COLLECTION TRIOLISME. Parc Montsouris (6/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2399 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 003 179 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 208 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION TRIOLISME. Parc Montsouris (6/6)
Voilà c’est fait 3 000 € pour commencer, comment refuser.
Quelques petites difficultés lorsque je suis rentrée à la maison.
Comment ai-je trouvé ce travail si bien payé ?
Mentir, je suis entrée dans la spirale du mensonge et je constate que c’est plus simple qu’il n’y paraît.
Ma collègue a fait un essai pour ce poste, elle m’en a parlé un refus et m’a proposé de tenter ma chance.
Ça pouvait passer, mais directrice des publications Paul et Clovis, j’ai fait des études mais de là à diriger une maison d’édition c’était difficile à faire avaler.
Une idée m’est venue, montrant que je suis mieux qu'une blonde, ce qui est vrai, grâce aux planches de Clovis sur Zombirella, la femme du parc.
Je leur ai dit que les propriétaires de la maison d’édition ont reconnu en moi l’exacte réplique de leur héroïne dessinée sans modèle et voyant un signe du destin m’ont donné le poste.
Ça a entraîné un petit retard pour mes hommes, ils ont dû travailler d'arrache-pied pour refaire l’histoire et faire de moi l’héroïne et de tout donner à l’imprimeur.
Mais après une franche rigolade qui a fini avec leurs bites dans mon vagin et mon…J’ai du mal à le dire.
Comme la première fois, Paul me prenait par ma sacrosainte chatte.
Clovis est venu derrière moi, je m’attendais à ce qu’il me distende un peu plus la chatte mais j’ai senti qu’il avait une autre intention.
C’est moi qui lui ai dit d’y aller et je me suis trouvée prise dans ce qu’ils ont appelé une double pénétration anale et chatte.
J’ai déjà dit que j’aimais ce mot alors que depuis que je me donne à eux, vagin, Con, Foune, même foufoune, je les connais, mais c’est la chatte que je préfère.
Dans une conversation en déjeunant, Paul plus grivois que Clovis a même parlé d’une fille qu’il avait connue et qui était un vrai garage à bite.
Non, chatte c’est bien surtout après ce que j’ai fait avec Gladys.
Tiens, je vais prendre cinq minutes pour raconter ce que nous avons fait.
C’était une semaine avant que je la quitte et quelques jours avant que nous soyons virées.
Je remarque que ce n’est pas facile à comprendre.
Commençons par la deuxième partie, virées.
Nous avons appris que la boîte anglaise qui gérait notre agence et dont elle portait le nom était déclarée en faillite et que nous étions renvoyées.
Paul et Clovis était parti se détendre trois jours le 1er novembre sur la côte dans leur bungalow.
Ils voulaient que je vienne avec eux.
Je sais mentir, mais trouver une histoire pour partir m’a posé trop de problèmes.
Gladys venait de courir et se nettoyait.
Comme à son habitude elle s’est mise nue alors que j’étais assise sur la chaise près du frigo.
Sa chatte était à hauteur de mes yeux.
Sa toison blonde était peu fournie et me montrait ses lèvres roses.
J’ai avancé ma main puis ma bouche et je l’ai léché.
Elle a avancé son vagin et ma langue l’a pénétré.
Le goût était salé et comme le sucré m’indispose, j’ai bien aimé.
Elle s’est penchée et nous nous sommes embrassées.
Bref nous avons eu un rapport lesbien, nouveauté pour moi.
Penser sucer ma collègue devenue mon amie aucun signe préalable me l’avait fait penser.
C’est ce jour que passant sa main sous ma jupe fendue revenue du pressing, sa main s’est aperçue que j'étais sans culotte.
Je lui ai avoué que je lui avais menti et que j’avais deux amants.
Nous venions de devenir si proches qu’à partir de ce moment j’avais une complice.
Dès leurs retours, mes hommes ont été d’accord que je l’embauche.
Il nous fallait du personnel qualifié et Gladys m’avait démontré qu’elle l’était.
Voilà, aujourd’hui je joue une partie serrée, nous inaugurons la maison d’édition.
