COLLECTION VENGEANCE. Ça se mange froid (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Ça se mange froid (1/1)
Comme l’on dit, la vengeance est un plat qui se mange froid.
C’est comme ça qu’il est dit quand quelqu’un vous fait du mal et que vous avez décidé de vous venger.
Je suis un gentil garçon, mais ce que je possède, c’est à moi et j’interdis à quiconque d’essayer de le toucher encore moins de me le prendre.
Situation classique que j’ai vu des milliers de fois.
Un ami semblant vouloir vous aider sans en avoir l’air d’y toucher, vous aide à mettre le fruit dans le ver.
Voyez comme je suis troublé, bien sûr, c’est le ver dans le fruit.
• Salut Jacques, j’ignorais qu’Isabelle ton épouse était très près de son cousin Christophe.
• Tu m’assènes ces mots comme une affirmation, peux-tu m’en dire plus ?
• Connais-tu le « gogo bar » dans la banlieue, je passais devant l’autre après midi et j’ai cru les voir sortir ?
• Quel jour dis-tu ?
• Mercredi.
• Tu as dû te tromper, elle était chez sa mère, à faire un Scrabble à quatre avec des amies.
• J’ai dû me tromper, je rentrais d’un gros contrat pour notre boîte où la tension avait été telle que j’étais un peu fatigué.
Excuse d’avoir l’air d’insinuer que ta femme a une liaison avec son cousin.
Voilà comment les choses démarrent, comme je le dis pour le ver.
Vous vous refusez à croire que vous êtes cocu surtout avec Christophe, le fils de la sœur de la mère d’Isabelle.
Certes, ils ont le même âge alors que j’ai dix ans de plus qu’elle, mais j’étais persuadé que je lui faisais une vie de rêve.
Je suis chef d’entreprise, ma boîte marche du feu de Dieu et les dividendes de fin d’année nous permettent de vivre sans souci d’argent.
Une semaine à Megève en hôtel haut de gamme et trois semaines en août souvent à l’étranger, voilà ce que je lui fais subir.
Il y a pire.
Isabelle m’a subjugé par sa beauté lorsque je l’ai vue, j'étais persuadé que c’était la femme de toute une vie.
Blonde, 95 C pour la poitrine entièrement naturelle.
Au lit, pas une pointure, mais moi aussi je suis loin d’être Rambo au plumard.
Deux semaines, je tiens deux semaines avant de la suivre dans sa mini.
Deux semaines avant de voir cette voiture prendre un tout autre chemin que celui de ses parents.
Je commande mon portable par la voix.
• Allo, belle-maman.
• Jacques, que voulez-vous ?
• Pouvoir parler à Isabelle.
• Elle vient de m’appeler, elle aura du retard pour notre partie avec mes amis.
Tu parles, « Gogo bar », elle met son clignotant et entre dans le parking.
Deux cents mètres, un rond-point me permet de repasser devant le parking, pour aller m’arrêter un peu plus loin.
J’y vois une voiture jaune des années 50, une 4L, je crois.
Qui dans la région à la même voiture pourrie et d’une couleur si criante sinon Christophe le cousin de ma femme.
J’ai rapidement la preuve de mon cocufiage, ils sortent du bar et s’engouffrent dans l’hôtel voisin.
Le bordel et le baisodrome, la doublette pour adultère, le bar où tu la retrouves et la chambre où tu vas la baiser.
Et s’ils allaient simplement se frotter le bout du nez.
• Bonjour, monsieur le réceptionniste, il y a un couple qui vient de rentrer.
• Un couple, vous êtes sûr !
• Oui, dans quelle chambre sont-ils allés ?
• Pourquoi voulez-vous ce renseignement, à quel titre ?
• Police, le jeune homme est au milieu d’un trafic sur lequel j’enquête.
Ça sert d’avoir donné aux œuvres des orphelins de la police avec ma boîte.
J’ouvre mon portefeuille et je lui montre une carte barrée bleue, blanche, rouge.
C’est un sésame devant un mec un peu con sur les entournures ou qui refusent les emmerdes.
