COLLECTION VENGEANCE. Ma fille dans une vitrine. Saison II (5/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-02-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Ma fille dans une vitrine. Saison II (5/6)
« Gand, vitrine... »
C’est le point de départ de l’aventure que je suis en train de vivre.
Cette aventure avance, mais de mal en pire, car, en consultant les fiches des filles ayant été séduites par ce fumier de Rocco, envers qui j’avais toute confiance.
Je lui avais même demandé de me trouver un logement pour Jade ma fille, ce qui lui a permis de la prostituer elle aussi.
Il faut que je sorte de ce merdier sans que la police ait le moindre soupçon de mon implication, même si ma fille fait partie du lot des filles se prostituant pour ce fumier de Rocco.
• Dans les deux fiches du personnel toujours présent, pouvez-vous me présenter leur profil ?
• Il y a celle d’une femme embauchée il y a trois mois et qui a cinq enfants.
Pourquoi vous intéressent-elles ?
• J’ai eu une information, qui peut engendrer des problèmes pour une autre femme de la société ?
• La deuxième, c’est la mienne.
• Vous avez un enfant, Laurine, je l’ignorais !
• J’en avais un lorsque vous m’avez embauchée, mais mon ex est retourné en Tunisie l’emmenant avec lui.
J’ai fait des pieds et des mains, impossible de le récupérer, aujourd’hui je pourrais mettre sur cette fiche sans enfants.
• Laurine, vous êtes certainement celle que je cherche, avez-vous eu des rapports avec Rocco celui que j’emploie pour me trouver des clients.
Laurine tombe en larmes, je lui donne un mouchoir en papier.
Rocco doit avoir réussi à entrer dans notre base et a vu qu’elle avait un enfant lui permettant son chantage sans savoir que son enfant est à des milliers de kilomètres.
• Oui, mais j’ai rompu il y a quelques jours.
• Laurine, soyez franche, c’est vous qui m’avez envoyé ce message sur Gand et les vitrines ?
Ses pleurs redoublent.
• Oui, c’est moi, quand Rocco m’a bousculé un soir où je quittais mon travail, il s’est empressé de me relever.
Il m’a proposé de boire un verre pour me remettre de mes émotions.
Il se faisait tard et il m’a proposé de me raccompagner chez moi.
J’ai été bête et je lui ai proposé de boire un dernier verre.
J’aime un autre homme et j’aurais dû le repousser, mais il y avait tellement longtemps que je suis chaste que lorsqu’il m’a saisi dans ses bras, j’ai cédé.
Je dois reconnaître qu’il fait l’amour divinement, je m’en excuse de vous le dire, si vous saviez.
• Comment avez-vous su pour Gand et les vitrines où j’ai découvert ma fille et Sophie la fille que vous m’avez montré les fiches avec des signatures différentes ?
• Un soir, je prenais un bain, il était resté dans mon lit, je suis sortie pour me sécher et retourner près de lui, j’avais encore besoin de câlins.
Il parlait au téléphone avec quelqu’un de votre fille.
J’ai entendu le nom de Jade, il s’est repris et a dit Lola, il a demandé à la personne à qui il parlait de lui mettre une rouste, car elle mollissait dans son travail.
Je suis allé en Belgique à Anvers avec mon ex et j’ai vu les vitrines, je suis retourné dans l’eau et trois jours plus tard.
Je lui ai dit que j’aimais ma solitude et que je voulais qu’il me quitte.
Ses larmes redoublent, mais je sens que de m’avoir dit la vérité la soulage de bien des choses, elle pousse un gros soupir faisant marcher ses poumons sous mes yeux.
• Laurine, vous êtes en danger, j’ai pu parler quelques minutes avec ma fille et Sylvie et il est toujours sur votre trace pour vous forcer à vous prostituer.
Avez-vous un autre endroit que chez vous où aller et ainsi vous soustraire à lui, jusqu’à ce que j’ai trouvé une solution à tout ça.
