COLLECTION VENGEANCE. Ma fille dans une vitrine. Début de la saison II (4/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2382 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 928 481 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 2 285 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION VENGEANCE. Ma fille dans une vitrine. Début de la saison II (4/6)
Je suis revenu, la suite de notre histoire qui je l’espère vous plait va se terminer dans l’épisode 6, bonne lecture.
« Gand, vitrine... »
C’est le point de départ de l’aventure que je suis en train de vivre.
Ce SMS, je l’ai reçu il y a à peine deux jours et j’ai enfin après trois ans d’incertitude et de peur de ce qui a pu arriver à ma fille Jade, depuis qu’un jour sans crier gare, elle a disparu.
Gand et vitrine était bien un lieu et une activité qu’on semble lui imposer après que je l’ai reconnue et que je constate qu’en dehors de cette galerie de verre, elle est logée dans un immeuble proche.
J’arrive à prendre une chambre chez une vieille Bretonne ou je peux observer les allées et venues grâce à une caméra reliée à mon ordinateur me permettant d’observer sans être vue.
Dès le premier visionnage en accéléré, je constate qu’en plus de Sylvie, une de mes employées ayant démissionné, une autre fille est dans cet immeuble alors que je pense l’avoir déjà vue.
Il y a aussi un gros porc qui sexe une des filles dans son logement, il semble être le lien entre les filles et ce que je pense le chef de cette organisation ayant fait tomber ma fille dans la prostitution.
J’ai été au sein des commandos marines pendant cinq ans avant de créer ma boîte de nettoyage, principalement de bureaux ou autres entrepôts très nombreux autour de Sarcelles ou je me suis installé.
La vieille bretonne, chez qui je loge, vient de me faire des crêpes et c’est le ventre plein que je retourne dans ma chambre.
Lorsque j’entre, je regarde par la fenêtre.
Si je lui avais cédé, car cette femme la soixantaine semblait prête à céder à mon charme, j’aurais loupé ce que je vois de mes propres yeux.
Est-ce possible devant la porte, se présente ma fille et c’est impossible que ce soit lui.
Rocco, nul doute que ce soit un autre, en quelques secondes tout s’éclaire !
Ce garçon que j’emploie un certain nombre d’heures par semaine doit se servir dans mon personnel, principalement féminin, pour les forcer à se prostituer.
Je passe une nuit blanche, comment est-ce possible, au matin ayant fait la boucle, j’en déduis qu’il faut que je parle avec Jade pour savoir ce que je peux entreprendre.
C’est le lendemain en suivant Jade et Sylvie, que je les vois avec Rocco.
Ils entrent dans un restaurant, mais Rocco en ressort au bout de quelques minutes et s’éloigne.
Est-il possible que ces fumiers offrent une journée de repos aux filles afin de faire croire à la police qu’elles sont indépendantes ?
Pourtant, j’ai la preuve sur image, qu’un gros porc vient se servir pour assouvir ses besoins sexuels et relever les compteurs !
Les deux filles sont assises à une table, je vais vers elle.
• Lola, ton père, je t’avais bien dit que j’avais eu l’impression de le voir alors que j’attendais le client.
• Papa, tu es fou !
• Pourquoi ton père serait fou d’avoir toujours cru te retrouver un jour après ta disparition mystérieuse ?
• Ils vont te tuer et ils vont nous tuer, nous sommes souvent surveillés pendant notre jour de repos et ils sont peut-être déjà au courant qu’un homme s’est assis à notre table.
Lorsque Jade semblant avoir été rebaptisée Lola, je m’assieds à leurs côtés.
• Jade, comment en es-tu arrivée là et toi aussi Sylvie ?
• Sylvie, c’est Carla maintenant, moi, c’est de ma faute et de ta faute.
Je vais te dire rapidement ce qui m’est arrivé et après tu disparaitras, j’ai fait une faute et je la paye tous les jours que dieu me fait vivre.
À qui as-tu demandé de t’aider à me trouver un appartement quand je suis entrée à la fac de Nanterre ?
• Rocco, ce fumier !
• Oui, Rocco, qui a été patient, il a sonné chez moi un soir sous couvert de voir si j’étais bien installée.
