COLLECTION TRIOLISME. Aidé par mon petit frère (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION TRIOLISME. Aidé par mon petit frère (1/1)
• Mon frère, ton mari vient de partir, viens, tu vas me sucer la queue.
• Firmin, tu es devenu fou, hors de question que je trompe Felix surtout avec son frère.
De plus, sucer une verge et surtout la tienne, ce serait au-dessus de mes forces.
• Arrête de dire des conneries, à vingt-cinq ans toutes les jeunes femmes sucent allègrement la bite de leur mari.
Allez, ouvre la bouche, salope.
Firmin est devenu fou, il sort sa verge alors que nous sommes dans la cuisine.
Il me prend par le cou entre deux de ses doigts et me force à avancer vers son sexe déjà bandé.
Je voudrais résister, mais même en me maintenant avec peu de ces doigts il me force à me baisser au niveau de son sexe qui sort de son pyjama.
Ça fait huit jours que Firmin est revenu des Amériques où il a passé trois années à visiter le pays à pied.
Contrairement à mon mari blanc comme un cadavre, ce garçon est très bronzé, on dirait un Sioux ou un Comanche, ce qui est fort agréable.
Mais de là à mettre sa queue dans ma bouche, il y a un monde que je refuse à mon mari, alors son frère, on comprend que je refuse.
• Je vais te dire, vous êtes toutes des salopes, j’ai pu le constater pendant les trois ans ou j’ai baroudé au travers de l’Amérique.
• Oin, oin, oin.
Bon, j’ai la bouche pleine, il faut bien que je retranscrive le bruit que je fais tout en bavant !
• Ferme ta gueule et suce, tu as une bouche faite pour sucer.
Notre maman à ton mari et à moi nous a appris qu’il était mal venu de parler la bouche pleine.
De toute façon, il est impossible de comprendre ce que tu dis.
Tu vois, tu me fais bander.
• Oin !
J’arrive à le faire sortir de ma bouche.
• Arrête espèce de salopard, lorsque Félix rentrera, je lui avouerais tout et il te mettra à la porte.
Oin, oin, oin.
• C’est bien tout au fond de ta gorge, tu vois, ta bouche est aux dimensions de ma verge, voyons comment ma bite va se comporter au fond de ton vagin.
• Oin, greuch !
C’est le bruit que ma bouche fait lorsque je suce cette verge, il me l’avait replacé, je me dégage de nouveau
• Tu me prends pour ta vide couille, termine dans ma bouche et laisse ma chatte, je suis fidèle à Felix.
• Eh bien, voilà, ma belle-sœur me fait voir sa vraie nature, lorsque je disais que tu étais une salope, je te le répète, vous êtes toutes des salopes qui la plupart l’ignorent comme c’était ton cas.
Couilles, chatte, bite, voilà des mots qui sont chers à mes oreilles, tu vois que tu es capable de prononcé de tels mots orduriers.
• Pourquoi me forces-tu as me coucher les seins sur la table, tu vas faire ce que je crois ?
Non, je te l’ai dit pas dans ma chatte !
• Tu préfères ton anus, tu aimerais que je te sodomise.
Dis-moi pas que tu es vierge du cul, comme le dit si bien Djamel dans un film ?
Dis-moi pas, que ton cul, c’est demain que tu me l’offriras comme tu m’as offert ta bouche avant que je t’enfile.
• Ah ! salopard tu l’as fait, je te sens au fond de moi, arrête, avec ton frère on veut un enfant et je me suis fait enlever mon stérilet.
• Dis-moi pas que je t’ai déjà fécondé en entrant simplement dans ta chatte ?
Si tu te retrouves enceinte, ça restera dans le cadre de la famille quelle importance.
Mon con de frère veut un garçon, s’il y arrive, je te parie qu’il te fera une fille.
Tiens, tiens prend ça, ta chatte est aussi plaisante que ta bouche.
Tant que je serais là, je t’en mettrais un petit coup chaque matin.
Ah ! Tiens, c’est moi qui pars.
• Oui, je jouis aussi.
