COLLECTION VENGEANCE. Casino Royal (6/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION VENGEANCE. Casino Royal (6/6)
Deuxième partie de ma vengeance, après Joseph et Marie-Madeleine j’entraine Aïcha, ce sera son nom maintenant dans un sixième chapitre certainement le dernier, de mon casino royal.
C’est en Normandie que j’emmène l’être aimée là ou tout à commencer.
J’ai pris rendez-vous avec la mère supérieure leur faisant croire que ma compagne et moi étions prêts à mettre beaucoup d’argent pour récupérer un bébé.
Ayant eu peur d’être reconnus lorsque Aïcha prend mon revolver récupéré chez ceux ayant été ses parents pendant des années, je finis par prendre les choses en main.
Nous leur demandons de se dénuder, afin de prendre du poids sur eux.
• C’est bien Thénardier, va plus vite fait voir ta queue, mon père était un pédé, lui as-tu fourré le cul ?
• Vieux salopard, tu sais que les enfants dans votre orphelinat t’appellent comme dans les misérables de Victor Hugo.
Tu nous as fait tellement souffrir chaque fois que tu nous mettais dans cette petite pièce derrière moi qu’à mon tour je vais vous faire souffrir.
Ma mère, tu fais moins la maligne tes seins pendant, lorsque tu m’as reçu avant de me mettre à la porte, j’aurais bien ailé te fourrer, mais j’étais encore trop jeune pour le faire.
Mais dit moi, c’est Thénardier qui te flagelle le dos, il est entièrement marqué par de vilaines zébrures.
• Depuis ma prime jeunesse, le démon de la chair me travaille, alors quand ma chatte me démange trop, je m’inflige cette punition.
Hier, ça été le cas et je me suis flagellée.
• Ton cul et la façon dont tu t’en serre, pour moi aujourd’hui il est secondaire, dites-moi où vous cachez le magot que vous avez accumulé depuis trente ans que vous faites votre ignoble trafic ?
• Quel magot ?
• Prends-moi pour un con, lorsque j’étais dans mon cagibi à manger, vos ignobles quignons de pain dur, je vous ai entendu parler de l’argent que vous mettiez de côté pour votre retraite.
Renseignement prit par le détective que j’ai engagé, chacun de vous a prévu de s’arrêter en juin prochain, alors où est caché le pognon.
• Vous pouvez toujours vous brosser pour que je vous avoue où l’on a caché l’argent, plutôt mourir !
• Mourir oui, mais de plaisir, Thénardier, couche la mère les seins sur le bureau et prépare-toi à l’enfiler.
• Tu me touches, tu auras affaire à moi, je suis vierge et je tiens à y rester jusqu’à l’heure de ma mort.
• Ma mère sauf votre respect, il y a des années que je suis votre bras doigts et que je me fais appeler par ce nom infect pour vous aider dans votre immense tache.
On me donne l’occasion de vous baiser, je serais con de passer à côté des fantasmes, lorsque je me masturbe le soir en pensant à vous, encore pardon.
Avant que j’aie dit « ouf », il donne un grand coup de queue en avant, il bandait devant ce vieux cul.
La principale réaction de la mère supérieure c’est une espèce de « gloups » son tors se relevant avant de retomber.
S’il est vrai qu’elle était vierge, son hymen devait avoir une date de péremption, car après deux ou trois allé et retour d’un coup sa vieille chatte s’embrase.
• Oh! mon Dieu !
Oh! mon Dieu !
Oh! mon Dieu !
Oh! putain mon Dieu que c’est bon !
Oh! oh! je suis une salope, ah! ah! ahh.
• Pierre, mais elle jouit cette salope, allez dits nous ou est le magot !
C’est dans le souffle de sa jouissance que la mère supérieure nous regarde d’un air supérieur.
• Torturez-moi, vous pouvez toujours vous fouiller pour vous dire où nous cachons l’argent !
• On verra bien si après ce nouveau traitement, tu continueras à te taire, Thénardier encule là.
Très fâché Aïcha du mutisme de la mère supérieure.
• Allez-y, je suis prête à mourir en martyr.
Comme il l’a fait avec sa chatte, d’une grande poussée, il encule cette femme à l’aube de ses soixante ans.
