COLLECTION VENGEANCE. Ma fille dans une vitrine. Saison I (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Ma fille dans une vitrine. Saison I (2/3)
« Gand, vitrine... »
C’est le message que je reçois sur mon portable.
En roulant vers Gand, seule ville de ce nom ayant des vitrines.
Veut-on me dire, que ma fille qui a disparu depuis trois ans est une prostituée travaillant dans une de ces vitrines ?
Ce qui est sûr, c’est que c’est quelqu’un de mon entourage qui me l’a envoyé, les personnes connaissant mon histoire sont peu nombreuses.
J’ignore qui ça peut être, le numéro était masqué.
Je suis à Gand et dans l’allée de verre, je remarque une jeune prostituée ayant les mêmes caractéristiques que ma fille, mais en brune alors qu’elle était blonde.
Si elle tapine depuis sa disparition, il est certain que ce qu’elle a dû subir, doit avoir modifié un peu son corps.
Même si j’ai fait attention à respecter sa féminité depuis qu’elle est devenue une jeune femme, son corps peut avoir changé.
Un homme est entré dans la vitrine et ressort environ une demi-heure après.
Je l’interpelle, c’est un Flamand, mais par chance il parle français, j’avais oublié ce détail.
• Non, c’est pour autre chose, je viens de vous voir sortir de la vitrine d’une jeune brune, je voudrais savoir, avez-vous vu son vagin ?
• Vous êtes un grand malade, c’est ma femme qui vous envoie, elle cherche un motif pour divorcer, oui je vais aux putes de temps en temps et alors ?
• Vous vous trompez, j’aime les femmes blondes, mais j’aime le physique de cette pute.
Un instant je prends conscience que je parle de ma fille, si c’est elle qui vient d’avoir un rapport avec cet homme plus vieux que moi,même si elle a changé depuis trois ans.
• Je m’excuse d’avoir été vindicatif, sans vous dire ce que j’ai fait avec elle, oui j’ai vu sa chatte, mais elle est épilée.
Il est vrai que j’ai vu un léger duvet blond qui semblait repousser.
• Merci de votre renseignement, monsieur, bonne journée, je crois que je vais aller passer un moment avec elle, elle me plait trop.
Je fais mine de retourner vers la vitrine, mais dans mon champ de vision, il y a une jeune femme qui là encore m’interpelle.
J’ai vu cette femme, mais les détails sont diffus dans ma mémoire.
Je la revois dans mon bureau lorsque Ariel m’a dit qu’un client l’accusait d’avoir chapardé dans un de leurs bureaux.
Elle était brune et là j’ai une belle rousse.
Nous avions enquêté et il s’est avéré que c’était la femme qui travaillait à ce bureau se voyant prise avait dit que c’était la femme de ménage qui était la coupable.
Si je m’en souviens, c’est qu’outre sa beauté, le patron qui accusait m’a fait passer une enveloppe de 1 000 € et a renouvelé son contrat arrivant à terme pour cinq ans.
Mon premier réflexe, c’est d’entrer, mais là encore, si je me trompe, j’aurais l’air d’un con.
Voyant un groupe de Japonais, plutôt des Nippons, ils se ressemblent tous, qui prennent des photos, je sors mon portable et je flash.
Je retourne, vers ma chambre d’hôtel, en chemin j’appelle Ariel.
J’ai le message du répondeur, Ariel est hors joignable.
Il me faut une réponse, j’appelle Laurine ma secrétaire.
• Bonjour, monsieur Christian, vous passez de bonnes vacances.
Si vous vouliez parler à monsieur Ariel, il est parti chez un client.
• Vacances, relativement, vous allez pouvoir me renseigner en regardant la base de données de nos employées !
Je vais vous envoyer une photo, j’ai des doutes de qui elle est, pouvez-vous me donner votre sentiment ?
• Je vais faire ce que je peux, envoyez-la-moi, je vais vous donner mon avis.
Je vais sur mon portable, je suis plus à l’aise sur cet appareil que sur mon téléphone.
Une demi-heure, Laurine me rappelle.
• Regardez votre portable, j’ai trouvé sur notre fichier informatique, il y a même la fiche d’embauche avec sa photo de cette jeune femme.
Me connectant, je consulte mes mails.
• J’ai votre message, je regarde.
Sylvie M, engagée le 9 septembre 2012.
