COLLECTION TRIOLISME. Parc Montsouris (4/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION TRIOLISME. Parc Montsouris (4/6)
Quand le radio réveille s’allume j’ai l’habitude de traîner quelques minutes dans mon lit.
Boris se lève et va directement dans la salle de bain.
Je rêve à ce que j’ai fait la veille.
Il est certain que la journée d’aujourd’hui sera sans sexe comparée à celle d’hier.
Je sens que ça me tire du côté de ma chatte.
Chatte mot dont j’ai compris le sens hier chez Clovis.
Je passe ma main, c’est sec mais d’un coup il me revient en mémoire que Boris a fini ma journée pleine de débordement en me faisant l’amour.
De peur d’avoir un quatrième enfant Boris a décidé de pratiquer le coït interrompu.
Certaines fois ça me déplaît et je me lève me laver de ce sperme qu’il envoie sur mon ventre.
Tout me revient de ce coup rapide que j’ai accepté ayant peur que Boris puisse avoir des doutes sur ma fidélité.
Pour la première fois, j’ai simulé et je me suis même endormie avant qu’il ne décharge.
Il faut que j’aille le rejoindre avant que les trois monstres ne l’accaparent.
Il y a toujours une chose qui va de travers dans un logement même nouveau.
Nous avons pensé aux chambres mais pas à la salle de bains, il aurait fallu avoir une pièce avec douche.
Je me lève, je passe mon déshabillé et je rejoins Boris.
Il sort de la baignoire me montrant la différence entre lui et mon amant d’un jour.
- Excuse de t’avoir fait l’amour hier soir, j’ai eu l’impression que tu me quittais au moment où je concluais.
Les autres fois tu te relevais, là je t’ai entendu ronfler.
- Ronfler, moi jamais.
- Si ma chérie tu ronfles certaines fois quand tu es très fatiguée, je t’en demande beaucoup entre les enfants ton travail et la maison.
- Non va sans crainte, j’assume surtout que j’aime mon travail.
Un baiser, une douche, moi aussi me refaisant une virginité.
Prépa du petit déjeuner.
Je m’habile, une tasse de café, je réveille les enfants.
À partir de là, ils se débrouillent.
Je retourne dans ma chambre, petite culotte rouge et soutien-gorge assortit, ensemble en dentelle que Boris aime tant.
Il me l’a acheté pour mes 37 ans il y a quelques semaines.
Mon tailleur d’hier avec la fente propice à des caresses dans le métro va aller chez le teinturier.
Un travail de plus samedi il faudra passer par le pressing.
J’en sors un propre de mon armoire.
Boris l’appelle Air France car il est bleu comme ceux de la compagnie nationale.
Je suis prête, une dernière chose, je prends le casse-croûte de ce midi que j’ai préparé hier avant de me coucher étant pleine de certitude.
Je salue toute la famille et je quitte la maison.
Hier c’était sexe, aujourd’hui ce sera sans sexe.
Le beau temps est revenu.
Par chance lors de mon transport je peux m’asseoir.
Dans la première partie du voyage, je suis face à un jeune homme qui me regarde entre les deux hommes qui discutent en tenant la barre où hier on m'a caressé.
J’ai une furieuse envie d’écarter mes cuisses pour lui montrer ma petite culotte.
Pas sexe, au moment où je vais pour le faire, il se lève le métro s’arrête, il descend.
Ouf sauvée.
J’arrive la première, je prépare le café, nous en buvons quand les clients nous le permettent.
Gladys arrive avec son sac où elle range ses affaires de jogging
- Quelle soirée, je voulais rester à la maison et aller me coucher.
Une copine a appelé, nous nous sommes endormis à deux heures.
Tu sors à midi comme tu l'as fait hier.
- Non, j’ai amené de quoi déjeuner comme d’habitude.
Par chance, une cliente entre pour des renseignements.
Elle veut offrir un voyage à sa fille en fin d’année scolaire si elle a son bac et veut des renseignements dès maintenant sur les destinations et surtout les prix.