Ce que mes amants m’avaient caché mais qui ne posait aucun problème qu’eux dessinant au 8ème, leur maison d’édition se trouvait au rez-de-chaussée.
J’avais mon bureau et dans la pièce voisine celui de Gladys.
Quand on me demande et que je suis plus haut, le portable est toujours à porter de ma main si l’un de ma famille me demande.
Pour l’inauguration, il nous a été impossible d'éviter d'inviter mari légal et enfants.
La première série de Zombilande était arrivée et mes enfants se sont empressés de la lire.
Ils voulaient voir si comme je leur avais dit, s’était ressemblant entre le personnage et moi.
Ouf, ils ont tous été étonnés et ce qui a été le plus drôle s’était de voir mon cocu de mari discuter avec mes amants et ma maîtresse.
À un moment j’ai eu envie de crier aux personnes présentes.
« Je vous aime tous. »
Mais je suis restée sobre.
Voilà ce qui s’est passé jusqu’à Noël où c’est moi qui ai quitté Clovis et Paul après une petite partie à trois.
Nous venions de rire du chiffre 3.
C’est vrai qu’il ponctue ma vie.
À tout seigneur tout honneur.
J’ai 3 enfants.
J’ai trois hommes dans ma vie.
Avec mes deux amants nous formons un trio.
Je suis née un 3 juillet.
Jade est née un 30 octobre.
La maison d’édition et donc de ma double vie est située au 323 de la rue près du parc Montsouris.
Chez mes beaux-parents, nous avons appris qu’ils avaient vendu et qu’il partait s’installer au Portugal.
Une histoire de taxe, nous devions pour les vacances prochaines trouver une autre solution car là-bas ils avaient deux pièces.
J’ai l’idée d'en parler à Clovis et Paul, comme de bien entendu, ils trouvent immédiatement une solution.
Le bungalow voisin du leurs qu’ils savent être en vente.
Le papy l’habitant étant passé de vie à trépas, sa veuve le vend et comme il est assez grand, il l’avait acheté dès sa première mise en vente il pouvait recevoir leurs quatre enfants.
Toute la famille est contente de retrouver la mer même si elle est plus calme que l’atlantique.
Le voyage se fait deux jours après le départ de mes amants.
Boris est moins libre que nous dans ses horaires et bien sûr ses vacances.
Nous avons visité le bungalow pendant un week-end dit en amoureux par nos enfants.
Train et taxi pour éviter les fatigues supplémentaires.
Les seuls frais que nous avons faits et supervisés par Zoé et Alain les voisins à gauche c’est la literie.
Chacun son lit pour les enfants.
Ce sont les vacances et les enfants commencent à avoir des copains.
J’ai déjà eu il y a de longs mois une conversation sur la contraception et les protections.
Les garçons c’est Boris qui s’en est chargé.
Jade était très concentrée au début pour finir par éclater de rire quand j’ai abordé la liberté sexuelle.
En quelques mots voilà ce qu’elle m’a dit me laissant sur le cul.
« Maman, je suis vierge et je tiens à le rester jusqu’à ce que soit le bon.
Maman, les garçons sont cons comme des balais.
Il y a mille façons de les satisfaire sans aller jusqu’à la pénétration.
J’ai quelques expériences avec eux et je peux te dire qu’ils bavent tellement qu’en moins de cinq minutes, il me reste à tous avaler. »
Eh oui, je pensais être une salope et à ce moment là je me suis rendu compte que ma fille avait plusieurs longueurs d’avance.
À son âge, j’étais loin de sucer la bite de celui qui devait devenir mon époux.
Heureusement que c’est Boris qui s’est chargé des garçons.
Je me vois mal entendre comment des jeunes filles les suçaient depuis qu'elle gravitait autour d’eux.
Il y a plusieurs jours que j’ai les doigts de pieds en éventail.
Pas tout à fait car même à Agde ils ont envie de moi.
Mes amants dessinateurs, je les vois le matin quand je vais les réveiller.
Ils dorment chacun dans leur chambre comme à Paris.
Une petite fellation par ci, une petite levrette par là et ils sont prêts à partir pour la journée en mer.
Officiellement interdit à mes enfants et mon mari de venir car ils me dessinent pour le tome II de Zombilande.
