COLLECTION VENGEANCE. Casino Royal (4/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION VENGEANCE. Casino Royal (4/6)
Dans les chapitres I, II et III, vous avez fait ma connaissance et compris le jeu malsain que j’ai mis en place contre cette famille dont le père a dilapidé la fortune en jouant au Black jack.
Dans le chapitre IV, nous allons apprendre ce qui motive ma vengeance envers ces gens.
J’ai déjà cassé pas mal de tabou entre le père et la mère et ce soir je me prépare à en faire de même avec Marie, leur jeune fille.
Je viens de la faire entrer dans ma chambre pendant que j’ai renvoyé ses parents se coucher dans les chambres de bonne.
• Pierre, comment comptes-tu t’y prendre, veux-tu me violer sur le lit ?
Veux-tu que je te présente mon cul pour que tu m’encules comme tu as dû le faire hier avec Marie-Madeleine, ma mère ?
• Aïcha tu te tais et gardes cette bague, tu ignores pourquoi j’ai fait ça, mais je vais tout t’expliquer.
• Aïcha, que dis-tu, moi c’est Marie !
• Attends, je vais te montrer quelque chose.
Je vais dans mon sac de sport où j’ai rangé les objets de ma vengeance, dans une petite poche, je trouve ce que je cherchais.
• Regarde, cette gourmette, lis le nom écrit dessus !
• « Aïcha » et alors tu as une gourmette de petite taille portant ce nom, c’est à ton frère ou à ta sœur !
• Non, à toi, je t’explique !
• J’aimerais bien savoir ce que veut dire cette plaisanterie, j’aurais un prénom arabe !
• J’avais huit ans quand dans l’orphelinat ou j’avais été amené à la disparition de ma mère, j’ai entendu un bébé pleurer.
J’en avais déjà entendu, mais sans prendre conscience que dans la journée, je voyais des enfants marchands sur leurs deux jambes.
Les bébés semblaient absents des bras de la mère supérieure, de son adjoint ou des sœurs qui s’occupaient de nous, les plus grands.
La nuit qui a suivi, je me suis laissé guider vers l’origine de ces pleurs.
Dans une pièce, au fond de cette grande maison, j’ai découvert une petite fille blonde aux yeux bleus dormant dans un petit berceau.
Elle avait une gourmette ou il était marqué « Aïcha », elle dormait à poing fermé.
Deux jours plus tard, j’étais dans la cour et j’ai vu arriver une vieille traction avant noir avec à son bord un couple dont la femme était blonde aux yeux bleus.
La directrice est venue les chercher sans me voir, curieux comme j’étais, je suis entré dans la voiture, voir si part hasard, il y avait quelque chose à chaparder pour manger.
Dans la boîte à gants, j’ai trouvé les papiers de la voiture avec un nom que ma mémoire a retenu et un pistolet datant de la guerre.
Un pistolet certainement prit sur un officier allemand.
Je me suis amusé et un coup est parti, ils sont tous accourus et la femme blonde avait dans ses bras le bébé que j’avais vu dormir.
Le coup avait percé le toit de la traction sans plus de dégâts.
Thénardier m’a empoigné et emmené vers le cachot au fond du bureau de mère marie des enfants de Dieu, la directrice de ce lieu de perdition pour un garçon comme moi.
J’y suis resté huit jours avec un demi-quignon de pain et de l’eau.
À partir de ce moment et pour éviter de me répéter, je lui explique la découverte que j’avais faite, les magouilles de la directrice et de son adjoint concernant les enfants venant de naître, avant de quitter l’orphelinat.
• À ma majorité, je me suis retrouvé à la rue, j’avais ce nom lu sur la carte grise en tête, mais aucun moyen de faire des recherches, la directrice m’avait donné un petit pécule soi-disant pour voir venir.
J’ai bien cherché dans les Bottins, vous êtes 150 en France à porter le nom qui était sur la carte grise.
Sur Paris 12, je me suis rendu chez chacun d’eux et j’ai fait chou blanc.
Pas une de ces femmes pour ressemblant à celle aperçu sur le perron avec toi dans ses bras.
Eh ! là, double chance, je joue à l’euro million et le soir même dans une boîte je rencontre une jeune fille blonde aux yeux bleus à qui je plais.
Le chèque touché, j’engage un détective, qui me rapporte ton adresse, ceux qui se disent tes parents étant sur la liste rouge, d’où mes choux blancs.
Lorsque tu m’as conduit devant chez toi, j’ai eu des doutes sur ta sincérité, il y avait trop de probabilité que toutes ces choses aient lieu en même temps.
Comme je l’ai dit à tes parents, j’ai attendu votre absence et j’ai fouillé pour trouver des preuves de ta duperie.
C’est dans la chambre de ta mère que j’ai trouvé la gourmette avec ton acte de naissance sans le nom de ta vraie mère.
