COLLECTION VENGEANCE. Marie aime manger sa vengeance froide. Début de la saison II (4/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Marie aime manger sa vengeance froide. Début de la saison II (4/6)
C’est à la sortie de la visite où Gratien nous annonce qu’il va venir en permission que j’en parle à Marie, elle m’apporte la solution.
• Sophie, vendredi, nous venons le chercher.
Je vous conduis chez toi à Beaune.
Afin d’éviter que l’idée de venir me voir traverse son esprit, dès que je vous aurai déposé, je partirai pour voir ma mère.
• Ta mère est vivante !
• Non, elle est morte de chagrin au décès de mon frère.
Qui ira voir que je mens, j’irai nettoyer sa tombe !
Vendredi, les grilles s’ouvrent et Gratien apparaît dans un survêtement mal ajusté.
C’est vrai que derrière sa table, je le voyais mal.
Je savais qu’en plus des livres sur le travail de réparation d’une maison, il était un client assidu de la salle de musculation et il a su pendant toutes ses années développer toute sa musculature.
Il est beau comme un dieu.
• Bonjour les filles, merci d’être venue Marie, j’espère que nous nous verrons pendant mon court séjour hors de ces murs.
• Hélas, je vous dépose et je prends la route, un voyage prévu de longue date et qu’il m’est impossible de remettre.
Aucun problème pour ton retour lundi, je reviens dimanche dans la nuit et je serai là pour te raccompagner avec Sophie.
Quand tu seras sorti définitivement, nous aurons le temps de nous retrouver.
• Merci Marie, tu es une jeune femme formidable.
Nous montons à l’arrière de sa voiture, elle conduit et regarde fréquemment dans le rétro.
Je veux un peu la provoquer, j’embrasse Gatien à pleine bouche lui mettant la main dans l’élastique de son pantalon de survêtement.
Sa bouche, depuis le temps où j’en suis très prêt dans ce parloir de prison, m’apparaît comme un peu fade en comparaison des baisers que me prodigue Marie depuis que je suis devenue sa maîtresse.
Nous venons de dépasser Chalon-sur-Saône quand je sors sa bite et que ma bouche s’en approche.
Dans nos jeux, lorsqu’elle met le gode autour de ses hanches, elle le présente à ma bouche.
J’ai appris à le masturber en le suçant jusqu’à ce qu’elle appuie sur les couilles, lâchant des jets de lait chaud.
Nous passons devant la scierie où il doit rencontrer le patron demain matin quand pour la première fois de ma vie, je reçois son sperme en bouche.
Marie me regarde et rigole doucement.
Beaune, nous arrivons sur la place Carnot et après un signe de la main elle nous laisse.
Nous remontons la rue piétonne jusque chez moi et c’est sur mon lit que de nouveau Gratien me prend dans ses bras après que nous nous soyons dénudés.
• Dis-moi Sophie, j’ai été étonné, dans la voiture, tu sembles connaitre bien plus de choses que lorsque je me suis fait arrêter.
Tu m’as sucé comme si tu faisais ça régulièrement.
Dis-moi tu m’as trompé tout au long de ces années ?
Tu sais, je pourrais le comprendre.
• Gratien, je refuse que tu doutes de moi, veux-tu que je te montre, comment j’ai appris.
Je prends mon portable, moteur de recherche « fellation ».
J’ouvre le tiroir de la table de nuit ou se trouve la photo de nous lors de notre mariage et ou il me porte dans ces bras.
J’en sors Gratien, non l'autre, celui factice, je me mets dans ma chatte avant de le sortir et de le sucer comme je l’ai fait avec sa bite dans la voiture.
• Tu m’as caché ça, j’aurais aimé que tu me dises que tu faisais des fellations à notre gode.
• Je le faisais, mais j’avais peur justement que tu penses que j’avais appris ça d’un autre homme.
Je sais que tu as appris à faire du béton dans les livres que je t’apportais.
Moi j’ai appris le sexe pour être prête pour toi à ta sortie dans des vidéos pornographiques.
Il m’embrasse, nous roulons sur notre lit et je m’empale.
Être sur Marie, le gode dans ma chatte, nous le faisons souvent ces jours derniers, plutôt ces fins de nuit dernière.
Gratien apprécie son retour.
Nous passons l’après-midi allongé, deux fois il me fait l’amour.
• Je voudrais pouvoir t’offrir le restaurant, mais l’administration pénitentiaire m’a donné peu d’argent.
• J’en ai mis de côté.
Je sais à quoi tu penses, mais oublie, tout cet argent est perdu.
Nous nous habillons, il tient à ce que je sois sexy, de toute façon, Marie a viré tous mes soutiens-gorge en les remplaçant par des pigeonnants.
