel Aude en profite pour masturber le membre monstrueux de son amant. Après quoi, il la retourne et la met cette fois sur le ventre, sur la même table où il vient de la faire jouir.
Au lieu de l’assaut brutal auquel Aude s’attendait et qu’elle désirait, Barnabé s’enfonce en elle doucement mais profondément en lâchant un grand râle. Aude, quant à elle, découvre sur le coup la formidable sensation d’avoir une queue monstrueuse en soi, elle se sent remplie comme jamais par le membre de cet amant attirant et puissant.
Caressant ses seins des deux mains, Barnabé initie un va-et-vient long et profond pendant lequel Aude est presque en transe. Elle s’accroche à la table avec les deux mains, criant de plaisir.
- Tu aimes ce que je te fais ? Lui demande son amant.
- Oh oui j’adore.
- Tu veux que je continue ?
- Oh oui, je veux que tu me baises comme la dernière des trainées.
Sous l’excitation du moment, elle ajoute :
- Je n’ai jamais été baisée aussi bien.
Malgré leurs ébats et les cris de plaisir d’Aude, un silence pesant s’installe autour d’eux. Cette phrase n’échappe à personne et il y a des regards gênés. Barnabé ne semble pas le moins du monde concerné et continue ses assauts, de plus en plus rapides et fougueux. Au bout d’une dizaine de minutes et de plusieurs orgasmes de la jeune femme, Barnabé retourne Aude vers lui et l’embrasse à nouveau avec passion, caressant doucement son corps nu. Ce n’étaient de toutes évidemment pas des baisers dénués de sentiments.
Il s’en suit une longue copulation, où Aude enchaîne de nouveaux orgasmes. L’embarras est de plus en plus fort autour d’eux. Daniel semble en avoir fini avec ses amantes et maintenant tous observent la scène. Daniel serre les poings, luttant contre l'onde de rage qui monte en lui alors qu’il observe Barnabé et Aude qui font l’amour.
Jamais il n’aurait imaginé que quelqu’un, surtout un homme qu’il a lui-même invité, oserait l’ignorer ainsi et monopoliser Aude avec une telle autorité. Cette intimité inattendue, presque sacrée, lui est insupportable. Chaque sourire qu’Aude adresse à Barnabé, chaque cri qu’elle laisse échapper lui donnent la sensation de perdre son contrôle, de voir son pouvoir se dissoudre sous ses yeux.
Soudain, l’un des autres participants, Aldo, commence à s’approcher, comme pour rappeler que lui aussi fait partie de cette soirée que Daniel avait minutieusement orchestrée. Avec un sourire narquois, Aldo s’avance, pensant pouvoir s’intégrer à ce moment d’intimité. Mais Barnabé, toujours attentif à chaque mouvement autour de lui et d’Aude, lève la main, imposant son refus avec une fermeté qui surprend tout le monde. Son regard perçant s’ancre dans celui d’Aldo, et, sans aucune ambiguïté, il prononce calmement :
- Non, pas maintenant. Elle est avec moi, et je ne partage pas.
La voix de Barnabé est calme mais résolue, chaque mot est prononcé avec une clarté qui ne laisse aucune place au doute. Aldo, d’abord surpris, hésite, cherchant un signe de Daniel, comme pour s’assurer que cette interruption du gang bang est permise. Mais Daniel, paralysé de surprise, ne peut qu’observer, son expression figée dans une colère impuissante, forcé d’accepter la rébellion silencieuse de Barnabé. C’est un affront direct à son autorité, une humiliation qu’il ne peut digérer. Lui, qui a toujours eu le contrôle total, voit son plan lui échapper, son autorité ébranlée par ce refus explicite.
Barnabé, sans accorder plus d’attention à Aldo ou aux autres, reprend son coït avec une Aude qui s’offre totalement, physiquement et émotionnellement. Ils terminent en missionnaire et alors que Barnabé baise Aude avec toute la passion et la force dont il est capable, allant aussi profondément en elle qu’il le peut, elle lui crie, oubliant à nouveau les spectateurs autour d’eux :
- Je veux que tu te vides en moi, je t’en supplie.
- Tu es sûre ?
- Oui, remplis-moi. Je veux ta semence en moi, féconde-moi.
Ne se faisant pas prier et peut-être même, pour envoyer un message à Daniel et aux autres, il accélère la cadence et se lâche dans un grand râle dans une Aude qui a un ultime orgasme, encore plus violent que tous les précédents. Ce spectacle de quelques secondes sembla durer une éternité pour les spectateurs.
***
Les ébats finis. Barnabé se relève et tend la main à Aude pour l’aider à se lever.
- J’imagine que tu es très pressée d’aller te refaire une beauté, lui dit-il en la fixant intensément.
Aude le regarde droit dans les yeux, comme hypnotisée.
- Oui, répondit-elle simplement.
Sur le coup, elle oublie tous les autres, comme si tout était déjà terminé. Ainsi Barnabé, faisant cela, brisa le programme de Daniel. Personne n’intervint, ni ne protesta, pas même Daniel. Il semblait à tout le monde que la moindre intervention se solderait par une humiliation, comme ce fut le cas pour Aldo.
***
Une vingtaine de minutes plus tard, tout le monde est déjà rhabillé et tout le monde se prépare à partir. Barnabé, élégant et détendu, est conscient que cet instant pourrait bien être le début de quelque chose de précieux entre lui et Aude.
Il observe Daniel à la dérobée, scrutant la tension qui tord les traits de son visage, un mélange de rage contenue et de frustration. Pour Barnabé, cette jalousie qui ronge Daniel est un rappel ironique de la vulnérabilité de cet homme, pourtant si habitué à dominer et manipuler les autres. Il savait qu’il détenait quelque chose que Daniel n’avait pas : l’attention sincère et le respect d’Aude. Ce lien fragile et encore neuf, il n’avait aucune intention de le laisser s’effilocher une fois la soirée terminée.