J’ai failli attendre pour le tuer à Gand, si vous saviez ce que ma fille a subi depuis sa disparition.
• Je me doute quand l’on sait ce qu’il demandait au téléphone à son correspondant de lui faire.
À part chez moi, non !
• J’ai bien une idée, mais va-t-elle vous plaire, nous montons dans mon appartement, je trouve une solution et vous êtes partie officiellement auprès de votre mère malade.
• Elle est morte, oui, je comprends à part vous, je serais en sécurité.
Nous fermons les bureaux, et nous montons à l’étage, nous dînons d’une boîte de cassoulet de Castelnaudary et de la glace à la fraise, c’est la seule que j’aime.
Il est temps de se coucher.
• Va dans la salle de bains tu y trouveras un peignoir, j’attends au salon que tu aies terminé, prends tout ton temps.
Je suis dans mon fauteuil, les doigts de pieds en épouvantail, tous ces voyages et ces découvertes, toutes aussi étranges que spectaculaires, me portent à m’endormir.
C’est un poids sur moi qui me réveille, j’ouvre les yeux, Laurine s’est assise sur moi en petite tenue, sans petite tenue.
• Christian , quand je t’ai dit que j’avais cédé à Rocco malgré que je sois amoureuse d’un autre homme, c’est de toi que je parlais.
Dès les premiers moments après mon embauche, j’ai eu le coup de foudre pour toi, sans jamais te l’avouer.
Maintenant que je sais que tu m’as sauvé des pattes de ce taré, j’ose te le dire.
Je t’a...
Ma bouche vient de rejoindre sa bouche dans un baiser qui me fait craquer.
Je me contredis sur les femmes que j’emploie et le sexe.
Sa bouche est douce et son baiser sans équivoque.
Sa main vient sur mon sexe pendant que la mienne empomme son sein qui réagit, sa fraise se mettant à bander autant que je bande.
Elle quitte ma bouche et se laisse glisser, avant d’ouvrir mon pantalon et de prendre ma verge.
Elle me suce divinement mieux que la pute black dans sa vitrine, lorsque j’ai donné le change à la police.
Je me relève, la prends dans mes bras, le commando au gros bras fait ce qu’il faut pour la porter jusqu’à ma chambre.
Quand je plonge en elle, j’ai conscience que c’est la première femme à qui je fais l’amour depuis la disparition de Laura alors que les quelques autres, comme je l’ai dit, c’était des coups d’un soir.
Je suis un homme redevenu heureux quand, du fond de sa gorge, sortent les cris de son plaisir allant jusqu’à l’orgasme.
Nous récupérons, nous nous levons et nous nous retrouvons à deux étroitement enlacés dans l’eau clapotant autour de nous.
• Christian, as-tu une idée pour dénoncer ces maquereaux sans que la police puisse croire que tu es l’un de leurs comparses ?
Un grand nombre de ces filles que Rocco prostitue travaillait dans ta société !
• J’en ai bien une, mais il faudrait que je prenne des risques à cause des caméras sur l’autoroute et le bornage des téléphones.
Il faudrait que je monte, au moins à Lille et passer un coup de fil à la police gantoise, leur expliquant que j’avais découvert un réseau de prostitution dont le principal pourvoyeur est français et s’appelle Rocco.
Mais si je suis interrogé, il me sera difficile de prouver que je suis à Sarcelles et non à Lille.
• Reprenons le problème sous un autre angle, depuis ce soir, pour le personnel, je serai en vacances.
Dans le tiroir de mon bureau, j’ai un portable prépayé que j’ai acheté pour pouvoir te donner l’information sur Gand et les vitrines.
Qui peut faire le lien entre lui et moi, je l’ai payé en liquide !
Je monte à Lille et c’est moi qui appelle la police de Gand.
La police a son information et je peux revenir par un autre train, ni vu ni connu.
Pour toi tu as des dizaines de personnes qui pourront prouver que tu étais à Sarcelles, la géolocalisation de ton portable le prouvant.