Joseph et Marie-Madeleine avaient une fille blonde, aux yeux bleus s’appelant Aïcha faisant tache dans le décor familial.
Joseph, ton père a dû se servir de ses appuis, pour te débaptiser et te donner un nom Chrétien, « Marie ».
Si tu le désires, je me servirai de mon argent pour que l’on retrouve tes réelles origines.
Ce que je suppute, c’est qu’une jeune fille de bonne famille a fauté avec un beau Maghrébin et c’est retrouvé enceinte.
La famille l’a fait accoucher sous X, mais que ta maman en souvenir de son aventure t’a déclaré sous ce nom d’origine africaine.
« Aïcha » est peut-être le nom de ta grand-mère paternelle.
Couchons-nous, je te ferais femme le jour de notre mariage.
Marie, pardon Aïcha a semblé surprise, mais certainement assommée par toutes ces révélations s’est endormie comme une masse.
Quelle heure est-il lorsque je sens une main me caresser la queue ?
Je reste stoïque pour voir jusqu’à où elle va aller et surtout jusqu’à ou elle a cru mon histoire, bien réelle par ailleurs ?
Ce que je peux dire, c’est que, rapidement je bande.
Je régule ma respiration comme le ferait un dormeur, je sens le drap ce soulever et quelques secondes après, une bouche, se poser sur mon gland.
La retenue qu’elle a eue avant de l’engamer était touchante, mais me prouvant son manque de pratique donc certainement sa sincérité sur son pucelage.
Eh dire que si j’avais laissé faire, ce serait ce vieux barbot de Timoté qui se serait fait sucer.
La chaleur de sa bouche m’a fait sursauter, elle m’a quitté pour mon plus grand regret et a ressorti sa tête de dessous le drap.
• Pierre, j’ai bien compris que j’ai été dupé, pour foutre en l’air définitivement les plans de celle que je croyais ma mère, je veux qu’avant demain matin je sois entièrement à toi.
Bouche, vagin et anus, je veux te faire une fellation, me faire dépuceler et pour finir que tu m’encules.
Je trouve ce plan tout à fait tentant et faisable, sans me prendre pour un grand baiseur se programme à triple facette se trouve entièrement dans mes cordes.
Je la renverse et c’est ma bouche qui commence le reste de la nuit comme elle me l’a demandé, je lui fais la totale.
Sa chatte est dégoulinante de cyprine, je la lèche jusqu’à ce que son corps se cabre.
Je remonte passant au-dessus d’elle et je lui fourre ma bite dans la bouche.
Elle me masturbe pour mon plus grand plaisir, maladroite au début, elle prend rapidement le rythme et devient une experte des fellations.
Je sens que celle que j’ai vu bébé va m’apporter plein de satisfactions maintenant que c’est une belle et grande fille.
Afin d’éviter de décharger, je glisse vers le bas du lit et l’empoignant je m’apprête à entrer en elle.
Je sens que c’est la femme de ma vie et je veux que cette première fois soit une première fois de rêve, mon gland entre le plus lentement possible.
Qui ici a déjà eu le plaisir de déflorer une jeune pucelle autrement qu’un soudard a dû ressentir ce que je ressens au moment où mon gland commence à forcer son hymen.
Je m’arrête, mais c’est elle qui franchit le pas.
• Va mon chéri, je suis tienne pour toujours.
D’un coup de cul de sa part mon gland franchit l’obstacle avec juste un petit couinement avant que je sois définitivement au fond de son tabernacle.
« Tabernacle », j’ai une pensée pour celle qui ce dit ma belle-mère, ce terme d’église, était mal venue pour un athée comme moi.
Est-ce une opération divine, dès cette première, je la sens frissonner sous moi.
Je reprends des forces, la nuit étant loin d’être terminée, c’est au matin que je la fais mettre en levrette, j’entre dans sa chatte afin de la préparer et la sodomiser.
Là encore, c’est une jeune pucelle réceptive à mon plaisir, que j’ai dans mes bras.
Même si dans les derniers jours à l’orphelinat, j’ai fait le coup de poing pour garder ma rondelle, j’ignore ce que l’on ressent à se faire enculer.
Marie-Madeleine semble bien se porter après que je l’ai pointé sur ses arrières.
L’orphelinat, toujours l’orphelinat, ça peut paraitre anodin, mais vivre plus de dix ans dans un tel lieu, ça vous forge le caractère et à ce titre dans les jours prochains je pense tenter.
Juste un petit mouvement de son beau cul bien blanc et elle est à moi par tous les trous où elle voulait que je pénètre.
Dans les jours prochains, les douleurs s’étant estompé, j’aurais la plus belle des pouliches que je marierais et que je rendrais heureuse jusqu’à la fin de nos jours.
