COLLECTION VENGEANCE. Casino Royal (3/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION VENGEANCE. Casino Royal (3/6)
C’est une histoire étrange qui m’est arrivée, je viens de vous en donner la trame dans le chapitre I.
Dans le chapitre II, je vous ai fait découvrir, la situation que subit Marie, la jeune fille dont j’ai eu un coup de foudre dans une boîte de nuit parisienne du moins, c’est ce que je lui ai fait croire.
Joseph, son père a dilapidé l’argent et les biens de sa famille, en étant un joueur invétéré.
Je me suis empressé de tout récupérer,
Marie-Madeleine, son épouse, cul béni et femme hautaine, lors de sa première attitude ayant entraîné mon envie de me venger surtout que j’ai la chance d’être riche à millions après avoir gagné le gros lot d’euro million.
La première partie de mon Casino Royal a bien fonctionné, le corps de Marie-Madeleine la trahit quand un frisson la traverse au moment où mon sperme a coulé en elle.
Elle s’écroule sur le tapis où je l’ai biquée, son regard est voilé comme celui d’une femme ayant pris son pied.
• Tu as vu Marie, ce que vient de faire ta mère, il te sera interdit de le faire quand je te prendrais, j’ignore si tu as vu quand elle a joui.
Moi j’ai bien senti au bout de ma queue quand un frisson l’a dévastée.
Elle aurait dû faire ressentir le plaisir qui la traversait.
Malgré la situation, son éducation de bigote a pris le dessus et elle a réussi à garder en elle le son qui aurait dû sortir de sa bouche.
Quand on baise, on baise, quand on jouit on le fait savoir au monde entier.
Toute la famille me regarde d’une autre façon, croyaient-ils que je bleffais, c’est mal me connaître.
• Le casino vient de fermer ses portes.
Il y a quelques jours, j’ai visité votre propriété, pardon ma propriété en votre absence, j’ai des dons pour niquer, mais aussi pour les serrures.
J’ai découvert que vous faisiez chambre à part, mes amis.
Marie, j’ai beaucoup aimé ta chambre de jeunes pucelles.
Tu vas rire, j’ai lu ton journal intime, dommage que tu sois tombée dans cette famille de dégénérés, tu vas payer comme eux, mais tu peux rester à dormir dedans.
Joseph, tu t’es réservé la plus belle chambre, à partir de ce soir, j’emménage à ta place.
Marie-Madeleine, tu quittes ta chambre à cet étage toi aussi, il y a deux chambres de bonne sous les toits, chacun de vous en prend une, monte préparer les lits.
À oui, demain matin, je déjeune à 7 heures, tu auras été m’acheter des chocolatines, je vais te laisser quelques billets et tu me prépareras un café bien chaud et bien noir.
J’aurais plaisir à ce que tu te promènes nue dans ton quartier, mais je veux éviter l’émeute, soit toi-même.
Une dernière chose remet tes bijoux dans son écrin, je te les redonnerais lors de l’ouverture de notre casino royal.
Je les vois partir, la queue basse pour Joseph.
Mais je sais que Marie-Madeleine a été satisfaite sexuellement et que pour ce soir, après ce que j’ai fait découvrir à sa femme et sa fille, il ait envie de tirer un coup.
• Bonjour Pierre, je t’apporte votre petit déjeuner, je voulais te remercier de nous aider.
Au rythme ou mon mari dépensait en jouant, nous étions à deux doigts de prostituer notre fille en la mariant avec Eustache, Marquis de la Huchette.
• Ferme ta gueule, je t’ai dit que j’ai fait faire une enquête, Eustache a eu un accident de poney à cinq ans, il est émasculé et ça tu le sais.
Tu as baisé avec Timoté le père d’Eustache et c’est lui qui devait dépuceler et engrosser ta fille pour que ce pauvre Eustache ait une descendance.
Dis-moi que je me trompe ?
Impossible qu’elle dise que j’ai tort, j’ai le meilleur enquêteur de la place de Paris et j’en sais plus qu’elle sur leurs turpitudes.