Alors, avec une assurance calculée, Barnabé s’avance vers Aude, ses gestes maîtrisés et empreints d’une discrétion parfaitement mesurée. Sous l’éclairage tamisé, il prend une dernière fois la main d’Aude, effleurant sa paume avec un toucher léger mais significatif. D’un geste fluide et naturel, il glisse un petit morceau de papier plié dans sa main, refermant délicatement ses doigts autour. Ses yeux s’ancrent dans les siens, et dans cet échange silencieux, il lui transmet bien plus qu’un simple numéro de téléphone : il lui offre une porte dérobée, une possibilité d’évasion hors du joug de Daniel, un échappatoire vers quelque chose de moins contrôlé, de moins suffoquant.
Aude, surprise mais grisée par ce geste inattendu, sent sa respiration s’accélérer alors qu’elle serre le papier dans sa paume, un frisson d’excitation parcourant tout son corps. Elle le cache soigneusement, consciente du danger que représente ce simple morceau de papier.
Avant de se retirer complètement, Barnabé se penche légèrement vers elle, s’assurant qu’ils sont hors de portée d’écoute des autres invités. Il murmure, d’une voix basse, rauque, juste assez fort pour qu’elle seule entende :
- Quand il sera à Paris, appelle-moi. Je n’ai pas l’intention de m’arrêter là.
Aude déglutit, submergée par l’émotion et l’audace de ce moment. Barnabé lui adresse un dernier sourire complice, avant de se redresser, ses gestes empreints de l’élégance maîtrisée d’un homme qui sait parfaitement ce qu’il fait. Ses doigts effleurent brièvement les siens, puis il se détache, s’éloignant avec une lenteur calculée. Ses pas mesurés, son allure parfaitement tranquille, comme s’il quittait un simple dîner d’affaires, indifférent aux émois et aux jalousies qui bouillonnent autour de lui.
***
Dans un coin de la pièce, Daniel, obsédé par sa propre rage, n’avait rien remarqué de l’échange subtil. Ses yeux, fixés sur Barnabé qui s’éloignait, étaient remplis d’une colère impuissante. Il rumina les événements de la soirée, incapable d’assimiler la perte de contrôle qu’il avait ressentie. Voir un autre homme s’approcher de celle qu’il considérait comme sa possession, sa chose, l’avait rongé de l’intérieur, mais il n’avait pas su comment intervenir sans trahir sa propre faiblesse. Le sourire calme de Barnabé, son regard plein de complicité avec Aude, tout cela était pour Daniel une humiliation qu’il ne parvenait pas à digérer. Il voulait humilier Aude, la livrer à un gang bang brutal et sordide. Et cette garce venait en quelque sorte de commettre un adultère devant lui et ses invités.
Aude, quant à elle, reste là, immobile, le papier discrètement serré dans sa main, sentant le poids et la portée de ce papier.
En rentrant vers leur « demeure conjugale », Daniel ne manqua pas de lui dire :
- Tu m’as encore humilié, espèce de trainée et je vais te faire payer ça jusqu’au restant de tes jours.
Aude ne répondit pas. Elle baissa les yeux, effrayée de sa propre audace. Elle avait également peur de la haine qu’exprimait son regard et même qu’il ne devienne violent.
- Bien entendu, je t’interdis de revoir ce Barnabé, tu entends, salope ? Dès demain, je vais couper les vivres à son club de tennis. Quant à toi, je te réserve une surprise pour cette nuit et pour le prochain week-end.
A ce moment, retentit la sonnette. Daniel alla ouvrir et fit entrer Fabienne. C’était l’ultime humiliation qu’il avait conçue envers Aude : passer la nuit avec sa maîtresse. Aude osa dire, d’une voix faible :
- Tu fais tout ce que tu veux, mon chéri et j’ai promis de t’obéir en tout. Mais cette nuit de noces, n’aurait-on pas pu la finir ensemble ?
- D’abord, je ne veux plus que tu m’appelles mon chéri. Ensuite, avec ce que tu as fait ce soir, j’ai moins que jamais envie de passer la nuit avec toi. Tu dormiras dans la chambre d’amis, bercée par les cris de plaisirs de Fabienne.
- Je ferai comme tu le veux, Daniel. Je n’en suis pas moins désormais ta femme et je porte ton enfant. Que prévois-tu pour le prochain week-end ?
Daniel la fusilla du regard :
- Tu le sauras le moment venu. Je vais préparer ça durant la semaine et, cette fois, tu seras traitée comme la petite putain que tu es.
Daniel prit Fabienne par la main et se dirigea, avec sa maitresse, vers la chambre conjugale.
***
Aude, prit une longue douche, s’efforçant de ne pas entendre les cris de plaisir de sa rivale. Tout à l’heure, elle n’avait pas seulement joué la soumission pour contrecarrer la vigilance de Daniel. Elle était partagée : à la fois attirée par Barnabé, mais toujours sous l’emprise de Daniel. Elle aurait voulu passer sa nuit de noces avec son mari. Même cela lui aura été refusé.
Les hurlements de Fabienne lui étaient insupportables. Aude se coucha, nue, sur le lit de cette chambre impersonnelle et froide. Puis, elle prit en mains le papier sur lequel Barnabé avait inscrit son numéro de portable. Aude, qui était douée pour l’usage des outils informatiques, renforça le code de sécurité de son smartphone et introduisit le numéro de Barnabé. Il était très tard, mais elle voulait établir le contact. Elle en avait besoin. Lui téléphoner serait trop dangereux, avec Daniel dans la maison. Elle envoya au bel Antillais un SMS : « Bonsoir Barnabé, c’est Aude. Ce soir, c’était merveilleux. Je pense à toi. Mille baisers »
***
(A suivre)
Nous poursuivons, avec Sarah, l’écriture « à deux mains » de cette série. Nous vous conseillons de lire ou relire les épisodes précédents, parus depuis le 4 août 2024.
***
Résumé
Aude est aujourd’hui une mère de famille, âgée de 45 ans. Elle est mariée depuis près de 20 ans à Daniel. Le couple, établi dans une grande métropole de province, a deux enfants, Clémence, 19 ans et Arnaud, 16 ans.
Au moment de vouloir reprendre son destin en mains, Aude se souvient de sa rencontre avec Daniel, comment elle est devenue son épouse et ce qu’il fait d’elle.
