COLLECTION VENGEANCE. Casino Royal (1/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION VENGEANCE. Casino Royal (1/6)
Mon histoire va vous paraître étrange.
Le concours de circonstances qui s’est emboité en peu de temps m’a façonné sans que j’en décide les moindres lignes, surtout au début.
Je commence à vous expliquer comment cela a commencé.
• Aimez-vous cette ambiance mademoiselle ?
• J’ai toujours aimé les discothèques, depuis deux ans, j’y viens tous les samedis avec Juliette, mon amie.
C’est elle là-bas qui se trémousse, elle m’épuise, je me suis arrêtée pour me rafraîchir, un coca serait le bienvenu.
• Bien joué, vous ai-je invité, vous avez une méthode infaillible pour vous faire payer un verre.
Light ou cent pour cent sucre.
• J’ai l’air d’avoir du diabète, mon pancréas va très bien et j’ai une taille de guêpe.
• Barman, deux cocas light, s’il vous plait.
• Je vous ai dit…
• Que je souhaitais que dans trente ans, le jour de notre anniversaire de mariage, j’évite d’avoir un tonneau dans mon lit.
• Vous êtes direct, vous nous voyez déjà marier avec moi, pour cela il vous faudrait avoir l’assentiment de mes parents.
Vous verrez, si nous allons plus loin, ils sont d’un parfait classicisme , ils me voient marié, au minimum à un comte ou un marquis.
Un va-nu-pieds voulant m’épouser, ce serait impensable.
Pour eux, je suis leur capital pour leurs vieux jours.
• Ils sont prêts à te vendre comme un vulgaire poulet de grain pour assurer leur avenir, ai-je bien compris ?
• Je vois que tu me tutoies, j’en ferais de même.
Ils m’ont appelé Marie, maman est très croyante, je dirais même que c’est un cul béni.
Mon papa s’appelle Joseph et maman Marie-Madeleine, tu peux comprendre.
Vois-tu à qui tu as affaire.
Alors, tu as bien compris, je dois vivre avec ça et les turpitudes de papa.
• Demande-moi mon nom, impossible à trouver, c’est Juda, tu vois le monde est petit, mais s’appeler Juda dans ta famille ferait mauvais effet.
Mais je rigole, je suis d’origine italienne par mon papa et mon véritable nom est Pierre, et là où j’irais, je bâtirais mon église.
Tu vois, moi aussi j’ai fait mon catéchisme et c’est avec toi que je veux bâtir mon église.
Après trois verres, à la fin de la soirée, j’ai raccompagné cette jolie fille dans ma deudeuche.
Elle habitait non loin de la boîte dans le XVIe arrondissement.
Ma voiture poussive avec ses presque 300 000 kilomètres nous conduit à bon port et j’ai le droit de lui rouler un magnifique patin.
J’ai bien essayé de la peloter, mais ma main était systématiquement repoussée et que dire quand je lui ai proposé d’aller boire un dernier verre.
La seule chose qu’elle a consentie autre ce patin, c’est de prendre le stylo posé devant elle et de m’écrire son numéro de portable sur ma main avant de me quitter en virevoltant.
De retour chez moi, je me suis empressé de le noter sur plusieurs feuilles.
Cette main, je l’ai gardée sans la laver, car elle avait la chance d’être celle qui lui avait touché sa poitrine et ou avec sa jolie main elle avait écrit son numéro.
Le lendemain, j’ai composé ce numéro persuadé qu’elle m’avait pris pour un con allant même jusqu’à penser que l’immeuble de haut luxe où je l’avais déposé était à mille lieues de sa véritable demeure.
• C’est toi, Pierre, c’est Marie, comment vas-tu, je viens de finir mes cours.
• Ou es-tu ?
• Ou veux-tu que je sois à la fac de médecine de Paris, tu es libre et tu peux venir me chercher.
Par chance, la circulation étant fluide, vingt minutes plus tard, elle ouvrait la porte de ma poubelle roulante et nous étions dans les bras l’un de l’autre.
Je vais vous la faire rapide !
Quinze jours à bander comme un malade.
Quinze jours à avoir sa bouche sous la mienne et sa main, où les chiffres ont disparu, sur son sein.
Je peux vous le décrire, rond, ça c’est sûr, une orange plus, un demi-pamplemousse, après une deuxième petite demi-mappemonde et pour finir une fraise que je rêve de croquer.
J’espère que je l’ai bien décrit, tient, une image me vient à l’esprit, si vous avez vu ceux de Clara Morgane, au toucher, ce sont les mêmes.
Regardez sur Internet, ses photos il y en a à foison.