• Chambre 12, ils viennent tous les mercredis après-midi faire un cinq-à-sept, même s’il est 14 heures !
Il me confirme même que je dois être cocu de longue date.
• La chambre voisine est-elle libre ?
• La 14 oui, comme dans bons nombres d’hôtels ils ont oublié le 13, ça porte malheur.
Chambre 14, ce que j’espérais, existe, une porte sépare la 12 de la 14, j’ai l’impression d’être assis au pied de leur lit à tenir la chandelle.
« C’est si long de t’attendre chaque semaine, j’ai peur que ton mari découvre que nous nous aimons. »« Rien à craindre, ma mère fait barrage, j’ai réussi à lui faire croire que je prépare un cadeau pour les 40 ans de Jacques.
Prends-moi au lieu de culpabiliser, moi aussi le temps me dur. »« Quitte-le et viens vivre avec moi. »« Le fric pense au fric, comment ferions-nous si je quittais tout !
Je l’ai épousé pour son pognon et tu voudrais que je laisse tomber la vie rêvée qu’il me paye.
Viens baiser ta petite pute. »
« Petite pute », ces deux mots deviennent primordiaux pour moi.
Je quitte la chambre, je passe devant le réceptionniste, je lui fais un mouvement avec mon doigt lui demandant de se taire.
Elle finit par rentrer la chatte satisfaite à ce que j’ai entendu.
Je convoque mon ami m’ayant prévenu.
• Luc, puis-je te voir ?
• Bien sûr, Jacques, j’espère que tu veux garder notre amitié après ce que je t’ai dit concernant ta femme !
• Viens, c’est pour tout autre chose que je désire te voir.
• Dans une demi-heure.
Il arrive dans mon bureau, il a l’habitude nous travaillons sur de nombreuses affaires ensemble.
• Je vais être directe Luc, tu as eu une vie dissolue avant de rencontrer ta femme.
• Pourquoi me rappelles-tu le temps où je trainais dans des bouges infâmes à jouer au poker ?
• As-tu connu un gars qui faisait travailler des filles ?
• Un maquereau ?
• Voilà, un mac.
• Pourquoi une telle demande ?
• C’est personnel, il est inutile de m’en demander plus.
• Oui, je te conseille celui qui se fait appeler « Johnny belle gueule » !
• Où puis-je le rencontrer ?
• Je l’appelle, il a encore une ardoise avec moi et j’ai son numéro de portable.
Deux jours plus tard, je rencontre, un mec incroyable, je comprends pourquoi une femme peut tomber amoureuse d’un tel homme.
• 50 000 € !
• Qui voulez-vous que je tue pour ce prix-là.
• 50 000 € si vous me prouvez que vous êtes capable de séduire cette femme, là sur cette photo.
• Jolie poulette, préparez l’argent, je vous apporterai la preuve qu’elle a craqué pour le Johnny.
• C’est loin d’être ça, certes, vous la séduisez, mais vous la ferez travailler dans une de vos boîtes.
• C’est comme si s’était fait, j’ai séduit 52 femmes, toutes ont travaillé pour moi.
La plus jeune a commencé à tapiner le jour de ses 18 ans et la plus vieille, Lucia turbine encore pour moi malgré ses 52 ans, elle a ses adeptes.
Si vous voulez, je vous l’offre pour une nuit.
• Je veux trois choses quand tu lui présenteras son premier client, être celui qui la baisera.
Deuxièmement, je doublerais la mise, 50 000 € pour tirer un coup avec elle.
• Tu es fêlé, 100 000 € pour tirer ta femme.
• C’est mon affaire, inutile de chercher à comprendre.
Troisièmement, je veux que tu fasses aménager dans le lieu où elle tapirera une pièce avec une glace sans tain.
Je veux la voir se faire sauter par ses clients sans qu’elle le sache.
Enfin, quand elle aura la chatte massacrée par les nombreuses bites qui l’auront poinçonnée, je veux que tu la fasses passer à l’abattage jusqu’à la fin de sa vie.
• Pour ce dernier point, aucun problème, mes filles quand leur rendement baisse, je les remplace et je les expédie en Afrique où elles vont tâter de la verge noire.