En tout bien tout honneur, je suis en maillot quand j’entre dans leur bungalow.
Zombilande au Cap-d’Agde.
L’album a été finalisé à Paris avant notre départ.
C’était une idée de la responsable des éditions Clovis et Paul afin de nous dégager du temps.
Boris, c’est le soir ou plutôt dans la nuit à notre retour du restaurant et de la boîte qui nous accueille que je me laisse baiser.
Lumière éteinte je me laisse faire et comme les copains de ma fille, il décharge rapidement et je peux dormir jusqu’au matin où.
Où la vie est un éternel recommencement.
J’aime toujours d'amour Boris mais les galipettes avec lui sont rapides et classiques alors pourquoi me fatiguer plus, surtout que j'ai sexuellement tout ce que je désire.
Les enfants, pardon mes jeunes adultes, dès qu’ils sont levés ils filent jusqu’à tard dans la nuit où ils font leur retour à part Julien mon aîné qui souvent découche.
Zoé l’a vue l'autre jour lorsqu’elle est allée au supermarché avec une jeune femme et son jeune fils.
Curieuse elle les a suivis, l’un des voisins de cette jeune femme lui dit que c’était une femme mariée dont le mari restait à travailler à Paris.
La seule chose que j’espère c’est qu’un jour il nous reviendra avec un œil au beurre noir ou qu’il me la présentera faisant déjà de moi une grand-mère par recomposition.
Nos hommes, Boris, Alain, Clovis et Paul viennent de partir pour la marina où ils ont loué un bateau au mois et où ils vont à la pêche au gros comme ils disent.
En ce moment je suis dans le salon de Zoé bien climatisée.
Zoé nous a préparé des cocktails avec les ingrédients achetés le jour où elle a vu mon fils.
Nous sommes nues dans les bras l’une l’autre.
Nous venons de croiser nos jambes pour asticoter nos clitos.
J’ai joui la première vite suivie par ma nouvelle petite maîtresse.
Un plus pour les vacances surtout que nos bouches et nos langues sont intimement mélangées.
Dire que tout ça a commencé le jour où parce qu’il faisait beau je suis allée manger ma salade sur un banc du Parc Montsouris.
Quelques petites difficultés lorsque je suis rentrée à la maison.
Comment ai-je trouvé ce travail si bien payé ?
Mentir, je suis entrée dans la spirale du mensonge et je constate que c’est plus simple qu’il n’y paraît.
Ma collègue a fait un essai pour ce poste, elle m’en a parlé un refus et m’a proposé de tenter ma chance.
Ça pouvait passer, mais directrice des publications Paul et Clovis, j’ai fait des études mais de là à diriger une maison d’édition c’était difficile à faire avaler.
Une idée m’est venue, montrant que je suis mieux qu'une blonde, ce qui est vrai, grâce aux planches de Clovis sur Zombirella, la femme du parc.
Je leur ai dit que les propriétaires de la maison d’édition ont reconnu en moi l’exacte réplique de leur héroïne dessinée sans modèle et voyant un signe du destin m’ont donné le poste.
Ça a entraîné un petit retard pour mes hommes, ils ont dû travailler d'arrache-pied pour refaire l’histoire et faire de moi l’héroïne et de tout donner à l’imprimeur.
Mais après une franche rigolade qui a fini avec leurs bites dans mon vagin et mon…J’ai du mal à le dire.
Comme la première fois, Paul me prenait par ma sacrosainte chatte.
Clovis est venu derrière moi, je m’attendais à ce qu’il me distende un peu plus la chatte mais j’ai senti qu’il avait une autre intention.
C’est moi qui lui ai dit d’y aller et je me suis trouvée prise dans ce qu’ils ont appelé une double pénétration anale et chatte.
J’ai déjà dit que j’aimais ce mot alors que depuis que je me donne à eux, vagin, Con, Foune, même foufoune, je les connais, mais c’est la chatte que je préfère.
Dans une conversation en déjeunant, Paul plus grivois que Clovis a même parlé d’une fille qu’il avait connue et qui était un vrai garage à bite.
Non, chatte c’est bien surtout après ce que j’ai fait avec Gladys.
