COLLECTION VENGEANCE. Je me venge à ma manière (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Je me venge à ma manière (1/1)
• Mon cher Jean Durand patron de mon épouse Jeanne, je te fais parvenir cette lettre et cette bande vidéo.
Quand on veut prendre la femme d’un autre sans son accord lui disant de motiver ses retards par des heures supplémentaires, on lui paye.
Ces heures étant de plus en plus fréquentent, j’ai consulté notre relevé bancaire.
Hélas pour vous, sur notre compte joint, ces heures étaient inexistantes.
Ça m’a mis la puce à l’oreille aussi, je suis allé trainer près de vos bureaux.
C’était la première fois que je venais et j’ai vu la lumière allumée au 6e dans vos services.
Par malchance pour toi et ma femme, en face, il y a un immeuble en construction, vide de tout ouvrier en fin de journée.
Je m’y suis introduit et j’ai pu arriver à la hauteur des deux fenêtres, la tienne fumier et de ta secrétaire ma femme.
Cette pute, tu la baisais ses très beaux seins sur le cuir de ton sous main, j’en avais assez vu, je suis rentrée.
Après une petite enquête rapide, j’ai su que ta femme et sa sœur prenaient régulièrement le thé dans un salon du Ie arrondissement.
Je suis très british, mais j’ai horreur du thé, je me suis forcé à en boire près d’elle tous les jours.
Immanquablement, j’ai eu l’occasion d’engager la conversation.
Nous avons fini en moins de huit jours de nous retrouver à la même table.
Tu avais séduit ma femme, je voulais séduire la tienne.
Rapidement je me suis aperçu qu’au lieu d’Alice, ta femme, Susy ta belle-sœur était intéressée par ma personne.
En moins de temps qu’il en faut, j’ai été invité chez elle sans qu’elle sache que par personne indirecte nous nous connaissions.
Je me suis bien gardée de lui dire.
J’en ai fait ma maîtresse, tu as eu tort de t’en prendre à Jeanne, Susy est loin d’être une plus grande salope que Jeanne, tu as perdu au change !
Bien que se faire baiser sur ton bureau ma femme m’ait caché qu’elle aimait les situations insolites.
Un jour, j’ai eu une chance de cocu, un trait d’humour me plait assez.
J’étais chez elle, je venais de la baiser quand une jeune femme est entrée dans la chambre.
Je te donne en mille qui c’était ?
Pourquoi je te ferais languir, ta fille et ta belle-sœur sont des gouines ?
Joli brin de fille ta Cosette, mais vierge au moment où elle nous a rejointes dans notre lit.
Elles avaient monté le coup et elle m’ont demandé de dépuceler ta fille et qui mieux que moi, avec ma classe pour le faire.
Pendant plusieurs jours, je prospectais le matin mes clients et l’après-midi je rejoignais notre alcôve de luxure.
Si tu voyais comment ta fille léchait la chatte de Susy, rien que cela, j’aie réussi à me venger.
Elles se mettaient en levrette et je les prenais alternativement chacune leur tour, jusqu’à les faire hurler de plaisir.
Mais il m’en a fallu plus surtout quand j’ai su que tu étais un ardent défenseur de la suprématie blanche.
En plus, tu milites et présides cette association, tu es raciste, ma vengeance était toute trouvée.
À partir de là, tout est sur la cassette, regarde là tu verras ce que j’ai trouvé d’ignoble pour toi, je te laisse la regarder, viens que je te dise la suite dès que tu auras été à son terme.
Si tu en as le courage, bien sûr, il est plus facile de baiser la femme des autres que de regarder ses propres turpitudes familiales.
Alors te revoilas, tu as vu ce que je leur ai fait faire.
Cent, pas un de moins, cent Maghrébins pour les baisers dans une salle que j’avais louée.
Je les ai persuadées qu’elles allaient vivre une aventure fantastique.
Tu m’excuseras pour le plan fixe des images de la cassette, il fallait que je gère tout.
Pour trouver ces cent bites, certaines noires, j’ai créé un site Internet où je demandais 200 € pour deux putes voulant baiser de la verge des pays de l’autre côté de la Méditerranée.
J’ai eu plus de 200 Mails, j’ai choisi au vu des photos, elles se sont pris toute l’après-midi les plus grosses.
Elles se sont fait ravager et quand j’ai arrêté de filmer, elles étaient couvertes de sperme.