Ah ! ah ! ahhhhh ! salop tu viens de me faire atteindre l’orgasme.
• Dis-moi pas que je suis le premier à te révéler à toi-même !
Je suis sûr que dès demain tu en redemanderas et que tu me laisseras t’enculer.
Firmin m’a fait jouir, il faut dire que lorsque j’ai épousé son frère, j’hésitais entre l’un et l’autre des deux garçons, chacun d’eux me courtisant.
Il me l’aurait proposé, je crois que j’aurais accepté un ménage à trois même si ça avait jasé dans le village.
Je suis dans les nuages, mince que ça été bon, le jeune frère semble plus doué que son ainé.
Firmin quitte la cuisine et rejoint sa chambre sans plus de considération pour cette femme encore abasourdie de ce qu’il vient de lui arriver.
Je finis par réagir, je tourne la tête pour regarder la pendule au-dessus du frigo.
8 heures 30, je prends mon service à 10 heures à l’hôpital de notre petite ville.
Je me douche, rapidement espérant nettoyer l’infamie que mon beau-frère m’a fait subir.
Bonjour, je me présente Félix, le cocu, du moins celui qui vient de le devenir grâce à son petit frère.
Lorsqu’il est revenu de son périple sur les routes américaines, nous avons eu une petite conversation tous les deux.
Je vous la rapporte, sa teneur principale étant celle-là.
• Alors frérot, comment vont les amours, je suis parti lorsque j’ai vu qu’Aby semblait être enclin à te tomber dans les bras, as-tu fait le bon choix.
• Pas du tout, je pense même à divorcer, au lit, c’est un vrai glaçon.
• Tu as essayé qu’elle te suce les couilles, ou la baiser en levrette !
• Non, rien de tout ça, juste la position du missionnaire, elle attend que j’aie terminé sans prendre la moindre initiative.
• Inutile de te demander si elle se laisse enculer !
Crois en mon expérience, toutes les femmes sont des salopes !
Je veux bien te le démontrer.
Si ça foires, tu pourras toujours prendre le temps d’une décision définitive, allant jusqu’au divorce.
Je suis sûr de la révéler, à ce jour, je les ai toutes révélées et, pourtant les américaines, question glaçon il est difficile de faire mieux !
• Je veux bien que tu essayes, il est vrai qu’elle est bandante et qu’à part sa passivité, je l’aime encore.
• Laisse-moi quelques jours et nous aurons la meilleure des salopes, je sens qu’elle a du potentiel.
Voilà comment on se retrouve au début de notre histoire et que mon frère ce matin m’a fait cocu avec mon accord après que je lui au laissé le champ libre partant au boulot sans laisser l’impression que je suis complice.
Voyons la deuxième journée !
• C’est bien ma salope, tu es fidèle au poste, j’ai oublié de te demander de te présenter nue, la corde au cou comme les bourgeois de Calais, pour notre petite partie de trou du cul ce matin.
• Arrête Firmin, j’ai tellement honte, cette nuit je suis restée sans pouvoir fermer l’œil, j’entendais Félix ronfler, j’avais mal pour lui après ce que je lui avais fait !
• Met toi à poil arrête d’avoir des remords, si tu es venue, c’est que tu avais envie de te faire défoncer la boîte à chocolats.
• Tu es vulgaire Firmin, si mon mari nous surprend et que je sois obligée de divorcer, crois-moi, je te coupe les couilles.
• En attendant suce moi les !
Je suis une salope, j’ai toujours dit depuis que je connais un peu la vie que ce que me demande Firmin, je le refusais à mon mari.
Ce que j’ai fait ou qu’il m’a fait faire hier est immonde, mais quesque j’ai aimé.
En repensant à sa queue dans ma bouche, je me suis caressé deux fois dans la nuit.
C’était la première fois de ma vie que mes doigts ont écarté ma chatte jusqu’à me faire jouir les deux fois.
Félix ronflait, il aurait pu se réveiller, il aurait pu me faire ce qu’il aurait voulu, il aurait eu une chienne dans son lit.
