COLLECTION VENGEANCE. Ma fille dans une vitrine. Fin de la saison II et de l’histoire (6/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION VENGEANCE. Ma fille dans une vitrine. Fin de la saison II et de l’histoire (6/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Ma fille dans une vitrine. Fin de la saison II et de l’histoire (6/6)
« Gand, vitrine... »
Je sais qui m’a envoyé ce SMS, Laurine ma secrétaire.
Je sais qui est le fumier qui a enlevé ma fille, Rocco, le gars que j’ai embauché pour m’aider à développer mon entreprise en me trouvant des contrats de nettoyage.
Je sais qui a prostitué ma fille pendant ces trois longues années, Rocco ce beau gosse qui semble être un homme sans scrupule.
Rocco que j’avais engagé pour me trouver des clients et qui m’a trompé en séduisant les plus belles employées, souvent des femmes seules avec enfant et les envoyant tapiner en Belgique.
En contrôlant nos fichiers, nous avons constaté avec Laurine, qu’une douzaine d’anomalies surtout sur les fiches de démission étaient anormales.
Douze filles dont Sophie, rebaptisé Carla, la fille qui est à côté de Jade dans une vitrine à Gand, elle aussi ayant un nouveau nom Lola.
Douze filles, mais aussi une treizième que j’ai cru reconnaître sans mettre de nom, il est vrai que j’emploie presque exclusivement des femmes.

Ça fait une semaine que Laurine se cache chez moi et que je la rejoins le midi et le soir.
Je me rends compte que mon cœur que je croyais insensible depuis le décès accidentel de mon épouse bat pour cette jeune femme de dix ans ma cadette.

Tous les jours, je vais regarder la presse internationale.
Par chance, je vais voir celle des pays limitrophes dont la Belgique.
Ce matin, bingo, un article de la presse gantoise montre que notre action a été efficace.

« Dans le cadre d’une enquête ouverte par notre police, il y a plusieurs mois et grâce à des renseignements complémentaires survenue ces derniers jours, un grand coup de filet a eu lieu dans le milieu de la prostitution.
À l’aube, un réseau a été démantelé, il était composé d’une cheffe d’origine bretonne qui habitait près de la célèbre Glass Alley.
Elle se vantait de faire les meilleures crêpes de Belgique à ses hôtes dans son gîte qui lui servait de couverture.
Elle a été arrêtée en même temps que son premier fils, qui gérait l’hôtel voisin, qu’ils avaient racheté et qui leur servait à blanchir l’argent de la prostitution que les filles récoltaient dans des vitres de cette galerie.
Le deuxième fils, Rocco, le play-boy de la famille, séduisait des femmes et les ramenait auprès de sa mère qui faisait le nécessaire pour les contraindre à se prostituer.
Rocco a été arrêté dans l’immeuble face à la maison de sa mère où les filles vivaient, certaines avec leur enfant qui servait à cette famille de moyens de pression.
Les premiers papiers retrouvés montrent que ça fait des années que cette famille prostituait des filles voulant malgré leur fortune de plus en plus d’argent.
Nous vous tiendrons informé des nouvelles découvertes dans ce dossier plein de ramification qui touche la Belgique, principalement Gand et Anvers.
La France était touchée, car la plupart des filles en étaient originaires et aussi la Hollande, surtout Amsterdam où la famille avait acquis des vitrines. »
Comme l’on dit, le cul me tombe de ma chaise, si je résume l’article, la police était sur le coup du réseau dirigé par Gwenaëlle la mère, Jeff le fils gérant l’hôtel et Rocco le rabatteur de filles.
Dire que c’est moi qui l’ai embauché lui donnant toute latitude de se servir parmi les filles que j’emploie.
Et que dire de ma fille que j’ai offerte sur un plateau pour qu’il se serve en venant la rencontrer derrière mon dos.
Notre coup de téléphone anonyme aurait fait accélérer l’enquête.
Heureusement, que j’ai épargné l’allemand et Rocco, c’est moi qui me serais retrouvé dans la merde, même si j’avais simplement agi pour ma fille.
En Belgique comme en France, la justice est là et l’auto-justice est interdite.
Ces fumiers vont passer quelques années en prison.

Sept ans, ça fait sept ans que Rocco est en prison près de Bruxelles.
Sept ans que je ronge mon frein, il en avait pris pour dix ans, mais je sais qu’il sort demain pour bonne conduite et comme chez nous pour surpopulation carcérale.