Je prends mon plateau, je sais que c’est elle qui fait à manger, car la bonne est partie après trois mois d’absence de son traitement.
• Ou vas-tu, attend que j’ai fini mon petit déjeuner, après tu me suceras, j’aime me vider les couilles le matin.
On va ce dire que je suis un vrai salopard, il est vrai que toute ma jeunesse je voyais des gens friqués venir chercher des copains ou des copines, car madame avait des problèmes de procréation.
Certaines d’entre elles venaient chercher des enfants, surtout bébés, pour éviter la déformation de leur corps suite à une grossesse.
Comment je sais ça, j’ai eu la chance de gagner à l’euro million, mais aussi d’entendre des conversations au sein de l’institution, par la mère supérieure ?
Cette femme était avec son adjoint, nous l’appelions « Thénardier », toujours prêt à sévir contre nous.
C’est lui qui nous enfermait dans le cagibi qui leur servait de prison lorsqu’on était puni.
Ça faisait deux jours que j’étais là, car j’avais volé un quignon de pain, leur repas étant nettement insuffisant pour moi.
Elle avait mis le haut-parleur de son téléphone de bureau.
J’ai bien compris que la femme appelante voulait une fille blonde aux yeux bleus comme elle.
Elle leur promettait une belle somme qui je le pense était loin de rejoindre les caisses de l’administration.
La directrice avec son adjoint se construisait une retraite dorée sur notre dos, car cet argent aurait pu améliorer notre ordinaire.
Je passe la fellation que me fais Marie-Madeleine et la journée lorsque je convoque la famille pour ouvrir la deuxième soirée de mon Casino Royal.
• Ce soir, Joseph, vous jouez gros, je mets au pot, ces cinq reconnaissances de dette.
500 000 €, tu as compris le principe, qui joues-tu ?
• Ma femme, tu pourras l’enculer !
• Salopard, au début de notre mariage, tu voulais m’enfiler par l’anus et je t’ai toujours refusé ce plaisir, si tu perds, je serais très heureuse de perdre ma rondelle avec lui.
C’est vrai qu’hier, j’ai joui comme la salope que tu as faite de moi.
Combien de fois ai-je dû aller vendre ma chatte pour que tu puisses vivre de tes passions malsaines.
Tu as fait de moi une pute, mais j’ai toujours préservé mon anus.
• Vos histoires de famille, gardez-les pour vous, Joseph, dix-neuf, moi, vingt, une carte ?
• Oui, je joue mon vatout !
• Un trois, vingt-deux, pas de bol, Marie-Madeleine, va dans ma chambre, je vais t’enculer.
J’ai sauté ma belle-mère devant sa fille, mais je vais éviter de rééditer les choses en enculant sa mère devant elle.
C’est une tout autre femme que je rejoins après avoir fermé le Casino.
• Pierre, je t’en supplie, épargne-moi si tu savais tout ce que j’ai été obligé de faire avant et après la naissance de Marie, j’ai accouché dans de terribles douleurs.
• Arrête de te foutre de ma gueule, regarde cette photo, qui se fait sodomiser ?
• Quand as-tu pris cette photo, cette femme, c’est un sosie, comment peux-tu croire que je me fais enculer par le jeune prêtre de notre paroisse ?
• Tu te fiches vraiment de ma gueule, reconnais-tu où cela se passe ?
• Je vais porter plainte pour intrusion dans une demeure privée.
• Eh ! nous en reviendrons au point de départ, la presse saura qui vous êtes toi et ton mari et le scandale retombera sur ce jeune prêtre que tu as séduite.
Regarde celle-là !
• Mais elle est monstrueuse, c’est Joseph qui lui aussi se fait enculer par Rodolphe, notre jeune prêtre.
• Eh ! oui, ton mari est homo et tu le sais trop bien, tu vois à quoi ça mène de se marier afin d’échapper à sa misérable condition.
Aller donne-moi ton cul, je sais que je vais y entrer comme dans du beurre.
