Collection Textes en commun : « Aude se lâche » (6 : l’adultère et l’emprise)

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Collection Textes en commun : « Aude se lâche » (6 : l’adultère et l’emprise) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Collection Textes en commun : « Aude se lâche » (6 : l’adultère et l’emprise)
Avertissement

Nous poursuivons, avec Sarah, l’écriture « à deux mains » de cette série. Nous vous conseillons de lire ou relire les épisodes précédents, parus depuis le 4 août 2024. Le résumé ci-dessous permet cependant de connaitre directement l’histoire d’Aude.

***
Résumé

Aude est aujourd’hui une mère de famille âgée de 45 ans. Elle est mariée depuis près de 20 ans à Daniel. Le couple, établi dans une grande métropole de province, a deux enfants, Clémence, 19 ans et Arnaud, 16 ans.

Au moment de reprendre, enfin, son destin en mains, Aude se souvient de sa rencontre avec Daniel, comment elle est devenue son épouse et ce qu’il fait d’elle.

Les premiers chapitres évoquaient le brillant parcours universitaire et professionnel d’Aude, pour laquelle s’annonçait une carrière prometteuse dans un grand établissement financier français. Ces chapitres racontent l’emprise croissante qu’exerce sur la jeune femme son supérieur hiérarchique, Daniel. Confirmant sa réputation de séducteur, Daniel a accroché la jolie brune à son tableau de chasse et n’a eu de cesse d’affirmer sa domination sur elle.

Enceinte de Daniel, Aude obtient qu’il l’épouse, ce à quoi il consent de très mauvaise grâce, pour éviter un scandale qui serait préjudiciable à sa carrière et sa réputation.
La journée nuptiale imaginée par Daniel est très particulière. Non seulement il refuse d’inviter les parents et les amis de la jeune femme, mais la façon dont il l’exhibe confirme l’absence totale de considération qu’il porte à sa jeune épouse.

La soirée se passe avec un nombre restreint d’invités. Pensant humilier celle qui l’a contraint à l’épouser, Daniel a organisé pour Aude un gang bang avec cinq hommes soigneusement choisis. Daniel n’a pas compris qu’Aude, qui a pris conscience de son hypersexualité, va vivre intensément cette soirée.

C’est à cette occasion qu’elle rencontre Barnabé, homme séduisant et amant exceptionnel, qui tombe sous le charme d’Aude et, contrairement aux autres, voit en elle une femme formidable piégée par un homme abject. Il parvient à lui glisser discrètement ses coordonnées.
Seule dans la chambre d’ami, alors que Daniel est dans la chambre conjugale avec sa maîtresse, Fabienne, Aude, après avoir mis son smartphone en mode silencieux, ose envoyer un SMS à Barnabé.

***
La réponse arriva presque aussitôt, comme si Barnabé n’attendait que cela.

- Aude… Tu ne peux pas imaginer à quel point je suis heureux. Ce soir, c’était… incroyable. Tu es une femme exceptionnelle.

Elle sentit son cœur s’emballer. Ces mots, si simples, si directs, la firent frissonner. Pourtant, elle hésitait. Était-ce une erreur ? Daniel était là, juste derrière cette porte, avec Fabienne. Un frisson de peur la traversa, mais elle ne pouvait pas s’arrêter là. Elle lui répondit, ses doigts tremblant légèrement sur l’écran :

- Merci, Barnabé. Tu es tellement différent… J’avais besoin de te dire à quel point tu m’as bouleversée ce soir… sur tous les plans.
Une nouvelle vibration la fit sursauter, mais elle se força à respirer profondément avant de lire.
- Je n’ai pas cessé de penser à toi depuis que je suis parti. Tout chez toi m’attire. Ta beauté, ton intelligence, ta manière d’être… Tu es fascinante.

Elle serra un instant le téléphone contre sa poitrine. Ces mots réchauffèrent son âme, mais elle sentit aussi un poids grandir en elle. Elle tapota rapidement une réponse :

- Barnabé… Je suis mariée. Je viens d’épouser Daniel, et je porte son enfant. Je ne devrais pas ressentir ça, mais toi… tu es…

Elle s’interrompit, incapable de finir. La réponse de Barnabé ne tarda pas.

- Aude, je sais. Et je ne veux pas te causer de problème. Mais ce soir, je t’ai vue, vraiment vue, et je n’arrive pas à me sortir de l’esprit tout ce que tu es. Ce que Daniel te fait vivre est injuste. Tu mérites tellement mieux… Dis-moi, comment te sens-tu ?

Elle sentit les larmes monter. Ces mots perçaient ses défenses, brisaient la façade qu’elle tentait désespérément de maintenir. Elle tapota une réponse, rapide et maladroite :

- Je vais mal, Barnabé. Très mal. Daniel est avec Fabienne dans notre chambre. Et moi… je suis seule.

La réponse fut instantanée :
- Aude, tu n’es pas seule. Je suis là. Je serai toujours là pour toi, peu importe ce qu’il se passe. Mais je dois te demander… Puis-je t’appeler ? J’ai besoin d’entendre ta voix.

Elle hésita. Le danger était réel. Mais le besoin qu’elle avait de lui était plus fort. Elle tapota :

- D’accord, mais je ne peux pas parler fort.

Quelques secondes plus tard, son téléphone vibra. Le cœur battant, elle décrocha et porta le téléphone à son oreille.