Je vois qu’elle a démissionné le 15 mars 2014.
2012, embauche de Sylvie, 2013, disparition de ma fille et 2014, démission de cette jolie jeune femme.
Les photos sont plus que ressemblantes, là encore à part la couleur des cheveux.
Sur la fiche d’embauche, célibataire un enfant de 3 ans qu’elle a déclaré envers-nous.
C’est moi qui ai fait mettre ce genre de détail, une de nos employées s’arrêtait fréquemment pour « enfant malade », mettant le bordel dans les plannings.
Un jour, nous avons découvert qu’elle était mariée sans enfants et que c’était pour son confort personnel qu’elle s’arrêtait en s’inventant un enfant.
• Regardez Laurine, je vois les deux fiches, est-ce que ça arrive souvent que les signatures soient différentes sur les deux !
• Je suis incapable de vous répondre, mais vous avez raison, c’est bizarre.
Pouvez-vous m’en dire plus sur cette femme, j’ai vu que cette photo la montre en tenue plus que légère.
• Non, c’est pour un problème personnel que je voulais demander à Ariel, mais merci de m’avoir renseigné et de m’avoir donné votre sentiment.
Je retourne au passage, pour mieux me dissimuler aux regards des filles avant de voir si je les aborde, j’achète une casquette dans un magasin de sport faisant la promo d’une marque célèbre.
Le passage est très court et très sérieusement surveillé par la police.
Je les croise deux fois, pour les filles dans les vitrines dont Sylvie, il est impossible qu’elle me reconnaisse.
Mais j’ai l’impression que pour les flics, je suis un individu à risque me dissimulant.
Je m’arrête pour boire une bière au « bvab bar » au milieu de la galerie.
Je vois des vitrines s’éclairer, mais aussi d’autres s’éteindre, les filles tournent et semblent libres.
Je fais le tour par des rues adjacentes, aux noms inimaginables, mais je me retrouve encore vers eux, je suis devant la vitrine de la black.
Ce que je crains c’est que l’une ou les deux filles dont la mienne, certain maintenant que c’est elle et qu’elles stoppent leur, j’allais dire travail !
Plutôt, leurs activités alors que je suis sûr qu’elles habitent autre part, les deux ou l’une ou l’autre, je décide de les suivre.
Ce que je veux voir, c’est si elles sont libres ou si elles sont sous la tutelle d’un mac.
Je me vois mal aller au commissariat pour apprendre, que Jade m’a quitté pour vivre sa vie loin de moi-même en vendant ses fesses au profit d’un maquereau.
• ---
Je fais un geste vers la fille.
La prostituée en sous-vêtements et bas résille m’a ouvert la porte de sa vitrine.
• Je suis français.
• Pardon, entre, que veux-tu ?
• C’est la première fois, comment ça fonctionne ?
C’est con lorsqu’on se trouve dans une situation insolite et non programmée quelques minutes plus tôt !
• Ça fonctionne au temps, ½ d’heure, jusqu’à éjaculation, fellation 50 €.
Une heure, fellation et pénétration 150 € là aussi jusqu’à éjaculation.
Pénétration par sodomisation 200 €.
Je suis là pour donner le change aux flics, si je baise avec cette noire, à part la couleur, j’aurais l’impression de sauter ma fille.
• Je vais rester ½ heure, une fellation , ça suffira.
Je sais, je réalise mon fantasme et dans mon portefeuille j’aurais très bien pu au moins la baiser comme l’a faite le vieux m’ayant donné des renseignements sur la couleur de la chatte de ma fille.
Je coupe ici, mes explications, me faire sucer, c’est très personnel, ce que je dis c’est que je suis clean depuis plusieurs semaines et je sens mes bourses se vider.
Quand je ressors soulagé de 50 € sans parler du reste, les flics semblent avoir quitté le secteur, la vitrine de Jade est éteinte et celle de Sylvie est allumée.
À non, elle se lève, passe derrière un rideau comme je viens de le faire et elle s’éteint.
Point central, le Bvba café, j’y file surveillant ainsi les deux sorties.
10 minutes et elles passent devant-moi, bras dessus, bras dessous.
Je les entends une fraction de seconde.
Elles semblent partager le nombre de passes qu’elles ont faits pendant leur temps dans leurs heures de présence.