Les premiers chapitres évoquaient le brillant parcours universitaire et professionnel d’Aude, pour laquelle s’annonçait une carrière prometteuse dans un grand établissement financier français. Ces chapitres racontent l’emprise croissante qu’exerce sur la jeune femme son supérieur hiérarchique, Daniel. Confirmant sa réputation de séducteur, celui-ci a accroché la jolie brune à son tableau de chasse et n’a eu de cesse d’affirmer sa domination sur elle. Avec la complicité du management, il est allé jusqu’à exercer sur elle un odieux chantage, agitant une menace de licenciement pour faute, sous prétexte d’une « conduite qui porte atteinte à la réputation de l’établissement ».
L’emprise de Daniel sur Aude semble désormais totale. Pourtant, la jeune femme poursuit depuis le début un objectif bien précis et, pour y parvenir, va abattre ses cartes devant un Daniel qui ne s’attend pas à cela. Enceinte de Daniel, Aude obtient qu’il l’épouse, ce à quoi il consent de très mauvaise grâce, pour éviter un scandale qui serait préjudiciable à sa carrière et sa réputation.
La journée nuptiale voulue par Daniel est très particulière. Non seulement il refuse d’inviter les parents et les amis de la jeune femme, mais la façon dont il l’exhibe confirme qu’il n’a ni sentiments et pas la moindre considération pour son épouse.
La soirée se passe avec un nombre restreint d’invités. Pensant humilier celle qui l’a contraint à l’épouser, Daniel a organisé pour Aude un gang bang avec cinq hommes soigneusement choisis. Daniel n’a pas compris qu’Aude, qui a pris conscience de son hypersexualité, va vivre intensément cette soirée. Une surprise l’attend !
***
Aude n’est pas ravie de la présence de Gaspard, son collègue du service documentation, qui s’est récemment pris une gifle pour avoir tenté de la coincer dans le local des archives. Ce quinquagénaire ventripotent, qui la dégoûte, s’approche d’elle avec un sourire malsain.
- Tu ne vas pas faire la difficile cette fois n’est-ce pas ?
Aude se détourne pour jeter un regard à Daniel, pour l’implorer de lui épargner ça. Mais ce dernier est déjà plongé dans la poitrine de Fabienne, son assistante et maitresse. Et, de toute façon, Daniel a promis à Gaspard qu’il serait le premier à profiter d’Aude. Daniel sait qu’Aude le déteste. Il veut la punir, lui faire comprendre une fois pour toutes qu’il est le maitre, qu’il fait d’elle ce qu’il lui plait. Gaspard attrape Aude par les cheveux et la tire brutalement vers lui.
- Ton « mari » nous a dit qu’on pouvait faire ce qu’on voulait de toi, y compris te secouer, si jamais tu désobéissais. Tu as compris, petite pute ?
Aude comprend au regard malsain de Gaspard et au regard ravi des autres spectateurs, à l’exception de Barnabé, que ce ne sont pas des menaces en l’air. Elle doit obéir sagement même si Gaspard lui répugne au plus haut point.
- A genoux ! Crie Gaspard en tirant à nouveau sur ses cheveux.
Hochant docilement la tête, Aude se met à genoux devant lui. Vicieux, Gaspard la prend par la nuque et pousse sa tête sur son pantalon.
- Allez, secoue-toi, ma bite ne va pas sortir toute seule. Active-toi !
Aude ouvre le pantalon sous le regard moqueur de Gaspard et des trois autres autres qui observent la scène avec intérêt. Il bande déjà comme un cheval.
Sans laisser le temps à Aude de se préparer, il s’enfonce brutalement dans sa bouche en lâchant un long râle de satisfaction. Aude a immédiatement un haut-le-cœur. Non seulement Gaspard lui impose d’emblée une gorge profonde, mais en plus sa bite est malodorante. L’odieux personnage a pris soin de ne pas laver sa queue le matin.
- Ah qu’est-ce que c’est bon. Mon odeur te plait, j’espère ! Tu as une vraie bouche de suceuse. Je vais te défoncer ta petite gueule de prétentieuse moi, tu vas voir.
Lui prenant la tête entre ses mains, il se met à lui pilonner brutalement la tête, lui faisant monter les larmes aux yeux.
- Eh, cria Aldo, n’y va pas si fort Gaspard, on veut aussi avoir l’opportunité de ruiner son maquillage.
Mais Gaspard est comme en transe, brutalisant la bouche d’Aude autant qu’il le peut.
- C’est ça, bouffe bien ma queue sale pute… grosse trainée… tu m’as bien dit que je ne t’aurais jamais n’est-ce pas ? Eh bien ce soir… pour célébrer ton mariage, je vais te prendre par tous les trous. Je vais t’apprendre à me prendre de haut, sale pute.
Il se retire brutalement de sa bouche, faisant sortir avec sa queue un long filet de bave. Il se déshabille très vite et se place derrière sa proie.
- A quatre pattes, ordonne-t-il, mieux que ça ! Je vais te saillir.
Aude, reprenant encore son souffle, sent la queue de Gaspard qui s’enfonce brutalement en elle, lui arrachant un grand cri.
- Ne fais pas ton cinéma, hurle Gaspard en lui claquant violemment les fesses, tu mouilles comme la dernière des trainées. Tu as envie de ma queue n’est-ce pas ?
Aude ne répond pas, subissant les assauts de son premier amant de la soirée. Elle déteste Gaspard, il la dégoute et pourtant, elle ne veut pas qu’il arrête ses assauts brutaux.
- Réponds quand je te parle petite pute, crache Gaspard en lui envoyant une nouvelle claque douloureuse sur les fesses.
- Oui, j’ai envie de ta queue.
- Tu as envie que je te baise encore.
- Oh oui, baise-moi, ne t’arrête pas je t’en supplie.
- Très bien, alors prends ça, petite trainée.
Alors que les assauts brutaux de Gaspard continuent, Aldo se présente tout nu devant Aude. Il se met sur un genou devant elle et, la prenant par la nuque pour stabiliser sa position, il enfonce sa queue dans sa bouche.