J’avais raison, du beurre, pénétration longiligne sans la moindre pose, son anus se dilatant sans problème aux poussées de ma verge.
Je lui éclate le fion et je prends un pied de première.
• Marie-Madeleine, veux-tu récupérer ces photos.
• Tu ferais ça pour moi et que ce pauvre Sylvain de ta fureur que j’ignore pourquoi elle s’est portée sur nous !
• Vous le saurez assez tôt.
• Je veux voir les démentis du mariage de ta fille le plus rapidement possible et lorsque nous jouerons, demain soir, ce soit ta fille que son père désigne.
Je sens que chaque fois que je vais lui demander de désigner l’une de vous, ce sera toi qui vas t’y coller.
Je t’aime bien, pardon, j’aime ton cul, mais je voudrais bien m’occuper de la chatte de ta fille.
Le lendemain, après que je sois allé faire quelques emplette, Marie étant à sa fac.
J’ai mangé à la dame de Pique, encore une histoire de cartes, non, d’une grande dame de la cuisine française.
Le fric, ça sert à ça, je prévois de manger dans le maximum de chefs étoilées.
• Les jeux sont ouverts, le sabot est près, ce soir nous jouons pour un lot, une traction avant de l’après-guerre ayant conduit des FFI et un parchemin datant du temps du Christ.
Joseph, qui je vais honorer ce soir si tu perds.
• Salopard, tu lis mon jeu, ma fille bien sûr.
• Ta fille, on en reparlera.
Je distribue, qu’ai-je dit, la banque gagne toujours, mon beau-papa le sait bien, il a joué jusqu’à sa chemise.
• Pierre, à quoi joues-tu ?
Tient voilà ta bague, j’attendais d’être seule avec toi pour te la foutre à la gueule.
Tout doux belle enfant, je vais tout t’expliqué et je vais te faire tomber le cul de ta chaise, de petite bourgeoise des beaux quartiers parisiens...
Quel secret Pierre possède-t-il encore, ses parents baisant avec le jeune prêtre, c’était déjà une sacrée découverte, vous le saurez dans le chapitre IV de « Casino Royal ».
Dans le chapitre II, je vous ai fait découvrir, la situation que subit Marie, la jeune fille dont j’ai eu un coup de foudre dans une boîte de nuit parisienne du moins, c’est ce que je lui ai fait croire.
Joseph, son père a dilapidé l’argent et les biens de sa famille, en étant un joueur invétéré.
Je me suis empressé de tout récupérer,
Marie-Madeleine, son épouse, cul béni et femme hautaine, lors de sa première attitude ayant entraîné mon envie de me venger surtout que j’ai la chance d’être riche à millions après avoir gagné le gros lot d’euro million.
La première partie de mon Casino Royal a bien fonctionné, le corps de Marie-Madeleine la trahit quand un frisson la traverse au moment où mon sperme a coulé en elle.
Elle s’écroule sur le tapis où je l’ai biquée, son regard est voilé comme celui d’une femme ayant pris son pied.
• Tu as vu Marie, ce que vient de faire ta mère, il te sera interdit de le faire quand je te prendrais, j’ignore si tu as vu quand elle a joui.
Moi j’ai bien senti au bout de ma queue quand un frisson l’a dévastée.
Elle aurait dû faire ressentir le plaisir qui la traversait.
Malgré la situation, son éducation de bigote a pris le dessus et elle a réussi à garder en elle le son qui aurait dû sortir de sa bouche.
Quand on baise, on baise, quand on jouit on le fait savoir au monde entier.
Toute la famille me regarde d’une autre façon, croyaient-ils que je bleffais, c’est mal me connaître.
• Le casino vient de fermer ses portes.
Il y a quelques jours, j’ai visité votre propriété, pardon ma propriété en votre absence, j’ai des dons pour niquer, mais aussi pour les serrures.
J’ai découvert que vous faisiez chambre à part, mes amis.
Marie, j’ai beaucoup aimé ta chambre de jeunes pucelles.