On est mon éducation, sans être bégueule, son short ras les fesses et son débardeur avec son petit boléro m’en montrant plus que Laurine quand elle me met les siens sous le nez, me gêne.
Sortie de la galerie, elle tourne à droite je vois une plaque Brabantdam.
Encore un nom à dormir debout.
Ou sont les rues Colbert, Daudet ou autre Hugo.
Deux cents mètres et elle entre dans un petit immeuble.Il en sort une jeune femme tout aussi sexy que l’est ma fille ou sa copine Sylvie.
J’ai beau réfléchir, j’ai encore moins d’élément, ma fille est-elle pute, mais lesbienne avec sa copine.
Pute volontairement et lesbienne hors de ces moments ?
La chance me sourit, de l’autre côté de l’avenue, je vois un hôtel, le Logid’Enri, la façade donne sur le petit immeuble ou semble résider, ma fille et une de mes anciennes employées.
Plusieurs choses m’interpellent, pourquoi si les deux femmes sont devenues amies s’étant rencontrée en France, je les retrouve à tapiner dans des vitrines gantoises ?
Pourquoi Sylvie a démissionné seulement un an après et que les signatures entre la fiche d’embauche et la lettre de démission portent des signatures différentes ?
Je sens qu’il y a un mystère derrière tout cela et qu’en observant les aller et retour quelque temps des personnes dans cet immeuble, j’en découvrirai assez pour prendre une décision définitive.
Soit ma fille est libre de faire ce qu’elle fait et alors j’aurai une explication, pourquoi elle est venue se prostituer en Belgique, soit je découvre autre chose et je m’adapterai.
• Bonjour monsieur, parlez-vous Français ?
• Ma mère est bretonne de Quimper, même si je parle le breton, le français je connais.
• Excusez, depuis que je suis ici, je tombe de temps en temps sur des personnes qui ont du mal à parler notre langue.
• À quoi puis-je vous être utile ?
• Avez-vous une chambre de libre ?
• Vous êtes chanceux, une réservation vient d’être annulée, nous avons la 22 de libre !
Une autre chance, elle donne sur l’arrière de la rue, vous allez pouvoir être tranquille avec les allées et venues à cause des putes près d’ici dans la galerie.
Je me retrouve de nouveau dans la merde, coucher dans l’hôtel où je suis, ou ici sur l’arrière de l’hôtel où je pensais observer Jade, me fais une belle jambe.
Comment vais-je faire pour m’en sortir...
C’est le message que je reçois sur mon portable.
En roulant vers Gand, seule ville de ce nom ayant des vitrines.
Veut-on me dire, que ma fille qui a disparu depuis trois ans est une prostituée travaillant dans une de ces vitrines ?
Ce qui est sûr, c’est que c’est quelqu’un de mon entourage qui me l’a envoyé, les personnes connaissant mon histoire sont peu nombreuses.
J’ignore qui ça peut être, le numéro était masqué.
Je suis à Gand et dans l’allée de verre, je remarque une jeune prostituée ayant les mêmes caractéristiques que ma fille, mais en brune alors qu’elle était blonde.
Si elle tapine depuis sa disparition, il est certain que ce qu’elle a dû subir, doit avoir modifié un peu son corps.
Même si j’ai fait attention à respecter sa féminité depuis qu’elle est devenue une jeune femme, son corps peut avoir changé.
Un homme est entré dans la vitrine et ressort environ une demi-heure après.
Je l’interpelle, c’est un Flamand, mais par chance il parle français, j’avais oublié ce détail.
• Non, c’est pour autre chose, je viens de vous voir sortir de la vitrine d’une jeune brune, je voudrais savoir, avez-vous vu son vagin ?
• Vous êtes un grand malade, c’est ma femme qui vous envoie, elle cherche un motif pour divorcer, oui je vais aux putes de temps en temps et alors ?
• Vous vous trompez, j’aime les femmes blondes, mais j’aime le physique de cette pute.
Un instant je prends conscience que je parle de ma fille, si c’est elle qui vient d’avoir un rapport avec cet homme plus vieux que moi,même si elle a changé depuis trois ans.
• Je m’excuse d’avoir été vindicatif, sans vous dire ce que j’ai fait avec elle, oui j’ai vu sa chatte, mais elle est épilée.
Il est vrai que j’ai vu un léger duvet blond qui semblait repousser.
• Merci de votre renseignement, monsieur, bonne journée, je crois que je vais aller passer un moment avec elle, elle me plait trop.
