COLLECTION VENGEANCE. Je me sacrifie pour sauver ma fille (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION VENGEANCE. Je me sacrifie pour sauver ma fille (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Je me sacrifie pour sauver ma fille (2/2)
Ma fille Lola, 22 ans, étudiante en droit à Paris, vient de tomber sous la coupe d’un maquereau de bas étage.
Son but est de l’emmener à Palerme pour la faire tapiner dans un bordel italien.
Un coup de téléphone entre eux, donné de chez moi, m’a mise la puce à l’oreille.
Je me suis prostituée plusieurs années en Allemagne, mon pays d’origine, dans ma jeunesse, pour comprendre certains mots dans leur conversation.

Je mets Fred, un détective privé sur l’affaire, je lui ai rendu service dans une opération louche où il avait trempé, c’est lui qui m’a trouvé tous les renseignements dont j’avais besoin.
Je vois rapidement que je ne m’en sortirais pas si je ne compense pas la perte de ma fille pour le Parrain Sicilien, aussi je passe un contrat avec eux.
Ils ignorent ma fille, la laissant faire ses études et je prends sa place tous les mercredis dans le bordel de Barbès, véritable boîte d’abattage clandestine qu’ils ont ouvert.
Je passe ma première après midi, me faisant prendre par un nombre incalculable de mecs.
Je dois reconnaître que j’ai aimée.
Cela m'a rappelé mes aventures en Allemagne.
Lorsqu'il me ramène à la maison, Ludo, le souteneur italien, semble très satisfait de notre transaction.
Pour une fois mon mari en revenant le soir décide de me baiser dans la baignoire, je le laisse faire afin d’éviter ses soupçons.
C'est le lendemain que ma fille se confie à moi.

• Maman, je suis malheureuse, j’ai rencontré un jeune italien habitant Paris, depuis plusieurs jours, je n’ai plus de ses nouvelles.
• Tu t’étais protégée j'espère, tu ne risque pas une grossesse ?
• Maman, je n’ai plus huit ans, tu sais.
• Ma chérie, j’ai vécu, je vais te faire une confidence, des hommes avant ton père, j’en ai eu quelques uns, certains n’ont pas été corrects avec moi.

Si elle savait que quelques uns, ce sont des centaines sans compter la vingtaine d’hier.
Le tout, c’est que Ludo ait tenu sa parole et qu’il ait disparu de la vie de ma fille.

Le mercredi, il est là à m’attendre.
Nous prenons le chemin de Barbès, je vois qu’il passe par un autre chemin, il s’engage dans le bois de Boulogne.
Je me suis faite belle, et ai mis une robe d'été courte, à bretelles et très décolletée.
Je ne porte pas de soutien-gorge mes seins tiennent bien encore surtout qu’ils restent très fermes.

• Pourquoi t’arrêtes-tu là ?
• Avant, souvent, je baisais ta fille, maintenant, je suis en manque depuis que mon patron a accepté ton marché.
Avant que tu en prennes plein le vagin, je veux te baiser.
Au retour, ta chatte sera pleine de foutre, je veux éviter de nager dans le sperme de tous ces garçons en manque de femmes.

Ce jour-là, il sera mon premier "client".
Je lui fais une gorge profonde, il décharge vite dans ma bouche.
Je vais pour recracher, en ouvrant ma fenêtre.
Mais le contact est coupé, elle ne bouge pas, je suis obligé d’avaler.
Je déglutie et je dois reconnaître qu'il éjacule beaucoup.