- Aude… murmura Barnabé, avec sa voix douce et chaude. Je suis tellement heureux que tu aies accepté. Tu ne peux pas savoir comme j’ai craint que tu ne répondes pas.

Elle ferma les yeux, sa voix l’enveloppant comme une couverture.

- Barnabé… Je ne sais pas pourquoi je fais ça. Je suis tellement perdue…
- Tu le fais parce que tu en as besoin, Aude. Et tu peux me croire, moi aussi. Depuis ce soir, je ne pense qu’à toi. Tes regards, ta façon de sourire, de parler… Tout en toi m’attire.

Elle sentit son souffle se hâter, son corps réagissant malgré elle à ces paroles.

- C’est fou, murmura-t-elle. Je ne te connais pas vraiment, mais ce soir… Tu as été différent. Doux. Attentionné. Et aussi… personne ne m’a autant fait jouir que toi.

Il y eut un silence, puis il répondit d’une voix plus rauque :

- Ce n’est pas fou, Aude. Ce que je ressens pour toi est réel. Tu es spéciale. Et je veux être là pour toi. Dis-moi… que ressens-tu ?

Elle hésita, le cœur battant, puis elle se laissa aller.

- Je… je pense à toi. Tout le temps, depuis que tu es parti. Et… je ne devrais pas. Mais j’ai envie de toi, Barnabé.

Sa confession flotta dans l’air, lourde et chargée d’émotions.

- Moi aussi, Aude. Je te veux, tellement. Mais pas seulement pour une nuit. Je veux être là pour toi, te donner tout ce que tu mérites. Et en attendant…
- Quoi Barnabé ?
- Je veux t’entendre jouir au téléphone…
- Quoi ? Mais je…
- Fais-le pour moi, je vais te guider…

Aude ne pouvait prendre le risque de mettre le haut-parleur du téléphone. Elle avait toujours avec elle un Bluetooth qu’elle mit à l’oreille, puis en informa son amant.

- Comment es-tu ?
- Je suis sur mon lit, nue.
- Tu es excitée ?
- Oui, beaucoup ! Mes tétons me font mal tellement ils sont durs. Et ma chatte est trempée.
- Imagine que je suis près de toi. Moi aussi, je suis nu et je bande. Tu me fais tant envie !
- Oh mon chéri ! J’aimerais tellement. Je voudrais tes baisers, tes caresses, ta langue pour s’occuper de mon clito, tes doigts dans ma chatte.
- Caresse-toi, ma belle. Fouille ta chatte, branle ton clito !

Tout en décrivant à son amant ce qu’elle faisait, Aude commença à chatouiller son clitoris du pouce en traçant de petits cercles délicats. Elle allait lentement, doucement, pour apprécier chaque mouvement et laisser le plaisir monter.

- Huumm, je mouille beaucoup maintenant
- Parfait, ma belle, mets un premier doigt dans ta fente.

Aude obéit. Le premier doigt fut rapidement suivi d’un second. Aude s’attardait sur les parois de son vagin, entrant profondément puis ressortant presque totalement. Le plaisir montait en elle. Barnabé le savait :

- Oh, ma chérie, dommage que nous ne sommes pas en visio, j’aimerais tant te voir te donner du plaisir ! À quoi penses-tu ?
- À ta bite, mon chéri. J’aimerais que tu sois là et que tu me baises.
- Continue, ma belle, je veux t’entendre jouir.

Oubliant où elle se trouvait, Aude poussait de petits gémissements, puis se laissa aller à crier son plaisir. Elle jouit en même temps que Barnabé qui se soulageait de son côté, surexcité par le l’orgasme de son amante, qu’il imaginait.

- Oh oui !!!!
- Merci ma chérie pour ce cadeau. Tu sais que tu es encore plus belle quand tu jouis.

Daniel et Fabienne, dans la chambre conjugale, ne pouvaient qu’avoir entendu les cris d’Aude. Ils étaient heureusement trop occupés de leur côté pour se préoccuper de l’épouse délaissée.

Au bout de longues minutes, lorsqu’ils furent tous deux essoufflés par cette intimité partagée, Barnabé murmura :

- Aude, promets-moi qu’on se verra demain soir. Je ne peux pas attendre plus longtemps.

Elle hésita, la peur et le désir s’entrechoquant en elle. Mais finalement, elle céda.

- Demain soir. Quand Daniel sera parti. Tu es certain que je n’aurais pas de problèmes ?
- Fais-moi confiance, répondit-il. À demain, Aude. Je ne cesserai jamais de penser à toi.

Lorsqu’elle raccrocha, Aude resta immobile, le téléphone toujours serré dans sa main. Elle savait qu’elle jouait avec le feu.

***

Le lendemain matin, elle s’éveilla dans la chambre froide et impersonnelle où elle avait passé la nuit. Les bruits provenant de la chambre conjugale avaient cessé depuis longtemps, mais l’humiliation, elle, restait vive, gravée dans chaque fibre de son être. Elle s’était levée tôt, espérant éviter Daniel et Fabienne, mais les éclats de rire provenant de la salle à manger lui firent comprendre qu’ils étaient déjà installés.

Hésitante, elle entra dans la pièce. Daniel, assis à table, paraissait étrangement détendu, une tasse de café à la main. À côté de lui, Fabienne, tout sourire, affichait une attitude triomphante. Dès qu’ils la virent, les regards complices échangés entre eux se transformèrent en ricanements à peine dissimulés.