Je dors lorsque l’on frappe, c’est ma belle-mère avec nos petits déjeuners.
• Marie salope, va chercher ton foutu cocu de mari, j’ai à vous parler...
Dans le chapitre IV, nous allons apprendre ce qui motive ma vengeance envers ces gens.
J’ai déjà cassé pas mal de tabou entre le père et la mère et ce soir je me prépare à en faire de même avec Marie, leur jeune fille.
Je viens de la faire entrer dans ma chambre pendant que j’ai renvoyé ses parents se coucher dans les chambres de bonne.
• Pierre, comment comptes-tu t’y prendre, veux-tu me violer sur le lit ?
Veux-tu que je te présente mon cul pour que tu m’encules comme tu as dû le faire hier avec Marie-Madeleine, ma mère ?
• Aïcha tu te tais et gardes cette bague, tu ignores pourquoi j’ai fait ça, mais je vais tout t’expliquer.
• Aïcha, que dis-tu, moi c’est Marie !
• Attends, je vais te montrer quelque chose.
Je vais dans mon sac de sport où j’ai rangé les objets de ma vengeance, dans une petite poche, je trouve ce que je cherchais.
• Regarde, cette gourmette, lis le nom écrit dessus !
• « Aïcha » et alors tu as une gourmette de petite taille portant ce nom, c’est à ton frère ou à ta sœur !
• Non, à toi, je t’explique !
• J’aimerais bien savoir ce que veut dire cette plaisanterie, j’aurais un prénom arabe !
• J’avais huit ans quand dans l’orphelinat ou j’avais été amené à la disparition de ma mère, j’ai entendu un bébé pleurer.
J’en avais déjà entendu, mais sans prendre conscience que dans la journée, je voyais des enfants marchands sur leurs deux jambes.
Les bébés semblaient absents des bras de la mère supérieure, de son adjoint ou des sœurs qui s’occupaient de nous, les plus grands.
La nuit qui a suivi, je me suis laissé guider vers l’origine de ces pleurs.
Dans une pièce, au fond de cette grande maison, j’ai découvert une petite fille blonde aux yeux bleus dormant dans un petit berceau.
Elle avait une gourmette ou il était marqué « Aïcha », elle dormait à poing fermé.
Deux jours plus tard, j’étais dans la cour et j’ai vu arriver une vieille traction avant noir avec à son bord un couple dont la femme était blonde aux yeux bleus.
La directrice est venue les chercher sans me voir, curieux comme j’étais, je suis entré dans la voiture, voir si part hasard, il y avait quelque chose à chaparder pour manger.
Dans la boîte à gants, j’ai trouvé les papiers de la voiture avec un nom que ma mémoire a retenu et un pistolet datant de la guerre.
Un pistolet certainement prit sur un officier allemand.
Je me suis amusé et un coup est parti, ils sont tous accourus et la femme blonde avait dans ses bras le bébé que j’avais vu dormir.
Le coup avait percé le toit de la traction sans plus de dégâts.
Thénardier m’a empoigné et emmené vers le cachot au fond du bureau de mère marie des enfants de Dieu, la directrice de ce lieu de perdition pour un garçon comme moi.
J’y suis resté huit jours avec un demi-quignon de pain et de l’eau.
À partir de ce moment et pour éviter de me répéter, je lui explique la découverte que j’avais faite, les magouilles de la directrice et de son adjoint concernant les enfants venant de naître, avant de quitter l’orphelinat.
• À ma majorité, je me suis retrouvé à la rue, j’avais ce nom lu sur la carte grise en tête, mais aucun moyen de faire des recherches, la directrice m’avait donné un petit pécule soi-disant pour voir venir.
J’ai bien cherché dans les Bottins, vous êtes 150 en France à porter le nom qui était sur la carte grise.
Sur Paris 12, je me suis rendu chez chacun d’eux et j’ai fait chou blanc.
Pas une de ces femmes pour ressemblant à celle aperçu sur le perron avec toi dans ses bras.
Eh ! là, double chance, je joue à l’euro million et le soir même dans une boîte je rencontre une jeune fille blonde aux yeux bleus à qui je plais.
Le chèque touché, j’engage un détective, qui me rapporte ton adresse, ceux qui se disent tes parents étant sur la liste rouge, d’où mes choux blancs.
Lorsque tu m’as conduit devant chez toi, j’ai eu des doutes sur ta sincérité, il y avait trop de probabilité que toutes ces choses aient lieu en même temps.
Comme je l’ai dit à tes parents, j’ai attendu votre absence et j’ai fouillé pour trouver des preuves de ta duperie.
C’est dans la chambre de ta mère que j’ai trouvé la gourmette avec ton acte de naissance sans le nom de ta vraie mère.