• C’est parfait, voilà un portable prépayé et les 50 000 € premiers euros.
Téléphone-moi sur le numéro que j’ai enregistré l’endroit et l’heure à laquelle je serai son client.
Deux mois plus tard, mon téléphone sonne, j’ai l’adresse.
Ma femme a disparu depuis deux jours, j’attends pour prévenir la police.
Les 50 000 € sont déposés à l’entrée, j’entre dans une chambre ou une femme bien connue m’attend.
• Jacques, c’est toi qui étais derrière tout ça, je sais, j’ai été idiote de te tromper avec mon cousin.
• Ton cousin, ton Mac s’en est occupé hier, écarte tes cuisses, je vais te faire faire ta première passe.
• Je te jure, je te serai fidèle, jusqu’à mon dernier souffle.
• Écarte tes cuisses putain, depuis la semaine dernière, tu te refuses à moi prétextant une de tes éternelles migraines, ma bite est en feu.
C’est fait, ma femme est une pute, je l’ai baisée le premier comme je l’avais demandé à Jhonny belle gueule.
Pendant un mois, après mon travail, je rejoins le clandé où elle tapine.
Elle est devenue une vraie pro.
Hier, elle a subi sa première sodomie alors que j’étais derrière la vitre sans tain à me faire sucer la verge par Lucia tout en buvant un whisky.
J’arrête d’aller au bordel où elle travaille, savoir que sa déchéance sera totale suffit à ma vengeance.
Je vous quitte, j’ai rencontré une autre minette, ce soir je lui fais le grand jeu, resto et drap de soie.
La seule différence, c’est que je resterai célibataire aucune bague au doigt.
De toute façon, je suis toujours marié, j’ai signalé sa disparition à la police qui dit chercher où elle est passée.
L’Afrique, c’est loin.
Même si sa disparition m’a coûté 100 000 € plus les frais d’installation de la pièce, ça équivaut à un divorce sans avoir pris le risque qu’elle me fasse vendre mon entreprise.
Je sais certains ou certaines vont dire que je suis un salopard, mais comme l’on dit, je m’en bas la queue, ma vengeance s’est mangée froide.
C’est comme ça qu’il est dit quand quelqu’un vous fait du mal et que vous avez décidé de vous venger.
Je suis un gentil garçon, mais ce que je possède, c’est à moi et j’interdis à quiconque d’essayer de le toucher encore moins de me le prendre.
Situation classique que j’ai vu des milliers de fois.
Un ami semblant vouloir vous aider sans en avoir l’air d’y toucher, vous aide à mettre le fruit dans le ver.
Voyez comme je suis troublé, bien sûr, c’est le ver dans le fruit.
• Salut Jacques, j’ignorais qu’Isabelle ton épouse était très près de son cousin Christophe.
• Tu m’assènes ces mots comme une affirmation, peux-tu m’en dire plus ?
• Connais-tu le « gogo bar » dans la banlieue, je passais devant l’autre après midi et j’ai cru les voir sortir ?
• Quel jour dis-tu ?
• Mercredi.
• Tu as dû te tromper, elle était chez sa mère, à faire un Scrabble à quatre avec des amies.
• J’ai dû me tromper, je rentrais d’un gros contrat pour notre boîte où la tension avait été telle que j’étais un peu fatigué.
Excuse d’avoir l’air d’insinuer que ta femme a une liaison avec son cousin.
Voilà comment les choses démarrent, comme je le dis pour le ver.
Vous vous refusez à croire que vous êtes cocu surtout avec Christophe, le fils de la sœur de la mère d’Isabelle.
Certes, ils ont le même âge alors que j’ai dix ans de plus qu’elle, mais j’étais persuadé que je lui faisais une vie de rêve.
Je suis chef d’entreprise, ma boîte marche du feu de Dieu et les dividendes de fin d’année nous permettent de vivre sans souci d’argent.
Une semaine à Megève en hôtel haut de gamme et trois semaines en août souvent à l’étranger, voilà ce que je lui fais subir.
Il y a pire.
Isabelle m’a subjugé par sa beauté lorsque je l’ai vue, j'étais persuadé que c’était la femme de toute une vie.