- Tiens, voilà la reine de la maison ! lança Daniel d’un ton sarcastique, sans même lever les yeux vers elle. Bien dormi, chérie ? Ou les murs trop froids t’ont empêchée de trouver le sommeil ?

Fabienne, étouffant un rire, ajouta :
- Peut-être qu’elle espérait qu’on l’invite à se joindre à nous. Après tout, elle adore ça, non ? On t’a d’ailleurs entendu te soulager, cette nuit ! Avoue que ça t’excitait et que tu aurais aimé être à ma place !

Le visage d’Aude s’empourpra, mais elle serra les poings, tentant de masquer sa colère et sa douleur. Elle resta debout, immobile, incapable de répondre, alors que Daniel continuait:

- Regarde-la, Fabienne. Une vraie cocue modèle. Obéissante, silencieuse, et toujours là quand on en a besoin. N’est-ce pas, Aude ?

Elle baissa les yeux, mordant sa lèvre. Ses doigts tremblaient alors qu’elle s’empara d’un verre d’eau, espérant trouver un semblant de contenance.

- Tu ne dis rien ? insista Daniel avec un sourire cruel. Mais peut-être qu’après ce soir, tu n’as plus grand-chose à dire… ou à offrir.

Fabienne éclata de rire, et le son résonna dans les oreilles d’Aude comme une cloche de honte. Elle quitta précipitamment la pièce, prétextant une tâche à accomplir, mais ses jambes fléchirent à peine arrivée dans le couloir. Elle s’appuya contre le mur, son souffle court. Les mots de Daniel étaient comme des coups de couteau, et pourtant, une part d’elle l’aimait encore désespérément.

À peine une heure plus tard, Aude les vit partir pour Paris, Fabienne accrochée au bras de Daniel, un sourire suffisant sur le visage. Elle resta figée devant la porte d’entrée, les observant s’éloigner. Elle sentit un étrange mélange de soulagement et de tristesse. La maison était à elle pour quelques jours, mais elle savait que la liberté qu’elle en tirerait serait fragile.

À peine Daniel était-il arrivé à Paris qu’il commença à l’appeler. Le téléphone d’Aude vibrait sans cesse, chaque appel interrompant sa tentative de retrouver un semblant de paix.

- Tu fais quoi ? demanda-t-il dès qu’elle décrocha. Sa voix était froide, tranchante. Je veux que tu me tiennes au courant de tous tes déplacements. Tu as compris ?
- Oui, Daniel… répondit-elle doucement, cachant son irritation.
- Qu’est-ce que tu fais là, maintenant ? Tu n’es pas censée ranger la maison ? Tu crois que je vais tolérer que tu te prélasses pendant que je travaille ?

Aude respira profondément, luttant pour garder son calme.

- Je vais m’en occuper, ne t’inquiète pas, dit-elle, presque en murmurant.

Mais les appels continuèrent. Chaque heure, parfois même plus souvent, Daniel la rappelait, exigeant des détails sur ses activités, vérifiant qu’elle ne manquait à aucune de ses obligations. Il était omniprésent, son ombre planant au-dessus d’elle malgré les kilomètres qui les séparaient.

À midi, alors qu’elle préparait un déjeuner rapide, le téléphone sonna à nouveau.

- Tu es où ? lança-t-il sans même attendre qu’elle parle.
- À la maison, Daniel. Je prépare à manger, répondit-elle mécaniquement.
- Qu’est-ce que tu cuisines ?
- Juste une salade…
- Une salade ? siffla-t-il. C’est tout ce que tu trouves à faire ? Tu pourrais au moins te rendre utile. Va faire les courses pour le dîner de ce soir. Je ne veux pas rentrer dans une maison vide et mal entretenue.

Aude serra le combiné, ses doigts blanchissant sous la pression. Elle se força à répondre calmement :

- Tu n’es pas censé revenir avant plusieurs jours, Daniel.
- Et alors ? Je veux que tout soit prêt. Tu crois que je plaisante ?

Elle raccrocha, le souffle court, le téléphone encore serré dans sa main. Ce comportement, cette surveillance constante, l’étouffait. Elle l’aimait, bien sûr. Une part d’elle espérait qu’il deviendrait un homme bienveillant. Mais en cet instant, chaque appel, chaque exigence, la faisait se sentir un peu plus comme un animal en cage.

Elle regarda le téléphone un long moment, ses pensées la ramenant à la veille, à Barnabé. Lui aussi l’avait appelée, mais sa voix était douce, rassurante, pleine de désir et de promesses. Elle repensa à leurs échanges, à leur intimité, et un frisson la parcourut.

***

Le soir tombait doucement sur la maison. Aude avait passé la journée à jongler entre les appels incessants de Daniel et les préparatifs fiévreux de la soirée. Elle avait nettoyé chaque pièce avec une précision presque maniaque, comme pour expier une faute invisible. Mais à présent, son cœur battait à tout rompre. Elle savait qu’elle s’apprêtait à franchir une ligne rouge. La veille, même s’il enrageait, Daniel était présent. Ce soir, elle allait le tromper. Elle imaginait sa réaction s’il venait à l’apprendre et frissonna, effrayée par sa propre audace.

Pour son amant, Aude s’était habillée très sexy, soutien-gorge à balconnet, chemisier moulant entrouvert, bas et porte jarretelles. Elle avait aussi choisi de porter une jupe noire fendue.