- Bouffe bien ma queue salope, ce n’est pas la première fois que tu la vois. Avale la bien !
- Mmm…
Juan approche à son tour en se déshabillant lentement, ne ratant pas une miette de la scène. Il exhibe sa queue et commence à la masser doucement, attendant son tour. Barnabé, quant à lui, observe la scène depuis son siège, la main sur sa « grosse bosse ». Ce qu’il observe le choque, mais, en même temps, Aude le fascine.
- Aller on échange, dit Aldo à Gaspard. Je veux aussi baiser cette pute.
- Attends, proteste Gaspard, je veux aussi l’enculer.
- Tu l’enculeras après, comme tout le monde. Nous avons toute la nuit pour ça !
A contrecœur, Gaspard se lève et laisse sa place à Aldo qui pénètre Aude avec autant de brutalité que son prédécesseur.
- Je vais bien te faire hurler moi, dit Aldo en tirant fort sur les cheveux d’Aude. Depuis la dernière fois à Davos, je ne pense qu’à te baiser à nouveau. Des salopes de ton genre, on n’en voit pas tous les jours, il faut en profiter.
Juan se place à son tour devant Aude, enfonçant sa queue dans sa bouche, ne lui laissant aucun répit.
- Tu suces toujours aussi bien, dit Juan en s’enfonçant à chaque fois le plus profondément possible dans la bouche d’Aude. Daniel est quand même un sacré veinard d’avoir une telle trainée à sa disposition tous les jours.
Quelques minutes après, Aude est portée et couchée sur le dos, sur la grande table. Les jambes écartées, totalement offerte, c’est au tour de Juan, qui ne l’a pas encore baisée de commencer en premier, la pilonnant avec autant de brutalité que ses camarades, malmenant ses seins et lui donnant des claques sur les fesses.
- Oh putain, quel cadeau tu nous a fait Daniel, dit-il en haletant sans arrêter sa baise, cette salope, c’est vraiment quelque chose.
Il la baise ainsi pendant de longues minutes, la faisant crier de plaisir. Ensuite ce fut Gaspard qui reprit sa place entre les cuisses d’Aude.
- Ecarte bien les jambes salope, je vais te défoncer comme il faut, moi !
La prenant brutalement par les hanches, il commence à la baiser impitoyablement, essayant de lui faire plus de mal que de bien. Aude, bien que révulsée par la personne, est aux anges, subissant un coït brutal, ce qu’elle aime énormément. Mais Gaspard va encore tenter de pousser le vice plus loin, essayant toujours de rendre la situation aussi insupportable que possible pour elle.
La prenant par le cou, il la tire vers lui, l’obligeant à s’assoir sur le bord de la table pendant qu’il la baise.
- Roule-moi une pelle salope !
- Quoi ?
- Tu es sourde ? Je t’ai dit de m’embrasser.
- Non !
La gifle part très vite. Elle n’est pas douloureuse, mais Aude comprend qu’elle doit obéir. Pourtant, se faire baiser par cet homme immonde est une chose, mais l’embrasser en est une autre.
Du coin de l’œil, elle voit Daniel en train de prendre Fabienne en levrette alors que Christine l’embrasse à pleine bouche. Jean et Barnabé se rapprochent également d’elle.
- Tu en veux une autre ? Menace Gaspard.
- Non… je…
- Alors, embrasse-moi petite pute. Tu as déjà eu pire en bouche.
Luttant contre ses émotions, totalement humiliée, Aude pose une main sur la joue de Gaspard et l’embrasse. Elle se sent totalement impuissante mais l’excitation d’être ainsi entourée d’amants inhibe quelque peu la situation. Elle sent les mains de Jean qui lui pressent les seins alors que Gaspard ne semble toujours pas vouloir lâcher sa bouche.
Quand il se retire enfin de sa bouche et de sa chatte, Aude se retrouve soudainement face à un colosse : Barnabé est devant elle, exhibant une longue queue bien épaisse entre ses jambes, la plus grosse qu’Aude ait jamais vue.
***
Barnabé n’est pas comme les autres, qui ne pensent qu’à humilier Aude et qui la traitent comme un vide-couilles.
Barnabé est le président du club de tennis, dans cette ville de province où le nouveau couple va s’installer. Daniel est le principal sponsor du club et le partenaire de jeu de l’Antillais. Il pensait appâter Barnabé en lui montrant des photos et des vidéos intimes d’Aude. Barnabé avait été choqué par la façon dont Daniel parlait de sa future épouse, qu’il qualifiait de « salope ».
- Tu sais, elle m’a piégé, pour se faire mettre enceinte et m’obliger à l’épouser. Je le fais pour éviter le scandale, alors que je ne suis même pas certain que ce gosse soit de moi.
L'Antillais n’osa pas lui dire le fond de sa pensée, à savoir que la contraception, c’est l’affaire des deux partenaires, pas d’un seul.
- Je veux qu’elle s’en souvienne, de cette nuit de noces. Je vais lui offrir un gang bang. J’ai pensé à faire venir cinq hommes, car cette petite pute dispose de trois orifices et deux mains. Ce que je veux, c’est qu’elle soit bien baisée et surtout bien humiliée, comme la trainée qu’elle est. Qu’en penses-tu ?
Barnabé se dit que sa première impression était la bonne : ce type, qui fait étalage de son statut social et de son fric, est profondément malsain. Il aurait dû décliner, mais il était tenté de mieux connaitre cette femme magnifique.
- Ce sera l’occasion de mieux connaitre cette Aude, dans tous les sens du terme. Elle est consentante, n’est-ce pas ?
- Pour qui me prends-tu ? Evidemment, car elle est devenue ma soumise, qui fait tout ce que je lui demande.
- Alors, je suis d’accord.
- Je compte sur toi pour bien défoncer cette nympho !
Juste avant la cérémonie à la mairie, Barnabé fit la connaissance d’Aude, que Daniel continuait à abaisser :
- Voici Aude, la petite putain dont je t’ai parlé. Barnabé est le président du club de tennis de cette ville et mon « sparring partner ».