C’est non loin de chez moi, la carte d’un restaurant que je connais bien.
Celui où je mange avec mon amie.
• Bonjour madame, c’est la première fois que l’on vous voit sans votre amie surtout un soir.
• Elle est partie voir sa maman pour le week-end.
• Monsieur, vous avez une femme charmante.
Gratien bombe le torse, nous passons commande.
• Il me reste le plat du jour, si ça vous dit, c’est du bœuf bourguignon.
Je suis à deux doigts de pouffer en pensant à Marie le premier jour de notre rencontre.
Je dois reconnaitre que son éloignement me manque, même si pendant tout le week-end le sexe de Gratien me comble.
Il me quitte le samedi pour se rendre à son rendez-vous, je dois reconnaître que ce moment de répit me fait du bien.
Levrette et autres jeux qu’avant nous ignorions toujours grâce aux vidéos ponctuent nos moments de sexe.
Lundi, Marie est à l’heure, mais par chance pour peu de temps.
Gratien de retour à Varennes, la vie pour nous pendant quelques jours reprend son rythme habituel.
Je retrouve sa chatte nos godes, elle m’a appris depuis nos premiers rapports à me servir de plugs, je suis à deux doigts d’accepter la sodomie.
J’aurais pu laisser la primeur à Gratien quand je lui ai fait voir que je connaissais la levrette, mais j’ai eu peur d’aller trop loin et qu’il ait des soupçons pour Marie et moi.
Aujourd’hui, c’est le grand jour, Gratien est enfin libéré.
Marie m’a conduit avant de nous ramener.
Contrairement à la première fois, c’est lui qui monte à côté de mon amie.
Nous avons décidé avec Marie de tout lui expliquer demain au restaurant.
Nous lui avouerons que nous avons des relations et que nous aurons du mal à nous arrêter.
Nous faisons l’amour une seule fois, contrairement au week-end, nous sommes déjà comme un vieux couple.
C’est dans la nuit que je suis réveillée par la lumière de notre chambre qui s’allume.
Je suis blottie nue sur notre lit dans ses bras.
Un homme surgit devant nous une arme à la main.
• Salut, les amoureux, alors vous avez bien profité des derniers instants de votre vie.
Gratien, ta liberté aura été courte avant de finir dans la fosse commune.
Malgré son déguisement en homme, je reconnais Marie.
De prêt car de loin avec sa moustache et sa casquette, je l’aurais croisé dans la rue, je lui aurais dit bonjour monsieur.
• Sophie, je me suis rapproché de toi afin d’avoir des renseignements sur le fumier qui a tiré sur un jeune homme et qui l’a tué.
Je vous ai cherché pendant quelques mois après ton arrestation et je t’ai retrouvé à Varennes et toi Sophie ici.
• Que veux-tu, du fric de mon holdup, tu peux toujours courir pour que je te dise où se trouve le puits où il est caché.
• Ton fric, je m’en fous, c’est ta petite gueule de malfrat à deux balles qui m'intéresse.
Sophie, tu te demandes qui je suis réellement !
Je vais te le dire, je suis la jumelle de ce jeune con de policier dont tu as parlé.
C’est pour ça que tu as eu l’impression de m’avoir vu.
Nous nous ressemblions malgré que nous soyons garçon et fille.
Il allait prendre son service pour la première fois à Manosque où il avait été affecté.
« Ploum »
• Ah...
• Une balle dans les couilles, je vais te faire crever afin de le venger, mais en prenant mon temps, j’ai 15 balles dans ce Beretta muni d’un silencieux.
Tu vas rire, fumier, je l’ai acheté, il y a trois ans dans le même quartier nord de Marseille que toi.
C’est au tribunal que le juge avait stipulé que ton arme tu l’avais acheté là-bas !
Avec un peu de chance, c’est le même petit con qui t’a vendu le tien.
Arrête de te plaindre en te tenant ce qui a été tes couilles.
Ce qu’il y a de bien, c’est que tu souffres, Sylvain mon frère est dans l’impossibilité de souffrir à jamais.
« Ploum »
• Aie...
• Douillet, c’est vrai, mon frère est mort sur le coup alors que tu souffres.
Dommage Sophie, j’ai appris à t’aimer, mais j’hésite encore, soit je te descends comme lui pour ton peu de compassion que tu as eue lorsque tu m’as parlé de lui.
Souviens-toi, tu m’as parlé d’un jeune con de flic, ce con mérite une balle entre tes jolis yeuxJe peux aussi t'épargner en prenant un risque quand la police t’interrogera.
• Arrête Marie, on a compris, je vais te dire où est l’argent et surtout où se trouve le puits.
• Je t’ai dit que le fric je m’en fiche.
Si tu savais les plans que j’ai échafaudés en attendant ta sortie de prison.