Comme pour sa chatte, elle soulève sa poitrine, ses seins ayant le temps de nous montrer les calebasses qu’ils forment dus à l’âge.
J’aurais bien voulu la connaître dans la même position lorsque j’étais enfermé dans le cagibi, ils devaient être nettement plus fermes.
Mais la vie passe une seule fois et lorsque je regarde Aïcha, mon regard se porte sur le cagibi.
Sœur marie des enfants de Dieu, se met à jouir du cul.
Un instant je pense qu’elle aurait mieux fait de faire pute plutôt que none, mais je sais trop bien que le destin, parfois vous fait prendre de drôles de chemins.
• Vous voulez que je le suce, je sais que ça se fait entre adulte consentant.
Je peux même essayer d’avaler son sperme, mais pour l’argent, vous pouvez toujours vous fouiller !
• Aïcha, j’ai une idée, je vais dans le cagibi, dès que la porte est fermée, tu te mets à parler de tout ou de rien en te déplaçant lentement dans la pièce.
Lorsque je les entendais parler de leur pognon, je viens de me rendre compte qu’ils étaient toujours au même endroit.
Un coup d’œil vers nos baiseurs, Thénardier vient de remplir le cul de notre nouvelle femelle, les deux semblent amorphes et sans risque que je laisse celle que je sais être l’amour de ma vie avec ces deux salopards.
Par sécurité je lui rends l’arme.
Elle fait ce que je lui demande.
• Ou es-tu, c’est dans ce coin !
• Devant la bibliothèque Pierre.
Je ressors, le visage des deux baiseurs a largement changé, je sens de l’anxiété devant leurs yeux.
Nous cherchons et quand on cherche, on trouve, une série de livres en cuir sonnent creux, je trouve le système d’ouverture, j’ai peur qu’il y ait un coffre-fort, c’est la cavité qui joue ce rôle.
• Inutile de compter, il y a plus d’un million d’euros.
Je récupère mon sac de sport, j’en sors deux morceaux de pain rassis.
• Venez dans le cagibi, j’espère qu’une de vos sœurs s’inquiétera de votre absence, sinon, voici de quoi manger, c’est ce que vous me donniez pour m’enfermer une semaine.
Le temps de ranger l’argent du bruit vient du cagibi, avant de sortir, nous nous approchons à pas de velours.
• Tu en veux encore, salopard, mais c’est si bon, va y encule-moi.
Ces deux-là ont trouvé leur plaisir ayant énormément perdu du temps par conneries.
Ma vengeance s’achève lorsque je referme le loquet et que nous rangeons les billets avant de reprendre notre titine nous attendant devant l’orphelinat.
Une sœur nous fait un petit signe de la main lorsque nous franchissons les grilles de ce lieu où une mauvaise partie de ma vie a eu lieu.
Je sais ce que l’on peut ce dire, pourquoi voler ces voleurs, sommes-nous des robins des bois alors que je suis riche à millions ?
Grandement lorsque la presse fait part d’un don pour un orphelinat de Normandie, d’une valeur de 2 millions d’euros, nous avons doublé la mise.
Cette somme, nous la versons anonymement dès le départ des anciens gestionnaires partis en retraite.
J’ignore ce qu’elle avait prévu avec les milliers d’euros qu’ils avaient frauduleusement amassés, sœur Marie des enfants de Dieu s’est retirée dans un couvent des alpes où elle doit épier tous ces pêchers.
Thénardier, quant à lui a retrouvé une vieille baraque à huitre du côté de La Rochelle, ou il va finir ces jours à manger du poisson péché dans les parcs.
Le Cantal pour Marie-Madeleine, je suis magnanime, mon enquêteur à ordre de suivre que les choses se passent bien pour eux.
Comme je le supputais Joseph a trouvé un vieux pédé gardien de chèvres avec qui il copule chaque fois qu’il le peut.
Quant à Marie-Madeleine, elle fait bouillir la marmite avec les légumes du jardin qu’elle a remis en état.
Ça c’est pour la façade, car il m’amène la preuve qu’elle est redevenue la putain de son village offrant son cul pour quelques billets.