Barnabé prit la main d’Aude et lui fit un baisemain. La façon dont il la regarda troubla Aude. Cet homme ne la considérait pas comme une proie. Bien sûr, cette femme le faisait bander, surtout au vu de sa tenue incroyablement indécente. « Mon Dieu, qu’elle est belle, se dit Barnabé. Elle mérite autre chose que ce sale type.
- C’est un plaisir que de faire votre connaissance, Madame. Vous aimez le tennis ?
- Je suis très sportive et j’adore le tennis. Si mon mari en est d’accord, ce sera un plaisir que de rejoindre votre club, Monsieur.
Daniel fit la moue. La courtoisie de Barnabé ne lui plaisait guère. Et ce d’autant plus qu’après le comportement de Daniel lors de la cérémonie, Barnabé osa lui dire :
- Ça ne me regarde pas, Daniel. Mais tu ne crois pas que la tenue que porte Aude est exagérée ?
- Il est normal qu’elle soit habillée comme une putain, car c’est ce qu’elle est. Et ne fais pas l’hypocrite. J’ai vu que tu ne cesses de la mater et qu’elle te fait bander. Patiente jusque ce soir.
Ce que Barnabé n’osa pas dire à Daniel est qu’il était fasciné par Aude. A cours de la réception, ils avaient beaucoup échangé, y compris au sujet de l’économie et de du monde de la finance, que Barnabé connaissait bien pour y travailler également. Barnabé admirait, non seulement la beauté d’Aude, mais aussi l’étendue de sa culture et de ses compétences professionnelles.
Grand séducteur, Barnabé avait follement envie de cette femme. Célibataire endurci, il lui arrivait une chose qu’il n’avait jamais connue : il avait un coup de foudre pour celle qui était désormais Madame S.
Au début du gang bang, Barnabé se contenta d’observer. Ce qu’il vit l’excitait et le révulsait. Il se dit en lui-même combien Aude était belle quand elle enchaînait les orgasmes. Depuis qu’il l’avait vue la première fois, il avait envie d’elle. La mater en train de jouir sans interruption rendait le jeune homme fou de désir, au point de devoir se toucher, en veillant à se réserver pour celle qu’il désirait comme un malade. En même temps, Barnabé était choqué par l’attitude de Daniel qui, tout en poursuivant ses ébats avec ses deux maîtresses, encourageait les autres à traiter son épouse en vulgaire vide-couilles. Quant aux autres, ils provoquaient chez lui un dégoût profond, particulièrement l’odieux Gaspard. Barnabé fut tenté d’intervenir, non pour fuir, mais pour prendre Aude par la main, l’enlever, l’amener chez lui, pour lui faire l’amour.
Barnabé voulait cette femme, pas pour une nuit, mais pour la vie. Des discussions qu’il avait eues avec elle au cours de la réception, il avait compris qu’Aude était hélas follement amoureuse de Daniel et, qu’en effet, elle pensait qu’il finirait par l’aimer grâce au fait qu’elle accédait à tous ses désirs, même les plus pervers. Barnabé avait compris qu’il lui faudrait du temps pour qu’Aude se libère de l’emprise de son dominateur.
***
Gaspard a enfin fini son affaire, les autres ont besoin de se refaire des forces, avant de recommencer, car la consigne de Daniel est de ne laisser aucun répit à Aude. C’est le tour de Barnabé, qui a grillé la politesse à Jean.
Aude est toujours à genoux. Elle regarde Barnabé dans les yeux, celui-ci lui sourit. La façon dont il la regarde est totalement différente de celle des quatre autres individus que Daniel a fait venir pour ce gang bang.
Aude prend en main la bite de l’Antillais. Ses doigts n’en font pas le tour. Elle le masturbe tout en continuant à le regarder dans les yeux. Leurs échanges de regards sont plein de promesses. Depuis le début de l’après-midi, Aude a, elle aussi, flashé sur Barnabé. Elle a pensé à lui pendant toute la réception. Elle a compris, dès la cérémonie en mairie, pourquoi ces hommes sont là. Ce sera pour Aude un passage obligé, puisque c’est que Daniel veut et, consciente de son hypersexualité, elle sait qu’elle va prendre son pied. Mais ce Barnabé, c’est autre chose. Il l’attire.
Pour Aude, ce n’est pas le coup de foudre, car c’est Daniel qu’elle aime aveuglément. Que veut-elle ? Elle a envie de ce bel homme, incroyablement bien monté mais qui a pris la peine de parler avec elle de nombreux sujets, qui a été le seul, parmi les invités de cette soirée, à se montrer courtois envers elle, à la respecter, au point de la vouvoyer.
Pourtant, restant dans son rôle de soumise, alors que l’homme ne lui impose rien, elle lui demande, en baissant les yeux :
- Je peux la prendre en bouche ? Elle est si belle ! Et j‘en ai tellement envie !
- Evidemment ! J’en meure d’envie moi aussi. Je veux vous faire l’amour, ce soir, vous rendre heureuse.
- Tutoyez-moi, Monsieur Barnabé. D’une part, on ne me vouvoie pas. Et s’il le remarque, Daniel sera furieux.
Barnabé lui a répondu à voix basse, pour que les autres, qui sont allés prendre des forces au buffet, n’entendent pas. Seul Daniel surveille.
- Ne fais pas de manière salope. Bouffe les couilles de mon ami. Et toi, baise-lui la bouche. Ensuite tu la démonteras.
Aude n’a pas attendu l’injonction de son mari pour prendre en bouche la queue de Barnabé. Elle n’a jamais vu un monstre pareil, mais elle le veut dans sa bouche, le plus loin possible. Peu importe qu’elle s’étouffe, que les larmes lui coulent. Barnabé baise sa bouche, lui tient la tête, caressant ses cheveux, ne forçant pas la jeune femme qui y met toute sa science de la fellation.
***
Malgré les sentiments qu’il éprouve envers Aude, Barnabé ne peut s’empêcher de râler de plaisir alors que la bouche gourmande de la jeune femme lui dévore son sexe. Malgré lui, toujours en lui tenant la main, il commença à lui mettre des coups de reins, essayant d’aller le plus loin possible dans sa bouche mais sans lui faire de mal. Au bout de longues minutes qui semblaient cependant courts pour Aude, Barnabé la relève et la soulève comme si elle était une poupée et la couche sur l’une des tables.