Si j’avais suivi le premier, tu serais déjà mort et elle aussi dans le bois près du pénitencier.
J’avais même prévu de finir par vous cramer...
• Sophie, vendredi, nous venons le chercher.
Je vous conduis chez toi à Beaune.
Afin d’éviter que l’idée de venir me voir traverse son esprit, dès que je vous aurai déposé, je partirai pour voir ma mère.
• Ta mère est vivante !
• Non, elle est morte de chagrin au décès de mon frère.
Qui ira voir que je mens, j’irai nettoyer sa tombe !
Vendredi, les grilles s’ouvrent et Gratien apparaît dans un survêtement mal ajusté.
C’est vrai que derrière sa table, je le voyais mal.
Je savais qu’en plus des livres sur le travail de réparation d’une maison, il était un client assidu de la salle de musculation et il a su pendant toutes ses années développer toute sa musculature.
Il est beau comme un dieu.
• Bonjour les filles, merci d’être venue Marie, j’espère que nous nous verrons pendant mon court séjour hors de ces murs.
• Hélas, je vous dépose et je prends la route, un voyage prévu de longue date et qu’il m’est impossible de remettre.
Aucun problème pour ton retour lundi, je reviens dimanche dans la nuit et je serai là pour te raccompagner avec Sophie.
Quand tu seras sorti définitivement, nous aurons le temps de nous retrouver.
• Merci Marie, tu es une jeune femme formidable.
Nous montons à l’arrière de sa voiture, elle conduit et regarde fréquemment dans le rétro.
Je veux un peu la provoquer, j’embrasse Gatien à pleine bouche lui mettant la main dans l’élastique de son pantalon de survêtement.
Sa bouche, depuis le temps où j’en suis très prêt dans ce parloir de prison, m’apparaît comme un peu fade en comparaison des baisers que me prodigue Marie depuis que je suis devenue sa maîtresse.
Nous venons de dépasser Chalon-sur-Saône quand je sors sa bite et que ma bouche s’en approche.
Dans nos jeux, lorsqu’elle met le gode autour de ses hanches, elle le présente à ma bouche.
J’ai appris à le masturber en le suçant jusqu’à ce qu’elle appuie sur les couilles, lâchant des jets de lait chaud.
Nous passons devant la scierie où il doit rencontrer le patron demain matin quand pour la première fois de ma vie, je reçois son sperme en bouche.
Marie me regarde et rigole doucement.
Beaune, nous arrivons sur la place Carnot et après un signe de la main elle nous laisse.
Nous remontons la rue piétonne jusque chez moi et c’est sur mon lit que de nouveau Gratien me prend dans ses bras après que nous nous soyons dénudés.
• Dis-moi Sophie, j’ai été étonné, dans la voiture, tu sembles connaitre bien plus de choses que lorsque je me suis fait arrêter.
Tu m’as sucé comme si tu faisais ça régulièrement.
Dis-moi tu m’as trompé tout au long de ces années ?
Tu sais, je pourrais le comprendre.
• Gratien, je refuse que tu doutes de moi, veux-tu que je te montre, comment j’ai appris.
Je prends mon portable, moteur de recherche « fellation ».
J’ouvre le tiroir de la table de nuit ou se trouve la photo de nous lors de notre mariage et ou il me porte dans ces bras.
J’en sors Gratien, non l'autre, celui factice, je me mets dans ma chatte avant de le sortir et de le sucer comme je l’ai fait avec sa bite dans la voiture.
• Tu m’as caché ça, j’aurais aimé que tu me dises que tu faisais des fellations à notre gode.
• Je le faisais, mais j’avais peur justement que tu penses que j’avais appris ça d’un autre homme.
Je sais que tu as appris à faire du béton dans les livres que je t’apportais.
Moi j’ai appris le sexe pour être prête pour toi à ta sortie dans des vidéos pornographiques.
Il m’embrasse, nous roulons sur notre lit et je m’empale.
Être sur Marie, le gode dans ma chatte, nous le faisons souvent ces jours derniers, plutôt ces fins de nuit dernière.
Gratien apprécie son retour.
Nous passons l’après-midi allongé, deux fois il me fait l’amour.
• Je voudrais pouvoir t’offrir le restaurant, mais l’administration pénitentiaire m’a donné peu d’argent.
• J’en ai mis de côté.
Je sais à quoi tu penses, mais oublie, tout cet argent est perdu.
Nous nous habillons, il tient à ce que je sois sexy, de toute façon, Marie a viré tous mes soutiens-gorge en les remplaçant par des pigeonnants.
C’est non loin de chez moi, la carte d’un restaurant que je connais bien.
Celui où je mange avec mon amie.