Quant au mien, il sera éteint.
D’ailleurs pourquoi la police aurait des motifs pour me demander où j’étais au moment où la police de Gand aura reçu cet appel anonyme d’une femme ?
Le seul souci c’est le numéro de la police de Gand, s’il contrôle nos ordinateurs ou nos portables, ils pourront trouver bizarre cette recherche.
• Il y a un cybercafé dans le centre-ville de Sarcelles, j’irai tout à l’heure, il est ouvert jusqu’à minuit et je rapporterai ce numéro.
• Je te remonterai ton portable prépayé, j’ai mieux, viens dans la chambre de Jade, il y reste des affaires qu’elle a laissées en partant à Asnières, elle devait les transporter plus tard au moment de sa disparition.
Tu as la même taille et nous allons trouver des perruques qu’elles avaient achetées avec des copines pour une soirée déguisée.
Je te verrais très bien en rousse.
J’ai emmené Laurine, toujours nue comme moi vers la chambre et rapidement d’une beauté fatale blonde, j’ai eu une belle brune aussi brune que ma fille dans sa vitrine.
Je suis obligé de la quitter, mais portable en poche et numéro de téléphone, Laurine à 6 heures du matin est prête après avoir fini la nuit dans mes bras à rejoindre la gare de Nord.
Il est 8 heures quand je rejoins mon bureau, dans le bureau voisin, Ariel, lui aussi vient d’arriver.
Je passe une journée très anxieuse, je monte chez moi plusieurs fois.
Laurine brille par son absence.
Il est 19 heures quand elle sonne à ma porte.
Nous tombons dans les bras l’un l’autre.
• Je m’excuse d’arriver à cette heure tardive, j’ai pensé que revenir les bureaux encore ouverts.
Je risquais de faire une rencontre intempestive et mettre notre plan par terre, malgré ma perruque.
J’ai fait du lèche-vitrine à Lille dans le centre-ville avant de reprendre le train.
Je suis satisfait de ma complice, Rocco à qu’à bien se tenir, je pense avoir sa peau et récupérer ma fille...
C’est le point de départ de l’aventure que je suis en train de vivre.
Cette aventure avance, mais de mal en pire, car, en consultant les fiches des filles ayant été séduites par ce fumier de Rocco, envers qui j’avais toute confiance.
Je lui avais même demandé de me trouver un logement pour Jade ma fille, ce qui lui a permis de la prostituer elle aussi.
Il faut que je sorte de ce merdier sans que la police ait le moindre soupçon de mon implication, même si ma fille fait partie du lot des filles se prostituant pour ce fumier de Rocco.
• Dans les deux fiches du personnel toujours présent, pouvez-vous me présenter leur profil ?
• Il y a celle d’une femme embauchée il y a trois mois et qui a cinq enfants.
Pourquoi vous intéressent-elles ?
• J’ai eu une information, qui peut engendrer des problèmes pour une autre femme de la société ?
• La deuxième, c’est la mienne.
• Vous avez un enfant, Laurine, je l’ignorais !
• J’en avais un lorsque vous m’avez embauchée, mais mon ex est retourné en Tunisie l’emmenant avec lui.
J’ai fait des pieds et des mains, impossible de le récupérer, aujourd’hui je pourrais mettre sur cette fiche sans enfants.
• Laurine, vous êtes certainement celle que je cherche, avez-vous eu des rapports avec Rocco celui que j’emploie pour me trouver des clients.
Laurine tombe en larmes, je lui donne un mouchoir en papier.
Rocco doit avoir réussi à entrer dans notre base et a vu qu’elle avait un enfant lui permettant son chantage sans savoir que son enfant est à des milliers de kilomètres.
• Oui, mais j’ai rompu il y a quelques jours.
• Laurine, soyez franche, c’est vous qui m’avez envoyé ce message sur Gand et les vitrines ?
Ses pleurs redoublent.
• Oui, c’est moi, quand Rocco m’a bousculé un soir où je quittais mon travail, il s’est empressé de me relever.