Merde, ta fille, ta petite fille chérie, les petites filles à leur papa sont toujours leur petite fille chérie.
Ta fille, tu l’as vue se faire prendre par plusieurs mecs, chaque fois qu’elle se faisait enculer, c’était la continuité de celle ou s’était moi qui lui avais défoncé le cul.
En levrette, elle adore qu’une verge lui défonce l’anus, si elle continue elle devra se faire opérer pour resserrer tout ça.
Tu as vu les dernières images, elles semblent avoir apprécié surtout ta fille.
Elle est plus tolérante sur la couleur de nos invités étrangers, elle m’a demandé de lui donner le lien Internet et elle va continuer à se faire des clients.
Une escorte, ta fille j’en ai fait une escorte.
La seule différence, si tu savais ce que je me fiche du fric, les 20 000 € que l’opération m’a rapportés, je les ai envoyés au resto du cœur.
Si tu veux aider ta fille à se faire du fric, je te donne le lien, tu pourras lui envoyer des clients.
Dit leur simplement que ses tarifs ont énormément augmenté, 500 € la passe, le double avec sodo, il lui faut bien gagner sa vie.
Voilà je te laisse, ma femme est encore au travail.
Sur le bureau, sur ta chaise, comment vas-tu l’a baisé aujourd’hui ?
Voilà tout est en ordre, je me suis vengé, Jean Dupond a licencié ma femme, pour faute grave.
Cosette, je dépense 500 € de temps en tempos pour la baiser, elle a un travail, même si s’est avec ses miches.
J’ai divorcé, Jeanne étant sans emploi, si elle le désire, je lui crée un site et elle demande à Cosette des conseils avec ses clients, elle était garce, elle peut bien être pute.
Et moi dans tout ça.
Tout roule, j’ai rendez-vous au restaurant avec Alice ex-madame Durand, je lui avais envoyé une cassette avec en plus quelques images prises de l’immeuble en construction, avec vue plongeante sur la verge de son mari, pilonnant ma femme.
Voilà la vie continue, si vous me croisez un jour et que j’aie refait ma vie, évitez de m’énerver.
Quand on veut prendre la femme d’un autre sans son accord lui disant de motiver ses retards par des heures supplémentaires, on lui paye.
Ces heures étant de plus en plus fréquentent, j’ai consulté notre relevé bancaire.
Hélas pour vous, sur notre compte joint, ces heures étaient inexistantes.
Ça m’a mis la puce à l’oreille aussi, je suis allé trainer près de vos bureaux.
C’était la première fois que je venais et j’ai vu la lumière allumée au 6e dans vos services.
Par malchance pour toi et ma femme, en face, il y a un immeuble en construction, vide de tout ouvrier en fin de journée.
Je m’y suis introduit et j’ai pu arriver à la hauteur des deux fenêtres, la tienne fumier et de ta secrétaire ma femme.
Cette pute, tu la baisais ses très beaux seins sur le cuir de ton sous main, j’en avais assez vu, je suis rentrée.
Après une petite enquête rapide, j’ai su que ta femme et sa sœur prenaient régulièrement le thé dans un salon du Ie arrondissement.
Je suis très british, mais j’ai horreur du thé, je me suis forcé à en boire près d’elle tous les jours.
Immanquablement, j’ai eu l’occasion d’engager la conversation.
Nous avons fini en moins de huit jours de nous retrouver à la même table.
Tu avais séduit ma femme, je voulais séduire la tienne.
Rapidement je me suis aperçu qu’au lieu d’Alice, ta femme, Susy ta belle-sœur était intéressée par ma personne.
En moins de temps qu’il en faut, j’ai été invité chez elle sans qu’elle sache que par personne indirecte nous nous connaissions.
Je me suis bien gardée de lui dire.
J’en ai fait ma maîtresse, tu as eu tort de t’en prendre à Jeanne, Susy est loin d’être une plus grande salope que Jeanne, tu as perdu au change !
Bien que se faire baiser sur ton bureau ma femme m’ait caché qu’elle aimait les situations insolites.
Un jour, j’ai eu une chance de cocu, un trait d’humour me plait assez.
J’étais chez elle, je venais de la baiser quand une jeune femme est entrée dans la chambre.
Je te donne en mille qui c’était ?
Pourquoi je te ferais languir, ta fille et ta belle-sœur sont des gouines ?