Impatiente, elle se tenait près de la porte de derrière, jetant des regards furtifs à travers la fenêtre. Elle avait pris soin d’éteindre les lumières extérieures, ne laissant qu’un faible éclairage dans la cuisine. L’idée qu’un voisin puisse les voir ou qu’une ombre suspecte attire l’attention la rendait nerveuse.

Enfin, elle le vit. Barnabé avançait avec assurance, vêtu d’une chemise claire légèrement déboutonnée et d’un pantalon sombre. Il était magnifique, presque irréel dans la pénombre. Lorsqu’il arriva à la porte, Aude l’ouvrit précipitamment, l’attrapant par le bras pour le faire entrer rapidement.

- Dépêche-toi, entre, murmura-t-elle d’un ton pressé, refermant la porte derrière lui.
Barnabé lui sourit, son regard plongeant dans le sien avec une intensité qui fit vaciller ses résolutions.
- Tu es magnifique, Aude, dit-il doucement, posant une main sur son bras. Je n’arrivais pas à attendre plus longtemps.

Elle rougit légèrement, baissant les yeux avant de se ressaisir. Sans un mot, elle attrapa sa main et l’entraîna à travers la maison.
- Viens, murmura-t-elle simplement.

Elle le conduisit rapidement dans les couloirs familiers, ses pieds nus effleurant le sol, le cœur battant plus fort à chaque pas. Barnabé la suivait, silencieux.

Ils atteignirent bientôt la chambre conjugale. Aude s’arrêta devant la porte, sa main tremblante sur la poignée. Elle inspira profondément avant de l’ouvrir, dévoilant une pièce impeccablement rangée, mais empreinte d’une froideur presque oppressante.

— Ici ? demanda Barnabé, surpris, ses yeux parcourant la pièce.

Aude hocha la tête sans le regarder, puis se tourna vers lui, les yeux brillant d’une détermination fébrile.

— Oui. Ici. C’est la première fois que je vais utiliser cette chambre moi aussi.
Barnabé prit Aude dans ses bras, la serra contre et les deux amants échangèrent un long baiser amoureux, ne s’arrêtant que pour reprendre leur souffle.

Ils s’assirent côte-à-côte sur le lit. La fente de la jupe découvrit la cuisse gainée de nylon, laissant apparaître une jarretelle rouge. Barnabé prit à nouveau ses lèvres, et posa sa main sur le haut de cette cuisse offerte, leurs langues se nouèrent, pendant que le jeune homme, avec l’autre main, lui caressait le dos. Aude s’offrait sans retenue au bel Antillais qu’elle désirait ardemment.

Puis la main de Barnabé glissa sur son corsage. Il lui prit un sein. Les boutons du corsage ne tardèrent pas à sauter et ses deux seins blancs dans le soutien-gorge à balconnet noir et rouge apparurent. Au bout d’un moment, Barnabé, tout en l’embrassant, lui ôta son corsage et dégrafa son soutien-gorge. Les seins étaient durs et les bouts pointaient au centre de la large aréole brune. Aude haletait, elle était brûlante. Barnabé la coucha sur le lit et entreprit de lui retirer sa jupe. Aude attendait, les yeux fermés. Et quelques secondes plus tard elle fut entièrement nue, à l’exception de ses bas et des portes jarretelles, qu’elle avait mis pour l’occasion.

Barnabé couvrit son corps de baisers, lui malaxa les seins, suça les bouts érigés, ce qui fit gémir Aude, puis, au bout d’un moment, il lui dit :

- Déshabille-moi.

Ils se levèrent et Aude lui ôta lentement chemise et pantalon. Une énorme bosse distendait le slip et le gland de son sexe en érection dépassait de celui-ci. Aude s’arrêta, regardant Barnabé dans les yeux, la main posée sur la grosseur déformant le sous-vêtement.
Puis lentement, le regardant toujours dans les yeux, elle fit glisser le slip qui tombât sur les chevilles de Barnabé.

Aude en avait rêvé de cette bite, longue et grosse, très sombre, émergeant d’une forêt de poils noirs et surmontée d’un énorme gland circoncis. L’engin, en pleine érection, presque à la verticale, était toujours aussi impressionnant.

- Suce, ordonna Barnabé.

Elle saisit la bite tendue, sa petite main en faisait difficilement le tour, elle était dure comme du fer. Elle commença à le branler, puis posa ses lèvres sur le gland ou pointait une goutte de liquide pré séminal. Elle commença une fellation en y mettant tout son cœur.
Barnabé la saisit par les cheveux, pour aller plus profond dans sa bouche. Il savait qu’il n’avait pas besoin de la forcer.

- Oui, comme ça ! Oh ; mon amour, tu suces si bien !

Au bout d’un moment, Barnabé la poussa sur le lit.
L’homme caressait le corps nu d’Aude, qui cherchait constamment les lèvres de son jeune amant, avide de sa langue. Caressant sa chatte, Barnabé lui introduisit un doigt qu’il ressortit trempé.

- Viens, j’ai trop envie, je veux que tu me prennes, que tu me baises.

D’une main, Barnabé fit pression sur l’intérieur des cuisses, et l’épouse adultère écarta largement ses jambes, les genoux légèrement fléchis. Barnabé s’installa entre ses jambes, et dirigea sa queue contre la chatte dégoulinante d’Aude, dont il écarta les lèvres.