Il m’a proposé de boire un verre pour me remettre de mes émotions.
Il se faisait tard et il m’a proposé de me raccompagner chez moi.
J’ai été bête et je lui ai proposé de boire un dernier verre.
J’aime un autre homme et j’aurais dû le repousser, mais il y avait tellement longtemps que je suis chaste que lorsqu’il m’a saisi dans ses bras, j’ai cédé.
Je dois reconnaître qu’il fait l’amour divinement, je m’en excuse de vous le dire, si vous saviez.
• Comment avez-vous su pour Gand et les vitrines où j’ai découvert ma fille et Sophie la fille que vous m’avez montré les fiches avec des signatures différentes ?
• Un soir, je prenais un bain, il était resté dans mon lit, je suis sortie pour me sécher et retourner près de lui, j’avais encore besoin de câlins.
Il parlait au téléphone avec quelqu’un de votre fille.
J’ai entendu le nom de Jade, il s’est repris et a dit Lola, il a demandé à la personne à qui il parlait de lui mettre une rouste, car elle mollissait dans son travail.
Je suis allé en Belgique à Anvers avec mon ex et j’ai vu les vitrines, je suis retourné dans l’eau et trois jours plus tard.
Je lui ai dit que j’aimais ma solitude et que je voulais qu’il me quitte.
Ses larmes redoublent, mais je sens que de m’avoir dit la vérité la soulage de bien des choses, elle pousse un gros soupir faisant marcher ses poumons sous mes yeux.
• Laurine, vous êtes en danger, j’ai pu parler quelques minutes avec ma fille et Sylvie et il est toujours sur votre trace pour vous forcer à vous prostituer.
Avez-vous un autre endroit que chez vous où aller et ainsi vous soustraire à lui, jusqu’à ce que j’ai trouvé une solution à tout ça.
J’ai failli attendre pour le tuer à Gand, si vous saviez ce que ma fille a subi depuis sa disparition.
• Je me doute quand l’on sait ce qu’il demandait au téléphone à son correspondant de lui faire.
À part chez moi, non !
• J’ai bien une idée, mais va-t-elle vous plaire, nous montons dans mon appartement, je trouve une solution et vous êtes partie officiellement auprès de votre mère malade.
• Elle est morte, oui, je comprends à part vous, je serais en sécurité.
Nous fermons les bureaux, et nous montons à l’étage, nous dînons d’une boîte de cassoulet de Castelnaudary et de la glace à la fraise, c’est la seule que j’aime.
Il est temps de se coucher.
• Va dans la salle de bains tu y trouveras un peignoir, j’attends au salon que tu aies terminé, prends tout ton temps.
Je suis dans mon fauteuil, les doigts de pieds en épouvantail, tous ces voyages et ces découvertes, toutes aussi étranges que spectaculaires, me portent à m’endormir.
C’est un poids sur moi qui me réveille, j’ouvre les yeux, Laurine s’est assise sur moi en petite tenue, sans petite tenue.
• Christian , quand je t’ai dit que j’avais cédé à Rocco malgré que je sois amoureuse d’un autre homme, c’est de toi que je parlais.
Dès les premiers moments après mon embauche, j’ai eu le coup de foudre pour toi, sans jamais te l’avouer.
Maintenant que je sais que tu m’as sauvé des pattes de ce taré, j’ose te le dire.
Je t’a...
Ma bouche vient de rejoindre sa bouche dans un baiser qui me fait craquer.
Je me contredis sur les femmes que j’emploie et le sexe.
Sa bouche est douce et son baiser sans équivoque.
Sa main vient sur mon sexe pendant que la mienne empomme son sein qui réagit, sa fraise se mettant à bander autant que je bande.
Elle quitte ma bouche et se laisse glisser, avant d’ouvrir mon pantalon et de prendre ma verge.
Elle me suce divinement mieux que la pute black dans sa vitrine, lorsque j’ai donné le change à la police.