• Et il t’a violé ce fumier.
• Non, il est plus malin que ça, en lui demandant de t’aider, tu avais mis le ver dans le fruit.
Il m’a séduite et je lui ai donné ma virginité, il est beau et quand j’ai été complètement sous son charme, il m’a entraînée vers ce qui est devenu ma vie.
Le jour où nous devions fleurir la tombe de maman, il m’a dit m’emmener en Hollande voir les tulipes.
Il drogue nos verres sous couvert de trinquer et je me suis réveillée, tout comme Carla, dans une pièce sans fenêtre.
• Arrête Lola, c’est ton père, il va comprendre que tu as été à la merci d’hommes qui tout comme moi, t-ont amadouée jusqu’à ce que tu acceptes de travailler dans leurs vitrines, pour nous Gant !
• Carla a raison, c’est mieux que ce soit elle qui te le dise.
• Pourquoi comme maintenant alors que vous semblez libre, vous restez à attendre que votre calvaire continu ?
• Pour deux choses, pour moi, Rocco en me laissant pendant quelque temps à être amadoué, m’a dit que si j’allais à la police, il te couperait les couilles.
Lorsque j’ai été obligé de vivre ma vie actuelle, j’ai vu arriver Carla, quelques mois après-moi, il s’en était pris à elle la séduisant.
Sylvie a un fils qui vit avec nous et c’est lui qu’il menace de tuer si elle a la moindre velléité de rébellion.
• Dans les premières semaines, Suzanna, qui travaillait chez vous, a essayé de leur échapper, elle avait, elle aussi une fille.
Si vous aviez lu la presse belge, elle est morte et sa fille a disparu.
Dieu seul sait où elle est, elle doit avoir moins de vingt ans.
Si vous nous observez, vous avez dû le voir arrivé.
Jasmine l’a entendue parler avec Karl, c’est celui qui nous garde et ramasse le fric.
Ce gros salop que j’ai vu sauter une jeune femme, s’appelle Karl et j’avais vu juste, il relève les compteurs profitant des filles et certainement de Jade.
Ma fille doit être aussi sautée par ce fumier sans considération pour les femmes.
Des envies de meurtre montent en moi.
• Il lui annonçait qu’une nouvelle fille allait arriver, elle était encore un peu rébarbative, elle l’avait même éconduit, mais il se faisait fi de leur amener dans les quinze jours suivants.
• Papa, je t’en supplie, tu vois à qui tu as affaire, trouve un moyen de renvoyer Rocco le coupant de sa ligne d’approvisionnement.
Retourne à Paris, Rocco doit revenir dans quelques minutes, il est là pour quelques heures.
• Couches-tu encore avec lui malgré tes clients ?
• Je vais te choquer, c’est notre homme et chaque fois qu’il vient et nous prends dans son lit, tout est toujours très beau.
Je sais, c’est impossible à comprendre pour un homme ayant le respect des femmes et de ta femme, jusqu’à sa mort, mais laisse-moi, c’est ma vie maintenant.
Que dire, à ça, je me lève, je quitte le restaurant, je comprends dans quel trou sans fond ma fille se retrouve avec sa copine Sylvie et je retourne chez la Bretonne ?
Je sors une nouvelle fois mon couteau attendant le retour de ce fumier qui semble se servir de mon entreprise pour trouver des filles faciles à contraindre.
À l’armée dans les commandos, j’ai appris une règle de base devant une situation comme celle que je vis.
Le calme et la patience, ces éléments de base je suis en train de les fouler aux pieds.
Je respire profondément faisant retomber la pression.
Qui est cette femme que Rocco se fait fort d’amener à la prostitution.
Il faut que je consulte les fiches de toutes les femmes et certainement dans les dernières embauchées.
Si j’arrive à poignarder ces deux types, je finirai en prison et ma fille se retrouvera toujours à être contrainte à se prostituer.
Je range mon couteau dans mon sac et je quitte le gîte après avoir réglé à la Bretonne, lui promettant de revenir dans quelque temps.
Elle me donne quelques crêpes au froment pour manger pendant mon voyage de retour.