- Ça t’excite de faire cocu Daniel sur le lit conjugal ? demanda Barnabé.
- Oui, répondit Aude dans un souffle à peine audible, je veux que tu me prennes.

Barnabé promena sa bite le long de la fente rose de la chatte d’Aude, agaçant le clito. Puis il la présenta à l’entrée de son con, le gros gland écarta la chatte et s’enfonça lentement, dilatant l’étroit vagin lubrifié, jusqu’à l’utérus. Un long gémissement de la jeune femme accompagna la pénétration de son intimité. Barnabé se mit à la limer lentement sur toute la longueur de son engin, se retirant presque entièrement, pour replonger dans l’intimité du ventre d’Aude. On n’entendait dans la pièce que le clapotement de l’accouplement dû à la chatte dégoulinante de liqueur, et les gémissements étouffés d’Aude qui ondulait du bassin pour accompagner le rythme que lui imposait son amant pour mieux épouser la bite qui la travaillait.

Il ne fallut que quelques courtes minutes pour que les gémissements deviennent rauques, que son visage s’assombrisse et qu’elle explose dans un orgasme dévastateur, les contractions de son vagin électrifiant tout son corps.

- Tu aimes ça, ma chérie ?
- Oh ! Oui c’est bon tu me baises bien, tu vas profond, j’ai joui très fort. Encore ! Continue, je suis à toi !

Barnabé la fit mettre en levrette, cuisses écartées, la position préférée d’Aude. La prenant par les hanches, il se remit à tringler la jeune femme, qui cambrait les reins pour s’offrir complètement à la pine qui la dilatait, la remplissant jusqu’au plus profond de son intimité.

Ils baisèrent ainsi longtemps, Barnabé la prenant tantôt lentement et tantôt plus violemment, lui tordant le bout des seins, et lui claquant les fesses, Aude gémissant :
- Oh ! ouiii, Encore ! oooh ouiii.
- Tu aimes ça, hein !
- Oh ouiii… Barnabé, c’est… c’est… boooonnn, ça… ça… m’exciiiite !
- Sur ce point, Daniel avait raison. Tu es une vraie salope.
- Oui je suis ta salope !
- Ça te plait de le tromper, n’est-ce pas ?
- Oui, beaucoup. S’il savait, il serait fou de rage !

Puis Barnabé la fit se recoucher sur le dos, lui glissa un coussin sous les fesses, lui replia les jambes, passant ses bras sous celles-ci. Il se renfonça en elle d’un seul coup, et recommença à la prendre, cette fois beaucoup plus violemment.

Aude était au paradis, enchaînant les orgasmes. Son amant fit durer le coït, ralentissant quand il sentait sa semence monter, puis recommençant quand la tension retombait. Au bout de longues minutes de va-et-vient, il accéléra le rythme, pour se déchaîner, la baisant sauvagement. Ce traitement projeta Aude dans un dernier orgasme qui fit trembler tout son être.

Barnabé poussa un râle et, après un dernier assaut, envoya un puissant premier jet de sperme dans le vagin et projeta le reste de l’abondante semence sur le corps épuisé et comblé d’Aude, entièrement conquise.

***

Les amants n’étaient pas repus. Aude resta un moment calme dans les bras de Barnabé, qui, après ces moments torrides, se montrait d’une infinie douceur, couvrant Aude de baisers et de caresses.

- Chérie, c’était merveilleux ! Mais je ne veux plus te voir en cachette. Je veux que nous vivions ensemble, que tu le quittes, que tu divorces. Je veux que tu deviennes ma femme.

Aude ne répondit pas. Elle avait des sentiments pour Barnabé, mais n’était toujours pas délivrée de l’emprise de Daniel.

- Barnabé, tu comptes beaucoup pour moi, mais je ne suis pas encore prête pour ça. Je porte l’enfant de Daniel. Je ne veux pas priver mon bébé de son père.
- S’il se montre aussi bon père qu’il est un bon mari ! Je reconnaitrais cet enfant et nous aurons d’autres. Je t’aime Aude !

Aude embrassa longuement Barnabé. Elle était perdue. Elle ne se sentait pas capable de choisir, malgré tout ce que Daniel lui avait fait subir. Cherchant une échappatoire, elle se mit à masturber Barnabé, avant de le prendre en bouche. Son amant retrouva très vite une formidable érection.

- J’ai encore envie, Barnabé. Viens, prends-moi encore !

C’est alors que le téléphone d’Aude se mit à sonner.
- C’est lui !
- Ne lui réponds pas, chérie, s’il te plait !
- Je n’ai pas le choix, Barnabé. Surtout, ne dis rien et ne fais pas de bruit.

Daniel semblait, comme toujours, agacé :
- Tu en as mis du temps à répondre ! Je t’ai déjà dit que je n’aimais pas attendre. Je veux pouvoir te joindre de jour, comme de nuit. Donc tu gardes le téléphone près de toi et tu ne le mets pas en silencieux.
- J’y veillerai Daniel. Excuse-moi !

C’est ce moment-là que choisit Barnabé pour se mettre entre les jambes d’Aude et commencer à la doigter et à la lécher. Aude le regarda sévèrement, car elle savait qu’elle ne pourrait longtemps se contrôler. Elle poussa un petit gémissement. Cela éveilla immédiatement les soupçons de Daniel :
- Aude, où es-tu ? Que fais-tu ? Tu es seule ?