• Bonjour madame, c’est la première fois que l’on vous voit sans votre amie surtout un soir.
• Elle est partie voir sa maman pour le week-end.
• Monsieur, vous avez une femme charmante.
Gratien bombe le torse, nous passons commande.
• Il me reste le plat du jour, si ça vous dit, c’est du bœuf bourguignon.
Je suis à deux doigts de pouffer en pensant à Marie le premier jour de notre rencontre.
Je dois reconnaitre que son éloignement me manque, même si pendant tout le week-end le sexe de Gratien me comble.
Il me quitte le samedi pour se rendre à son rendez-vous, je dois reconnaître que ce moment de répit me fait du bien.
Levrette et autres jeux qu’avant nous ignorions toujours grâce aux vidéos ponctuent nos moments de sexe.
Lundi, Marie est à l’heure, mais par chance pour peu de temps.
Gratien de retour à Varennes, la vie pour nous pendant quelques jours reprend son rythme habituel.
Je retrouve sa chatte nos godes, elle m’a appris depuis nos premiers rapports à me servir de plugs, je suis à deux doigts d’accepter la sodomie.
J’aurais pu laisser la primeur à Gratien quand je lui ai fait voir que je connaissais la levrette, mais j’ai eu peur d’aller trop loin et qu’il ait des soupçons pour Marie et moi.
Aujourd’hui, c’est le grand jour, Gratien est enfin libéré.
Marie m’a conduit avant de nous ramener.
Contrairement à la première fois, c’est lui qui monte à côté de mon amie.
Nous avons décidé avec Marie de tout lui expliquer demain au restaurant.
Nous lui avouerons que nous avons des relations et que nous aurons du mal à nous arrêter.
Nous faisons l’amour une seule fois, contrairement au week-end, nous sommes déjà comme un vieux couple.
C’est dans la nuit que je suis réveillée par la lumière de notre chambre qui s’allume.
Je suis blottie nue sur notre lit dans ses bras.
Un homme surgit devant nous une arme à la main.
• Salut, les amoureux, alors vous avez bien profité des derniers instants de votre vie.
Gratien, ta liberté aura été courte avant de finir dans la fosse commune.
Malgré son déguisement en homme, je reconnais Marie.
De prêt car de loin avec sa moustache et sa casquette, je l’aurais croisé dans la rue, je lui aurais dit bonjour monsieur.
• Sophie, je me suis rapproché de toi afin d’avoir des renseignements sur le fumier qui a tiré sur un jeune homme et qui l’a tué.
Je vous ai cherché pendant quelques mois après ton arrestation et je t’ai retrouvé à Varennes et toi Sophie ici.
• Que veux-tu, du fric de mon holdup, tu peux toujours courir pour que je te dise où se trouve le puits où il est caché.
• Ton fric, je m’en fous, c’est ta petite gueule de malfrat à deux balles qui m'intéresse.
Sophie, tu te demandes qui je suis réellement !
Je vais te le dire, je suis la jumelle de ce jeune con de policier dont tu as parlé.
C’est pour ça que tu as eu l’impression de m’avoir vu.
Nous nous ressemblions malgré que nous soyons garçon et fille.
Il allait prendre son service pour la première fois à Manosque où il avait été affecté.
« Ploum »
• Ah...
• Une balle dans les couilles, je vais te faire crever afin de le venger, mais en prenant mon temps, j’ai 15 balles dans ce Beretta muni d’un silencieux.
Tu vas rire, fumier, je l’ai acheté, il y a trois ans dans le même quartier nord de Marseille que toi.
C’est au tribunal que le juge avait stipulé que ton arme tu l’avais acheté là-bas !
Avec un peu de chance, c’est le même petit con qui t’a vendu le tien.
Arrête de te plaindre en te tenant ce qui a été tes couilles.
Ce qu’il y a de bien, c’est que tu souffres, Sylvain mon frère est dans l’impossibilité de souffrir à jamais.
« Ploum »
• Aie...
• Douillet, c’est vrai, mon frère est mort sur le coup alors que tu souffres.
Dommage Sophie, j’ai appris à t’aimer, mais j’hésite encore, soit je te descends comme lui pour ton peu de compassion que tu as eue lorsque tu m’as parlé de lui.
Souviens-toi, tu m’as parlé d’un jeune con de flic, ce con mérite une balle entre tes jolis yeuxJe peux aussi t'épargner en prenant un risque quand la police t’interrogera.
• Arrête Marie, on a compris, je vais te dire où est l’argent et surtout où se trouve le puits.
• Je t’ai dit que le fric je m’en fiche.
Si tu savais les plans que j’ai échafaudés en attendant ta sortie de prison.
Si j’avais suivi le premier, tu serais déjà mort et elle aussi dans le bois près du pénitencier.
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