• Marie, peux-tu demander à tes parents s’ils acceptent de me recevoir.
Je vais demander à ton papa de m’accorde ta main.
J’ai déjà la bague de fiançailles, j’attendrais son accord.
C’est ainsi que j’ai garé ma voiture devant chez eux, Marie avait été correcte, le premier soir, c’était bien chez eux.
Elle a ouvert la porte, il semblerait que j’étais attendu, car ils sont sortis, sans me faire entrer.
Marie-Madeleine, que je voyais pour la première fois, très jolie femme, malgré sa quarantaine, m’a regardé, a regardé ma voiture et c’est mis à se foutre de ma gueule.
• Et c’est avec ce tas de boue que vous avez séduit ma fille, que je sois pendu si un jour vous lui passez la bague au doigt.
C’est tout ce qu’elle m’a dit en partant d’un grand rire, alors que Joseph me regardait avec condescendance.
Une chose m’a intrigué dans ce qui venait de se passer, j’avais connu ce genre de femme pétant plus haut que son cul.
Même chez elles, elles portent leurs bijoux afin de montrer aux domestiques qui sont ceux qui ont le fric.
Certaines phrases de ma petite Marie sont remontées du fond de ma mémoire.
« Pour eux, je suis leur capital pour leur avenir. »
« Je dois vivre avec ça et les turpides de papa. »
La partie importante c’est le mot « Turpitude ».
Que cachait-il, je devais en avoir le cœur net, j’ai fait ce qu’il faut avec l’aide d’un professionnel de mes amis et ce que je savais déjà ?
Deux mois, ma vengeance est prête.
Deux mois à voir Marie en cachette, la jeune fille semblant amoureuse de moi.
Deux mois à me pignoler seul dans ma chambre chaque fois que je rentrais d’un de nos rendez-vous.
Si je le veux dans les derniers jours où j’ai tout préparé pour me venger de cet homme, mais surtout de cette femme, j’aurais pu la dépuceler, elle bavait d’envie, voulant même que je lui caresse la chatte.
Ce soir, restaurant avec ma petite, un simple petit bouchon.
Au dessert, je m’agenouille et je lui présente la bague que j’avais apportée pour lui offrir si son père avait daigné me recevoir et dire oui à notre mariage.
• Marie, voici la bague de mon cœur, veux-tu m’épouser ?
• Tu sais que c’est impossible.
J’ai juré à mes parents d’épouser le Marquis de la Huchette le jour de Noël, c’est la tradition dans nos familles de se marier ce jour-là.
• Prends-la, faisons semblant d’être fiancés, tu sais, cette bague elle me vient de ma mère.
La mère supérieure de l’orphelinat où l'on m'a placé à ma naissance me l’a donné le jour de mes dix-huit ans en même temps que l’administration me foutait dehors.
Tu me la rendras la veille de ton mariage.
• Si c’est un jeu, je veux bien faire comme-ci s’était vrai et ça va faire marner papa.
J’offre une bouteille de champagne, les choses semblent se mettre en place, encore un détail.
• Marie, que mangent tes parents au dîner.
• Sous couvert de garder leur ligne, une soupe de légumes.
• Demain, avant qu’ils se mettent à table, verse la moitié de cette petite fiole dans chaque assiette.
Ils vont s’endormir, c’est sans aucun risque soit sans crainte.
Une fois qu’ils seront endormis, tu descendras m’ouvrir la porte donnant accès à votre cour que je gare ma voiture.
J’ai toujours peur qu’on me la vole.
Si tu fais ça, tous tu verras, je te promets une vie digne de Cendrillon ou la belle au bois dormant.
• Tu me jures que je peux avoir confiance en toi !
• La bague que je t’ai offerte, chaque fois que tu doutes de ma bonne foi, regarde là.
Le lendemain elle le fait, la double porte s’ouvre, j’entre ma voiture.
• Aide-moi à monter ces divers objets chez tes parents.
Elle m’aide, je mets tous en place, le jeu peut commencer, ce jeu, ce sera ma vengeance.
• Réveillez-vous beau-papa et belle maman, assez dormi, j’ai besoin de vous pour participer à mon Casino Royal.
• Monsieur, pourquoi sommes-nous nus devant vous tous les trois attachés par des menottes à nos fauteuils, vous savez qui je suis ?
• Bien sûr, Joseph, tu permets que je t’appelle Joseph.
Dans quelques minutes, je te le dis, notre intimité sera telle, que tu me supplieras de t’appeler par ton prénom, pas vrai Marie-Madeleine.
À partir de maintenant le jeu est commencé, Joseph, joué au casino hors de ton travail de haut fonctionnaire, tu connais !