Aïcha dans tout ça, nous habitons à Paris et entre nos jeux érotiques et le reste de notre temps, nous nous efforçons de faire fructifier la chance que j’ai eu de faire un flash à l’euro million.
C’est en Normandie que j’emmène l’être aimée là ou tout à commencer.
J’ai pris rendez-vous avec la mère supérieure leur faisant croire que ma compagne et moi étions prêts à mettre beaucoup d’argent pour récupérer un bébé.
Ayant eu peur d’être reconnus lorsque Aïcha prend mon revolver récupéré chez ceux ayant été ses parents pendant des années, je finis par prendre les choses en main.
Nous leur demandons de se dénuder, afin de prendre du poids sur eux.
• C’est bien Thénardier, va plus vite fait voir ta queue, mon père était un pédé, lui as-tu fourré le cul ?
• Vieux salopard, tu sais que les enfants dans votre orphelinat t’appellent comme dans les misérables de Victor Hugo.
Tu nous as fait tellement souffrir chaque fois que tu nous mettais dans cette petite pièce derrière moi qu’à mon tour je vais vous faire souffrir.
Ma mère, tu fais moins la maligne tes seins pendant, lorsque tu m’as reçu avant de me mettre à la porte, j’aurais bien ailé te fourrer, mais j’étais encore trop jeune pour le faire.
Mais dit moi, c’est Thénardier qui te flagelle le dos, il est entièrement marqué par de vilaines zébrures.
• Depuis ma prime jeunesse, le démon de la chair me travaille, alors quand ma chatte me démange trop, je m’inflige cette punition.
Hier, ça été le cas et je me suis flagellée.
• Ton cul et la façon dont tu t’en serre, pour moi aujourd’hui il est secondaire, dites-moi où vous cachez le magot que vous avez accumulé depuis trente ans que vous faites votre ignoble trafic ?
• Quel magot ?
• Prends-moi pour un con, lorsque j’étais dans mon cagibi à manger, vos ignobles quignons de pain dur, je vous ai entendu parler de l’argent que vous mettiez de côté pour votre retraite.
Renseignement prit par le détective que j’ai engagé, chacun de vous a prévu de s’arrêter en juin prochain, alors où est caché le pognon.
• Vous pouvez toujours vous brosser pour que je vous avoue où l’on a caché l’argent, plutôt mourir !
• Mourir oui, mais de plaisir, Thénardier, couche la mère les seins sur le bureau et prépare-toi à l’enfiler.
• Tu me touches, tu auras affaire à moi, je suis vierge et je tiens à y rester jusqu’à l’heure de ma mort.
• Ma mère sauf votre respect, il y a des années que je suis votre bras doigts et que je me fais appeler par ce nom infect pour vous aider dans votre immense tache.
On me donne l’occasion de vous baiser, je serais con de passer à côté des fantasmes, lorsque je me masturbe le soir en pensant à vous, encore pardon.
Avant que j’aie dit « ouf », il donne un grand coup de queue en avant, il bandait devant ce vieux cul.
La principale réaction de la mère supérieure c’est une espèce de « gloups » son tors se relevant avant de retomber.
S’il est vrai qu’elle était vierge, son hymen devait avoir une date de péremption, car après deux ou trois allé et retour d’un coup sa vieille chatte s’embrase.
• Oh! mon Dieu !
Oh! mon Dieu !
Oh! mon Dieu !
Oh! putain mon Dieu que c’est bon !
Oh! oh! je suis une salope, ah! ah! ahh.
• Pierre, mais elle jouit cette salope, allez dits nous ou est le magot !
C’est dans le souffle de sa jouissance que la mère supérieure nous regarde d’un air supérieur.
• Torturez-moi, vous pouvez toujours vous fouiller pour vous dire où nous cachons l’argent !
• On verra bien si après ce nouveau traitement, tu continueras à te taire, Thénardier encule là.
Très fâché Aïcha du mutisme de la mère supérieure.
• Allez-y, je suis prête à mourir en martyr.
Comme il l’a fait avec sa chatte, d’une grande poussée, il encule cette femme à l’aube de ses soixante ans.
Comme pour sa chatte, elle soulève sa poitrine, ses seins ayant le temps de nous montrer les calebasses qu’ils forment dus à l’âge.