Tiens, je vais prendre cinq minutes pour raconter ce que nous avons fait.
C’était une semaine avant que je la quitte et quelques jours avant que nous soyons virées.
Je remarque que ce n’est pas facile à comprendre.
Commençons par la deuxième partie, virées.
Nous avons appris que la boîte anglaise qui gérait notre agence et dont elle portait le nom était déclarée en faillite et que nous étions renvoyées.
Paul et Clovis était parti se détendre trois jours le 1er novembre sur la côte dans leur bungalow.
Ils voulaient que je vienne avec eux.
Je sais mentir, mais trouver une histoire pour partir m’a posé trop de problèmes.
Gladys venait de courir et se nettoyait.
Comme à son habitude elle s’est mise nue alors que j’étais assise sur la chaise près du frigo.
Sa chatte était à hauteur de mes yeux.
Sa toison blonde était peu fournie et me montrait ses lèvres roses.
J’ai avancé ma main puis ma bouche et je l’ai léché.
Elle a avancé son vagin et ma langue l’a pénétré.
Le goût était salé et comme le sucré m’indispose, j’ai bien aimé.
Elle s’est penchée et nous nous sommes embrassées.
Bref nous avons eu un rapport lesbien, nouveauté pour moi.
Penser sucer ma collègue devenue mon amie aucun signe préalable me l’avait fait penser.
C’est ce jour que passant sa main sous ma jupe fendue revenue du pressing, sa main s’est aperçue que j'étais sans culotte.
Je lui ai avoué que je lui avais menti et que j’avais deux amants.
Nous venions de devenir si proches qu’à partir de ce moment j’avais une complice.
Dès leurs retours, mes hommes ont été d’accord que je l’embauche.
Il nous fallait du personnel qualifié et Gladys m’avait démontré qu’elle l’était.
Voilà, aujourd’hui je joue une partie serrée, nous inaugurons la maison d’édition.
Ce que mes amants m’avaient caché mais qui ne posait aucun problème qu’eux dessinant au 8ème, leur maison d’édition se trouvait au rez-de-chaussée.
J’avais mon bureau et dans la pièce voisine celui de Gladys.
Quand on me demande et que je suis plus haut, le portable est toujours à porter de ma main si l’un de ma famille me demande.
Pour l’inauguration, il nous a été impossible d'éviter d'inviter mari légal et enfants.
La première série de Zombilande était arrivée et mes enfants se sont empressés de la lire.
Ils voulaient voir si comme je leur avais dit, s’était ressemblant entre le personnage et moi.
Ouf, ils ont tous été étonnés et ce qui a été le plus drôle s’était de voir mon cocu de mari discuter avec mes amants et ma maîtresse.
À un moment j’ai eu envie de crier aux personnes présentes.
« Je vous aime tous. »
Mais je suis restée sobre.
Voilà ce qui s’est passé jusqu’à Noël où c’est moi qui ai quitté Clovis et Paul après une petite partie à trois.
Nous venions de rire du chiffre 3.
C’est vrai qu’il ponctue ma vie.
À tout seigneur tout honneur.
J’ai 3 enfants.
J’ai trois hommes dans ma vie.
Avec mes deux amants nous formons un trio.
Je suis née un 3 juillet.
Jade est née un 30 octobre.
La maison d’édition et donc de ma double vie est située au 323 de la rue près du parc Montsouris.
Chez mes beaux-parents, nous avons appris qu’ils avaient vendu et qu’il partait s’installer au Portugal.
Une histoire de taxe, nous devions pour les vacances prochaines trouver une autre solution car là-bas ils avaient deux pièces.
J’ai l’idée d'en parler à Clovis et Paul, comme de bien entendu, ils trouvent immédiatement une solution.
Le bungalow voisin du leurs qu’ils savent être en vente.
Le papy l’habitant étant passé de vie à trépas, sa veuve le vend et comme il est assez grand, il l’avait acheté dès sa première mise en vente il pouvait recevoir leurs quatre enfants.
Toute la famille est contente de retrouver la mer même si elle est plus calme que l’atlantique.
Le voyage se fait deux jours après le départ de mes amants.