Je fais mine de retourner vers la vitrine, mais dans mon champ de vision, il y a une jeune femme qui là encore m’interpelle.
J’ai vu cette femme, mais les détails sont diffus dans ma mémoire.
Je la revois dans mon bureau lorsque Ariel m’a dit qu’un client l’accusait d’avoir chapardé dans un de leurs bureaux.
Elle était brune et là j’ai une belle rousse.
Nous avions enquêté et il s’est avéré que c’était la femme qui travaillait à ce bureau se voyant prise avait dit que c’était la femme de ménage qui était la coupable.
Si je m’en souviens, c’est qu’outre sa beauté, le patron qui accusait m’a fait passer une enveloppe de 1 000 € et a renouvelé son contrat arrivant à terme pour cinq ans.
Mon premier réflexe, c’est d’entrer, mais là encore, si je me trompe, j’aurais l’air d’un con.
Voyant un groupe de Japonais, plutôt des Nippons, ils se ressemblent tous, qui prennent des photos, je sors mon portable et je flash.
Je retourne, vers ma chambre d’hôtel, en chemin j’appelle Ariel.
J’ai le message du répondeur, Ariel est hors joignable.
Il me faut une réponse, j’appelle Laurine ma secrétaire.
• Bonjour, monsieur Christian, vous passez de bonnes vacances.
Si vous vouliez parler à monsieur Ariel, il est parti chez un client.
• Vacances, relativement, vous allez pouvoir me renseigner en regardant la base de données de nos employées !
Je vais vous envoyer une photo, j’ai des doutes de qui elle est, pouvez-vous me donner votre sentiment ?
• Je vais faire ce que je peux, envoyez-la-moi, je vais vous donner mon avis.
Je vais sur mon portable, je suis plus à l’aise sur cet appareil que sur mon téléphone.
Une demi-heure, Laurine me rappelle.
• Regardez votre portable, j’ai trouvé sur notre fichier informatique, il y a même la fiche d’embauche avec sa photo de cette jeune femme.
Me connectant, je consulte mes mails.
• J’ai votre message, je regarde.
Sylvie M, engagée le 9 septembre 2012.
Je vois qu’elle a démissionné le 15 mars 2014.
2012, embauche de Sylvie, 2013, disparition de ma fille et 2014, démission de cette jolie jeune femme.
Les photos sont plus que ressemblantes, là encore à part la couleur des cheveux.
Sur la fiche d’embauche, célibataire un enfant de 3 ans qu’elle a déclaré envers-nous.
C’est moi qui ai fait mettre ce genre de détail, une de nos employées s’arrêtait fréquemment pour « enfant malade », mettant le bordel dans les plannings.
Un jour, nous avons découvert qu’elle était mariée sans enfants et que c’était pour son confort personnel qu’elle s’arrêtait en s’inventant un enfant.
• Regardez Laurine, je vois les deux fiches, est-ce que ça arrive souvent que les signatures soient différentes sur les deux !
• Je suis incapable de vous répondre, mais vous avez raison, c’est bizarre.
Pouvez-vous m’en dire plus sur cette femme, j’ai vu que cette photo la montre en tenue plus que légère.
• Non, c’est pour un problème personnel que je voulais demander à Ariel, mais merci de m’avoir renseigné et de m’avoir donné votre sentiment.
Je retourne au passage, pour mieux me dissimuler aux regards des filles avant de voir si je les aborde, j’achète une casquette dans un magasin de sport faisant la promo d’une marque célèbre.
Le passage est très court et très sérieusement surveillé par la police.
Je les croise deux fois, pour les filles dans les vitrines dont Sylvie, il est impossible qu’elle me reconnaisse.
Mais j’ai l’impression que pour les flics, je suis un individu à risque me dissimulant.
Je m’arrête pour boire une bière au « bvab bar » au milieu de la galerie.
Je vois des vitrines s’éclairer, mais aussi d’autres s’éteindre, les filles tournent et semblent libres.
Je fais le tour par des rues adjacentes, aux noms inimaginables, mais je me retrouve encore vers eux, je suis devant la vitrine de la black.
Ce que je crains c’est que l’une ou les deux filles dont la mienne, certain maintenant que c’est elle et qu’elles stoppent leur, j’allais dire travail !