Je m’essuie la bouche, on repart.
Retour à Barbès, je m’étais habituée à voir les craquelures du plafond quand mon client me prenait en missionnaire.
Là je me retrouve un étage plus haut dans une autre chambre.
Nouveau plafond, nouveau papier peint, plus pourri que celui de la semaine dernière, mais même travail, cinq minutes de fellation et deux minutes dans ma chatte ou dans mon cul.
Et moi de nouveau toute nue, ma mignonne robe d'été froissée dans un coin.
Ces hommes qui viennent se satisfaire dans mon corps, parlent très rarement Français, sauf mon grand black qui revient cette semaine.
Je me fiche que l’on me reproche de prendre trop de temps avec lui, je me laisse aller et j’ai deux beaux orgasmes.
Lui c'est vraiment un mâle comme j'aime : grand, musclé ave un sexe long et gros, dans une meute, se serait un mâle dominant.

Même moyenne de coups de bites, vingt à vingt-cinq, avant d’être raccompagnée chez-moi.

• Ludo, j’ai vu ma fille, la semaine dernière, merci d’avoir tenu votre parole comme j’ai tenue la mienne.
• C’est bien, mes patrons sont satisfaits, ton rendement est maximum.

Il entre sa voiture dans une impasse.

• Je croyais que tu voulais éviter de nager dans le sperme de ces étrangers.
• Tape-moi une pignole, je pense que ta main est aussi douce que ta bouche.

Fataliste, je le masturbe avec application, ses couilles se vident vite et je me retrouve avec son sperme sur ma main.
Je m’essuie sur ma petite robe, de toute façon, elle est bonne pour être lavée car elle sent le foutre.
Ouf, mon mari est retenu pour une séance de nuit, ma chatte est sereine et je passe une bonne nuit.

• Maman, je t’appelle car Ludo est revenu hier au soir, je dois faire ma valise, il m’emmène demain après-midi pour l’Italie, il veut me présenter à sa famille, il m’a offert une bague de fiançailles.
Il m’a dit de ne rien te dire, il veut que je t’appelle d’Italie quand nous seront arrivés, il veut que je te fasse une surprise, il m’a dit qu’il t’aimait déjà sans t’avoir vu.
Je voulais te prévenir tout de même, je raccroche il arrive, il ne serait pas content s’il voyait que je t’ai tout de même prévenue.
• Lola, ne part pas !

Le fumier, deux semaines que je tapine pour eux.
Hier je le suce, je lui tape une pignole et dans la foulée, il savait qu’il emmenait ma fille dans son bordel.
Que faire, je suis piégée.
Appeler mon mari, c’est lui dire que je me suis fait des clients et qu’il a épousé une ancienne pute allemande.
Qui me dit que Ludo ou un de ses comparses ne vont pas lui envoyer une lettre après que je lui ai dit qu’avant qu’il me rencontre, je me prostituais déjà en Allemagne.
Avant que je n’aie eu le temps de mettre en garde ma fille, elle raccroche, me laissant comme une couillonne mon portable à la main.
Je la rappelle, c’est son répondeur, je la mets en garde sans m’étaler, espérant qu’elle ouvrira son portable et qu’elle prendra conscience de ce qui va lui arriver.
C’est à ce moment que la sonnette de la porte de la grille retentit.
Qui peut venir me déranger, au moment où je m’apprête à partir chez ma fille espérant la voir.

• Madame, c’est le gardien, il y a un jeune homme qui demande à vous voir.
• Que me veut-il ?
• Il dit que c’est personnel.
• Attendez, je regarde sur mon application qui il est.

Ils sont pratiques ces nouveaux téléphone, avant, j’aurais dû aller à la porte voire les images prises par la caméra près du portail.
Là, pendant ma sieste, afin de récupérer de mes galipettes d’hier, je vois que le grand black qui m’a baisé les deux fois que je suis allée au bordel de Barbès est là.
Comment a-t-il su où j’habite ?
Il a un de ces engins à deux roues qui pullule dans Paris et a un casque à la main.
S’il est là, c’est qu’il connaît mon secret, comment faire pour savoir ce qu’il me veut.
Je me regarde dans une glace. bien sur j'ai une jupe et un chemisier pas trop transparent.
Mais ce matin, à la maison je n'ai pas mis de sous-vêtements. Mes chaussures ont des talons moyens.