Je me relève, la prends dans mes bras, le commando au gros bras fait ce qu’il faut pour la porter jusqu’à ma chambre.
Quand je plonge en elle, j’ai conscience que c’est la première femme à qui je fais l’amour depuis la disparition de Laura alors que les quelques autres, comme je l’ai dit, c’était des coups d’un soir.
Je suis un homme redevenu heureux quand, du fond de sa gorge, sortent les cris de son plaisir allant jusqu’à l’orgasme.
Nous récupérons, nous nous levons et nous nous retrouvons à deux étroitement enlacés dans l’eau clapotant autour de nous.
• Christian, as-tu une idée pour dénoncer ces maquereaux sans que la police puisse croire que tu es l’un de leurs comparses ?
Un grand nombre de ces filles que Rocco prostitue travaillait dans ta société !
• J’en ai bien une, mais il faudrait que je prenne des risques à cause des caméras sur l’autoroute et le bornage des téléphones.
Il faudrait que je monte, au moins à Lille et passer un coup de fil à la police gantoise, leur expliquant que j’avais découvert un réseau de prostitution dont le principal pourvoyeur est français et s’appelle Rocco.
Mais si je suis interrogé, il me sera difficile de prouver que je suis à Sarcelles et non à Lille.
• Reprenons le problème sous un autre angle, depuis ce soir, pour le personnel, je serai en vacances.
Dans le tiroir de mon bureau, j’ai un portable prépayé que j’ai acheté pour pouvoir te donner l’information sur Gand et les vitrines.
Qui peut faire le lien entre lui et moi, je l’ai payé en liquide !
Je monte à Lille et c’est moi qui appelle la police de Gand.
La police a son information et je peux revenir par un autre train, ni vu ni connu.
Pour toi tu as des dizaines de personnes qui pourront prouver que tu étais à Sarcelles, la géolocalisation de ton portable le prouvant.
Quant au mien, il sera éteint.
D’ailleurs pourquoi la police aurait des motifs pour me demander où j’étais au moment où la police de Gand aura reçu cet appel anonyme d’une femme ?
Le seul souci c’est le numéro de la police de Gand, s’il contrôle nos ordinateurs ou nos portables, ils pourront trouver bizarre cette recherche.
• Il y a un cybercafé dans le centre-ville de Sarcelles, j’irai tout à l’heure, il est ouvert jusqu’à minuit et je rapporterai ce numéro.
• Je te remonterai ton portable prépayé, j’ai mieux, viens dans la chambre de Jade, il y reste des affaires qu’elle a laissées en partant à Asnières, elle devait les transporter plus tard au moment de sa disparition.
Tu as la même taille et nous allons trouver des perruques qu’elles avaient achetées avec des copines pour une soirée déguisée.
Je te verrais très bien en rousse.
J’ai emmené Laurine, toujours nue comme moi vers la chambre et rapidement d’une beauté fatale blonde, j’ai eu une belle brune aussi brune que ma fille dans sa vitrine.
Je suis obligé de la quitter, mais portable en poche et numéro de téléphone, Laurine à 6 heures du matin est prête après avoir fini la nuit dans mes bras à rejoindre la gare de Nord.
Il est 8 heures quand je rejoins mon bureau, dans le bureau voisin, Ariel, lui aussi vient d’arriver.
Je passe une journée très anxieuse, je monte chez moi plusieurs fois.
Laurine brille par son absence.
Il est 19 heures quand elle sonne à ma porte.
Nous tombons dans les bras l’un l’autre.
• Je m’excuse d’arriver à cette heure tardive, j’ai pensé que revenir les bureaux encore ouverts.
Je risquais de faire une rencontre intempestive et mettre notre plan par terre, malgré ma perruque.
J’ai fait du lèche-vitrine à Lille dans le centre-ville avant de reprendre le train.
Je suis satisfait de ma complice, Rocco à qu’à bien se tenir, je pense avoir sa peau et récupérer ma fille...
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