Blonde, 95 C pour la poitrine entièrement naturelle.
Au lit, pas une pointure, mais moi aussi je suis loin d’être Rambo au plumard.
Deux semaines, je tiens deux semaines avant de la suivre dans sa mini.
Deux semaines avant de voir cette voiture prendre un tout autre chemin que celui de ses parents.
Je commande mon portable par la voix.
• Allo, belle-maman.
• Jacques, que voulez-vous ?
• Pouvoir parler à Isabelle.
• Elle vient de m’appeler, elle aura du retard pour notre partie avec mes amis.
Tu parles, « Gogo bar », elle met son clignotant et entre dans le parking.
Deux cents mètres, un rond-point me permet de repasser devant le parking, pour aller m’arrêter un peu plus loin.
J’y vois une voiture jaune des années 50, une 4L, je crois.
Qui dans la région à la même voiture pourrie et d’une couleur si criante sinon Christophe le cousin de ma femme.
J’ai rapidement la preuve de mon cocufiage, ils sortent du bar et s’engouffrent dans l’hôtel voisin.
Le bordel et le baisodrome, la doublette pour adultère, le bar où tu la retrouves et la chambre où tu vas la baiser.
Et s’ils allaient simplement se frotter le bout du nez.
• Bonjour, monsieur le réceptionniste, il y a un couple qui vient de rentrer.
• Un couple, vous êtes sûr !
• Oui, dans quelle chambre sont-ils allés ?
• Pourquoi voulez-vous ce renseignement, à quel titre ?
• Police, le jeune homme est au milieu d’un trafic sur lequel j’enquête.
Ça sert d’avoir donné aux œuvres des orphelins de la police avec ma boîte.
J’ouvre mon portefeuille et je lui montre une carte barrée bleue, blanche, rouge.
C’est un sésame devant un mec un peu con sur les entournures ou qui refusent les emmerdes.
• Chambre 12, ils viennent tous les mercredis après-midi faire un cinq-à-sept, même s’il est 14 heures !
Il me confirme même que je dois être cocu de longue date.
• La chambre voisine est-elle libre ?
• La 14 oui, comme dans bons nombres d’hôtels ils ont oublié le 13, ça porte malheur.
Chambre 14, ce que j’espérais, existe, une porte sépare la 12 de la 14, j’ai l’impression d’être assis au pied de leur lit à tenir la chandelle.
« C’est si long de t’attendre chaque semaine, j’ai peur que ton mari découvre que nous nous aimons. »« Rien à craindre, ma mère fait barrage, j’ai réussi à lui faire croire que je prépare un cadeau pour les 40 ans de Jacques.
Prends-moi au lieu de culpabiliser, moi aussi le temps me dur. »« Quitte-le et viens vivre avec moi. »« Le fric pense au fric, comment ferions-nous si je quittais tout !
Je l’ai épousé pour son pognon et tu voudrais que je laisse tomber la vie rêvée qu’il me paye.
Viens baiser ta petite pute. »
« Petite pute », ces deux mots deviennent primordiaux pour moi.
Je quitte la chambre, je passe devant le réceptionniste, je lui fais un mouvement avec mon doigt lui demandant de se taire.
Elle finit par rentrer la chatte satisfaite à ce que j’ai entendu.
Je convoque mon ami m’ayant prévenu.
• Luc, puis-je te voir ?
• Bien sûr, Jacques, j’espère que tu veux garder notre amitié après ce que je t’ai dit concernant ta femme !
• Viens, c’est pour tout autre chose que je désire te voir.
• Dans une demi-heure.
Il arrive dans mon bureau, il a l’habitude nous travaillons sur de nombreuses affaires ensemble.
• Je vais être directe Luc, tu as eu une vie dissolue avant de rencontrer ta femme.
• Pourquoi me rappelles-tu le temps où je trainais dans des bouges infâmes à jouer au poker ?
• As-tu connu un gars qui faisait travailler des filles ?
• Un maquereau ?
• Voilà, un mac.
• Pourquoi une telle demande ?
• C’est personnel, il est inutile de m’en demander plus.