Plutôt, leurs activités alors que je suis sûr qu’elles habitent autre part, les deux ou l’une ou l’autre, je décide de les suivre.
Ce que je veux voir, c’est si elles sont libres ou si elles sont sous la tutelle d’un mac.
Je me vois mal aller au commissariat pour apprendre, que Jade m’a quitté pour vivre sa vie loin de moi-même en vendant ses fesses au profit d’un maquereau.
• ---
Je fais un geste vers la fille.
La prostituée en sous-vêtements et bas résille m’a ouvert la porte de sa vitrine.
• Je suis français.
• Pardon, entre, que veux-tu ?
• C’est la première fois, comment ça fonctionne ?
C’est con lorsqu’on se trouve dans une situation insolite et non programmée quelques minutes plus tôt !
• Ça fonctionne au temps, ½ d’heure, jusqu’à éjaculation, fellation 50 €.
Une heure, fellation et pénétration 150 € là aussi jusqu’à éjaculation.
Pénétration par sodomisation 200 €.
Je suis là pour donner le change aux flics, si je baise avec cette noire, à part la couleur, j’aurais l’impression de sauter ma fille.
• Je vais rester ½ heure, une fellation , ça suffira.
Je sais, je réalise mon fantasme et dans mon portefeuille j’aurais très bien pu au moins la baiser comme l’a faite le vieux m’ayant donné des renseignements sur la couleur de la chatte de ma fille.
Je coupe ici, mes explications, me faire sucer, c’est très personnel, ce que je dis c’est que je suis clean depuis plusieurs semaines et je sens mes bourses se vider.
Quand je ressors soulagé de 50 € sans parler du reste, les flics semblent avoir quitté le secteur, la vitrine de Jade est éteinte et celle de Sylvie est allumée.
À non, elle se lève, passe derrière un rideau comme je viens de le faire et elle s’éteint.
Point central, le Bvba café, j’y file surveillant ainsi les deux sorties.
10 minutes et elles passent devant-moi, bras dessus, bras dessous.
Je les entends une fraction de seconde.
Elles semblent partager le nombre de passes qu’elles ont faits pendant leur temps dans leurs heures de présence.
On est mon éducation, sans être bégueule, son short ras les fesses et son débardeur avec son petit boléro m’en montrant plus que Laurine quand elle me met les siens sous le nez, me gêne.
Sortie de la galerie, elle tourne à droite je vois une plaque Brabantdam.
Encore un nom à dormir debout.
Ou sont les rues Colbert, Daudet ou autre Hugo.
Deux cents mètres et elle entre dans un petit immeuble.Il en sort une jeune femme tout aussi sexy que l’est ma fille ou sa copine Sylvie.
J’ai beau réfléchir, j’ai encore moins d’élément, ma fille est-elle pute, mais lesbienne avec sa copine.
Pute volontairement et lesbienne hors de ces moments ?
La chance me sourit, de l’autre côté de l’avenue, je vois un hôtel, le Logid’Enri, la façade donne sur le petit immeuble ou semble résider, ma fille et une de mes anciennes employées.
Plusieurs choses m’interpellent, pourquoi si les deux femmes sont devenues amies s’étant rencontrée en France, je les retrouve à tapiner dans des vitrines gantoises ?
Pourquoi Sylvie a démissionné seulement un an après et que les signatures entre la fiche d’embauche et la lettre de démission portent des signatures différentes ?
Je sens qu’il y a un mystère derrière tout cela et qu’en observant les aller et retour quelque temps des personnes dans cet immeuble, j’en découvrirai assez pour prendre une décision définitive.
Soit ma fille est libre de faire ce qu’elle fait et alors j’aurai une explication, pourquoi elle est venue se prostituer en Belgique, soit je découvre autre chose et je m’adapterai.
• Bonjour monsieur, parlez-vous Français ?
• Ma mère est bretonne de Quimper, même si je parle le breton, le français je connais.
• Excusez, depuis que je suis ici, je tombe de temps en temps sur des personnes qui ont du mal à parler notre langue.
• À quoi puis-je vous être utile ?
• Avez-vous une chambre de libre ?
• Vous êtes chanceux, une réservation vient d’être annulée, nous avons la 22 de libre !
Une autre chance, elle donne sur l’arrière de la rue, vous allez pouvoir être tranquille avec les allées et venues à cause des putes près d’ici dans la galerie.
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