Il me regarde incrédule, son secret est bien gardé grâce à certains de ses amis lui ayant permis de contourner toutes les lois sur les jeux dans notre pays.
• Nous allons jouer au Black-Jack, je sais que tu connais, deux cartes chacun, je suis la banque, tu es le joueur.
Une chose que tu dois savoir, la banque est toujours gagnante, avec vous vue le « Diner de con ».
À ton regard Joseph, je parle une langue inconnue de toi, ce film est trop populaire pour que tu te sois abaissé à aller le voir.
Ta connaissance des films se cantonne à la palme d’or de Cannes ou au Lion d’or à la Mostra de Venise.
• Moi, je l’ai vu avec Marie sur son ordinateur, on a bien ri.
• Belle-Maman, tu fermes ta gueule, plus tard, tu vas me servir, en attendant, ta gueule.
• Comment parles-tu à maman, détache-moi, j’ai fini de jouer.
• Regardez-moi cette petite dinde, elle croit qu’elle a le droit de me parler en me donnant des ordres.
Je t’ai berné pour arriver à vous avoir tous les trois attachés nus devant moi derrière ce sabot de croupier de Black-Jack.
Tu es l’une des deux participantes principales à notre Casino Royal.
Je parlais du diner de con, Lhermitte planque ses tableaux à Prévost, mais ils restent des traces sur les murs dus au soleil.
Je sors de mes affaires un tableau.
• Ce Picasso, vu sa taille et la trace sur ce mur, c’est là qu’il était accroché, dit moi Joseph !
Vous avez voulu me prendre pour monsieur Pignon, vous êtes mal tombé.
Je me lève et je vais raccrocher ce Picasso, là où il était préalablement.
• Ce tableau, Joseph je te l’offre en gage de ma bonne foi, pour lui aucun jeu, mais à partir de maintenant tous ce que je vais t’apprendre sera donnant donnant et je te rappelle que la banque est toujours gagnante…
Je vais arrêter là le Ier chapitre, il faut bien que je garde le suspense jusqu’à demain parution du chapitre II de « Casino Royal ».
Je sais, dans ce texte, le sexe est très peu présent, mais il fallait bien que je plante le décor.
J’aurais pu agrémenter mon texte d’un dépucelage de Marie, prise dans ma titine et de parties torrides de baise dans mon logement, mais ça aurait été trahir la réalité.
Au moment où je vais fermer mon ordinateur, Marie est bien vierge.
Je vous promets, ça va devenir hard…
Le concours de circonstances qui s’est emboité en peu de temps m’a façonné sans que j’en décide les moindres lignes, surtout au début.
Je commence à vous expliquer comment cela a commencé.
• Aimez-vous cette ambiance mademoiselle ?
• J’ai toujours aimé les discothèques, depuis deux ans, j’y viens tous les samedis avec Juliette, mon amie.
C’est elle là-bas qui se trémousse, elle m’épuise, je me suis arrêtée pour me rafraîchir, un coca serait le bienvenu.
• Bien joué, vous ai-je invité, vous avez une méthode infaillible pour vous faire payer un verre.
Light ou cent pour cent sucre.
• J’ai l’air d’avoir du diabète, mon pancréas va très bien et j’ai une taille de guêpe.
• Barman, deux cocas light, s’il vous plait.
• Je vous ai dit…
• Que je souhaitais que dans trente ans, le jour de notre anniversaire de mariage, j’évite d’avoir un tonneau dans mon lit.
• Vous êtes direct, vous nous voyez déjà marier avec moi, pour cela il vous faudrait avoir l’assentiment de mes parents.
Vous verrez, si nous allons plus loin, ils sont d’un parfait classicisme , ils me voient marié, au minimum à un comte ou un marquis.
Un va-nu-pieds voulant m’épouser, ce serait impensable.
Pour eux, je suis leur capital pour leurs vieux jours.
• Ils sont prêts à te vendre comme un vulgaire poulet de grain pour assurer leur avenir, ai-je bien compris ?
• Je vois que tu me tutoies, j’en ferais de même.
Ils m’ont appelé Marie, maman est très croyante, je dirais même que c’est un cul béni.
Mon papa s’appelle Joseph et maman Marie-Madeleine, tu peux comprendre.
Vois-tu à qui tu as affaire.
Alors, tu as bien compris, je dois vivre avec ça et les turpitudes de papa.
• Demande-moi mon nom, impossible à trouver, c’est Juda, tu vois le monde est petit, mais s’appeler Juda dans ta famille ferait mauvais effet.
Mais je rigole, je suis d’origine italienne par mon papa et mon véritable nom est Pierre, et là où j’irais, je bâtirais mon église.