Que s’est-il passé pendant ces années ?
Entre ce que nous avions pensé et ce qu’il y a eu lieu, dans la réalité tout a été plus simple.
Certes, la police est venue, mais pour accompagner Jade et Sylvie avec armes et bagages ainsi que le fils de cette dernière.
Rocco plus pleutre devant la police que devant les filles a tout avoué de sa double vie.
De façades honnêtes lorsqu’il cherchait à enrôler des filles et crapuleuse lorsque avec des comparses, il les prostituait.
Par la police, j’ai su que les filles lors des week-ends en amoureux qu’il proposait aux filles, c’est dans la cave insonorisée de la maison de Gwenaëlle qu’elles atterrissaient avant de finir dans une vitrine.
Dire que c’est sous mes pieds que Jade avait été contrainte à devenir prostituée et où j’avais couché et mangé des crêpes.
J’ai été mis hors de cause et même Laurine aurait pu reprendre son travail sans être le moins du monde inquiétée.

Si elle a été remplacée comme secrétaire, c’est rapidement pour devenir la femme du patron un an après et offrir un demi-frère à Jade.
Demi-frère, car à ce jour, elle vit d’amour avec Sylvie dans un appartement au centre de Sarcelles.
Lors des heures, où, les deux femmes vivaient dans l’immeuble gardé par Karl l’allemand, elles dormaient ensemble ce qui les en protégeait.
En effet, ce gros porc exécrait les gouines, il ramassait le pognon sans les sexer.
Il faut dire qu’il avait assez à faire avec les autres.
J’ignorais que ma fille était une brouteuse de chatte, mais en homme ouvert, j’ai accepté leur couple sans le moindre problème.
Il faut reconnaître que pendant tout le temps où la famille les a prostitués, elles ont eu leur lot de bites en tout genre.
J’ai dit que Laurine avait été remplacée, c’est Sylvie qui tient le poste.
Elle avait commencé des études de secrétariat quand elle avait eu son fils l’obligeant à trouver du travail.
Comme technicienne de surface et finirent comme objet de vitrine.
Sylvie a suivi un stage de remise à niveau et est très heureuse, car elle travaille à côté de celle qu’elle aime.
Jade qui aide Ariel dans diverses tâches et apprend à me remplacer le jour ou nécessité fera loi.

Me remplacer, car dans ma vie, il me reste une chose à faire, me venger de ce que Rocco a fait à ma fille !
Non, mes filles, car toutes celles qui travaillent pour moi sont un peu mes filles et aussi à ma femme.
Elle comme moi nous souvenons que si j’étais resté mes deux pieds dans mes pantoufles, Laurine en ce moment subirait bien d’autres bites que la mienne dans une de ces vitrines de Gand, Amsterdam ou Anvers.
Ça nous fait mal au cœur que ce fumier sorte et recommence certainement son trafic de femmes même si sa mère est décédée en prison.
Comment sais-je que sa mère est morte ?

Grâce aux lettres que nous échangeons Laurine et moi avec lui.
Je vois d’ici les gens dire, quel con, il prostitue sa fille, voulait en faire de même avec sa femme sans compter les autres filles et ils échangent du courrier.
Ces lettres, nous avons eu l’idée de les écrire ensemble avec ma femme, lorsqu’un soir où elle devait rester allonger à cause de Gratien notre fils encore en état de fabrication.
Aux infos, ils ont expliqué que des femmes en mal de sensation forte flashaient sur des salopards, parmi elles, certaines vont mêmes jusqu’à les épouser en prison.
Le lendemain nous confectionnons notre première lettre en nous protégeant les mains avec des gants de chirurgien.
Inutile de laisser nos empreintes.
La réponse devait nous revenir poste restante à Roubaix ou Laurine était censée habiter chez un mari tyrannique ayant une petite bite et dans l’incapacité de la satisfaire.
Dans cette lettre, nous lui expliquions que Sabrina, c’est le nom que nous avions choisi, comme lui l’avait fait avec Jade, Sylvie et toutes les autres.
Le réseau mafieux leur fabriquait de faux papiers et une nouvelle identité grâce à sa salope de mère bretonne, même si elle faisait de bonnes crêpes.