Tu vas rire, j’ai lu ton journal intime, dommage que tu sois tombée dans cette famille de dégénérés, tu vas payer comme eux, mais tu peux rester à dormir dedans.
Joseph, tu t’es réservé la plus belle chambre, à partir de ce soir, j’emménage à ta place.
Marie-Madeleine, tu quittes ta chambre à cet étage toi aussi, il y a deux chambres de bonne sous les toits, chacun de vous en prend une, monte préparer les lits.
À oui, demain matin, je déjeune à 7 heures, tu auras été m’acheter des chocolatines, je vais te laisser quelques billets et tu me prépareras un café bien chaud et bien noir.
J’aurais plaisir à ce que tu te promènes nue dans ton quartier, mais je veux éviter l’émeute, soit toi-même.
Une dernière chose remet tes bijoux dans son écrin, je te les redonnerais lors de l’ouverture de notre casino royal.
Je les vois partir, la queue basse pour Joseph.
Mais je sais que Marie-Madeleine a été satisfaite sexuellement et que pour ce soir, après ce que j’ai fait découvrir à sa femme et sa fille, il ait envie de tirer un coup.
• Bonjour Pierre, je t’apporte votre petit déjeuner, je voulais te remercier de nous aider.
Au rythme ou mon mari dépensait en jouant, nous étions à deux doigts de prostituer notre fille en la mariant avec Eustache, Marquis de la Huchette.
• Ferme ta gueule, je t’ai dit que j’ai fait faire une enquête, Eustache a eu un accident de poney à cinq ans, il est émasculé et ça tu le sais.
Tu as baisé avec Timoté le père d’Eustache et c’est lui qui devait dépuceler et engrosser ta fille pour que ce pauvre Eustache ait une descendance.
Dis-moi que je me trompe ?
Impossible qu’elle dise que j’ai tort, j’ai le meilleur enquêteur de la place de Paris et j’en sais plus qu’elle sur leurs turpitudes.
Je prends mon plateau, je sais que c’est elle qui fait à manger, car la bonne est partie après trois mois d’absence de son traitement.
• Ou vas-tu, attend que j’ai fini mon petit déjeuner, après tu me suceras, j’aime me vider les couilles le matin.
On va ce dire que je suis un vrai salopard, il est vrai que toute ma jeunesse je voyais des gens friqués venir chercher des copains ou des copines, car madame avait des problèmes de procréation.
Certaines d’entre elles venaient chercher des enfants, surtout bébés, pour éviter la déformation de leur corps suite à une grossesse.
Comment je sais ça, j’ai eu la chance de gagner à l’euro million, mais aussi d’entendre des conversations au sein de l’institution, par la mère supérieure ?
Cette femme était avec son adjoint, nous l’appelions « Thénardier », toujours prêt à sévir contre nous.
C’est lui qui nous enfermait dans le cagibi qui leur servait de prison lorsqu’on était puni.
Ça faisait deux jours que j’étais là, car j’avais volé un quignon de pain, leur repas étant nettement insuffisant pour moi.
Elle avait mis le haut-parleur de son téléphone de bureau.
J’ai bien compris que la femme appelante voulait une fille blonde aux yeux bleus comme elle.
Elle leur promettait une belle somme qui je le pense était loin de rejoindre les caisses de l’administration.
La directrice avec son adjoint se construisait une retraite dorée sur notre dos, car cet argent aurait pu améliorer notre ordinaire.
Je passe la fellation que me fais Marie-Madeleine et la journée lorsque je convoque la famille pour ouvrir la deuxième soirée de mon Casino Royal.
• Ce soir, Joseph, vous jouez gros, je mets au pot, ces cinq reconnaissances de dette.
500 000 €, tu as compris le principe, qui joues-tu ?
• Ma femme, tu pourras l’enculer !
• Salopard, au début de notre mariage, tu voulais m’enfiler par l’anus et je t’ai toujours refusé ce plaisir, si tu perds, je serais très heureuse de perdre ma rondelle avec lui.