J’aurais bien voulu la connaître dans la même position lorsque j’étais enfermé dans le cagibi, ils devaient être nettement plus fermes.
Mais la vie passe une seule fois et lorsque je regarde Aïcha, mon regard se porte sur le cagibi.
Sœur marie des enfants de Dieu, se met à jouir du cul.
Un instant je pense qu’elle aurait mieux fait de faire pute plutôt que none, mais je sais trop bien que le destin, parfois vous fait prendre de drôles de chemins.
• Vous voulez que je le suce, je sais que ça se fait entre adulte consentant.
Je peux même essayer d’avaler son sperme, mais pour l’argent, vous pouvez toujours vous fouiller !
• Aïcha, j’ai une idée, je vais dans le cagibi, dès que la porte est fermée, tu te mets à parler de tout ou de rien en te déplaçant lentement dans la pièce.
Lorsque je les entendais parler de leur pognon, je viens de me rendre compte qu’ils étaient toujours au même endroit.
Un coup d’œil vers nos baiseurs, Thénardier vient de remplir le cul de notre nouvelle femelle, les deux semblent amorphes et sans risque que je laisse celle que je sais être l’amour de ma vie avec ces deux salopards.
Par sécurité je lui rends l’arme.
Elle fait ce que je lui demande.
• Ou es-tu, c’est dans ce coin !
• Devant la bibliothèque Pierre.
Je ressors, le visage des deux baiseurs a largement changé, je sens de l’anxiété devant leurs yeux.
Nous cherchons et quand on cherche, on trouve, une série de livres en cuir sonnent creux, je trouve le système d’ouverture, j’ai peur qu’il y ait un coffre-fort, c’est la cavité qui joue ce rôle.
• Inutile de compter, il y a plus d’un million d’euros.
Je récupère mon sac de sport, j’en sors deux morceaux de pain rassis.
• Venez dans le cagibi, j’espère qu’une de vos sœurs s’inquiétera de votre absence, sinon, voici de quoi manger, c’est ce que vous me donniez pour m’enfermer une semaine.
Le temps de ranger l’argent du bruit vient du cagibi, avant de sortir, nous nous approchons à pas de velours.
• Tu en veux encore, salopard, mais c’est si bon, va y encule-moi.
Ces deux-là ont trouvé leur plaisir ayant énormément perdu du temps par conneries.
Ma vengeance s’achève lorsque je referme le loquet et que nous rangeons les billets avant de reprendre notre titine nous attendant devant l’orphelinat.
Une sœur nous fait un petit signe de la main lorsque nous franchissons les grilles de ce lieu où une mauvaise partie de ma vie a eu lieu.
Je sais ce que l’on peut ce dire, pourquoi voler ces voleurs, sommes-nous des robins des bois alors que je suis riche à millions ?
Grandement lorsque la presse fait part d’un don pour un orphelinat de Normandie, d’une valeur de 2 millions d’euros, nous avons doublé la mise.
Cette somme, nous la versons anonymement dès le départ des anciens gestionnaires partis en retraite.
J’ignore ce qu’elle avait prévu avec les milliers d’euros qu’ils avaient frauduleusement amassés, sœur Marie des enfants de Dieu s’est retirée dans un couvent des alpes où elle doit épier tous ces pêchers.
Thénardier, quant à lui a retrouvé une vieille baraque à huitre du côté de La Rochelle, ou il va finir ces jours à manger du poisson péché dans les parcs.
Le Cantal pour Marie-Madeleine, je suis magnanime, mon enquêteur à ordre de suivre que les choses se passent bien pour eux.
Comme je le supputais Joseph a trouvé un vieux pédé gardien de chèvres avec qui il copule chaque fois qu’il le peut.
Quant à Marie-Madeleine, elle fait bouillir la marmite avec les légumes du jardin qu’elle a remis en état.
Ça c’est pour la façade, car il m’amène la preuve qu’elle est redevenue la putain de son village offrant son cul pour quelques billets.
Aïcha dans tout ça, nous habitons à Paris et entre nos jeux érotiques et le reste de notre temps, nous nous efforçons de faire fructifier la chance que j’ai eu de faire un flash à l’euro million.
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