La route jusqu’à Sarcelles est interminable, les images de ma fille en petite tenue ouvrant la porte de sa vitrine me rongent.
Rocco s’en est pris à mes ouvrières, ça c’est mal, mais lui avoir demandé de m’aider à trouver un logement à ma fille là lui apportant sur un plateau, j’ai du mal à le digérer.
Il est 17 heures quand j’arrive dans mon parking sous mon immeuble.
Je monte dans les bureaux sans passer par chez moi.
Laurine est encore là , elle va me faire gagner du temps, elle connaît mieux le fichier du personnel que moi.
• Bonjour Laurine, avez-vous quelques minutes avant de rentrer chez vous ?
• Tout le temps que vous voulez, je suis seule chez moi personnes pour m’attendre !
Les renseignements sur la jeune femme que je vous ai procurée vous ont été utiles !
• Très, mais il faut que je complète cette recherche par d’autres.
• Que voulez-vous que je recherche comme critères, monsieur Ariel a fait acheter notre base pour ses recherches rapidement en cas de besoin ?
Adresse, âge et la situation de famille, dans le respect des règles des fichiers informatiques.
• Disons, jeunes, moins de 30 ans avec des attaches familiales avec au moins un enfant.
À oui, peut-on chercher, même dans le personnel ayant quitté l’entreprise.
• Si vous voulez qu’elle soit jolie, c’est impossible, pas de critères de races, de couleurs ou autres renseignements de ce genre.
Voilà, c’est parti, 20 fiches, dont 18 ont démissionné.
• Avez-vous les signatures d’embauche et de démission ?
• Je demande, 16 ont les deux fiches.
Deux seulement l’embauche, il arrive que des filles démissionnent par un simple coup de téléphone.
Nous consultons une par une, les deux fiches, 12, dont celle de Carla-Sylvie, ont des signatures différentes.
Le mal est plus profond si l’on rajoute Jade, j’ai du mal à dire Lola.
Je eux aussi être considéré comme un proxo se servant de son entreprise pour choisir des filles à envoyer dans des vitrines ou dans des bars à putes.
Il faut que je me sorte de ce merdier sans que la police puisse avoir le moindre soupçon de mon implication, même si ma fille fait partie du lot des filles se prostituant pour ce fumier de Rocco...
« Gand, vitrine... »
C’est le point de départ de l’aventure que je suis en train de vivre.
Ce SMS, je l’ai reçu il y a à peine deux jours et j’ai enfin après trois ans d’incertitude et de peur de ce qui a pu arriver à ma fille Jade, depuis qu’un jour sans crier gare, elle a disparu.
Gand et vitrine était bien un lieu et une activité qu’on semble lui imposer après que je l’ai reconnue et que je constate qu’en dehors de cette galerie de verre, elle est logée dans un immeuble proche.
J’arrive à prendre une chambre chez une vieille Bretonne ou je peux observer les allées et venues grâce à une caméra reliée à mon ordinateur me permettant d’observer sans être vue.
Dès le premier visionnage en accéléré, je constate qu’en plus de Sylvie, une de mes employées ayant démissionné, une autre fille est dans cet immeuble alors que je pense l’avoir déjà vue.
Il y a aussi un gros porc qui sexe une des filles dans son logement, il semble être le lien entre les filles et ce que je pense le chef de cette organisation ayant fait tomber ma fille dans la prostitution.
J’ai été au sein des commandos marines pendant cinq ans avant de créer ma boîte de nettoyage, principalement de bureaux ou autres entrepôts très nombreux autour de Sarcelles ou je me suis installé.
La vieille bretonne, chez qui je loge, vient de me faire des crêpes et c’est le ventre plein que je retourne dans ma chambre.
Lorsque j’entre, je regarde par la fenêtre.
Si je lui avais cédé, car cette femme la soixantaine semblait prête à céder à mon charme, j’aurais loupé ce que je vois de mes propres yeux.
Est-ce possible devant la porte, se présente ma fille et c’est impossible que ce soit lui.
Rocco, nul doute que ce soit un autre, en quelques secondes tout s’éclaire !
Ce garçon que j’emploie un certain nombre d’heures par semaine doit se servir dans mon personnel, principalement féminin, pour les forcer à se prostituer.