Lui écartant les jambes avec passion, il vient sur elle et l’embrasse passionnément. Aude lui rend son baiser avec tout autant d’ardeur. Cette scène n’échappe pas à Daniel qui semble perdre sa concentration avec ses amantes et observe l’étrange harmonie qui est en train de se créer entre Aude et Barnabé. Il en est clairement mécontent.
Après un baiser long et passionné, Barnabé couvre le corps d’Aude de caresses et de baisers, en se dirigeant vers son intimité. Aude mouille abondamment et elle aurait préféré que son amant passe directement aux choses sérieuses. Elle est surprise de voir avec quelle habileté et avec quelle maitrise son nouvel amant la lèche. C’est tellement bon qu’elle est dévastée par un orgasme au bout d’à peine deux minutes. Elle lâche un grand cri de plaisir. A présent, tous les autres s’éloignent du buffet et observent ces ébats avec intérêt.
- Baise-moi s’il te plaît, lâche Aude en se mordant la main. J’ai envie de t’avoir en moi.
- Tu veux que je te baise ?
- Oh oui baise-moi, je ne peux plus attendre. Ta queue me rend folle, prends-moi comme si j’étais la dernière des trainées.
Pour toute réponse, Barnabé tire doucement Aude vers lui, l’embrasse à nouveau passionnément, moment pendant lequel Aude en profite pour masturber le membre monstrueux de son amant. Après quoi, il la retourne et la met cette fois sur le ventre, sur la même table où il vient de la faire jouir.
Au lieu de l’assaut brutal auquel Aude s’attendait et qu’elle désirait, Barnabé s’enfonce en elle doucement mais profondément en lâchant un grand râle. Aude, quant à elle, découvre sur le coup la formidable sensation d’avoir une queue monstrueuse en soi, elle se sent remplie comme jamais par le membre de cet amant attirant et puissant.
Caressant ses seins des deux mains, Barnabé initie un va-et-vient long et profond pendant lequel Aude est presque en transe. Elle s’accroche à la table avec les deux mains, criant de plaisir.
- Tu aimes ce que je te fais ? Lui demande son amant.
- Oh oui j’adore.
- Tu veux que je continue ?
- Oh oui, je veux que tu me baises comme la dernière des trainées.
Sous l’excitation du moment, elle ajoute :
- Je n’ai jamais été baisée aussi bien.
Malgré leurs ébats et les cris de plaisir d’Aude, un silence pesant s’installe autour d’eux. Cette phrase n’échappe à personne et il y a des regards gênés. Barnabé ne semble pas le moins du monde concerné et continue ses assauts, de plus en plus rapides et fougueux. Au bout d’une dizaine de minutes et de plusieurs orgasmes de la jeune femme, Barnabé retourne Aude vers lui et l’embrasse à nouveau avec passion, caressant doucement son corps nu. Ce n’étaient de toutes évidemment pas des baisers dénués de sentiments.
Il s’en suit une longue copulation, où Aude enchaîne de nouveaux orgasmes. L’embarras est de plus en plus fort autour d’eux. Daniel semble en avoir fini avec ses amantes et maintenant tous observent la scène. Daniel serre les poings, luttant contre l'onde de rage qui monte en lui alors qu’il observe Barnabé et Aude qui font l’amour.
Jamais il n’aurait imaginé que quelqu’un, surtout un homme qu’il a lui-même invité, oserait l’ignorer ainsi et monopoliser Aude avec une telle autorité. Cette intimité inattendue, presque sacrée, lui est insupportable. Chaque sourire qu’Aude adresse à Barnabé, chaque cri qu’elle laisse échapper lui donnent la sensation de perdre son contrôle, de voir son pouvoir se dissoudre sous ses yeux.
Soudain, l’un des autres participants, Aldo, commence à s’approcher, comme pour rappeler que lui aussi fait partie de cette soirée que Daniel avait minutieusement orchestrée. Avec un sourire narquois, Aldo s’avance, pensant pouvoir s’intégrer à ce moment d’intimité. Mais Barnabé, toujours attentif à chaque mouvement autour de lui et d’Aude, lève la main, imposant son refus avec une fermeté qui surprend tout le monde. Son regard perçant s’ancre dans celui d’Aldo, et, sans aucune ambiguïté, il prononce calmement :
- Non, pas maintenant. Elle est avec moi, et je ne partage pas.
La voix de Barnabé est calme mais résolue, chaque mot est prononcé avec une clarté qui ne laisse aucune place au doute. Aldo, d’abord surpris, hésite, cherchant un signe de Daniel, comme pour s’assurer que cette interruption du gang bang est permise. Mais Daniel, paralysé de surprise, ne peut qu’observer, son expression figée dans une colère impuissante, forcé d’accepter la rébellion silencieuse de Barnabé. C’est un affront direct à son autorité, une humiliation qu’il ne peut digérer. Lui, qui a toujours eu le contrôle total, voit son plan lui échapper, son autorité ébranlée par ce refus explicite.
Barnabé, sans accorder plus d’attention à Aldo ou aux autres, reprend son coït avec une Aude qui s’offre totalement, physiquement et émotionnellement. Ils terminent en missionnaire et alors que Barnabé baise Aude avec toute la passion et la force dont il est capable, allant aussi profondément en elle qu’il le peut, elle lui crie, oubliant à nouveau les spectateurs autour d’eux :
- Je veux que tu te vides en moi, je t’en supplie.
- Tu es sûre ?
- Oui, remplis-moi. Je veux ta semence en moi, féconde-moi.
Ne se faisant pas prier et peut-être même, pour envoyer un message à Daniel et aux autres, il accélère la cadence et se lâche dans un grand râle dans une Aude qui a un ultime orgasme, encore plus violent que tous les précédents. Ce spectacle de quelques secondes sembla durer une éternité pour les spectateurs.
***
Les ébats finis. Barnabé se relève et tend la main à Aude pour l’aider à se lever.
- J’imagine que tu es très pressée d’aller te refaire une beauté, lui dit-il en la fixant intensément.