• Faite entrer ce jeune homme, et accompagnez le jusqu’au perron.

Je vois le portail s’ouvrir et le beau black entrer avec son espèce de mobylette, je coupe mon portable pour descendre à la porte d’entrée.

• Que me voulez-vous, comment savez-vous où j’habite ?
• Madame, les deux fois où je vous ai vu, j’ai trouvé bizarre qu’une femme de votre classe se prostitue.
Hier, j’ai suivi la voiture qui vous attendait à Barbès, elle m’a conduit ici.
• Et alors.
• Quand j’ai vu votre maison, genre petit château, j’ai su que quelque chose clochait dans cette histoire.
Au début j’ai cru que c’était une de vos employés qui venait s’encanailler.
J’ai vu votre mari qui rentrait hier au soir, j’ai reconnu qui il était, j’ai décidé de tenter ma chance.
Je vous demande 50 000 € sinon, j’attends qu’il revienne et je lui dis que sa femme est une pute.
• Et vous croyez qu’il suffit de venir jusqu’ici me faire du chantage pour que je vous donne autant d’argent ?
• Vous êtes puéril jeune homme, même si vous m’avez bien baisé hier et la semaine dernière.
• Vous reconnaissez cette image d’une femme qui suce cette bite, celle d'un Pakistanais clandestin dans cette chambre sordide !
La photo est sans appel, 50 000 € ou ce soir votre mari saura où elle a été prise et combien de mecs vous sont passés dessus.

Les emmerdes continuent.
Quels moyens ais-je de me sortir de cette nouvelle embrouille ?

• Entrez, je suis seule avec ma femme de service et le gardien à l’entrée, vous n’avez rien à craindre.

Je l’emmène dans mon salon, j’appuie sur la sonnette de l’office.

• Clotilde, je n’ai plus besoin de vous, rejoignez votre mari, il doit se sentir seul.

Clotilde est la femme de Paul, notre gardien et homme à tout faire dans le jardin, ce qui donne de la valeur à notre petit manoir à deux pas du centre de Paris.
Je sais qu’ils seront comme une tombe.
J’ai sortie Clotilde de la merde grâce au détective privé qui m’a renseigné sur Ludo et le bordel de Palerme sans oublier celui de Barbès.
Comme je m’occupe du personnel et que nous cherchions des gardiens, je les ai engagés sans que mon mari ne connaisse le secret de ce couple.
C’est en retournant vers le salon qu’une idée me vient.

• À nous jeune homme, dites-moi, vous êtes un clandestin en France, un sans papier, je connais un peu la vie, vous l’avez vu, aller baiser dans un clandé, vous avez quelque chose à cacher ?
• Je vais être direct, oui, je suis du Burkina et j’ai traversé la Méditerranée pour venir en France au risque de ma vie.
Comme vous le voyez, je parle parfaitement votre langue, j’ai grandi dans une école française, mon père faisant les divers travaux nécessaires à l’entretien.
• Venez avec moi.

Je le conduis dans ma chambre, la maison est assez vaste. Comme mon mari ronfle, nous avons décidé de faire chambre à part de chaque côté de notre salle de bain.

• Regarde ce garage que l’on ne voit pas de l’extérieur.
Tu vois, au-dessus il y a un logement, je dois embaucher un chauffeur, pour conduire mon mari jusqu’à son travail, il devra le déposer et le recherche à son appel.
As-tu ton permis ?
• Chez-moi, je conduisais vos véhicules sans papier.
• Je m’engage à t’avoir un permis de séjour et un permis de conduire, tu n’auras qu’à te présenter à l’examinateur qui te convoquera.
En attendant, j’aimerais que tu sortes cette jolie bite que j’ai beaucoup aimée. Si tu acceptes le petit service que je vais te demander de faire pour moi et pour Lola ma fille, nous aurons de longues heures à passer ensemble.
Il faut savoir joindre l’utile à l’agréable.