C’est vrai qu’hier, j’ai joui comme la salope que tu as faite de moi.
Combien de fois ai-je dû aller vendre ma chatte pour que tu puisses vivre de tes passions malsaines.
Tu as fait de moi une pute, mais j’ai toujours préservé mon anus.
• Vos histoires de famille, gardez-les pour vous, Joseph, dix-neuf, moi, vingt, une carte ?
• Oui, je joue mon vatout !
• Un trois, vingt-deux, pas de bol, Marie-Madeleine, va dans ma chambre, je vais t’enculer.
J’ai sauté ma belle-mère devant sa fille, mais je vais éviter de rééditer les choses en enculant sa mère devant elle.
C’est une tout autre femme que je rejoins après avoir fermé le Casino.
• Pierre, je t’en supplie, épargne-moi si tu savais tout ce que j’ai été obligé de faire avant et après la naissance de Marie, j’ai accouché dans de terribles douleurs.
• Arrête de te foutre de ma gueule, regarde cette photo, qui se fait sodomiser ?
• Quand as-tu pris cette photo, cette femme, c’est un sosie, comment peux-tu croire que je me fais enculer par le jeune prêtre de notre paroisse ?
• Tu te fiches vraiment de ma gueule, reconnais-tu où cela se passe ?
• Je vais porter plainte pour intrusion dans une demeure privée.
• Eh ! nous en reviendrons au point de départ, la presse saura qui vous êtes toi et ton mari et le scandale retombera sur ce jeune prêtre que tu as séduite.
Regarde celle-là !
• Mais elle est monstrueuse, c’est Joseph qui lui aussi se fait enculer par Rodolphe, notre jeune prêtre.
• Eh ! oui, ton mari est homo et tu le sais trop bien, tu vois à quoi ça mène de se marier afin d’échapper à sa misérable condition.
Aller donne-moi ton cul, je sais que je vais y entrer comme dans du beurre.
J’avais raison, du beurre, pénétration longiligne sans la moindre pose, son anus se dilatant sans problème aux poussées de ma verge.
Je lui éclate le fion et je prends un pied de première.
• Marie-Madeleine, veux-tu récupérer ces photos.
• Tu ferais ça pour moi et que ce pauvre Sylvain de ta fureur que j’ignore pourquoi elle s’est portée sur nous !
• Vous le saurez assez tôt.
• Je veux voir les démentis du mariage de ta fille le plus rapidement possible et lorsque nous jouerons, demain soir, ce soit ta fille que son père désigne.
Je sens que chaque fois que je vais lui demander de désigner l’une de vous, ce sera toi qui vas t’y coller.
Je t’aime bien, pardon, j’aime ton cul, mais je voudrais bien m’occuper de la chatte de ta fille.
Le lendemain, après que je sois allé faire quelques emplette, Marie étant à sa fac.
J’ai mangé à la dame de Pique, encore une histoire de cartes, non, d’une grande dame de la cuisine française.
Le fric, ça sert à ça, je prévois de manger dans le maximum de chefs étoilées.
• Les jeux sont ouverts, le sabot est près, ce soir nous jouons pour un lot, une traction avant de l’après-guerre ayant conduit des FFI et un parchemin datant du temps du Christ.
Joseph, qui je vais honorer ce soir si tu perds.
• Salopard, tu lis mon jeu, ma fille bien sûr.
• Ta fille, on en reparlera.
Je distribue, qu’ai-je dit, la banque gagne toujours, mon beau-papa le sait bien, il a joué jusqu’à sa chemise.
• Pierre, à quoi joues-tu ?
Tient voilà ta bague, j’attendais d’être seule avec toi pour te la foutre à la gueule.
Tout doux belle enfant, je vais tout t’expliqué et je vais te faire tomber le cul de ta chaise, de petite bourgeoise des beaux quartiers parisiens...
Quel secret Pierre possède-t-il encore, ses parents baisant avec le jeune prêtre, c’était déjà une sacrée découverte, vous le saurez dans le chapitre IV de « Casino Royal ».
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