Je passe une nuit blanche, comment est-ce possible, au matin ayant fait la boucle, j’en déduis qu’il faut que je parle avec Jade pour savoir ce que je peux entreprendre.
C’est le lendemain en suivant Jade et Sylvie, que je les vois avec Rocco.
Ils entrent dans un restaurant, mais Rocco en ressort au bout de quelques minutes et s’éloigne.
Est-il possible que ces fumiers offrent une journée de repos aux filles afin de faire croire à la police qu’elles sont indépendantes ?
Pourtant, j’ai la preuve sur image, qu’un gros porc vient se servir pour assouvir ses besoins sexuels et relever les compteurs !
Les deux filles sont assises à une table, je vais vers elle.
• Lola, ton père, je t’avais bien dit que j’avais eu l’impression de le voir alors que j’attendais le client.
• Papa, tu es fou !
• Pourquoi ton père serait fou d’avoir toujours cru te retrouver un jour après ta disparition mystérieuse ?
• Ils vont te tuer et ils vont nous tuer, nous sommes souvent surveillés pendant notre jour de repos et ils sont peut-être déjà au courant qu’un homme s’est assis à notre table.
Lorsque Jade semblant avoir été rebaptisée Lola, je m’assieds à leurs côtés.
• Jade, comment en es-tu arrivée là et toi aussi Sylvie ?
• Sylvie, c’est Carla maintenant, moi, c’est de ma faute et de ta faute.
Je vais te dire rapidement ce qui m’est arrivé et après tu disparaitras, j’ai fait une faute et je la paye tous les jours que dieu me fait vivre.
À qui as-tu demandé de t’aider à me trouver un appartement quand je suis entrée à la fac de Nanterre ?
• Rocco, ce fumier !
• Oui, Rocco, qui a été patient, il a sonné chez moi un soir sous couvert de voir si j’étais bien installée.
• Et il t’a violé ce fumier.
• Non, il est plus malin que ça, en lui demandant de t’aider, tu avais mis le ver dans le fruit.
Il m’a séduite et je lui ai donné ma virginité, il est beau et quand j’ai été complètement sous son charme, il m’a entraînée vers ce qui est devenu ma vie.
Le jour où nous devions fleurir la tombe de maman, il m’a dit m’emmener en Hollande voir les tulipes.
Il drogue nos verres sous couvert de trinquer et je me suis réveillée, tout comme Carla, dans une pièce sans fenêtre.
• Arrête Lola, c’est ton père, il va comprendre que tu as été à la merci d’hommes qui tout comme moi, t-ont amadouée jusqu’à ce que tu acceptes de travailler dans leurs vitrines, pour nous Gant !
• Carla a raison, c’est mieux que ce soit elle qui te le dise.
• Pourquoi comme maintenant alors que vous semblez libre, vous restez à attendre que votre calvaire continu ?
• Pour deux choses, pour moi, Rocco en me laissant pendant quelque temps à être amadoué, m’a dit que si j’allais à la police, il te couperait les couilles.
Lorsque j’ai été obligé de vivre ma vie actuelle, j’ai vu arriver Carla, quelques mois après-moi, il s’en était pris à elle la séduisant.
Sylvie a un fils qui vit avec nous et c’est lui qu’il menace de tuer si elle a la moindre velléité de rébellion.
• Dans les premières semaines, Suzanna, qui travaillait chez vous, a essayé de leur échapper, elle avait, elle aussi une fille.
Si vous aviez lu la presse belge, elle est morte et sa fille a disparu.
Dieu seul sait où elle est, elle doit avoir moins de vingt ans.
Si vous nous observez, vous avez dû le voir arrivé.
Jasmine l’a entendue parler avec Karl, c’est celui qui nous garde et ramasse le fric.
Ce gros salop que j’ai vu sauter une jeune femme, s’appelle Karl et j’avais vu juste, il relève les compteurs profitant des filles et certainement de Jade.
Ma fille doit être aussi sautée par ce fumier sans considération pour les femmes.
Des envies de meurtre montent en moi.
