COLLECTION VENGEANCE. Elle se mange froide (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION VENGEANCE. Elle se mange froide (1/3)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Jean :
- Jean aujourd’hui c’est mon anniversaire, j’ai 18 ans.
- Je le sais Coralie, nous avons prévu une petite fête avec ta maman ce soir.
- Je ne peux pas attendre avant d’avoir mon cadeau.
- Je comprends ton impatience mais Jeanne doit le rapporter en sortant de l’hôpital après son service.
- Quand je parle de cadeau, je pensais à autre chose de plus intime.
- Que veux-tu dire, exprime-toi !
- Je suis vierge et je voudrais que ce soit toi qui me fasses entrer dans le monde des adultes en me faisant l’amour.
- Tu es devenue folle Coralie, je vis avec ta maman depuis presque deux ans et je ne la trahirais pas surtout avec sa fille.
- Je t’en conjure, rends-moi ce service, je t’en serais toujours reconnaissante.
Je veux que ce soit toi car tu es très doux avec maman alors qu’avant les hommes la faisaient souffrir.
Je pense qu’elle t’a expliqué que papa était violent avec elle et j’ai peur de tomber sur ce type d’homme.
Je te jure, ce sera une seule fois, après j’irais chercher ailleurs mes partenaires.
Je dois te dire que la fidélité à un seul homme très peu pour moi.
Je veux en connaître une kyrielle, mais je veux que tu sois le premier.
- Tu me jures que ce sera une seule fois ?
- Oui, juré, dit moi que je suis belle.
- Tu le sais Coralie, ta maman est belle, toi tu lui rends trois longueurs.
Bien, mais je refuse de t’embrasser.
J’aurais moins l’impression de tromper ma compagne.
Coralie vient vers moi fait tomber son peignoir.
La petite malgré qu’elle soit très grande et élancée m’apparaît comme sa Jeanne l’avait mise au monde.
À un détail, elle a des seins magnifiques plus gros et certainement plus fermes que ceux que je caresse régulièrement.
- Attrape-moi, je veux que mon dépucelage soit comme un jeu.
- Tu as raison j’aime jouer.
Elle part en courant, voir son petit cul tressauter devant moi, commence à me faire bander.
- Attention tu as renversé le vase de ta maman, il s’est fracassé.
- On s’en fiche, attrape-moi.
Je finis par l'attraper, je fais tomber une chaise mais je la tiens.
Elle tombe sur le plancher près de la cheminée.
- Donne-moi ta queue, je vais te sucer, ça fait partie de mon fantasme.
Pour une pucelle, elle semble savoir ce qu’elle veut, sa bouche est divine avant que je ne la retourne et que d’un coup je lui mette dans la chatte.
- Soit violent, fesse-moi, attends, prends tes ongles et laboure-moi le dos, je l’ai vu faire dans un film, la fille avait une plus grande jouissance.
- Ça te va, je ne t’ai pas fait mal ?
- Petite bite, vas-y carrément !
Oui, encore deux trois fois, je vais jouir.
Salopard, tu me tues mais qu’est-ce que c’est bon.
Je veux la totale, mets là dans mon cul, sodomise-moi, j’aime cette violence que tu libères bébé.
Dommage que je t’aie promis qu’il n’y aurait qu’une seule fois.
Je jouis, grâce à toi je suis pleinement femme.
Oui décharge dans mon cul.
Fini dans ma chatte, encore merci d’avoir fait de moi une femme.
C'est ainsi que toutes mes emmerdes ont commencé.
Coralie file dans sa chambre, je vais dans la salle de bains me nettoyer la queue.
- Coralie, je te quitte merci pour le cadeau, surtout pas un mot à ta mère.
Je vais ranger et ramasser le verre cassé avant de sortir faire mon loto.
- Merci Jean, je vais à la douche, je me suis allongée pour récupérer, mais laisse, je vais faire le nécessaire, il serait dommage que tu loupes les millions du loto.
Je quitte la maison de sa maman, la queue basse, j’espère que ma future femme ne saura jamais que j’ai baisé ma belle-fille.