J’ai évité grâce à cette cliente les explications de la façon dont elle a certainement baisé.
Pendant que la cliente tourne les pages des catalogues je me surprends à lever la tête toutes les cinq minutes.
J’ignore pourquoi, aujourd’hui, demain et après-demain aucun sexe.
11 heures 45.
- Gladys, ça s’est calmé, quelle matinée.
Je viens de me souvenir, c’est l’anniversaire de mon benjamin et je dois trouver le jeu vidéo qu’il souhaite que nous lui achetions.
C’est facile de mentir, le jeu on l’a acheté samedi dernier pour son anniversaire que nous fêtons samedi prochain.
- Va, je reste me reposer, je suis crevée.
Courir, moi qui ne disais que je refuserais le sexe aujourd’hui, je cours jusqu’à l’immeuble de Clovis.
Le Digicode.
Un sac de femme, c’est un bordel mais je finis par trouver le papier dans une petite poche.
ABC3.
Si je l’avais regardé quand il me l’a donné j’aurais gagné du temps.
Il se traîne cet ascenseur.
Je sonne.
- Oui.
À c’est toi, je t’attendais !
Je repousse la porte et je lui saute carrément au cou.
Mes jambes viennent enserrer ses hanches.
Nos bouches se trouvent comme elles se sont trouvées hier.
Il est en peignoir de soie.
Il me plaque le long de la porte en ferraille.
Malgré la chaleur, je frissonne.
Je sens sa main passer entre nous et ma culotte cédant comme celle d’hier.
Je sens son sexe et une fraction de seconde après il est en moi.
Me faire sauter le long d’une porte je m’en croyais incapable.
Pourtant nous le faisons.
Il me pilonne, je hurle au moment où un orgasme se réveille.
J’ai lu un livre où la femme devient chienne.
Je ne suis pas allée au bout, la chienne c’est moi, même si je l'ignore encore.
- Clovis, je vois que tu t’amuses au lieu de bosser.
Amène Junon dans une chambre.
Entendant cette voix, je devrais me dissocier de la verge n’ayant pas déchargé en moi et je devrais prendre mes jambes à mon cou.
Je n’en fais rien, je me laisse porter vers la première chambre.
Paul est là nu bandant même.
Clovis me pose plein de délicatesse à ses côtés.
Je me mets de moi-même à quatre pattes, prenant cette bite m'attendant dans ma bouche.
Inutile de tourner ma tête, la bite qui entre en moi est celle qui venait de me quitter.
Je repense à Gladys et ses vacances avec un couple.
A-t-elle déjà fait l’amour avec deux hommes.
Il va sans dire que je vais garder ce moment pour moi seule.
Ce moment qui dure me permettant d’atteindre l’orgasme plusieurs fois.
Hier, j’étais sexe aujourd’hui je suis chienne et je dois dire que j’aime ça.
Surtout que mes hommes éjaculent.
Qui dans ma bouche, qui dans ma chatte.
- Excuse Junon, tu vois l’effet que tu fais sur nous.
- Passons à table, j’ai mis le couvert, j'ignorais que ce serait notre petite Junon qui passerait par ce lit avant de manger.
Faire l’amour ça me creuse.
La table est sur la terrasse, allons profiter du soleil retrouvé.
Et dire que s’il avait fait beau, nous serions restés sur ce banc du parc Montsouris à manger des salades.
Salade il y a mais au foie gras de canard.
Les grands-parents de Clovis étaient originaires de Parisot dans le Tarn.
Leur voisin faisait du canard et du foie.
Il y allait jusqu’à l’âge de 17 ans.
S’il m’avait parlé de cette période avant les vacances j’aurais su qu’il était hétéro.
Pendant que nous mangeons voilà ce qu’il nous raconte.
- Comme tous les ans je venais d’arriver à Parisot par le train.
Cette année-là, j’étais fière de venir seul et de voyager sans accompagnement.
Nous étions en juillet et mes parents devaient nous rejoindre en août.
Je venais d’arriver et j’ai croisé Ludivine, la fille des voisins.