Aude le regarde droit dans les yeux, comme hypnotisée.
- Oui, répondit-elle simplement.
Sur le coup, elle oublie tous les autres, comme si tout était déjà terminé. Ainsi Barnabé, faisant cela, brisa le programme de Daniel. Personne n’intervint, ni ne protesta, pas même Daniel. Il semblait à tout le monde que la moindre intervention se solderait par une humiliation, comme ce fut le cas pour Aldo.
***
Une vingtaine de minutes plus tard, tout le monde est déjà rhabillé et tout le monde se prépare à partir. Barnabé, élégant et détendu, est conscient que cet instant pourrait bien être le début de quelque chose de précieux entre lui et Aude.
Il observe Daniel à la dérobée, scrutant la tension qui tord les traits de son visage, un mélange de rage contenue et de frustration. Pour Barnabé, cette jalousie qui ronge Daniel est un rappel ironique de la vulnérabilité de cet homme, pourtant si habitué à dominer et manipuler les autres. Il savait qu’il détenait quelque chose que Daniel n’avait pas : l’attention sincère et le respect d’Aude. Ce lien fragile et encore neuf, il n’avait aucune intention de le laisser s’effilocher une fois la soirée terminée.
Alors, avec une assurance calculée, Barnabé s’avance vers Aude, ses gestes maîtrisés et empreints d’une discrétion parfaitement mesurée. Sous l’éclairage tamisé, il prend une dernière fois la main d’Aude, effleurant sa paume avec un toucher léger mais significatif. D’un geste fluide et naturel, il glisse un petit morceau de papier plié dans sa main, refermant délicatement ses doigts autour. Ses yeux s’ancrent dans les siens, et dans cet échange silencieux, il lui transmet bien plus qu’un simple numéro de téléphone : il lui offre une porte dérobée, une possibilité d’évasion hors du joug de Daniel, un échappatoire vers quelque chose de moins contrôlé, de moins suffoquant.
Aude, surprise mais grisée par ce geste inattendu, sent sa respiration s’accélérer alors qu’elle serre le papier dans sa paume, un frisson d’excitation parcourant tout son corps. Elle le cache soigneusement, consciente du danger que représente ce simple morceau de papier.
Avant de se retirer complètement, Barnabé se penche légèrement vers elle, s’assurant qu’ils sont hors de portée d’écoute des autres invités. Il murmure, d’une voix basse, rauque, juste assez fort pour qu’elle seule entende :
- Quand il sera à Paris, appelle-moi. Je n’ai pas l’intention de m’arrêter là.
Aude déglutit, submergée par l’émotion et l’audace de ce moment. Barnabé lui adresse un dernier sourire complice, avant de se redresser, ses gestes empreints de l’élégance maîtrisée d’un homme qui sait parfaitement ce qu’il fait. Ses doigts effleurent brièvement les siens, puis il se détache, s’éloignant avec une lenteur calculée. Ses pas mesurés, son allure parfaitement tranquille, comme s’il quittait un simple dîner d’affaires, indifférent aux émois et aux jalousies qui bouillonnent autour de lui.
***
Dans un coin de la pièce, Daniel, obsédé par sa propre rage, n’avait rien remarqué de l’échange subtil. Ses yeux, fixés sur Barnabé qui s’éloignait, étaient remplis d’une colère impuissante. Il rumina les événements de la soirée, incapable d’assimiler la perte de contrôle qu’il avait ressentie. Voir un autre homme s’approcher de celle qu’il considérait comme sa possession, sa chose, l’avait rongé de l’intérieur, mais il n’avait pas su comment intervenir sans trahir sa propre faiblesse. Le sourire calme de Barnabé, son regard plein de complicité avec Aude, tout cela était pour Daniel une humiliation qu’il ne parvenait pas à digérer. Il voulait humilier Aude, la livrer à un gang bang brutal et sordide. Et cette garce venait en quelque sorte de commettre un adultère devant lui et ses invités.
Aude, quant à elle, reste là, immobile, le papier discrètement serré dans sa main, sentant le poids et la portée de ce papier.
En rentrant vers leur « demeure conjugale », Daniel ne manqua pas de lui dire :
- Tu m’as encore humilié, espèce de trainée et je vais te faire payer ça jusqu’au restant de tes jours.
Aude ne répondit pas. Elle baissa les yeux, effrayée de sa propre audace. Elle avait également peur de la haine qu’exprimait son regard et même qu’il ne devienne violent.
- Bien entendu, je t’interdis de revoir ce Barnabé, tu entends, salope ? Dès demain, je vais couper les vivres à son club de tennis. Quant à toi, je te réserve une surprise pour cette nuit et pour le prochain week-end.
A ce moment, retentit la sonnette. Daniel alla ouvrir et fit entrer Fabienne. C’était l’ultime humiliation qu’il avait conçue envers Aude : passer la nuit avec sa maîtresse. Aude osa dire, d’une voix faible :
- Tu fais tout ce que tu veux, mon chéri et j’ai promis de t’obéir en tout. Mais cette nuit de noces, n’aurait-on pas pu la finir ensemble ?
- D’abord, je ne veux plus que tu m’appelles mon chéri. Ensuite, avec ce que tu as fait ce soir, j’ai moins que jamais envie de passer la nuit avec toi. Tu dormiras dans la chambre d’amis, bercée par les cris de plaisirs de Fabienne.
- Je ferai comme tu le veux, Daniel. Je n’en suis pas moins désormais ta femme et je porte ton enfant. Que prévois-tu pour le prochain week-end ?
Daniel la fusilla du regard :
- Tu le sauras le moment venu. Je vais préparer ça durant la semaine et, cette fois, tu seras traitée comme la petite putain que tu es.
Daniel prit Fabienne par la main et se dirigea, avec sa maitresse, vers la chambre conjugale.
***
Aude, prit une longue douche, s’efforçant de ne pas entendre les cris de plaisir de sa rivale. Tout à l’heure, elle n’avait pas seulement joué la soumission pour contrecarrer la vigilance de Daniel. Elle était partagée : à la fois attirée par Barnabé, mais toujours sous l’emprise de Daniel. Elle aurait voulu passer sa nuit de noces avec son mari. Même cela lui aura été refusé.