Coralie :
Je m’appelle Coralie, je suis la fille de Jeanne et d’un fumier qui tapait maman avant qu’on ne le quitte.
Je suis en chemin, mon Rimmel ayant coulé, sous mes pleurs.
J’entre à l’hôpital.
- Maman, Jean ton copain m’a violé, regarde j’ai des marques sur le corps, car je me suis défendu, mais il était plus fort que moi.
Maman appelle un médecin qui constate devant un agent de la force publique tout ce que m’a fait mon violeur.
On me prend des échantillons de sperme et autres particules dans ma bouche prouvant que j’ai bien été pénétré par tous mes trous.
La femme médecin constate la pénétration anale et vaginale.
Elle constate que mon hymen vient d’être déchiré sauvagement.
Mon dos est labouré et mes fesses sont meurtries par des coups.
Jean :
Je suis de retour, j’ignore ce qu’il m’arrive, la police vient de m’arrêter devant tous mes copains au café que j’ai rejoint après avoir baisé ma belle-fille.
Je joue au tiercé et autres jeux de hasard.
Je viens de faire un loto et j’ai juste le temps de le mettre dans la poche de mon pantalon.
- Monsieur Jean, entrez.
Vous êtes inculpé pour le viol de votre belle-fille.
Les constatations de ce que vous lui avez fait viennent d’être enregistrées par un médecin.
Vous reconnaissez les lieux où vous l’avez attaqué et le désordre dans plusieurs pièces ?
- Plusieurs pièces, mais nous sommes restés dans la salle à manger.
Ça n’est pas croyable, vous dite que la cuisine est aussi dans cet état.
J’aurais violé Coralie et je serais parti tranquillement faire un loto.
Ça ne tient pas la route.
Pour tenir la route, après une garde à vue, je suis conduit devant un juge.
- Viol aggravé sur la personne de Coralie votre belle-fille.
Coralie :
Je sais, je suis une salope, j’avais promis mais ce qu’ignorait Jean, c’est que j’attendais pour venger ma maman que j’entendais se faire martyriser la nuit dans sa chambre par cet homme qui disait l’aimer.
Ces cris et les coups qu’elle recevait étaient les mêmes que ceux que j’avais gardés dans ma tête quand j’étais petite fille et que mon père tabassait maman.
Tribunal :
- Monsieur le juge, ma fille s’est trompée, ce n’était que des coups amoureux, j’aime un peu de rudesse et c’est moi qui demandais à mon partenaire cette violence.
- Pourtant monsieur le juge, dans le dossier vous avez un rapport de la médecin ayant examiné ma plaignante disant que ce jour-là, madame Jeanne était arrivée à l’hôpital avec un coquard qui s’est résorbé depuis.
- Monsieur le juge, mon client s'est expliqué sur ce cocard.
Ils avaient fait l’amour la veille au soir et dans leurs jeux, un coup de poing était arrivé dans la figure de sa compagne qui l’a confirmé à la police.
Sept ans de prison dont deux avec sursit et 50 000 € d’amende.
- Messieurs conduisez cet homme en cellule.
Coralie :
Je suis contente, ce fumier est là où il devait être, maman est tranquille.
Pas tant que ça, j’apprends qu’elle va voir Jean à la prison.
Je me suis peut-être trompée, mais je m’en contrefiche, je suis chez George mon copain rencontré quelques jours après cette aventure et maman ne le voit qu’au parloir.
Un an après, j’ai su qu’ils s’étaient mariés en prison.
Maman avait passé la nuit dans la chambre nuptiale.
Bien sûr ils ne m’ont pas invité et comme maman refuse de me voir, j’ignore si elle a de nouveau un coquard après cette nuit.
Jean :
J’ai épousé Jeanne en prison, elle savait que j’avais dit vrai, surtout sur l’origine du coquard.
Connaissant sa fille elle l’avait fichue à la porte.
Ça fait 3 ans 6 jours et 10 heures que je suis en prison quand je finis par sortir à un peu plus de la moitié de ma peine.
Quelques semaines et tout est prêts, ma vengeance se précise.