Que cherchait donc Barnabé ? A provoquer un clash ? Toujours est-il qu’il redoublait d’ardeur et que sa langue était diabolique. S’il continuait, c’est certain, Aude ne pourrait pas contenir bien longtemps sa jouissance.

Elle se laissa aller à ses envies et appuya sur la tête de Barnabé pour qu’il lui bouffe la chatte.
- Oh mon Dieu, que c’est bon !

Ce cri du cœur avait échappé à Aude.
- Aude, je veux savoir ce que tu es en train de faire ! Je connais le son de ta voix quand tu es en train de prendre ton pied. Réponds !
- Mon chéri, je suis dans la chambre, sur notre lit, nue. Je me caresse en pensant à toi. Tu me manques, Daniel. Ta bite me manque !
- Tu es quand même une sacrée salope ! Je me doute que tu es en manque. Je veux te voir jouir. On va faire un appel en visio.

Aude fut, soudain, en panique. Barnabé comprit qu’il lui fallait s’éclipser au plus vite et sans faire de bruit. Il se releva d’entre les jambes de son amante, le visage barbouillé de la cyprine d’Aude. Il se cacha dans le dressing, d’où il avait une vue imprenable sur le lit.

Heureusement pour Aude, Daniel eut une nouvelle idée perverse, qui fit gagner du temps.
- Va à la salle de bains. Dans le placard, tu prends un gode et un plug. Prends-le gode le plus long et le plus gros. Ramène ça ici et on démarre un appel en visio. Dépêche-toi !

Aude obéit. Ce placard contenait une collection impressionnante de sextoys, qui lui était manifestement destiné.

Daniel n’attendit pas pour lancer l’appel en Facetime.
Elle lui présenta les deux « jouets » qu’elle avait ramenés.
Barnabé, qui observait discrètement depuis le dressing, fut effrayé, pensant : « elle ne va quand même pas s’empaler sur ces engins monstrueux ? »

- C’est très bien. C’est exactement ça qu’il te faut. J’aime quand tu es obéissante, ma salope !
- Quand même, Daniel, ils sont énormes. Je risque de me blesser.
- Je les ai achetés spécialement pour toi. Il faut ça pour calmer une nympho de ton espèce. Le godemiché, en silicone, est un modèle Black« XXL Dildorama 27 x 5 cm ». Ça te fera penser à ton cher Barnabé ! Quant au plug anal, noir lui aussi, en PVC, la taille c’est 9 cm en longueur et un diamètre de 5,4 cm. Tu vas commencer par te mettre le plug.
Barnabé eut envie d’intervenir pour mettre fin à ça. Mais il se rendit compte qu’Aude s’exécutait sans discussion, après que Daniel eut refusé qu’elle ait recours à un lubrifiant.
- Allez, ne fais pas de manière. Enfonce-le, d’un coup !

Aude s’allongea sur le côté et appliqua un peu de sa mouille autour de son anus à l’aide de l’index. Ça la chatouillait un peu. Elle se positionna ensuite à genoux sur le lit, se pencha en avant, en s’appuyant sur une main, tandis qu’elle essayait d’insérer le plug anal avec l’autre. Il glissa entièrement en elle de manière soudaine. Aude n’osa pas avouer qu’elle trouvait ces nouvelles sensations très agréables et excitantes.

- Alors, ça te plait ?
- Je suis surprise mais, à mon grand soulagement, tout va bien et il est parfaitement en place. Ce n’est pas du tout désagréable.
- Je te connais bien. Je savais que ça te plairait. Et tant mieux, car, à l’avenir, sauf exception, je me réserverai ta chatte. Les autres, avec qui je te partagerai, ce sera le préservatif ou alors ils pourront disposer de ta bouche et te casser le cul. Pour te préparer, tu porteras désormais le plus souvent possible un plug. Bon, maintenant, le gode !

Aude n’avait jamais eu quelque objet de cette taille dans son ventre. Pour se le mettre commodément, elle installa ses fesses sur un coussin. Elle était ainsi tendue en avant. Elle écarta les jambes le plus possible et tint fermement le gode dans sa main droite.
Tous les doigts de sa main gauche étaient mobilisés pour écarter ses lèvres et le vagin. Elle posa le bout sur l'entrée de son sexe, qui s'ouvrit sur le passage. Elle le laissa planté en elle, sans bouger, pour apprécier le plaisir d'avoir ce monstre dans le ventre. Doucement elle le bougea pour arriver à le faire aller et venir. Aude ne cessait de jouir.
Satisfait, Daniel mit fin au Facetime, réitérant ce qu’il lui avait déjà dit, à savoir qu’elle aurait une surprise le prochain week-end.

Barnabé sortit enfin de sa cachette. Son envie première était de partir et de ne plus revoir Aude, car il réalisait que l’emprise de Daniel est toujours aussi forte sur la jeune femme.
Mais quand il la vit, il craqua. Ses sentiments envers Aude faisaient qu’il allait se battre, faire tout son possible pour la libérer de la domination d’un monstre qui abuse de l’addiction d’Aude.

Elle ressentit le malaise de Barnabé :
- Il ne faut pas m’en vouloir. Pour le moment, je ne veux pas choisir. Je le veux lui et je te veux, toi.
- Et moi je réussirai à te libérer de cet affreux personnage.