Les hurlements de Fabienne lui étaient insupportables. Aude se coucha, nue, sur le lit de cette chambre impersonnelle et froide. Puis, elle prit en mains le papier sur lequel Barnabé avait inscrit son numéro de portable. Aude, qui était douée pour l’usage des outils informatiques, renforça le code de sécurité de son smartphone et introduisit le numéro de Barnabé. Il était très tard, mais elle voulait établir le contact. Elle en avait besoin. Lui téléphoner serait trop dangereux, avec Daniel dans la maison. Elle envoya au bel Antillais un SMS : « Bonsoir Barnabé, c’est Aude. Ce soir, c’était merveilleux. Je pense à toi. Mille baisers »
***
(A suivre)
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
L'arrivée de Barnabé dans ce récit fait beaucoup à Aude, mais à nous aussi. Car heureusement, il y a aussi des hommes comme lui, des vrais, pas de sales types comme ce Daniel
Maurice
Maurice
@ Valeriane, merci! @Luc, oui mais osera-t-elle?
Toujours aussi macho le type, mais j'aime bien bravo
valeriane
valeriane
Il est caricatural ce Daniel, il est même franchement odieux. Au vu de l'évolution, on peut espérer qu'Aude osera poursuivre sa relation avec Barnabé.
Luc
Luc
@ John62, merci. Aude saura-t-elle échappé à l'emprise de Daniel?
@ Didier, en effet Daniel a perdu le contrôle de la soirée, qui ne s'est pas déroulée comme il l'avait prévu. Mais il n'a pas, hélas, dit son dernier mot
@ Didier, en effet Daniel a perdu le contrôle de la soirée, qui ne s'est pas déroulée comme il l'avait prévu. Mais il n'a pas, hélas, dit son dernier mot
Olga, Sarah,
Je commencerai mon propos en vous disant que je trouve ce titre vraiment bien approprié. Car oui, à bien y réfléchir, cette nuit de noces s’avère être indubitablement spéciale, tout aussi bien pour Aude que pour Daniel.
En effet, dans un premier temps Daniel se délecte de voir sa jeune épouse être aux prises avec ses complices Gaspard, d’Aldo et de Juan, qui se font un malin plaisir d’humilier une Aude prenant toutefois un grand plaisir à se faire baiser sauvagement par ces trois odieux pervers.
Cependant lorsque que son grand ami Barnabé décide de participer à son tour aux ébats Daniel se voit de déchanter grandement. En effet, Barnabé très respectueux, voire amoureux, se met sous les yeux de tous à faire l’amour à une Aude qui s’offre entièrement et passionnément à ce nouvel amant, subjuguée et pas insensible aux plaisirs qu’il lui procure.
En perdant ainsi quelque peu le contrôle de la soirée et de son emprise sur Aude, Daniel en sort affaibli et humilié, et ce même s’il promet à Aude de le lui faire payer dès le prochain week-end…
Pour finir, après vous avoir remercier toute deux pour ce magnifique et excellent chapitre, franchement plaisant à lire finalement, avec ce retournement de situation, je vous dirai que j’ai vraiment hâte de découvrir la suite de cette histoire afin répondre aux interrogations qui me viennent désormais.
En effet, cette relation naissante entre Barnabé et Aude ne serait-t-elle pas là les prémices de la revanche d’Aude ? Oui Barnabé, ne serait-t-il pas pour Aude la solution afin d’obtenir une totale et humiliante vengeance en trompant Daniel avec lui ?
Enfin, ayant remarqué que Jean, le mari libertin de Christine, n’a pu profiter d’Aude lors de la soirée, est-ce cela le projet de Daniel pour le futur week-end, livrer Aude à ce couple et à leurs amis?
Félicitations et Bravo.
Didier
Je commencerai mon propos en vous disant que je trouve ce titre vraiment bien approprié. Car oui, à bien y réfléchir, cette nuit de noces s’avère être indubitablement spéciale, tout aussi bien pour Aude que pour Daniel.
En effet, dans un premier temps Daniel se délecte de voir sa jeune épouse être aux prises avec ses complices Gaspard, d’Aldo et de Juan, qui se font un malin plaisir d’humilier une Aude prenant toutefois un grand plaisir à se faire baiser sauvagement par ces trois odieux pervers.
Cependant lorsque que son grand ami Barnabé décide de participer à son tour aux ébats Daniel se voit de déchanter grandement. En effet, Barnabé très respectueux, voire amoureux, se met sous les yeux de tous à faire l’amour à une Aude qui s’offre entièrement et passionnément à ce nouvel amant, subjuguée et pas insensible aux plaisirs qu’il lui procure.
En perdant ainsi quelque peu le contrôle de la soirée et de son emprise sur Aude, Daniel en sort affaibli et humilié, et ce même s’il promet à Aude de le lui faire payer dès le prochain week-end…
Pour finir, après vous avoir remercier toute deux pour ce magnifique et excellent chapitre, franchement plaisant à lire finalement, avec ce retournement de situation, je vous dirai que j’ai vraiment hâte de découvrir la suite de cette histoire afin répondre aux interrogations qui me viennent désormais.
En effet, cette relation naissante entre Barnabé et Aude ne serait-t-elle pas là les prémices de la revanche d’Aude ? Oui Barnabé, ne serait-t-il pas pour Aude la solution afin d’obtenir une totale et humiliante vengeance en trompant Daniel avec lui ?
Enfin, ayant remarqué que Jean, le mari libertin de Christine, n’a pu profiter d’Aude lors de la soirée, est-ce cela le projet de Daniel pour le futur week-end, livrer Aude à ce couple et à leurs amis?
Félicitations et Bravo.
Didier
Merci @olga et Sarah pour ce texte si intense
Oui une nuit de noces sans comparaison
Daniel me semble bien imprudent et Aude semble avoir trouvé en Barnabé un Maître plus subtil
À voir la suite
Oui une nuit de noces sans comparaison
Daniel me semble bien imprudent et Aude semble avoir trouvé en Barnabé un Maître plus subtil
À voir la suite