Je m’agenouille, il ouvre sa braguette sort sa verge qui tout naturellement vient retrouver sa place dans ma bouche.
Elle est toujours aussi longue et belle, ce qui ne gâte rien, elle est dure.
Comme je l’ai dit, à la maison, je suis nue sous ma jupe, je me laisse tomber sur mon lit, les cuisses largement ouvertes, il entre en moi, je jouis dès qu’il est au fond de mon vagin.
Il me laboure, me laboure mais je sens qu'il est pressé.
Il ne s'est pas occupé de mes seins, dommage.

Le lendemain matin vers dix heures, ma fille arrive en pleur, un journal à la main.

• Maman, j’ai eu ton message, mais je n’ai pas cru à tes mises en garde, pourtant tu avais raison, regarde ce que j’ai vu dans un kiosque en descendant ce matin.
Il fallait que je m’achète une boîte de tampons avant de partir.

Je prends et je lis le journal.

« Un homme, se faisant appeler Ludo, mais qui en réalité s’appelait Albert, bien connu des services de police dans diverses affaires de mœurs et de trafic de filles avec l’Italie, a été défenestré du septième étage de son hôtel.
Les autres clients ont entendu un grand cri et un bruit de verre quand il a atterri dans une cour, sur une vérandas, il est mort sur le coup.
La camera de l’hôtel n’a pas montré de personne suspecte entrant par la porte principale, s’il y a eu un meurtre, le coupable serait entré par une porte de service.
De source policière, seule une caméra placée au croisement près de l’hôtel montre un jeune homme partant sur un Piaggio ayant une forte carrure, la machine ayant été volée il y a plusieurs jours.
De source policière, ce dénommé Ludo, prostituait avec ses comparses des jeunes femmes à Barbès dans une maison d’abattage.
Mercredi dernier, une descente était prévue dans cette maison, mais reportée à demain pour une cause inconnu de notre source.
De notre envoyé spécial ».

J’ai eu chaud aux miches je voyais déjà les gros titres comme :
« La femme d’une personne influente se prostituait dans une maison d’abattage de Barbès.
Où va s’arrêter le vice ? »
Heureusement rien de tout ça.
Son travail fait, Moussa est rentré comme je lui avais dit jusque chez nous, le Piaggio, nom que je ne connaissais pas, est en pièces détachées dans notre garage.
J’ai moi-même ouvert le portillon pour qu’il entre, mon mari était en séance de nuit.
Nous n’avons pas parler de ce qu’il avait fait, le principal c’est que ce soit fait.
Cette fin de nuit, il m’a défoncé dans la chambre que j'ai mise à sa disposition.
Il a pris son temps et bien sûr a voulu me prendre toute nue.
Il s'est occupé de mes trous et de mes mamelles.
Ces dernières sont rouges et les tétons ont doublé de volume.
Quand j’ai rejoint ma chambre avant le retour de mon mari et de ma femme de service venant me préparer mon petit déjeuner, j’étais autant fatiguée que si une dizaine de sans papiers de Barbès m’était passée dessus.

Là, ma fille est sur mon épaule finissant par se calmer.
Ça lui a fait un choc d’apprendre que celui qu’elle aimait était un trafiquant de chaire humaine.

• Maman, quand je suis entrée dans le jardin, j’ai vu un grand noir, il parlait avec Paul, tu as trouvé votre nouveau chauffeur ?
• Oui, car tu sais ton papa déteste de plus en plus conduire dans Paris.
• Vous avez bien fait.
Au fait, il s'appelle comment et il a quel âge ?
• C'est Moussa, il a 26 ans je te le présenterai un de ces jours.

Cette dernière remarque je lui fait en rougissant.
Si ma fille savait qu’en parlant de Moussa, mon sexe s'humidifie et se met à couler, c’est bon de se sentir de nouveau pute, je commençais à m’encrouter.



Merci à Anne pour ses corrections

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