• Il lui annonçait qu’une nouvelle fille allait arriver, elle était encore un peu rébarbative, elle l’avait même éconduit, mais il se faisait fi de leur amener dans les quinze jours suivants.
• Papa, je t’en supplie, tu vois à qui tu as affaire, trouve un moyen de renvoyer Rocco le coupant de sa ligne d’approvisionnement.
Retourne à Paris, Rocco doit revenir dans quelques minutes, il est là pour quelques heures.
• Couches-tu encore avec lui malgré tes clients ?
• Je vais te choquer, c’est notre homme et chaque fois qu’il vient et nous prends dans son lit, tout est toujours très beau.
Je sais, c’est impossible à comprendre pour un homme ayant le respect des femmes et de ta femme, jusqu’à sa mort, mais laisse-moi, c’est ma vie maintenant.
Que dire, à ça, je me lève, je quitte le restaurant, je comprends dans quel trou sans fond ma fille se retrouve avec sa copine Sylvie et je retourne chez la Bretonne ?
Je sors une nouvelle fois mon couteau attendant le retour de ce fumier qui semble se servir de mon entreprise pour trouver des filles faciles à contraindre.
À l’armée dans les commandos, j’ai appris une règle de base devant une situation comme celle que je vis.
Le calme et la patience, ces éléments de base je suis en train de les fouler aux pieds.
Je respire profondément faisant retomber la pression.
Qui est cette femme que Rocco se fait fort d’amener à la prostitution.
Il faut que je consulte les fiches de toutes les femmes et certainement dans les dernières embauchées.
Si j’arrive à poignarder ces deux types, je finirai en prison et ma fille se retrouvera toujours à être contrainte à se prostituer.
Je range mon couteau dans mon sac et je quitte le gîte après avoir réglé à la Bretonne, lui promettant de revenir dans quelque temps.
Elle me donne quelques crêpes au froment pour manger pendant mon voyage de retour.
La route jusqu’à Sarcelles est interminable, les images de ma fille en petite tenue ouvrant la porte de sa vitrine me rongent.
Rocco s’en est pris à mes ouvrières, ça c’est mal, mais lui avoir demandé de m’aider à trouver un logement à ma fille là lui apportant sur un plateau, j’ai du mal à le digérer.
Il est 17 heures quand j’arrive dans mon parking sous mon immeuble.
Je monte dans les bureaux sans passer par chez moi.
Laurine est encore là , elle va me faire gagner du temps, elle connaît mieux le fichier du personnel que moi.
• Bonjour Laurine, avez-vous quelques minutes avant de rentrer chez vous ?
• Tout le temps que vous voulez, je suis seule chez moi personnes pour m’attendre !
Les renseignements sur la jeune femme que je vous ai procurée vous ont été utiles !
• Très, mais il faut que je complète cette recherche par d’autres.
• Que voulez-vous que je recherche comme critères, monsieur Ariel a fait acheter notre base pour ses recherches rapidement en cas de besoin ?
Adresse, âge et la situation de famille, dans le respect des règles des fichiers informatiques.
• Disons, jeunes, moins de 30 ans avec des attaches familiales avec au moins un enfant.
À oui, peut-on chercher, même dans le personnel ayant quitté l’entreprise.
• Si vous voulez qu’elle soit jolie, c’est impossible, pas de critères de races, de couleurs ou autres renseignements de ce genre.
Voilà, c’est parti, 20 fiches, dont 18 ont démissionné.
• Avez-vous les signatures d’embauche et de démission ?
• Je demande, 16 ont les deux fiches.
Deux seulement l’embauche, il arrive que des filles démissionnent par un simple coup de téléphone.
Nous consultons une par une, les deux fiches, 12, dont celle de Carla-Sylvie, ont des signatures différentes.
Le mal est plus profond si l’on rajoute Jade, j’ai du mal à dire Lola.
Je eux aussi être considéré comme un proxo se servant de son entreprise pour choisir des filles à envoyer dans des vitrines ou dans des bars à putes.
Il faut que je me sorte de ce merdier sans que la police puisse avoir le moindre soupçon de mon implication, même si ma fille fait partie du lot des filles se prostituant pour ce fumier de Rocco...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...