Joli brin de fille ta Cosette, mais vierge au moment où elle nous a rejointes dans notre lit.
Elles avaient monté le coup et elle m’ont demandé de dépuceler ta fille et qui mieux que moi, avec ma classe pour le faire.
Pendant plusieurs jours, je prospectais le matin mes clients et l’après-midi je rejoignais notre alcôve de luxure.
Si tu voyais comment ta fille léchait la chatte de Susy, rien que cela, j’aie réussi à me venger.
Elles se mettaient en levrette et je les prenais alternativement chacune leur tour, jusqu’à les faire hurler de plaisir.
Mais il m’en a fallu plus surtout quand j’ai su que tu étais un ardent défenseur de la suprématie blanche.
En plus, tu milites et présides cette association, tu es raciste, ma vengeance était toute trouvée.
À partir de là, tout est sur la cassette, regarde là tu verras ce que j’ai trouvé d’ignoble pour toi, je te laisse la regarder, viens que je te dise la suite dès que tu auras été à son terme.
Si tu en as le courage, bien sûr, il est plus facile de baiser la femme des autres que de regarder ses propres turpitudes familiales.
Alors te revoilas, tu as vu ce que je leur ai fait faire.
Cent, pas un de moins, cent Maghrébins pour les baisers dans une salle que j’avais louée.
Je les ai persuadées qu’elles allaient vivre une aventure fantastique.
Tu m’excuseras pour le plan fixe des images de la cassette, il fallait que je gère tout.
Pour trouver ces cent bites, certaines noires, j’ai créé un site Internet où je demandais 200 € pour deux putes voulant baiser de la verge des pays de l’autre côté de la Méditerranée.
J’ai eu plus de 200 Mails, j’ai choisi au vu des photos, elles se sont pris toute l’après-midi les plus grosses.
Elles se sont fait ravager et quand j’ai arrêté de filmer, elles étaient couvertes de sperme.
Merde, ta fille, ta petite fille chérie, les petites filles à leur papa sont toujours leur petite fille chérie.
Ta fille, tu l’as vue se faire prendre par plusieurs mecs, chaque fois qu’elle se faisait enculer, c’était la continuité de celle ou s’était moi qui lui avais défoncé le cul.
En levrette, elle adore qu’une verge lui défonce l’anus, si elle continue elle devra se faire opérer pour resserrer tout ça.
Tu as vu les dernières images, elles semblent avoir apprécié surtout ta fille.
Elle est plus tolérante sur la couleur de nos invités étrangers, elle m’a demandé de lui donner le lien Internet et elle va continuer à se faire des clients.
Une escorte, ta fille j’en ai fait une escorte.
La seule différence, si tu savais ce que je me fiche du fric, les 20 000 € que l’opération m’a rapportés, je les ai envoyés au resto du cœur.
Si tu veux aider ta fille à se faire du fric, je te donne le lien, tu pourras lui envoyer des clients.
Dit leur simplement que ses tarifs ont énormément augmenté, 500 € la passe, le double avec sodo, il lui faut bien gagner sa vie.
Voilà je te laisse, ma femme est encore au travail.
Sur le bureau, sur ta chaise, comment vas-tu l’a baisé aujourd’hui ?
Voilà tout est en ordre, je me suis vengé, Jean Dupond a licencié ma femme, pour faute grave.
Cosette, je dépense 500 € de temps en tempos pour la baiser, elle a un travail, même si s’est avec ses miches.
J’ai divorcé, Jeanne étant sans emploi, si elle le désire, je lui crée un site et elle demande à Cosette des conseils avec ses clients, elle était garce, elle peut bien être pute.
Et moi dans tout ça.
Tout roule, j’ai rendez-vous au restaurant avec Alice ex-madame Durand, je lui avais envoyé une cassette avec en plus quelques images prises de l’immeuble en construction, avec vue plongeante sur la verge de son mari, pilonnant ma femme.
Voilà la vie continue, si vous me croisez un jour et que j’aie refait ma vie, évitez de m’énerver.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire mal écrite le français n est pas votre fort quand à vos fantasmes ce sont des histoires de marseillais c est à dire des galejades. Les lecteurs ni croient pas et ils ont bien raison.On se rend compte que vous avez beaucoup de temps libre pour écrire autant de récits plus bêtes les uns que les autres fonctionnaire peut être ou cassos qui sait.