Jusqu’à l’année précédente avec ses barrettes dans les dents et sa coupe au bol je la prenais pour un vrai boudin.
Elle avait mis des lentilles à la place de ses lunettes.
Ses seins avaient poussé ou plutôt elle avait appris à les mettre en valeur.
J’ai eu envie d’elle tout de suite.
- Comme nous avons eu envie l’un de l’autre tout à l’heure quand je suis arrivée.
- Ne m’excluez pas de vos envies.
Quand de ma chambre, Junon je t’ai entendu te donner à Clovis avec tant de fougue, je me suis mis à bander.
Tu vois le résultat, tu m’as sucé et nous mangeons nus sur la terrasse.
Je connais l’histoire ma chère, il va mettre trois plombes à nous dire que deux jours plus tard il la tringlait dans sa chambre de jeune fille pendant que ses parents gavaient les oies et les canards.
- Merci de me casser mes effets, c’était la première et j’étais son premier.
Par chance nous avons évité la grossesse.
Ces filles de la campagne si connaissaient et elles me faisaient pratiquer le coït interrompus.
Je suis à deux doigts d’éclater de rire.
Si Boris ne m’avait pas appris cette expression, comme pour ma chatte, j’aurais pu paraître niaise.
Ce qu’il y a de sur, c’est que Clovis quand il a déchargé en moi a oublié de pratiquer le coït comme il dise.
- Les garçons, je viens d’entendre votre pendule sonner la demie.
Il faut que je me prépare et être à l’heure pour ouvrir l’agence.
- Promets-nous de revenir demain.
Clovis va nous faire ses endives au gratin.
- Les garçons, on verra, je suis mariée, je vous le rappelle.
- Comme Ludivine et elle à trois enfants.
- À demain Junon, aucun n’est de moi.
Seul le foie gras nous relit et des colis qu’ils nous font livrer par la poste.
- À demain les garçons.
En prononçant ces mots je prends conscience que pour une journée sans sexe, j’ai eu ma dose.
Deux mecs d’un coup.
De toute façon, demain ils seront déçus, les endives au jambon attendront…
Boris se lève et va directement dans la salle de bain.
Je rêve à ce que j’ai fait la veille.
Il est certain que la journée d’aujourd’hui sera sans sexe comparée à celle d’hier.
Je sens que ça me tire du côté de ma chatte.
Chatte mot dont j’ai compris le sens hier chez Clovis.
Je passe ma main, c’est sec mais d’un coup il me revient en mémoire que Boris a fini ma journée pleine de débordement en me faisant l’amour.
De peur d’avoir un quatrième enfant Boris a décidé de pratiquer le coït interrompu.
Certaines fois ça me déplaît et je me lève me laver de ce sperme qu’il envoie sur mon ventre.
Tout me revient de ce coup rapide que j’ai accepté ayant peur que Boris puisse avoir des doutes sur ma fidélité.
Pour la première fois, j’ai simulé et je me suis même endormie avant qu’il ne décharge.
Il faut que j’aille le rejoindre avant que les trois monstres ne l’accaparent.
Il y a toujours une chose qui va de travers dans un logement même nouveau.
Nous avons pensé aux chambres mais pas à la salle de bains, il aurait fallu avoir une pièce avec douche.
Je me lève, je passe mon déshabillé et je rejoins Boris.
Il sort de la baignoire me montrant la différence entre lui et mon amant d’un jour.
- Excuse de t’avoir fait l’amour hier soir, j’ai eu l’impression que tu me quittais au moment où je concluais.
Les autres fois tu te relevais, là je t’ai entendu ronfler.
- Ronfler, moi jamais.
- Si ma chérie tu ronfles certaines fois quand tu es très fatiguée, je t’en demande beaucoup entre les enfants ton travail et la maison.
- Non va sans crainte, j’assume surtout que j’aime mon travail.
Un baiser, une douche, moi aussi me refaisant une virginité.
Prépa du petit déjeuner.
Je m’habile, une tasse de café, je réveille les enfants.