Je reprends Firmin en bouche lui caressant les olives, je prends de l’assurance, comment faire pour transformer nos jeux avec son frère aux mêmes jeux avec mon mari, il faut que j’y réfléchisse.
En attendant suçons cette bite qu’il me confie même contre ma volonté !
• Oui, descend bien jusqu’à mes couilles, prend les une à une dans ta bouche, tu sais qu’aujourd’hui je vais t’enculer comme je te l’ai promis hier.
• Ouin, ouin...
Là je mets un « U » en plus.
C’est celui de l’application que je mets à satisfaire mon amant.
Cette nuit, j’ai largement pris conscience que j’aimais être traitée comme la salope que Firmin veut que je le devienne, du moins je le pense !
• Bon, c’est le moment de t’enculer, je bande magnifiquement grâce à ta fellation.
• J’ai peur, mon anus est si petit et ta verge est énorme.
• C’est toi qui vas me faire entrer en toi !
• Comment ça, explique-moi ?
• Je m’assieds sur cette chaise et c’est toi qui amènes ton cul pour que je le perfore.
Tu recules jusqu’à ma verge, je la guide ou je veux te la mettre et c’est toi qui t’encules en t’assayant.
Je dois être une bonne élève, car en moins de temps qu’il en faut, mes fesses reposent sur son bas-ventre.
Je le sens en moi, dès qu’il m’a placé son gros gland sur mon anus, je me suis laissée tomber, me défonçant d’une seule poussée.
Mon cul me brûle, mais une nouvelle fois, je prends sur moi, demain nous recommencerons et à terme, c’est moi qui serais partante pour nos jeux du matin, mon mari étant parti à son boulot.
• Alors frangin où en es-tu, je parie que tu as pris une baffe dans ta petite tronche de beau gosse !
• Détrompe-toi, c’est elle qui s’est enculée sur ma bite, laisse-la-moi encore quelques jours avant d’intervenir, je te parie qu’elle jouira du cul d’ici, là.
• Salopard, tu veux profiter de ma femme, mais parlons d’autre chose, j’entends sa clef dans la serrure.
• Bonjour les garçons encore en train de regarder le foot à la télé en buvant une bière.
Je vais me doucher et me coucher, j’ai eu une journée épuisante.
Pendant presque une semaine, je profite de tous les trous disponibles de la salope de mon frère, j’ai réussi, dès qu’il est parti, c’est elle qui vient me rejoindre.
Surtout les mardis et mercredis ou elle est de repos, le mercredi étant le jour ou mon frère va nous surprendre, entre tant, comme je l’avais prédit, elle jouit du cul aussi bien que de sa chatte.
Je peux dire qu’Aby est un orgasme de tous les instants chaque fois que nous baisons ensemble.
• Espèce d’enfoiré Firmin avec ma femme, pourquoi pas dans mon lit pendant que tu y es ?
• Pourquoi pas, en attendant, encule là pendant que je lui enfile la chatte, tu vas voir ta bite enter sans forcer dans son anus ?
J’ai l’impression aux intonations dès deux frères d’avoir loupé une étape dans ce que l’on pourrait prendre pour de la déchéance à se faire prendre en double pénétration.
Ça fait un an que les trois ont franchi le pas et que je vis avec les deux frères.
Lorsque les gens du village on comprit qu’il me fallait deux hommes pour me satisfaire.
Ça a jasé au début, mais je suis si radieuse que beau nombre d’entre eux m’envient et que je suis la femme que toute voudrait être.
Surtout que je viens de faire mon écographie montrant que j’attends un garçon.
Chacun des deux frères est persuadé que c’est sa semence qui m’a fécondé avant cette éco.
Le cliché que j’ai dans mes mains me montre qu’ils sont deux, chacun ayant certainement fécondé un des ovules que mon corps a su fabriquer au bon moment.
Comme l’on dit, ils vécurent heureux et eurent deux faux jumeaux, garçon et fille rendant leur père le plus heureux au monde.