• Oui, je te conseille celui qui se fait appeler « Johnny belle gueule » !
• Où puis-je le rencontrer ?
• Je l’appelle, il a encore une ardoise avec moi et j’ai son numéro de portable.
Deux jours plus tard, je rencontre, un mec incroyable, je comprends pourquoi une femme peut tomber amoureuse d’un tel homme.
• 50 000 € !
• Qui voulez-vous que je tue pour ce prix-là.
• 50 000 € si vous me prouvez que vous êtes capable de séduire cette femme, là sur cette photo.
• Jolie poulette, préparez l’argent, je vous apporterai la preuve qu’elle a craqué pour le Johnny.
• C’est loin d’être ça, certes, vous la séduisez, mais vous la ferez travailler dans une de vos boîtes.
• C’est comme si s’était fait, j’ai séduit 52 femmes, toutes ont travaillé pour moi.
La plus jeune a commencé à tapiner le jour de ses 18 ans et la plus vieille, Lucia turbine encore pour moi malgré ses 52 ans, elle a ses adeptes.
Si vous voulez, je vous l’offre pour une nuit.
• Je veux trois choses quand tu lui présenteras son premier client, être celui qui la baisera.
Deuxièmement, je doublerais la mise, 50 000 € pour tirer un coup avec elle.
• Tu es fêlé, 100 000 € pour tirer ta femme.
• C’est mon affaire, inutile de chercher à comprendre.
Troisièmement, je veux que tu fasses aménager dans le lieu où elle tapirera une pièce avec une glace sans tain.
Je veux la voir se faire sauter par ses clients sans qu’elle le sache.
Enfin, quand elle aura la chatte massacrée par les nombreuses bites qui l’auront poinçonnée, je veux que tu la fasses passer à l’abattage jusqu’à la fin de sa vie.
• Pour ce dernier point, aucun problème, mes filles quand leur rendement baisse, je les remplace et je les expédie en Afrique où elles vont tâter de la verge noire.
• C’est parfait, voilà un portable prépayé et les 50 000 € premiers euros.
Téléphone-moi sur le numéro que j’ai enregistré l’endroit et l’heure à laquelle je serai son client.
Deux mois plus tard, mon téléphone sonne, j’ai l’adresse.
Ma femme a disparu depuis deux jours, j’attends pour prévenir la police.
Les 50 000 € sont déposés à l’entrée, j’entre dans une chambre ou une femme bien connue m’attend.
• Jacques, c’est toi qui étais derrière tout ça, je sais, j’ai été idiote de te tromper avec mon cousin.
• Ton cousin, ton Mac s’en est occupé hier, écarte tes cuisses, je vais te faire faire ta première passe.
• Je te jure, je te serai fidèle, jusqu’à mon dernier souffle.
• Écarte tes cuisses putain, depuis la semaine dernière, tu te refuses à moi prétextant une de tes éternelles migraines, ma bite est en feu.
C’est fait, ma femme est une pute, je l’ai baisée le premier comme je l’avais demandé à Jhonny belle gueule.
Pendant un mois, après mon travail, je rejoins le clandé où elle tapine.
Elle est devenue une vraie pro.
Hier, elle a subi sa première sodomie alors que j’étais derrière la vitre sans tain à me faire sucer la verge par Lucia tout en buvant un whisky.
J’arrête d’aller au bordel où elle travaille, savoir que sa déchéance sera totale suffit à ma vengeance.
Je vous quitte, j’ai rencontré une autre minette, ce soir je lui fais le grand jeu, resto et drap de soie.
La seule différence, c’est que je resterai célibataire aucune bague au doigt.
De toute façon, je suis toujours marié, j’ai signalé sa disparition à la police qui dit chercher où elle est passée.
L’Afrique, c’est loin.
Même si sa disparition m’a coûté 100 000 € plus les frais d’installation de la pièce, ça équivaut à un divorce sans avoir pris le risque qu’elle me fasse vendre mon entreprise.
Je sais certains ou certaines vont dire que je suis un salopard, mais comme l’on dit, je m’en bas la queue, ma vengeance s’est mangée froide.
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