Joseph et Marie-Madeleine avaient une fille blonde, aux yeux bleus s’appelant Aïcha faisant tache dans le décor familial.
Joseph, ton père a dû se servir de ses appuis, pour te débaptiser et te donner un nom Chrétien, « Marie ».
Si tu le désires, je me servirai de mon argent pour que l’on retrouve tes réelles origines.
Ce que je suppute, c’est qu’une jeune fille de bonne famille a fauté avec un beau Maghrébin et c’est retrouvé enceinte.
La famille l’a fait accoucher sous X, mais que ta maman en souvenir de son aventure t’a déclaré sous ce nom d’origine africaine.
« Aïcha » est peut-être le nom de ta grand-mère paternelle.
Couchons-nous, je te ferais femme le jour de notre mariage.
Marie, pardon Aïcha a semblé surprise, mais certainement assommée par toutes ces révélations s’est endormie comme une masse.
Quelle heure est-il lorsque je sens une main me caresser la queue ?
Je reste stoïque pour voir jusqu’à où elle va aller et surtout jusqu’à ou elle a cru mon histoire, bien réelle par ailleurs ?
Ce que je peux dire, c’est que, rapidement je bande.
Je régule ma respiration comme le ferait un dormeur, je sens le drap ce soulever et quelques secondes après, une bouche, se poser sur mon gland.
La retenue qu’elle a eue avant de l’engamer était touchante, mais me prouvant son manque de pratique donc certainement sa sincérité sur son pucelage.
Eh dire que si j’avais laissé faire, ce serait ce vieux barbot de Timoté qui se serait fait sucer.
La chaleur de sa bouche m’a fait sursauter, elle m’a quitté pour mon plus grand regret et a ressorti sa tête de dessous le drap.
• Pierre, j’ai bien compris que j’ai été dupé, pour foutre en l’air définitivement les plans de celle que je croyais ma mère, je veux qu’avant demain matin je sois entièrement à toi.
Bouche, vagin et anus, je veux te faire une fellation, me faire dépuceler et pour finir que tu m’encules.
Je trouve ce plan tout à fait tentant et faisable, sans me prendre pour un grand baiseur se programme à triple facette se trouve entièrement dans mes cordes.
Je la renverse et c’est ma bouche qui commence le reste de la nuit comme elle me l’a demandé, je lui fais la totale.
Sa chatte est dégoulinante de cyprine, je la lèche jusqu’à ce que son corps se cabre.
Je remonte passant au-dessus d’elle et je lui fourre ma bite dans la bouche.
Elle me masturbe pour mon plus grand plaisir, maladroite au début, elle prend rapidement le rythme et devient une experte des fellations.
Je sens que celle que j’ai vu bébé va m’apporter plein de satisfactions maintenant que c’est une belle et grande fille.
Afin d’éviter de décharger, je glisse vers le bas du lit et l’empoignant je m’apprête à entrer en elle.
Je sens que c’est la femme de ma vie et je veux que cette première fois soit une première fois de rêve, mon gland entre le plus lentement possible.
Qui ici a déjà eu le plaisir de déflorer une jeune pucelle autrement qu’un soudard a dû ressentir ce que je ressens au moment où mon gland commence à forcer son hymen.
Je m’arrête, mais c’est elle qui franchit le pas.
• Va mon chéri, je suis tienne pour toujours.
D’un coup de cul de sa part mon gland franchit l’obstacle avec juste un petit couinement avant que je sois définitivement au fond de son tabernacle.
« Tabernacle », j’ai une pensée pour celle qui ce dit ma belle-mère, ce terme d’église, était mal venue pour un athée comme moi.
Est-ce une opération divine, dès cette première, je la sens frissonner sous moi.
Je reprends des forces, la nuit étant loin d’être terminée, c’est au matin que je la fais mettre en levrette, j’entre dans sa chatte afin de la préparer et la sodomiser.
Là encore, c’est une jeune pucelle réceptive à mon plaisir, que j’ai dans mes bras.
Même si dans les derniers jours à l’orphelinat, j’ai fait le coup de poing pour garder ma rondelle, j’ignore ce que l’on ressent à se faire enculer.
Marie-Madeleine semble bien se porter après que je l’ai pointé sur ses arrières.
L’orphelinat, toujours l’orphelinat, ça peut paraitre anodin, mais vivre plus de dix ans dans un tel lieu, ça vous forge le caractère et à ce titre dans les jours prochains je pense tenter.
Juste un petit mouvement de son beau cul bien blanc et elle est à moi par tous les trous où elle voulait que je pénètre.
Dans les jours prochains, les douleurs s’étant estompé, j’aurais la plus belle des pouliches que je marierais et que je rendrais heureuse jusqu’à la fin de nos jours.
Je dors lorsque l’on frappe, c’est ma belle-mère avec nos petits déjeuners.
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