Il a fallu écrire trois lettres, une par semaine, avant d’avoir une réponse de Rocco.
Une par quinzaine, il fallait aller les récupérer à Roubaix et c’était bien suffisant pour ce que nous cherchions.
La teneur des lettres était de plus en plus enflammée.
Rocco bouffait la chatte de Sabrina.
Chaque fois que nous imaginions ce que Rocco allait faire à Sabrina, je le faisais à Laurine qui en redemandait.
Un jour il a promis celle qu’il croyait mal baisé de l’enculer avec sa grosse bite.
Nous nous sommes tordus de rire à ce qu’il écrivait.
Il faut se souvenir que Rocco avait été l’amant de ma femme et que question sexe, il était dans la normale, alors que dans ces lettres il était plutôt Siffredi.
Pour la sodomie, c’est trop intime, je réserve ma réponse pour notre couple.

« Je sors lundi prochain, quand nous voyons nous réellement mon aimée, je vais te faire grimper aux rideaux. »
La réponse fut simple.

« Mercredi, mon mari est en voyage d’affaires, enfin je serai à toi, à 15 heures, hôtel de la gare, je serais nue sur le lit, les mains attachées par des menottes.
Tu feras tout ce que tu voudras de moi, demande la chambre de Sabrina au réceptionniste, la porte sera ouverte. »
Sabrina chambre 12, moi, arrivé la veille chambre 16.
À 15 heures, nous sommes deux dans la chambre 12, Sabrina nue sur le lit, me faisant bander malgré la pénombre que nous avons créée.
Moi derrière la porte de la salle d’eau.

• Coucou, je suis là !
• Entre depuis que je t’attends.

Je vois passer Rocco devant moi, avant qu’il ait le temps de réagir, je le strangule, commando un jour, commando toujours, la lame de mon couteau sur sa gorge.

• Si tu bouges, je te crève directement.
Sinon avec un peu de chance plus que ce que tu en as donné à ma fille, tu t’en sortiras.
Tu t’en sortiras, malgré ce que je vais te faire.
Laurine, passe-lui les menottes que tu es censé avoir à tes poignets.
C’est bien, fumier, allonge-toi sur le lit, ma chérie, dénude-le, ça je sais que tu sais lui faire.

Rocco s’exécute et Laurine aussi, il est nu, immobilisé à ma merci.
D’un coup net et précis avant qu’il comprenne ce qu’il lui arrive, je lui coupe par où il a pêché.

Laurine une fois rhabillée, nous sortons, aux caméras de surveillance, ils verront arriver une jeune femme avec une magnifique perruque rousse et des lunettes de soleil.
Quant à moi, je ferme la porte et retrouve la chambre 16 avant de me coucher très satisfait d’avoir fait vengeance.
J’ai moi-même quitté l’hôtel trois jours plus tard.
Hélas, pour Rocco, une certaine Sabrina avait réservé la chambre pour deux jours et le panneau « éviter de déranger » avait et posé par inadvertance sur la poignée.

J’ai moi-même quitté l’hôtel déguisé en femme, j’avais mis une perruque blonde de Jade, la faisant participer à notre vengeance sans qu’elle le sache.
Ça fait deux mois que la presse du Nord a publié « Rocco, le proxénète Franco-Gantois, étant sorti de prison il y a quelques jours a été certainement refroidi par des complices.
Il a été retrouvé menotté sur un lit de l’hôtel de la gare de Roubaix.
C’est d’un coup de couteau très précis, qu’il a été émasculé, montrant que c’est un professionnel qui a pratiqué cette opération.
Le truand s’est vidé de son sang et a été constaté décédé. »
La boucle est bouclée, je vais pouvoir reprendre ma vie normale entre ma femme, mon fils, ma fille et Sylvie sa femme, dans quelques jours toutes les deux convolent.
Pour leur voyage de noces, qu’elles feront avec le fils de Sylvie et que je leur offre, j’avais suggéré la Belgique avec visite de la galerie de verre, Anvers et Amsterdam.
Laurine et moi leur offrons simplement un vol aller et retour pour la Martinique, son soleil et ses plages.
À oui, j’ai pris trois billets de plus et réservé trois places de plus dans le même hôtel.
Mais chute, c’est une surprise pour ma femme prise par notre vengeance, nous avions été dans l’impossibilité de faire le nôtre.

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