Tu vois, moi aussi j’ai fait mon catéchisme et c’est avec toi que je veux bâtir mon église.
Après trois verres, à la fin de la soirée, j’ai raccompagné cette jolie fille dans ma deudeuche.
Elle habitait non loin de la boîte dans le XVIe arrondissement.
Ma voiture poussive avec ses presque 300 000 kilomètres nous conduit à bon port et j’ai le droit de lui rouler un magnifique patin.
J’ai bien essayé de la peloter, mais ma main était systématiquement repoussée et que dire quand je lui ai proposé d’aller boire un dernier verre.
La seule chose qu’elle a consentie autre ce patin, c’est de prendre le stylo posé devant elle et de m’écrire son numéro de portable sur ma main avant de me quitter en virevoltant.
De retour chez moi, je me suis empressé de le noter sur plusieurs feuilles.
Cette main, je l’ai gardée sans la laver, car elle avait la chance d’être celle qui lui avait touché sa poitrine et ou avec sa jolie main elle avait écrit son numéro.
Le lendemain, j’ai composé ce numéro persuadé qu’elle m’avait pris pour un con allant même jusqu’à penser que l’immeuble de haut luxe où je l’avais déposé était à mille lieues de sa véritable demeure.
• C’est toi, Pierre, c’est Marie, comment vas-tu, je viens de finir mes cours.
• Ou es-tu ?
• Ou veux-tu que je sois à la fac de médecine de Paris, tu es libre et tu peux venir me chercher.
Par chance, la circulation étant fluide, vingt minutes plus tard, elle ouvrait la porte de ma poubelle roulante et nous étions dans les bras l’un de l’autre.
Je vais vous la faire rapide !
Quinze jours à bander comme un malade.
Quinze jours à avoir sa bouche sous la mienne et sa main, où les chiffres ont disparu, sur son sein.
Je peux vous le décrire, rond, ça c’est sûr, une orange plus, un demi-pamplemousse, après une deuxième petite demi-mappemonde et pour finir une fraise que je rêve de croquer.
J’espère que je l’ai bien décrit, tient, une image me vient à l’esprit, si vous avez vu ceux de Clara Morgane, au toucher, ce sont les mêmes.
Regardez sur Internet, ses photos il y en a à foison.
• Marie, peux-tu demander à tes parents s’ils acceptent de me recevoir.
Je vais demander à ton papa de m’accorde ta main.
J’ai déjà la bague de fiançailles, j’attendrais son accord.
C’est ainsi que j’ai garé ma voiture devant chez eux, Marie avait été correcte, le premier soir, c’était bien chez eux.
Elle a ouvert la porte, il semblerait que j’étais attendu, car ils sont sortis, sans me faire entrer.
Marie-Madeleine, que je voyais pour la première fois, très jolie femme, malgré sa quarantaine, m’a regardé, a regardé ma voiture et c’est mis à se foutre de ma gueule.
• Et c’est avec ce tas de boue que vous avez séduit ma fille, que je sois pendu si un jour vous lui passez la bague au doigt.
C’est tout ce qu’elle m’a dit en partant d’un grand rire, alors que Joseph me regardait avec condescendance.
Une chose m’a intrigué dans ce qui venait de se passer, j’avais connu ce genre de femme pétant plus haut que son cul.
Même chez elles, elles portent leurs bijoux afin de montrer aux domestiques qui sont ceux qui ont le fric.
Certaines phrases de ma petite Marie sont remontées du fond de ma mémoire.
« Pour eux, je suis leur capital pour leur avenir. »
« Je dois vivre avec ça et les turpides de papa. »
La partie importante c’est le mot « Turpitude ».
Que cachait-il, je devais en avoir le cœur net, j’ai fait ce qu’il faut avec l’aide d’un professionnel de mes amis et ce que je savais déjà ?
Deux mois, ma vengeance est prête.
Deux mois à voir Marie en cachette, la jeune fille semblant amoureuse de moi.
Deux mois à me pignoler seul dans ma chambre chaque fois que je rentrais d’un de nos rendez-vous.
Si je le veux dans les derniers jours où j’ai tout préparé pour me venger de cet homme, mais surtout de cette femme, j’aurais pu la dépuceler, elle bavait d’envie, voulant même que je lui caresse la chatte.
Ce soir, restaurant avec ma petite, un simple petit bouchon.
Au dessert, je m’agenouille et je lui présente la bague que j’avais apportée pour lui offrir si son père avait daigné me recevoir et dire oui à notre mariage.
• Marie, voici la bague de mon cœur, veux-tu m’épouser ?
• Tu sais que c’est impossible.