Coralie :
- Que me faite vous, laissez-moi, pourquoi vous me mettez une cagoule sur la tête et pourquoi vous me poussez dans cette voiture…
Jean :
- Jean aujourd’hui c’est mon anniversaire, j’ai 18 ans.
- Je le sais Coralie, nous avons prévu une petite fête avec ta maman ce soir.
- Je ne peux pas attendre avant d’avoir mon cadeau.
- Je comprends ton impatience mais Jeanne doit le rapporter en sortant de l’hôpital après son service.
- Quand je parle de cadeau, je pensais à autre chose de plus intime.
- Que veux-tu dire, exprime-toi !
- Je suis vierge et je voudrais que ce soit toi qui me fasses entrer dans le monde des adultes en me faisant l’amour.
- Tu es devenue folle Coralie, je vis avec ta maman depuis presque deux ans et je ne la trahirais pas surtout avec sa fille.
- Je t’en conjure, rends-moi ce service, je t’en serais toujours reconnaissante.
Je veux que ce soit toi car tu es très doux avec maman alors qu’avant les hommes la faisaient souffrir.
Je pense qu’elle t’a expliqué que papa était violent avec elle et j’ai peur de tomber sur ce type d’homme.
Je te jure, ce sera une seule fois, après j’irais chercher ailleurs mes partenaires.
Je dois te dire que la fidélité à un seul homme très peu pour moi.
Je veux en connaître une kyrielle, mais je veux que tu sois le premier.
- Tu me jures que ce sera une seule fois ?
- Oui, juré, dit moi que je suis belle.
- Tu le sais Coralie, ta maman est belle, toi tu lui rends trois longueurs.
Bien, mais je refuse de t’embrasser.
J’aurais moins l’impression de tromper ma compagne.
Coralie vient vers moi fait tomber son peignoir.
La petite malgré qu’elle soit très grande et élancée m’apparaît comme sa Jeanne l’avait mise au monde.
À un détail, elle a des seins magnifiques plus gros et certainement plus fermes que ceux que je caresse régulièrement.
- Attrape-moi, je veux que mon dépucelage soit comme un jeu.
- Tu as raison j’aime jouer.
Elle part en courant, voir son petit cul tressauter devant moi, commence à me faire bander.
- Attention tu as renversé le vase de ta maman, il s’est fracassé.
- On s’en fiche, attrape-moi.
Je finis par l'attraper, je fais tomber une chaise mais je la tiens.
Elle tombe sur le plancher près de la cheminée.
- Donne-moi ta queue, je vais te sucer, ça fait partie de mon fantasme.
Pour une pucelle, elle semble savoir ce qu’elle veut, sa bouche est divine avant que je ne la retourne et que d’un coup je lui mette dans la chatte.
- Soit violent, fesse-moi, attends, prends tes ongles et laboure-moi le dos, je l’ai vu faire dans un film, la fille avait une plus grande jouissance.
- Ça te va, je ne t’ai pas fait mal ?
- Petite bite, vas-y carrément !
Oui, encore deux trois fois, je vais jouir.
Salopard, tu me tues mais qu’est-ce que c’est bon.
Je veux la totale, mets là dans mon cul, sodomise-moi, j’aime cette violence que tu libères bébé.
Dommage que je t’aie promis qu’il n’y aurait qu’une seule fois.
Je jouis, grâce à toi je suis pleinement femme.
Oui décharge dans mon cul.
Fini dans ma chatte, encore merci d’avoir fait de moi une femme.
C'est ainsi que toutes mes emmerdes ont commencé.
Coralie file dans sa chambre, je vais dans la salle de bains me nettoyer la queue.
- Coralie, je te quitte merci pour le cadeau, surtout pas un mot à ta mère.
Je vais ranger et ramasser le verre cassé avant de sortir faire mon loto.
- Merci Jean, je vais à la douche, je me suis allongée pour récupérer, mais laisse, je vais faire le nécessaire, il serait dommage que tu loupes les millions du loto.
Je quitte la maison de sa maman, la queue basse, j’espère que ma future femme ne saura jamais que j’ai baisé ma belle-fille.
Coralie :
Je m’appelle Coralie, je suis la fille de Jeanne et d’un fumier qui tapait maman avant qu’on ne le quitte.