Elle mit son doigt sur sa bouche, puis embrassa son amant, lui faisant promettre qu’ils se verraient également le lendemain, comme désormais chaque jour d’absence de Daniel.

***

Combien de temps cette double vie va-t-elle pouvoir durer ? Aude va-t-elle enfin ouvrir les yeux, se libérer de ses démons et comprendre que l’amour de Barnabé est une chance unique pour elle ?

(à suivre)

Les avis des lecteurs

Pour information: le chapitre suivant sera en ligne le 14 janvier prochain.

De retour ce 4 janvier, je remercie John62 et La chipie pour leurs commentaires et, bien entendu, toi, ma douce Sarah, pour les réponses apportées en mon absence, réponses que je partage entièrement.

Histoire Libertine
@John62 Merci beaucoup John, nous essayons d'imaginer les situations les plus réalistes pour une meilleure expérience bien sûr. J'espère que la suite sera divertissante pour vous.
@La chipie Ce n'est pas encore clair concernant le nombre de chapitres mais nous avons déjà planifié toutes les grandes lignes de l'histoire d'Aude.
Sarah T.

Histoire Libertine
Il reste combien d’épisodes ?

La chipie

Merci @Olga et Sarah pour ce texte...
Il n'y a pas que du fantasme là dedans!
Faire l'amour par téléphone... quand son mari nique dans la chambre d'à côté pourquoi pas d'autant plus que les deux se rattrapent bien vite.
Oui on sent du vécu dans cette histoire et le plus cocu des deux est bien Daniel ! Il le mérite bien...
Faire cocu son saligaud de mari sans qu'il le sache c'est tellement plus jouissif pour Aude
Bravo pour le style

Histoire Libertine
@Olga, tout le plaisir est pour moi ma belle. C'est une belle expérience pour moi également et j'espère que nous réussirons jusqu'au bout.
@Didier, merci beaucoup Didier. J'avoue qu'écrire à deux est une grande responsabilité. Tant que j'écrivais ma propre histoire, ça n'engageait que moi et je n'avais pas d'hésitations. Ecrire à un niveau comparable à celui d'Olga est une autre histoire, j'essaye de tenir le rythme. Je suis heureuse que les résultats soient concluants jusque là.
@Paul, c'est vrai, je trouve aussi qu'il y a en Aude beaucoup plus d'Olga que de moi (pour l'instant en tout cas). La suite devrait beaucoup vous amuser.
Sarah T.

@ Paul, oui il y a du vécu, pour ce qui me concerne (je ne répondrai pas à la place de Sarah). Mais c'est une œuvre de fiction
@ Norbert, Aude est d'abord une hypersexuelle et Daniel en profite

Histoire Erotique
Aude est une soumise, c'est pour ça qu'elle aime comment Daniel se comporte avec elle!
Norbert

Histoire Erotique
On sent que, derrière cette fiction, il y a beaucoup de vécu. Notamment chez toi, Olga!
Paul

Merci Didier. Avoir des lecteurs comme toi est plus qu'un plaisir pour des auteures comme Sarah et moi, c'est une vraie récompense!

Histoire Erotique
@Sarah,
Sachez que de mon côté je vous retrouve bien là aussi avec cet excellent récit.
Quitte à me répéter, un texte de qualité mérite une parfaite attention et un commentaire de qualité.
J’ajouterai, merci pour ce retour, et continuez cette parfaite collaboration avec Olga, afin de nous émerveiller et de nous surprendre avec cette magnifique saga...
Didier

@ Sarah, une mention particulière à ma coauteure, pour lui dire tout le plaisir que j'ai d'écrire cette série avec elle. Sarah est une jeune femme talentueuse et courageuse. Merci à toi, ma belle!

Merci à tous pour ces commentaires nombreux et de qualité.
@ Micky et Julie, merci. Nous sommes d'accord, Daniel le mérite cent fois au moins. Nous savons qu'Aude va s'en sortir. Mais quand et comment?
@ Dionysia, merci ma muse. Nous partageons tes sentiments sur notre héroïne et son bourreau. Et tu as raison, dans Aude, il y a (un peu) de moi, et, je crois, un peu de Sarah.
@ linsee, nous sommes flattées!
@ BER77, oui, il y a encore du chemin et du suspens

Histoire Libertine
@Didier, votre esprit d'analyse me surprendra toujours.
@Maurice, merci beaucoup.
@Valériane, je suis contente que la suite soit à la hauteur de vos attentes.
@Jacques du Canada, en effet ce genre de personnes existe beaucoup plus qu'on le croit.
@Lecteur anonyme, non je n'ai jamais rien écrit sur HDS à part ma collaboration avec Olga. Mon époux à écrit un essai de mon roman au départ mais ça a été supprimé par la suite.
@Krista, il ne faut pas perdre de vue qu'Aude est jeune et encore en pleine découverte. Ses choix ne sont pas forcément les meilleurs.
@Micky & @Julie, c'est sûr que Daniel mérite même pire que ça.
@Dyonisia merci beaucoup même si je me considère pas aussi experte qu'Olga dans la narration de ce genre de récits, mais j'essaye de rattraper le niveau. Je suis contente que vous trouviez du plaisir à nous lire.
@linsee merci beaucoup !
Sarah T.