J’ai juré à mes parents d’épouser le Marquis de la Huchette le jour de Noël, c’est la tradition dans nos familles de se marier ce jour-là.
• Prends-la, faisons semblant d’être fiancés, tu sais, cette bague elle me vient de ma mère.
La mère supérieure de l’orphelinat où l'on m'a placé à ma naissance me l’a donné le jour de mes dix-huit ans en même temps que l’administration me foutait dehors.
Tu me la rendras la veille de ton mariage.
• Si c’est un jeu, je veux bien faire comme-ci s’était vrai et ça va faire marner papa.
J’offre une bouteille de champagne, les choses semblent se mettre en place, encore un détail.
• Marie, que mangent tes parents au dîner.
• Sous couvert de garder leur ligne, une soupe de légumes.
• Demain, avant qu’ils se mettent à table, verse la moitié de cette petite fiole dans chaque assiette.
Ils vont s’endormir, c’est sans aucun risque soit sans crainte.
Une fois qu’ils seront endormis, tu descendras m’ouvrir la porte donnant accès à votre cour que je gare ma voiture.
J’ai toujours peur qu’on me la vole.
Si tu fais ça, tous tu verras, je te promets une vie digne de Cendrillon ou la belle au bois dormant.
• Tu me jures que je peux avoir confiance en toi !
• La bague que je t’ai offerte, chaque fois que tu doutes de ma bonne foi, regarde là.
Le lendemain elle le fait, la double porte s’ouvre, j’entre ma voiture.
• Aide-moi à monter ces divers objets chez tes parents.
Elle m’aide, je mets tous en place, le jeu peut commencer, ce jeu, ce sera ma vengeance.
• Réveillez-vous beau-papa et belle maman, assez dormi, j’ai besoin de vous pour participer à mon Casino Royal.
• Monsieur, pourquoi sommes-nous nus devant vous tous les trois attachés par des menottes à nos fauteuils, vous savez qui je suis ?
• Bien sûr, Joseph, tu permets que je t’appelle Joseph.
Dans quelques minutes, je te le dis, notre intimité sera telle, que tu me supplieras de t’appeler par ton prénom, pas vrai Marie-Madeleine.
À partir de maintenant le jeu est commencé, Joseph, joué au casino hors de ton travail de haut fonctionnaire, tu connais !
Il me regarde incrédule, son secret est bien gardé grâce à certains de ses amis lui ayant permis de contourner toutes les lois sur les jeux dans notre pays.
• Nous allons jouer au Black-Jack, je sais que tu connais, deux cartes chacun, je suis la banque, tu es le joueur.
Une chose que tu dois savoir, la banque est toujours gagnante, avec vous vue le « Diner de con ».
À ton regard Joseph, je parle une langue inconnue de toi, ce film est trop populaire pour que tu te sois abaissé à aller le voir.
Ta connaissance des films se cantonne à la palme d’or de Cannes ou au Lion d’or à la Mostra de Venise.
• Moi, je l’ai vu avec Marie sur son ordinateur, on a bien ri.
• Belle-Maman, tu fermes ta gueule, plus tard, tu vas me servir, en attendant, ta gueule.
• Comment parles-tu à maman, détache-moi, j’ai fini de jouer.
• Regardez-moi cette petite dinde, elle croit qu’elle a le droit de me parler en me donnant des ordres.
Je t’ai berné pour arriver à vous avoir tous les trois attachés nus devant moi derrière ce sabot de croupier de Black-Jack.
Tu es l’une des deux participantes principales à notre Casino Royal.
Je parlais du diner de con, Lhermitte planque ses tableaux à Prévost, mais ils restent des traces sur les murs dus au soleil.
Je sors de mes affaires un tableau.
• Ce Picasso, vu sa taille et la trace sur ce mur, c’est là qu’il était accroché, dit moi Joseph !
Vous avez voulu me prendre pour monsieur Pignon, vous êtes mal tombé.
Je me lève et je vais raccrocher ce Picasso, là où il était préalablement.
• Ce tableau, Joseph je te l’offre en gage de ma bonne foi, pour lui aucun jeu, mais à partir de maintenant tous ce que je vais t’apprendre sera donnant donnant et je te rappelle que la banque est toujours gagnante…
Je vais arrêter là le Ier chapitre, il faut bien que je garde le suspense jusqu’à demain parution du chapitre II de « Casino Royal ».
Je sais, dans ce texte, le sexe est très peu présent, mais il fallait bien que je plante le décor.
J’aurais pu agrémenter mon texte d’un dépucelage de Marie, prise dans ma titine et de parties torrides de baise dans mon logement, mais ça aurait été trahir la réalité.
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