Je suis en chemin, mon Rimmel ayant coulé, sous mes pleurs.
J’entre à l’hôpital.
- Maman, Jean ton copain m’a violé, regarde j’ai des marques sur le corps, car je me suis défendu, mais il était plus fort que moi.
Maman appelle un médecin qui constate devant un agent de la force publique tout ce que m’a fait mon violeur.
On me prend des échantillons de sperme et autres particules dans ma bouche prouvant que j’ai bien été pénétré par tous mes trous.
La femme médecin constate la pénétration anale et vaginale.
Elle constate que mon hymen vient d’être déchiré sauvagement.
Mon dos est labouré et mes fesses sont meurtries par des coups.
Jean :
Je suis de retour, j’ignore ce qu’il m’arrive, la police vient de m’arrêter devant tous mes copains au café que j’ai rejoint après avoir baisé ma belle-fille.
Je joue au tiercé et autres jeux de hasard.
Je viens de faire un loto et j’ai juste le temps de le mettre dans la poche de mon pantalon.
- Monsieur Jean, entrez.
Vous êtes inculpé pour le viol de votre belle-fille.
Les constatations de ce que vous lui avez fait viennent d’être enregistrées par un médecin.
Vous reconnaissez les lieux où vous l’avez attaqué et le désordre dans plusieurs pièces ?
- Plusieurs pièces, mais nous sommes restés dans la salle à manger.
Ça n’est pas croyable, vous dite que la cuisine est aussi dans cet état.
J’aurais violé Coralie et je serais parti tranquillement faire un loto.
Ça ne tient pas la route.
Pour tenir la route, après une garde à vue, je suis conduit devant un juge.
- Viol aggravé sur la personne de Coralie votre belle-fille.
Coralie :
Je sais, je suis une salope, j’avais promis mais ce qu’ignorait Jean, c’est que j’attendais pour venger ma maman que j’entendais se faire martyriser la nuit dans sa chambre par cet homme qui disait l’aimer.
Ces cris et les coups qu’elle recevait étaient les mêmes que ceux que j’avais gardés dans ma tête quand j’étais petite fille et que mon père tabassait maman.
Tribunal :
- Monsieur le juge, ma fille s’est trompée, ce n’était que des coups amoureux, j’aime un peu de rudesse et c’est moi qui demandais à mon partenaire cette violence.
- Pourtant monsieur le juge, dans le dossier vous avez un rapport de la médecin ayant examiné ma plaignante disant que ce jour-là, madame Jeanne était arrivée à l’hôpital avec un coquard qui s’est résorbé depuis.
- Monsieur le juge, mon client s'est expliqué sur ce cocard.
Ils avaient fait l’amour la veille au soir et dans leurs jeux, un coup de poing était arrivé dans la figure de sa compagne qui l’a confirmé à la police.
Sept ans de prison dont deux avec sursit et 50 000 € d’amende.
- Messieurs conduisez cet homme en cellule.
Coralie :
Je suis contente, ce fumier est là où il devait être, maman est tranquille.
Pas tant que ça, j’apprends qu’elle va voir Jean à la prison.
Je me suis peut-être trompée, mais je m’en contrefiche, je suis chez George mon copain rencontré quelques jours après cette aventure et maman ne le voit qu’au parloir.
Un an après, j’ai su qu’ils s’étaient mariés en prison.
Maman avait passé la nuit dans la chambre nuptiale.
Bien sûr ils ne m’ont pas invité et comme maman refuse de me voir, j’ignore si elle a de nouveau un coquard après cette nuit.
Jean :
J’ai épousé Jeanne en prison, elle savait que j’avais dit vrai, surtout sur l’origine du coquard.
Connaissant sa fille elle l’avait fichue à la porte.
Ça fait 3 ans 6 jours et 10 heures que je suis en prison quand je finis par sortir à un peu plus de la moitié de ma peine.
Quelques semaines et tout est prêts, ma vengeance se précise.
Coralie :
- Que me faite vous, laissez-moi, pourquoi vous me mettez une cagoule sur la tête et pourquoi vous me poussez dans cette voiture…
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