J’ai hâte d’avoir mon retour de couches pour satisfaire mes deux mâles mieux qu’avec ma bouche et mon cul.
Je suis une salope et j’en suis fière.
• Firmin, tu es devenu fou, hors de question que je trompe Felix surtout avec son frère.
De plus, sucer une verge et surtout la tienne, ce serait au-dessus de mes forces.
• Arrête de dire des conneries, à vingt-cinq ans toutes les jeunes femmes sucent allègrement la bite de leur mari.
Allez, ouvre la bouche, salope.
Firmin est devenu fou, il sort sa verge alors que nous sommes dans la cuisine.
Il me prend par le cou entre deux de ses doigts et me force à avancer vers son sexe déjà bandé.
Je voudrais résister, mais même en me maintenant avec peu de ces doigts il me force à me baisser au niveau de son sexe qui sort de son pyjama.
Ça fait huit jours que Firmin est revenu des Amériques où il a passé trois années à visiter le pays à pied.
Contrairement à mon mari blanc comme un cadavre, ce garçon est très bronzé, on dirait un Sioux ou un Comanche, ce qui est fort agréable.
Mais de là à mettre sa queue dans ma bouche, il y a un monde que je refuse à mon mari, alors son frère, on comprend que je refuse.
• Je vais te dire, vous êtes toutes des salopes, j’ai pu le constater pendant les trois ans ou j’ai baroudé au travers de l’Amérique.
• Oin, oin, oin.
Bon, j’ai la bouche pleine, il faut bien que je retranscrive le bruit que je fais tout en bavant !
• Ferme ta gueule et suce, tu as une bouche faite pour sucer.
Notre maman à ton mari et à moi nous a appris qu’il était mal venu de parler la bouche pleine.
De toute façon, il est impossible de comprendre ce que tu dis.
Tu vois, tu me fais bander.
• Oin !
J’arrive à le faire sortir de ma bouche.
• Arrête espèce de salopard, lorsque Félix rentrera, je lui avouerais tout et il te mettra à la porte.
Oin, oin, oin.
• C’est bien tout au fond de ta gorge, tu vois, ta bouche est aux dimensions de ma verge, voyons comment ma bite va se comporter au fond de ton vagin.
• Oin, greuch !
C’est le bruit que ma bouche fait lorsque je suce cette verge, il me l’avait replacé, je me dégage de nouveau
• Tu me prends pour ta vide couille, termine dans ma bouche et laisse ma chatte, je suis fidèle à Felix.
• Eh bien, voilà, ma belle-sœur me fait voir sa vraie nature, lorsque je disais que tu étais une salope, je te le répète, vous êtes toutes des salopes qui la plupart l’ignorent comme c’était ton cas.
Couilles, chatte, bite, voilà des mots qui sont chers à mes oreilles, tu vois que tu es capable de prononcé de tels mots orduriers.
• Pourquoi me forces-tu as me coucher les seins sur la table, tu vas faire ce que je crois ?
Non, je te l’ai dit pas dans ma chatte !
• Tu préfères ton anus, tu aimerais que je te sodomise.
Dis-moi pas que tu es vierge du cul, comme le dit si bien Djamel dans un film ?
Dis-moi pas, que ton cul, c’est demain que tu me l’offriras comme tu m’as offert ta bouche avant que je t’enfile.
• Ah ! salopard tu l’as fait, je te sens au fond de moi, arrête, avec ton frère on veut un enfant et je me suis fait enlever mon stérilet.
• Dis-moi pas que je t’ai déjà fécondé en entrant simplement dans ta chatte ?
Si tu te retrouves enceinte, ça restera dans le cadre de la famille quelle importance.
Mon con de frère veut un garçon, s’il y arrive, je te parie qu’il te fera une fille.
Tiens, tiens prend ça, ta chatte est aussi plaisante que ta bouche.
Tant que je serais là, je t’en mettrais un petit coup chaque matin.
Ah ! Tiens, c’est moi qui pars.
• Oui, je jouis aussi.
Ah ! ah ! ahhhhh ! salop tu viens de me faire atteindre l’orgasme.