Histoire Erotique
Cet épisode ne nous fait pas réellement avancer sur l’évolution des sentiments réciproques des protagonistes, sachant que Aude est toujours avec Daniel bien des années après et a eu un deuxième enfant .
On se demande qu’elle sera l’influence de Barnabé au fil du temps dans ce contexte? Mais n’est ce pas l’objectif des bons auteurs d’entretenir le suspens au fil des chapitres pour que le lecteur reste fidèle à la publication de l’œuvre jusqu’au dénouement final.
Alors on attends la suite avec impatience.
Merci Olga et merci Sarah.
Ber77

Histoire Libertine
Que dire de plus c'est parfait


linsee

Comme l'évoque Jacques, Aude (pardon : Sarah et Olga) nous conte(nt) par le menu les sentiments et les impressions intimes de l'héroïne autant que le spectacle qu'elle en donne avec son amant de cœur. Il fallait bien deux autrices aussi expertes dans l'art de l'écriture comme dans celui de l'érotisme pour que lecteurs et lectrices apprécient le nouvel épisode qu'elles nous livrent.
Je mets de côté, pour ce chapitre, l'ignoble Daniel dont le rôle, ici, est celui d'un fond de décor, répugnant certes mais réduit à l'inconsistance qu'il mérite et dans lequel, pour moi, il devrait être définitivement immergé. (Sauf à en être tiré pour subir une vengeance qui me fait, par avance, me pourlécher sardoniquement, lol)
Une bise à Aude et à ses deux tutrices :)

Histoire Libertine
Je suis d'accord avec Micky. Ce Daniel mérite cent fois d'être cocu. J'espère qu'Aude saura choisir!
Julie

Enfin la suite tant attendue. J'avoue avoir jubilé au cocufiage de Daniel, qui ne mérite vraiment pas Aude. Et j'attends le moment où celle-ci sera devenue mature. Avec quel comportement sexuel ?

@ krista, pourquoi blâmer Aude, ne pas la comprendre? La seule chose qu'on pourrait lui reprocher, ce serait de ne pas saisir sa chose d'en finir avec la mainmise de Daniel

Histoire Libertine
Bien que sûr que l'attitude de Daniel choque. Mais que dire d'Aude, parfaitement immorale, qui se roule dans l'adultère, alors qu'elle vient de se marier, qu'elle a voulu ce mariage!
Krista

Merci Maurice et Valériane!
@ Didier, tu pressens la suite
@ Jacques, il y a les éléments que vous soulignez. c'est compliqué pour Aude, l'emprise de Daniel étant très forte.
@ Daniel, merci, la suite est en cours d'écriture. Sarah répondra à la question, mais je ne pense car c'est moi qui lui a i fait découvrir HDS

Histoire Erotique
Sarah petite question en parallèle est-ce toi qui a écrit les 12 textes sur Hds 8 en 2010 puis 4 qui nous laisse sur notre faim de savoir sur l’évolution de Sarah vis à vis d’Elodie et de Steve son mari soumis dans les mains de Fred Daniel

Histoire Erotique
Sarah,Olga cette suite est excellet nous tient en haleine entre l’amant aimant et affectueux et l’horrible Daniel qui pense que Aude est son jouet sexuel personnel qui peut l’utiser à sa guise et le prêter pour asseoir son autorité et sa carrière personnelle un monstre en somme et un maquereau dénué de tout sentiment il n’aime pas sa femme mais utilise son corps J'attends la suite Barnabé va-t-il pouvoir l’aider à reprendre pied Daniel

Hé bien Aude prends le temps de savourer la venue de son nouvel amoureux.
Elle ne veut pas choisir pour l’instant. Pourtant le choix n’est pas difficile à faire. Soit elle est masochiste ou soit elle a peur des répercussions. Peut-être aussi se sent-elle très bien dans ce genre de vie non commune.
Il y en a comme ça qui n’ont pas peur de rester dans l’ambiguïté et risquer de tout perdre.

À suivre….

Histoire Erotique
Sarah, Olga,
C’est encore là un bon chapitre, très sexe, même s’il est fort dérangeant avec cette emprise toujours inhérente, omniprésente…
On y retrouve donc Aude qui après cette étrange nuit de noce et l’attitude de Daniel à son égard est en plein désarroi. Un sentiment qui sera accentué de plus par une humiliation dès son réveil et par un harcèlement téléphonique régulier tout le long de la journée, de la part de son odieux de mari.
Ce chapitre cependant nous permet surtout de découvrir le début de la relation adultère d’Aude avec Barnabé. Force est de constater cependant que malgré tout l’amour et le plaisir que lui donne son amant, Aude reste tiraillé, partagée entre sa dépendance envers son mari Daniel et son amour pour Barnabé.
Un infâme Daniel qui se fait un malin plaisir de maintenir son emprise totale sur son épouse en lui imposant de se goder doublement en visio, et en lui donnant de plus ses consignes pour quand il la livrera à d’autres partenaires dans de prochains ébats. J’ai dans l’idée que cet abject personnage est en train de conditionner et de préparer Aude à son futur week-end "surprise".
Sachez pour répondre à vos interrogations, que j’ai plutôt le sentiment qu’Aude ne saura pas saisir la main secourable de Barnabé, mais qu’à l’inverse n’écoutant que ses sens et son désir d’assouvir ses envies de jouissance, elle persistera à rester avec Daniel pour le meilleur et pour le pire…
Didier

Histoire Libertine
Belle salope cette Aude, mais j'aime.

Valériane

Histoire Erotique
Je ne me lasse pas de cette excellente série!
Maurice



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