À partir de là, ils se débrouillent.
Je retourne dans ma chambre, petite culotte rouge et soutien-gorge assortit, ensemble en dentelle que Boris aime tant.
Il me l’a acheté pour mes 37 ans il y a quelques semaines.
Mon tailleur d’hier avec la fente propice à des caresses dans le métro va aller chez le teinturier.
Un travail de plus samedi il faudra passer par le pressing.
J’en sors un propre de mon armoire.
Boris l’appelle Air France car il est bleu comme ceux de la compagnie nationale.
Je suis prête, une dernière chose, je prends le casse-croûte de ce midi que j’ai préparé hier avant de me coucher étant pleine de certitude.
Je salue toute la famille et je quitte la maison.
Hier c’était sexe, aujourd’hui ce sera sans sexe.
Le beau temps est revenu.
Par chance lors de mon transport je peux m’asseoir.
Dans la première partie du voyage, je suis face à un jeune homme qui me regarde entre les deux hommes qui discutent en tenant la barre où hier on m'a caressé.
J’ai une furieuse envie d’écarter mes cuisses pour lui montrer ma petite culotte.
Pas sexe, au moment où je vais pour le faire, il se lève le métro s’arrête, il descend.
Ouf sauvée.
J’arrive la première, je prépare le café, nous en buvons quand les clients nous le permettent.
Gladys arrive avec son sac où elle range ses affaires de jogging
- Quelle soirée, je voulais rester à la maison et aller me coucher.
Une copine a appelé, nous nous sommes endormis à deux heures.
Tu sors à midi comme tu l'as fait hier.
- Non, j’ai amené de quoi déjeuner comme d’habitude.
Par chance, une cliente entre pour des renseignements.
Elle veut offrir un voyage à sa fille en fin d’année scolaire si elle a son bac et veut des renseignements dès maintenant sur les destinations et surtout les prix.
J’ai évité grâce à cette cliente les explications de la façon dont elle a certainement baisé.
Pendant que la cliente tourne les pages des catalogues je me surprends à lever la tête toutes les cinq minutes.
J’ignore pourquoi, aujourd’hui, demain et après-demain aucun sexe.
11 heures 45.
- Gladys, ça s’est calmé, quelle matinée.
Je viens de me souvenir, c’est l’anniversaire de mon benjamin et je dois trouver le jeu vidéo qu’il souhaite que nous lui achetions.
C’est facile de mentir, le jeu on l’a acheté samedi dernier pour son anniversaire que nous fêtons samedi prochain.
- Va, je reste me reposer, je suis crevée.
Courir, moi qui ne disais que je refuserais le sexe aujourd’hui, je cours jusqu’à l’immeuble de Clovis.
Le Digicode.
Un sac de femme, c’est un bordel mais je finis par trouver le papier dans une petite poche.
ABC3.
Si je l’avais regardé quand il me l’a donné j’aurais gagné du temps.
Il se traîne cet ascenseur.
Je sonne.
- Oui.
À c’est toi, je t’attendais !
Je repousse la porte et je lui saute carrément au cou.
Mes jambes viennent enserrer ses hanches.
Nos bouches se trouvent comme elles se sont trouvées hier.
Il est en peignoir de soie.
Il me plaque le long de la porte en ferraille.
Malgré la chaleur, je frissonne.
Je sens sa main passer entre nous et ma culotte cédant comme celle d’hier.
Je sens son sexe et une fraction de seconde après il est en moi.
Me faire sauter le long d’une porte je m’en croyais incapable.
Pourtant nous le faisons.
Il me pilonne, je hurle au moment où un orgasme se réveille.
J’ai lu un livre où la femme devient chienne.
Je ne suis pas allée au bout, la chienne c’est moi, même si je l'ignore encore.
- Clovis, je vois que tu t’amuses au lieu de bosser.
Amène Junon dans une chambre.
Entendant cette voix, je devrais me dissocier de la verge n’ayant pas déchargé en moi et je devrais prendre mes jambes à mon cou.