• Dis-moi pas que je suis le premier à te révéler à toi-même !
Je suis sûr que dès demain tu en redemanderas et que tu me laisseras t’enculer.
Firmin m’a fait jouir, il faut dire que lorsque j’ai épousé son frère, j’hésitais entre l’un et l’autre des deux garçons, chacun d’eux me courtisant.
Il me l’aurait proposé, je crois que j’aurais accepté un ménage à trois même si ça avait jasé dans le village.
Je suis dans les nuages, mince que ça été bon, le jeune frère semble plus doué que son ainé.
Firmin quitte la cuisine et rejoint sa chambre sans plus de considération pour cette femme encore abasourdie de ce qu’il vient de lui arriver.
Je finis par réagir, je tourne la tête pour regarder la pendule au-dessus du frigo.
8 heures 30, je prends mon service à 10 heures à l’hôpital de notre petite ville.
Je me douche, rapidement espérant nettoyer l’infamie que mon beau-frère m’a fait subir.
Bonjour, je me présente Félix, le cocu, du moins celui qui vient de le devenir grâce à son petit frère.
Lorsqu’il est revenu de son périple sur les routes américaines, nous avons eu une petite conversation tous les deux.
Je vous la rapporte, sa teneur principale étant celle-là.
• Alors frérot, comment vont les amours, je suis parti lorsque j’ai vu qu’Aby semblait être enclin à te tomber dans les bras, as-tu fait le bon choix.
• Pas du tout, je pense même à divorcer, au lit, c’est un vrai glaçon.
• Tu as essayé qu’elle te suce les couilles, ou la baiser en levrette !
• Non, rien de tout ça, juste la position du missionnaire, elle attend que j’aie terminé sans prendre la moindre initiative.
• Inutile de te demander si elle se laisse enculer !
Crois en mon expérience, toutes les femmes sont des salopes !
Je veux bien te le démontrer.
Si ça foires, tu pourras toujours prendre le temps d’une décision définitive, allant jusqu’au divorce.
Je suis sûr de la révéler, à ce jour, je les ai toutes révélées et, pourtant les américaines, question glaçon il est difficile de faire mieux !
• Je veux bien que tu essayes, il est vrai qu’elle est bandante et qu’à part sa passivité, je l’aime encore.
• Laisse-moi quelques jours et nous aurons la meilleure des salopes, je sens qu’elle a du potentiel.
Voilà comment on se retrouve au début de notre histoire et que mon frère ce matin m’a fait cocu avec mon accord après que je lui au laissé le champ libre partant au boulot sans laisser l’impression que je suis complice.
Voyons la deuxième journée !
• C’est bien ma salope, tu es fidèle au poste, j’ai oublié de te demander de te présenter nue, la corde au cou comme les bourgeois de Calais, pour notre petite partie de trou du cul ce matin.
• Arrête Firmin, j’ai tellement honte, cette nuit je suis restée sans pouvoir fermer l’œil, j’entendais Félix ronfler, j’avais mal pour lui après ce que je lui avais fait !
• Met toi à poil arrête d’avoir des remords, si tu es venue, c’est que tu avais envie de te faire défoncer la boîte à chocolats.
• Tu es vulgaire Firmin, si mon mari nous surprend et que je sois obligée de divorcer, crois-moi, je te coupe les couilles.
• En attendant suce moi les !
Je suis une salope, j’ai toujours dit depuis que je connais un peu la vie que ce que me demande Firmin, je le refusais à mon mari.
Ce que j’ai fait ou qu’il m’a fait faire hier est immonde, mais quesque j’ai aimé.
En repensant à sa queue dans ma bouche, je me suis caressé deux fois dans la nuit.
C’était la première fois de ma vie que mes doigts ont écarté ma chatte jusqu’à me faire jouir les deux fois.
Félix ronflait, il aurait pu se réveiller, il aurait pu me faire ce qu’il aurait voulu, il aurait eu une chienne dans son lit.