Boris est moins libre que nous dans ses horaires et bien sûr ses vacances.
Nous avons visité le bungalow pendant un week-end dit en amoureux par nos enfants.
Train et taxi pour éviter les fatigues supplémentaires.
Les seuls frais que nous avons faits et supervisés par Zoé et Alain les voisins à gauche c’est la literie.
Chacun son lit pour les enfants.
Ce sont les vacances et les enfants commencent à avoir des copains.
J’ai déjà eu il y a de longs mois une conversation sur la contraception et les protections.
Les garçons c’est Boris qui s’en est chargé.
Jade était très concentrée au début pour finir par éclater de rire quand j’ai abordé la liberté sexuelle.
En quelques mots voilà ce qu’elle m’a dit me laissant sur le cul.
« Maman, je suis vierge et je tiens à le rester jusqu’à ce que soit le bon.
Maman, les garçons sont cons comme des balais.
Il y a mille façons de les satisfaire sans aller jusqu’à la pénétration.
J’ai quelques expériences avec eux et je peux te dire qu’ils bavent tellement qu’en moins de cinq minutes, il me reste à tous avaler. »
Eh oui, je pensais être une salope et à ce moment là je me suis rendu compte que ma fille avait plusieurs longueurs d’avance.
À son âge, j’étais loin de sucer la bite de celui qui devait devenir mon époux.
Heureusement que c’est Boris qui s’est chargé des garçons.
Je me vois mal entendre comment des jeunes filles les suçaient depuis qu'elle gravitait autour d’eux.
Il y a plusieurs jours que j’ai les doigts de pieds en éventail.
Pas tout à fait car même à Agde ils ont envie de moi.
Mes amants dessinateurs, je les vois le matin quand je vais les réveiller.
Ils dorment chacun dans leur chambre comme à Paris.
Une petite fellation par ci, une petite levrette par là et ils sont prêts à partir pour la journée en mer.
Officiellement interdit à mes enfants et mon mari de venir car ils me dessinent pour le tome II de Zombilande.
En tout bien tout honneur, je suis en maillot quand j’entre dans leur bungalow.
Zombilande au Cap-d’Agde.
L’album a été finalisé à Paris avant notre départ.
C’était une idée de la responsable des éditions Clovis et Paul afin de nous dégager du temps.
Boris, c’est le soir ou plutôt dans la nuit à notre retour du restaurant et de la boîte qui nous accueille que je me laisse baiser.
Lumière éteinte je me laisse faire et comme les copains de ma fille, il décharge rapidement et je peux dormir jusqu’au matin où.
Où la vie est un éternel recommencement.
J’aime toujours d'amour Boris mais les galipettes avec lui sont rapides et classiques alors pourquoi me fatiguer plus, surtout que j'ai sexuellement tout ce que je désire.
Les enfants, pardon mes jeunes adultes, dès qu’ils sont levés ils filent jusqu’à tard dans la nuit où ils font leur retour à part Julien mon aîné qui souvent découche.
Zoé l’a vue l'autre jour lorsqu’elle est allée au supermarché avec une jeune femme et son jeune fils.
Curieuse elle les a suivis, l’un des voisins de cette jeune femme lui dit que c’était une femme mariée dont le mari restait à travailler à Paris.
La seule chose que j’espère c’est qu’un jour il nous reviendra avec un œil au beurre noir ou qu’il me la présentera faisant déjà de moi une grand-mère par recomposition.
Nos hommes, Boris, Alain, Clovis et Paul viennent de partir pour la marina où ils ont loué un bateau au mois et où ils vont à la pêche au gros comme ils disent.
En ce moment je suis dans le salon de Zoé bien climatisée.
Zoé nous a préparé des cocktails avec les ingrédients achetés le jour où elle a vu mon fils.
Nous sommes nues dans les bras l’une l’autre.
Nous venons de croiser nos jambes pour asticoter nos clitos.
J’ai joui la première vite suivie par ma nouvelle petite maîtresse.
Un plus pour les vacances surtout que nos bouches et nos langues sont intimement mélangées.
Dire que tout ça a commencé le jour où parce qu’il faisait beau je suis allée manger ma salade sur un banc du Parc Montsouris.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...