Je n’en fais rien, je me laisse porter vers la première chambre.
Paul est là nu bandant même.
Clovis me pose plein de délicatesse à ses côtés.
Je me mets de moi-même à quatre pattes, prenant cette bite m'attendant dans ma bouche.
Inutile de tourner ma tête, la bite qui entre en moi est celle qui venait de me quitter.
Je repense à Gladys et ses vacances avec un couple.
A-t-elle déjà fait l’amour avec deux hommes.
Il va sans dire que je vais garder ce moment pour moi seule.
Ce moment qui dure me permettant d’atteindre l’orgasme plusieurs fois.
Hier, j’étais sexe aujourd’hui je suis chienne et je dois dire que j’aime ça.
Surtout que mes hommes éjaculent.
Qui dans ma bouche, qui dans ma chatte.
- Excuse Junon, tu vois l’effet que tu fais sur nous.
- Passons à table, j’ai mis le couvert, j'ignorais que ce serait notre petite Junon qui passerait par ce lit avant de manger.
Faire l’amour ça me creuse.
La table est sur la terrasse, allons profiter du soleil retrouvé.
Et dire que s’il avait fait beau, nous serions restés sur ce banc du parc Montsouris à manger des salades.
Salade il y a mais au foie gras de canard.
Les grands-parents de Clovis étaient originaires de Parisot dans le Tarn.
Leur voisin faisait du canard et du foie.
Il y allait jusqu’à l’âge de 17 ans.
S’il m’avait parlé de cette période avant les vacances j’aurais su qu’il était hétéro.
Pendant que nous mangeons voilà ce qu’il nous raconte.
- Comme tous les ans je venais d’arriver à Parisot par le train.
Cette année-là, j’étais fière de venir seul et de voyager sans accompagnement.
Nous étions en juillet et mes parents devaient nous rejoindre en août.
Je venais d’arriver et j’ai croisé Ludivine, la fille des voisins.
Jusqu’à l’année précédente avec ses barrettes dans les dents et sa coupe au bol je la prenais pour un vrai boudin.
Elle avait mis des lentilles à la place de ses lunettes.
Ses seins avaient poussé ou plutôt elle avait appris à les mettre en valeur.
J’ai eu envie d’elle tout de suite.
- Comme nous avons eu envie l’un de l’autre tout à l’heure quand je suis arrivée.
- Ne m’excluez pas de vos envies.
Quand de ma chambre, Junon je t’ai entendu te donner à Clovis avec tant de fougue, je me suis mis à bander.
Tu vois le résultat, tu m’as sucé et nous mangeons nus sur la terrasse.
Je connais l’histoire ma chère, il va mettre trois plombes à nous dire que deux jours plus tard il la tringlait dans sa chambre de jeune fille pendant que ses parents gavaient les oies et les canards.
- Merci de me casser mes effets, c’était la première et j’étais son premier.
Par chance nous avons évité la grossesse.
Ces filles de la campagne si connaissaient et elles me faisaient pratiquer le coït interrompus.
Je suis à deux doigts d’éclater de rire.
Si Boris ne m’avait pas appris cette expression, comme pour ma chatte, j’aurais pu paraître niaise.
Ce qu’il y a de sur, c’est que Clovis quand il a déchargé en moi a oublié de pratiquer le coït comme il dise.
- Les garçons, je viens d’entendre votre pendule sonner la demie.
Il faut que je me prépare et être à l’heure pour ouvrir l’agence.
- Promets-nous de revenir demain.
Clovis va nous faire ses endives au gratin.
- Les garçons, on verra, je suis mariée, je vous le rappelle.
- Comme Ludivine et elle à trois enfants.
- À demain Junon, aucun n’est de moi.
Seul le foie gras nous relit et des colis qu’ils nous font livrer par la poste.
- À demain les garçons.
En prononçant ces mots je prends conscience que pour une journée sans sexe, j’ai eu ma dose.
Deux mecs d’un coup.
De toute façon, demain ils seront déçus, les endives au jambon attendront…
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