Je reprends Firmin en bouche lui caressant les olives, je prends de l’assurance, comment faire pour transformer nos jeux avec son frère aux mêmes jeux avec mon mari, il faut que j’y réfléchisse.
En attendant suçons cette bite qu’il me confie même contre ma volonté !
• Oui, descend bien jusqu’à mes couilles, prend les une à une dans ta bouche, tu sais qu’aujourd’hui je vais t’enculer comme je te l’ai promis hier.
• Ouin, ouin...
Là je mets un « U » en plus.
C’est celui de l’application que je mets à satisfaire mon amant.
Cette nuit, j’ai largement pris conscience que j’aimais être traitée comme la salope que Firmin veut que je le devienne, du moins je le pense !
• Bon, c’est le moment de t’enculer, je bande magnifiquement grâce à ta fellation.
• J’ai peur, mon anus est si petit et ta verge est énorme.
• C’est toi qui vas me faire entrer en toi !
• Comment ça, explique-moi ?
• Je m’assieds sur cette chaise et c’est toi qui amènes ton cul pour que je le perfore.
Tu recules jusqu’à ma verge, je la guide ou je veux te la mettre et c’est toi qui t’encules en t’assayant.
Je dois être une bonne élève, car en moins de temps qu’il en faut, mes fesses reposent sur son bas-ventre.
Je le sens en moi, dès qu’il m’a placé son gros gland sur mon anus, je me suis laissée tomber, me défonçant d’une seule poussée.
Mon cul me brûle, mais une nouvelle fois, je prends sur moi, demain nous recommencerons et à terme, c’est moi qui serais partante pour nos jeux du matin, mon mari étant parti à son boulot.
• Alors frangin où en es-tu, je parie que tu as pris une baffe dans ta petite tronche de beau gosse !
• Détrompe-toi, c’est elle qui s’est enculée sur ma bite, laisse-la-moi encore quelques jours avant d’intervenir, je te parie qu’elle jouira du cul d’ici, là.
• Salopard, tu veux profiter de ma femme, mais parlons d’autre chose, j’entends sa clef dans la serrure.
• Bonjour les garçons encore en train de regarder le foot à la télé en buvant une bière.
Je vais me doucher et me coucher, j’ai eu une journée épuisante.
Pendant presque une semaine, je profite de tous les trous disponibles de la salope de mon frère, j’ai réussi, dès qu’il est parti, c’est elle qui vient me rejoindre.
Surtout les mardis et mercredis ou elle est de repos, le mercredi étant le jour ou mon frère va nous surprendre, entre tant, comme je l’avais prédit, elle jouit du cul aussi bien que de sa chatte.
Je peux dire qu’Aby est un orgasme de tous les instants chaque fois que nous baisons ensemble.
• Espèce d’enfoiré Firmin avec ma femme, pourquoi pas dans mon lit pendant que tu y es ?
• Pourquoi pas, en attendant, encule là pendant que je lui enfile la chatte, tu vas voir ta bite enter sans forcer dans son anus ?
J’ai l’impression aux intonations dès deux frères d’avoir loupé une étape dans ce que l’on pourrait prendre pour de la déchéance à se faire prendre en double pénétration.
Ça fait un an que les trois ont franchi le pas et que je vis avec les deux frères.
Lorsque les gens du village on comprit qu’il me fallait deux hommes pour me satisfaire.
Ça a jasé au début, mais je suis si radieuse que beau nombre d’entre eux m’envient et que je suis la femme que toute voudrait être.
Surtout que je viens de faire mon écographie montrant que j’attends un garçon.
Chacun des deux frères est persuadé que c’est sa semence qui m’a fécondé avant cette éco.
Le cliché que j’ai dans mes mains me montre qu’ils sont deux, chacun ayant certainement fécondé un des ovules que mon corps a su fabriquer au bon moment.
Comme l’on dit, ils vécurent heureux et eurent deux faux jumeaux, garçon et fille rendant leur père le plus heureux au monde.
J’ai hâte d’avoir mon retour de couches pour satisfaire mes deux mâles mieux qu’avec ma bouche et mon cul.
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